[Ex] Yvon Pouliquen

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Maneo
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Message par Maneo »

Pouliquen c'est un entraîneur antipathique ! Va falloir qu'il comprenne qu'il ne fera jamais l'unanimité ainsi ... J'espère qu'il ne reviendra jamais au racing !
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FM17
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Message par FM17 »

j suis d accord avec toi...autant je l aimais comme joueur autant entraineur il m insuporte...cela en devenait que je souhaitais que Guingamp perde...
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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argueti
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Message par argueti »

Pouliquen vers Grenoble

Selon nos informations, Yvan Pouliquen aurait trouvé un accord avec Grenoble (10e de L2) pour succéder à  Bernard Blacquart au poste d'entraîneur du club isérois. Le contrat, d'une durée de deux ans, devrait être signé mardi. Yvan Pouliquen était sans club depuis son limogeage de Guingamp (L2) en décembre dernier. Le technicien breton compte deux Coupes de France à  son palmarès, remportées avec Strasbourg (2001) et Lorient (2002).
ZITELLI
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Message par ZITELLI »

Duguépéroux était pressenti pour ce poste, finalement, c'est un autre ex Racingman qui va venir.
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silex57
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Message par silex57 »

Yvon Pouliquen vient d'être nommé entraîneur de Grenoble (L2).

A la recherche d'un club depuis son licenciement de Guingamp (L2) en septembre 2005, Yvon Pouliquen entraînera Grenoble (L2) la saison prochaine.
C'est fait.
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :Pouliquen, cinq ans après

Yvon Pouliquen n'a jamais remis les pieds à  la Meinau depuis son départ du Racing, en mai 2001. Cinq ans plus tard, l'entraîneur de Grenoble se verrait bien y réaliser un petit exploit. Sans état d'âme, comme à  la belle époque, quoi...

Ça s'est terminé sur la pelouse du Stade de France, le 26 mai 2001. Cette nuit-là , Yvon Pouliquen était un homme soulagé. Appelé six mois plus tôt à  la tête d'une équipe en déliquescence, le jeune entraîneur venait d'offrir au Racing sa troisième Coupe de France.
Mais le Breton n'a pas vraiment eu l'occasion de savourer. Au relais d'un Claude Le Roy désavoué six mois plus tôt, il n'avait pu éviter la relégation. De toute façon, le capitaine emblématique des années 90 se savait condamné depuis de longues semaines. Coupe de France ou pas, le président Proisy ne voyait en lui qu'un intérimaire.

« Les Japonais sont venus pour construire à  long terme »

En repoussant la proposition de reclassement, forcément peu emballante, Pouliquen a choisi de changer d'air après un bail de dix ans en Alsace. Sans trop de regrets.
« Je n'en garde que des bons souvenirs, assure l'intéressé, 44 ans la semaine prochaine. J'y ai connu une montée en tant que joueur (en 1991/1992), remporté une Coupe de France comme entraîneur. Franchement, je n'ai pas à  me plaindre. »
Revenu au pays, d'abord à  Lorient - où il réédite l'irrationnel doublé coupe - relégation l'an d'après ! -, puis à  Guingamp, Pouliquen répond cet été à  l'appel de Grenoble et de ses investisseurs japonais. Le club isérois, s'il n'a pas de passé glorieux, veut s'inventer un avenir radieux.
« C'est vrai que jusque-là , Grenoble était plutôt une ville de rugby, reconnaît le natif de Morlaix. Depuis le début de saison, la tendance s'inverse. On joue devant une moyenne de 7 000 spectateurs. Les Japonais, des gens très posés, sont venus pour construire à  long terme. Ils n'ont pas d'exigences particulières et paraissent bien moins pressés que certains dirigeants français. »
En attendant la livraison d'un stade flambant neuf de 22 000 places la saison prochaine et la création d'un centre de formation, Pouliquen est chargé de sortir Grenoble des limbes footballistiques. Force est de reconnaître que l'entraîneur est en avance sur le cahier des charges nippon.
Alors que son prédécesseur, Thierry Goudet - passé en mars dernier à  Brest -, se faisait le chantre d'un jeu défensif rendu poussif par la force des choses, l'ex-milieu de terrain joue la carte de l'offensive. « Hormis le dernier match, contre Brest (0-0), nous avons toujours marqué au moins un but », rappelle Pouliquen.

« Ils ont tous envie de prouver quelque chose »

Dès la première journée, l'équipe a prouvé qu'elle avait les crocs. Menée deux buts par Montpellier après une demi-heure de jeu, elle est parvenue à  arracher la victoire (3-2). « Ça a lancé la saison, dit Pouliquen. On était à  la rue, avant de revenir au mental et au physique. Quelque chose s'est passé ce soir-là . »
Leaders au soir de la septième journée et de leur victoire aux dépens de Créteil (3-1), troisièmes au moment de rallier la Meinau, les Isérois épatent. Personne ne les attendait à  pareille fête. D'autant qu'à  l'intersaison, le capitaine Julien François (Metz) et le Japonais Oguro (Torino), soit deux rouages essentiels de l'exercice écoulé, ont mis les voiles.
« J'avais quelques craintes quant au caractère de mon groupe, avec le départ de François, le leader, poursuit-il. J'ai été rapidement rassuré. Chacun fournit un effort supplémentaire. Les gars sont ambitieux, de Wimbée, qui finira certainement sa carrière ici, aux plus jeunes. Ils ont tous envie de prouver quelque chose. »
A l'image de Cyril Chapuis, dont le fantôme avait hanté la Meinau l'espace d'une saison, qui retrouve une seconde jeunesse dans l'Isère. « C'est moi qui le voulais, insiste Pouliquen. C'était un pari pour moi autant que pour lui, d'autant qu'il n'avait pas joué la saison dernière. Je suis satisfait, même s'il n'a pas encore marqué. »

« Je n'ai pas pour habitude de me retourner sur le passé »

Si tout semble sourire à  Grenoble en ce début de saison, Yvon Pouliquen garde les pieds sur terre. Vacciné après les épisodes lorientais et guingampais - quatre essais infructueux -, il refuse d'évoquer la montée. « Notre objectif, c'est déjà  de progresser sur le plan individuel et collectif, de dégager une identité de jeu, raconte-t-il. Nous n'avons pas les mêmes moyens que le Racing, un ténor de ce championnat. »
Pas question, pour autant, de faire le dos rond à  Strasbourg. Face à  un club où il a vu s'épanouir des garçons comme Abdessadki, Lacour, Johansen ou Vergerolle, l'ex-formateur n'entend pas changer ses habitudes. « On jouera pour gagner, parce qu'on ne sait pas faire autrement », prévient-il.
Quant à  ses retrouvailles avec le public alsacien et le stade qui l'a tant aimé, elles ne l'émeuvent pas plus que ça. « J'aurai peut-être un petit pincement au coeur. Mais je n'ai pas pour habitude de me retourner sur le passé. »
Sans peur ni reproche, le regard toujours porté vers l'avant. Cinq ans après, Yvon Pouliquen n'a pas changé.

Séb.K.
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Yvon Pouliquen en haut de l'affiche

Strasbourgeois de 1991 à  2001, l'ex-capitaine et coach du Racing a signé cet été pour deux saisons (plus une en option) comme entraîneur du Grenoble Foot 38. Trois mois plus tard, le club isérois, visiteur de la Meinau demain (20h30), est installé dans le trio de tête de la Ligue 2.

C'est la grosse cote de ce début de saison. Même si l'arrivée d'investisseurs japonais fin 2004 en dit long sur les ambitions, à  moyen terme, du Grenoble Foot 38, le club isérois se plaît déjà  à  jouer les trouble-fête en Ligue 2. Sous la patte d'Yvon Pouliquen, qui connaît Strasbourg comme sa poche pour y avoir passé dix ans (joueur et capitaine de 1991 à  1996, coach-adjoint de Jacky Duguépéroux de 1996 à  décembre 1997, coach de la réserve de janvier 1998 à  novembre 2000, puis de l'équipe première de novembre 2000 à  juin 2001, avant de retourner à  la tête du CFA de juin à  décembre 2001), Grenoble s'est invité à  la table des grands. Pour un Pouliquen qui y vit sa quatrième expérience d'entraîneur (après Strasbourg donc, puis Lorient de janvier 2002 à  juin 2003 et Guingamp de juillet 2004 à  septembre 2005), cette flatteuse troisième place n'est pas usurpée.

Yvon, êtes-vous surpris de voir votre équipe s'inviter à  la table d'honneur de la L 2 ?

D'un côté, oui. De l'autre, non, parce que sur ce que nous avons montré sur le terrain, ce n'est pas immérité.

Pourtant, lors du premier match, vous étiez menés 2-0 à  une demi-heure de la fin, avant de vous imposer dans les arrêts de jeu contre Montpellier. La saison aurait-elle tourné autrement si vous vous étiez inclinés ?

Sans doute, oui. Je ne dis pas que nous serions aujourd'hui dans les trois derniers. Mais ce renversement de situation contre un Montpellier qui nous a baladés pendant une heure a lancé la saison sur les meilleures bases possibles. Nous sommes revenus au caractère, à  l'envie. En début de saison, je craignais le manque de caractère de mon équipe. Je me suis trompé.

La présence d'un groupe japonais à  la tête du club vous met-elle une pression supplémentaire ?

Les dirigeants ne m'ont pas fixé d'objectifs en termes de résultats. Mais comme tout entraîneur, je me les fixe moi-même. Ils savent qu'il y a beaucoup à  faire, à  améliorer dans les infrastructures, pour faire avancer le club. Ils ont des ambitions, mais veulent gravir les marches une à  une. Le projet, cette année, c'est de mettre en place une identité de jeu, de bâtir une équipe joueuse tournée vers l'offensive.

Après dix journées, Grenoble est troisième. Peut-il l'être encore en fin de saison ?

Je ne me pose pas la question. Mais je vois bien que les joueurs pensent plus que moi à  la montée. Je ne veux surtout pas que le résultat prime le jeu. Et nous ne viendrons pas à  Strasbourg pour défendre. Nous n'avons de toute façon pas l'équipe pour ça.

Ne redoutez-vous pas que votre équipe subisse un vilain contrecoup quand elle sera dans le dur ?

Elle passera sans doute par des moments difficiles, mais je suis persuadé qu'elle saura rebondir. En fait, cette saison s'annonce dure pour tout le monde. Une dizaine d'équipes affichent leurs ambitions de montée et en ont les moyens. La vraie difficulté en L 2, c'est que tu peux gagner partout, mais aussi perdre partout.

Depuis votre départ en décembre 2001, c'est votre premier retour à  Strasbourg. Dans quel état d'esprit êtes-vous ?

Je n'éprouve pas de sentiment particulier. Car je n'aime pas me retourner sur le passé. Mais j'aurais du plaisir à  retrouver des gens que j'ai côtoyés au Racing, comme Jean-Marc Kuentz et Jacky Canosi - que je vois régulièrement chez nous, puisqu'il vient nous voir jouer - ou des joueurs comme Abdessadki, Devaux, Lacour ou Vergerolle.

La relégation en L 2 que vous avez connue comme coach du RCS en 2000-2001 reste-t-elle l'une des grandes frustrations de votre carrière ?

Je vous l'ai dit : je ne m'apitoie pas sur le passé et je n'y pense plus. Cette année-là , nous avons aussi gagné la Coupe de France. Je l'ai conservée l'année suivante avec Lorient et je ne songe pas tous les jours à  ces deux sacres. Car le passé n'a pas d'avenir.

Recueilli par Stéphane Godin
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raphou96
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Message par raphou96 »

Content de l'avoir revu, il a l'air de bien s'entendre avec papin.
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NéRiK
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Message par NéRiK »

Oui ils rigolaient bien tous les deux. J'aurais bien aimé savoir de quoi était faite cette discution. Peut etre le jeu de Tum les faisaient rire? :lol:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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The_Key_Player
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Message par The_Key_Player »

C'était le duel Chapuis/Tum qui les faisaient mourrir de rire! :lol:
Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie...
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