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Depuis 2006, il est entraîneur des moins de 18 ans de Guingamp où il retrouve d'anciens coéquipiers comme Stéphane Carnot ou Nicolas Laspalles.
EAG a écrit :Interview de Lionel Rouxel, entraîneur des -18 ans de l'En Avant de Guingamp
Dernier échelon avant d'intégrer le groupe de CFA, l'équipe des -18ans entraînée par Lionel Rouxel est aujourd'hui 6ème de son groupe avec 6 victoires, 2 nuls et 6 défaites.
Quel bilan dresses-tu à mi-saison Lionel?
C'est une première partie de championnat assez satisfaisante. Les débuts ont été difficiles car le groupe a été refait à 50-60%. Il a fallu un temps d'adaptation pour les nouveaux. De plus, on a effectué une grosse préparation athlétique. Après la Toussaint, ça c'est ressenti au niveau physique et dans le jeu car on était mieux.
Peux-tu nous parler de ton capitaine, le milieu défensif, Benjamin Le Pape?
C'est un joueur du club. Il habite tout près du stade Yves Jaguin. C'est quelqu'un d'exemplaire sur le terrain. Il reflète la mentalité du club que les formateurs veulent inculquer aux jeunes. Il est encore un peu trop timide. Il occupe le milieu de terrain.
Qui est le meilleur buteur de ton équipe?
Il s'agit de Geoffrey Malfleury avec 9 buts. (NDLR Cet avant-centre est le dernier joueur d'EAG à avoir été sélectionné en équipe de France, il y a 2 ans chez les -16 ans)
Quelles sont les qualités de ton groupe?
C'est un groupe assez homogène avec des joueurs qui sont à l'écoute. C'est un groupe intéressant.
Quels sont les objectifs pour cette deuxième partie de saison?
L'objectif, c'est de finir le plus haut possible et que les joueurs puissent franchir un ou deux palliers supplémentaires.
En Gambardella (64e de finale), ton équipe reçoit Rennes. Cette compétition est-elle un objectif?
On va essayer d'aller le plus loin possible mais on est tombé sur un gros morceau. On va essayer de gagner ce match et après on verra.
Comment vis-tu ta carrière d'entraîneur?
Quand je vois des jeunes jouer, je trouve çà intéressant de leur donner des conseils. J'apprend tous les jours. C'est l'apprentissage du métier. Ce n'est pas parce qu'on a fait une carrière de joueur professionnel que l'on devient forcément un bon entraîneur. Au niveau de la formation, il y a une bonne ambiance. L'amalgame se fait entre l'expérience des anciens qui sont l'âme du club (Yvon Schmitt et Jacques Cadran) et les plus jeunes comme Coco Michel, Tony Sorin et moi.
