[04/05] Finale CDLL : Caen / RCS : 1-2

L'actualité du Racing dans les coupes nationales
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Its_me
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Message par Its_me »

95 : coupe de France il me semble (contre Paris?) --> perdu
97 : coupe de la ligue contre Bordeaux --> gagné
99 : challenge ETT --> perdu il me semble
01 : coupe de France contre Amiens --> gagné
03 : gambardella --> perdu
05 : Coupe de la ligue contre Caen --> si on suit la logique on gagne :lol:
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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lolo
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Message par lolo »

Ah, vu comme ça effectivement il n'y a rien à r edire... :lol: ;)

Ah si: tu as oublié les coupes d'Alsace... :lol:
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lolo
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Message par lolo »

LAFA a écrit :Avant la finale ...

Le RCS dispute ce samedi la finale de la Coupe de la Ligue contre Caen, au Stade de France. Voici les dernières infos à  connaître avant ce grand évènement pour le football alsacien :
- Le Racing a pour l'occasion créer un site entièrement dédié à  la finale de la Coupe de la Ligue.

- Pour partager cet événement avec l'ensemble des Strasbourgeois et des habitants de la région, la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg ont souhaité retransmettre la rencontre sur un écran géant.

Rendez-vous est donc donné à  tous les supporters, le samedi 30 avril sur la place Kléber, dès 20 h 30, au cÅ“ur de la Capitale qui gagne !

- Enfin, vous serez plus de 7 000 licenciés de la LAFA à  faire le déplacement à  Paris pour soutenir le Racing ! Nous vous rappelons que vous pouvez encore venir retirer les accès parking bus au siège de la LAFA à  Strasbourg.

- Interview Stéphane Collet :




«Cela reste une grande fierté»


Le petit lutin du groupe de Jacky Duguépéroux 1ère est susceptible de connaître un successeur très prochainement dans l'inconscient alsacien. L'auteur du penalty décisif face à  Bordeaux, lors de la finale de la coupe de la Ligue 1997, s'en réjouit.

Alsace Foot : Voilà  huit ans, vous intégriez le Panthéon strasbourgeois à  la faveur de la première victoire du club en coupe de la Ligue. Comment l'appréciez vous aujourd'hui ?

Stéphane Collet : Toujours avec un grand bonheur. Car je n'oublie pas les conditions dans lesquelles elle a été obtenue. J'avais signé à  Strasbourg dans l'espoir d'y décrocher un titre, de participer à  une coupe d'Europe. Et là  on parvenait ce jour-là  en battant Bordeaux. On répondait à  une attente énorme du public. Quelques mois plus tôt débarquais de Nice, sans être trop connu, avec les Llacer ou Nouma qui avait une plus grosse réputation que moi. Et puis, il y a eu cette aventure, on s'est pris au jeu, on a essayé de faire plaisir à  ces gens qui nous donnaient tellement. Une fois le ballon au fond des filets, c'était quelque chose dans la tête de sentir que l'on a contribué à  beaucoup de bonheur. C'est le plus merveilleux souvenir de ma carrière de joueur.

A la faveur de cette contribution, vous bénéficiez d'une image extrêmement positive en Alsace. Avez-vous conscience de faire partie quasiment d'une mythologie ?

On ne va pas s'enflammer à  parler de mythologie. En matière de foot, les héros et les dieux c'est Zidane et Maradonna. Mais ce qui me fait plaisir c'est d'avoir en partie écrit l'histoire de ce club qu'aime les Alsaciens. Et comme moi j'ai aimé et je continue à  profondément aimer l'Alsace, ça me va très bien. Car durant mes années à  Strasbourg, je me suis efforcé d'être au contact des gens, au club, mais aussi dans les petits villages où ils faisaient eux-mêmes leur bière et où ils m'ont toujours accueilli avec respect. De prime abord, c'était des fois un peu froid. Mais une fois le premier contact établi, c'était vraiment chaleureux. Et rendre sous cette forme, c'était une grande fierté.

Question de confiance

Avec le recul, n'éprouvez-vous pas des regrets de ne pas avoir poursuivi dans un club où vous êtes apparu le plus épanoui dans votre parcours ?

Il y a plein d'acteurs qui ont contribué à  cette réussite. Il y a une bande de copains sur le terrain, parce qu'un ciment en dehors du terrain nous unissait, mais il y avait un entraîneur et un président. Et on sait ce qui est arrivé par la suite. Si les mêmes hommes étaient restés, je pense que je serais resté aussi. Parce que mon départ pour Lens n'avait rien à  voir avec une question d'argent. Moi je marche à  la confiance. Et j'avais le sentiment d'avoir en face de moi, au lendemain de la finale, des hommes nouveaux qui n'avaient pas confiance en moi.

Serez-vous à  la finale du 30 avril ?

Des gens de France Bleu m'ont appelé pour participer à  leur émission autour de cette finale. Je ferai tout pour être présent au stade de France. J'ai mon quotidien, mes enfants, mon activité avec ma femme, dans un magasin de décoration qui m'empêche un peu de programmer mon emploi du temps. Mais il n'est pas exclu qu'au dernier moment, je monte dans l'avion pour me retrouver à  Paris et vivre cette finale. Quelques merveilleux souvenirs resurgiraient c'est sûr.

Votre carrière dans le foot est-elle définitivement derrière vous ?

Pas complètement puisque je joue encore dans un petit club de DH, à  Menton, où j'ai trouvé de l'ambition, des moyens et où on a reconstitué une bande de copains que j'apprécie avec De Neef, Frédéric Martin, Mazzuchetti et Casoni. J'ai fait quelques matches cette saison, mais je n'ai pas été très assidu à  l'entraînement. Mais je me refuse à  couper le fil. J'ai entraîné des gamins, ça m'a beaucoup plu. Maintenant, j'ai entamé le cycle pour passer les diplômes d'entraîneur. Et ça commence par le diplôme d'animateur que je viens de passer.

«Le mérite revient à  l'entraîneur»

Vous êtes Niçois de sang et de naissance, mais considérez-vous l'Alsace et Strasbourg comme votre seconde patrie à  la faveur de cette coupe de la Ligue ?

Définitivement. Parce que c'est le club qui m'a vraiment fait franchir un cap, qui m'a consacré comme professionnel avec un titre, avec un environnement différent, où j'ai su m'adapter.

Appellerez-vous Jacky Duguépéroux avant la finale ?

Je vais tenter. C'est un entraîneur qui peut d'ores et déjà  considérer avoir réussi sa saison. Quand on voit dans quel état il a pris l'équipe, et pas seulement au classement. Car les soirs de championnat, je zappe entre Nice et Strasbourg. Et le Racing en début de saison, ce n'était pas fameux. Les joueurs sont les mêmes, mais ils ont changé. Et tout le mérite en revient à  l'entraîneur. Ce qu'il a réussi cette saison est remarquable. Et cela laisse songeur sur le comportement de l'équipe dirigeante précédente qui ne lui avait pas manifesté beaucoup de respect.
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argueti
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Message par argueti »

DNA a écrit :La fête, pas la guerre...

Quelque 80 000 spectateurs sont attendus samedi soir au Stade de France. Pas une mince affaire en terme de sécurité, même si l'opposition entre le Racing et Caen ne revêt aucun caractère belliqueux. Place au jeu.
La fête s'annonce belle. Belle et paisible. Entre Strasbourgeois et Caennais, des gens de bonne composition, pas réputés pour être de mauvais garçons, aucun antagonisme n'est à  déplorer. Les abords et les travées du Stade de France devraient donc être bercés par la quiétude.

« Climat sportif »

« Il n'y a aucune raison que cela se passe mal, dit Serge Cayen, responsable de la sécurité au Racing. Nous avons déjà  eu trois réunions de préparation avec les responsables normands et ceux du Stade de France. Une dernière entrevue est prévue le matin du match. Tout se déroule dans un climat sportif. La Ligue loue d'ailleurs l'état d'esprit des deux clubs. »
L'odeur de soufre qui enveloppe les rencontres dites à  haut risque, comme PSG - OM ou Saint-Etienne - Lyon, ne viciera donc pas l'air. Personne ne s'en plaindra. Il n'empêche, quand une foule de 80 000 personnes converge dans un stade, fût-il de France, quelques précautions s'imposent.

« Confiance en nos supporters »

D'autant que, cette saison, au moins un mauvais exemple rappelle que perspectives pacifiques et déclarations de bonnes intentions ont leurs limites. En décembre dernier, une frange de supporters strasbourgeois avait fait du grabuge chez le voisin messin. Bagarres, insultes, jet de fusées et autres détériorations, voilà  les images sombres qui ont écorné la nouvelle réputation du public alsacien.
Ce funeste scénario, il est vrai favorisé par une rivalité régionale malsaine, n'a pas lieu de se reproduire. « J'ai confiance en nos supporters, insiste Serge Cayen. Pour un tel événement, j'ose croire que l'Alsace saura être dignement représentée. Les associations de supporters ont fait le ménage après les incidents de Metz. De plus, on aura une centaine de nos stadiers sur place. Chacun se connaît, le climat de confiance est instauré. »

« Consignes strictes »

En outre, la configuration même du Stade de France limite au maximum les risques. Serge Cayen en connaît un rayon, lui qui a participé un an durant aux travaux d'une commission de sécurité mise sur pied après le France - Algérie du 6 octobre 2001, soir où le match avait été arrêté à  la suite d'une succession de débordements.
« Les consignes de sécurité sont très strictes (lire encadré) et les éventuels fauteurs de trouble sont vite repérés, conclut Serge Cayen. Non, vraiment, il n'y a aucune raison que ça se passe mal. » Les quelque 25 000 spectateurs alsaciens qui soutiendront leurs couleurs samedi soir peuvent donc s'attendre à  passer une soirée tranquille. Pourvu que la fête soit belle.

Un spectateur averti...

Quelques consignes de sécurité s'imposent pour ceux qui franchiront les portes du Stade de France, samedi soir. Certaines peuvent prêter à  sourire, mais un petit rappel vaut mieux qu'une grosse désillusion.
IVRESSE. - Les personnes (sur)prises en état d'ébriété seront refoulées manu militari. Quant aux fauteurs de trouble, ils peuvent s'attendre à  passer une soirée dans le local prévu pour les gardes à  vue. La télé n'est pas fournie...
OBJETS INTERDITS. - Une liste exhaustive a été dressée par les hôtes franciliens. Sont à  proscrire les armes (sic), les animaux (re-sic), les outils (triple sic), les fumigènes et articles pyrotechniques, les bouteilles en verre et en plastique d'une contenance de plus de 50 cl, mais aussi les appareils photos professionnels (téléobjectif) et les grands sacs.
PONCTUALITE. - Les supporters strasbourgeois sont conviés en tribune sud. Pour s'éviter une longue attente et le stress lié aux contrôles de sécurité, mieux vaut arriver tôt. Les grilles du stade ouvrent dès 17h.

PARKING. - Près de 300 cars emmèneront les supporters du Racing au stade de France. 220 emplacements de parking leur étaient réservés. « Nous en aurons une soixantaine de plus, explique Serge Cayen, le responsable sécurité du club strasbourgeois. Des cartes de reconnaissance qui pourront être retirées jeudi à  l'accueil du stade de la Meinau. »
Montrons à  la France entiere que le football c'est aussi une fete !!

Sinon pas de trace de bache Infosracing interdite :) :lol:
L'histoire est en marche ...
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PoY
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Re: Un tout petit peu d'Histoire.

Message par PoY »

L2 a écrit :Caen gagne 2-3 à  chaban Delmas
Parc Lescure encore à  l'époque, non ? :oops: ;)
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lolo
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Message par lolo »

La finale à  J-4
A quatre jours de la finale de la Coupe de la Ligue retrouvez les derniers échos à  propos du SM Caen et du RC Strasbourg.

Keita va mieux
Touché au mollet, Sidi Keita a passé lundi une échographie qui n'a pas révélé de lésion. La blessure demeurant douloureuse, le milieu de terrain strasbourgeois reste toutefois incertain pour la finale. Cette saison, Sidi Keita a participé à  onze rencontres de Ligue 1 et à  deux matches de Coupe de la Ligue. En quarts de finale contre Clermont puis en demi-finale contre Saint-Etienne, ce joueur formé au club au club est entré en cours de match.

Vercoutre comme Roux ?
Qui gardera les buts de Strasbourg samedi soir ? Titulaire en début de saison, Rémy Vercoutre a perdu sa place en championnat au profit de Lionel Cassard. Prêté par Lyon, Vercoutre s'est blessé après quatre matches et n'a jamais retrouvé depuis sa place en championnat à  l'exception d'un match contre Lens où il suppléait Cassard, victime d'une gastro-entérite. Le plus souvent spectateur du banc de touche en Ligue 1, Vercoutre a pu cependant se mettre en valeur en Coupe de la Ligue dont il a disputé tous les matches cette saison. Samedi soir, il espère donc poursuivre et conclure victorieusement cette aventure à  l'instar de Frédéric Roux en 2002. Doublure d'Ulrich Ramé chez les Girondins de Bordeaux en championnat, Roux avait disputé tous les matches de Coupe de la Ligue et soulevé le trophée au Stade de France après une victoire contre Lorient.

Dugardein de retour
Insuffisamment remis d'une gastro-entérite, Steve Dugardein était absent samedi contre Bastia. Normalement, le milieu de terrain belge du SM Caen devrait retrouver aujourd'hui le chemin de l'entraînement. Deux séances sont au programme pour rebondir après la défaite face aux Corses.
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PoY
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Message par PoY »

lolo a écrit :
Lionel Cassard
:lol: :lol: :lol:
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lolo
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Message par lolo »

J'avais même pas remarqué... :oops: :lol:
Manu
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Message par Manu »

Destination Stade de France pour 25 000 supporters du Racing
Des dizaines de milliers de fans du Racing iront à  Saint-Denis, samedi, pour la finale de la Coupe de la Ligue de football. Destination : Stade de France, via les airs, les routes et le chemin de fer. Bouchons prévisibles sur la RN 4 et les accès à  l'A 4, où 300 bus et des milliers de voitures sont attendus.

Toute l'Alsace du football sera derrière le Racing, samedi soir, pour la finale. Devant leur petit écran, leur poste de radio, pour la plupart. Voire sur place, au Stade de France, pour les 25 000 privilégiés qui se sont arraché les billets, au lendemain de la victoire en demi-finale. Sauf que pour se rendre au Stade de France, le chemin risque d'être tortueux.
Pas pour les 245 VIP, qui ont affrété un vol particulier au départ de l'aéroport de Strasbourg, samedi à  15 h, et qui ont prévu large -en cas de victoire- puisque le retour est prévu dimanche à  16 h. Ni pour les 1 150 supporters qui s'y rendront, via le chemin de fer, avec le train mis sur rails à  leur intention. Dont le départ est fixé à  10h13 en gare de Colmar et qui embarquera les troupes de fans dans les gares de Sélestat (10h51), Strasbourg (11h16) et Saverne (11h50) pour atteindre la gare de l'Est à  Paris vers 15h35.


Arrivées séparées


A partir de là , « pour éviter l'afflux de supporters dans la même zone de RER, les Strasbourgeois ont été séparés des Caennais : ceux de Caen arriveront en gare St-Lazare et non en gare du Nord comme d'habitude », explique Pierre Brochet, directeur du marketing et de la communication du Racing, qui ajoute qu'une centaine de stadiers du Racing seront dans le train et effectueront le placement dans les tribunes.
C'est sur les routes que ça risque de coincer. « Plus de 300 cars d'une cinquantaine de places, soit 15 000 personnes partiront d'Alsace », poursuit Pierre Brochet. Parmi ceux-ci, la Ligue d'Alsace de football amateur (LAFA) en compte « plus de 120 pour les 7 000 licenciés de nos clubs », relève son responsable marketing Jean-Luc Filzer. Même engouement chez les clubs de supporters : 42 cars d'associations ont été affrêtés, dont 22 rien que pour le « Club central des supporters ».
« On en a 15 de Strasbourg, deux du Haut-Rhin, un de Seltz, un de Drulingen, deux de Phalsbourg et un de Saverne », détaille son président Jean-Marie Blum.


« Plus de cars
disponibles »



Neuf autres sont affrêtés par le « Kop ciel et blanc » et six pour les Ultra Boys 90 (auxquels il faut ajouter les trois cars de Karlsruhe, club jumelé). Si l'on y ajoute les initiatives privées et les comités d'entreprises, « plus un seul car n'est disponible dans la région. Le club de Munster a dû chercher son car dans les Vosges », raconte Pierre Brochet, au Racing. « Il faut aller au Luxembourg, dans le Territoire de Belfort ou en Allemagne pour espérer en trouver un. Et encore, c'est pas gagné... », estime Muriel, du « Kop ciel et blanc ».
Les quelque 9 000 autres supporters devront donc se résoudre à  s'y rendre par leur propres moyens, en voiture. L'autoroute A 4 et la RN 4, plutôt fluides le week-end, risquent d'être pris d'assaut samedi matin et après-midi, ainsi que pour le retour, dans la nuit de samedi à  dimanche (lire notre encadré). Le trajet risque d'être tourmenté entre les colonnes de cars. En cas de défaite ou en cas de victoire.
NianKaRud
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Message par NianKaRud »

Ca se rapproche à  fond, et l'envie d'y être est de plus en plus importante.
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