Merci de vous amuser par mp.
De toute façon, on connaitra jamais la vérité.
			
			
									
									Marc Keller
- argueti
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Entretien avec Marc Keller
SOPremier épisode d'un entretien-bilan avec Marc Keller. Six mois après le coup d'envoi de la saison, le Directeur Général du Racing revient sur les résultats sportifs de l'équipe première.
Avec la fierté d'avoir assister à la réaction du groupe et du parcours en coupe de la Ligue que ce même groupe offre au club.
Commençons par le plus récent et cette qualification en coupe de la Ligue. Qu'avez-vous pensé de ce match face à Lille ?
Le terrain était à la limite du praticable, ce qui n'a pas facilité le jeu. Le match s'est joué sur un coup de dés, même si nous nous sommes procurés les meilleures occasions. Mais cette victoire aux penalties, comme le scénario du succès face à Rennes, permet d'avoir des émotions. Il y avait autant d'ambiance, lors de cette séance de tirs au but, qu'avec 20 000 personnes présentes. Tout le monde a communié.
Cette qualification en quarts de finale offre aussi des perspectives intéressantes pour la deuxième moitié de la saison.
Ca nous donne, déjà , un mois de janvier très chargé avec sept matches en tout, dont cinq en championnat. Nous pourrons enregistrer les retours de Keita, Haggui, Le Pen, Pagis et nous avons vu, aussi, que les jeunes répondent présents. Jacky Duguépéroux est donc armé pour ce mois de janvier qui s'annonce capital pour le club. Nous gardons en tête notre objectif prioritaire qui est le maintien en L1. Mais ce parcours en coupe de la Ligue, comme n'importe quel parcours en coupe d'ailleurs, permet de fédérer les gens autour d'un club et d'une équipe. Cela donne de l'espoir.
Le Racing termine cette année 2004 de belle manière. Hors de la zone des relégables, il a réalisé un parcours, ces derniers mois, très intéressant.
Depuis deux mois, effectivement, nous avons pris des points intéressants. Nous avons réalisé de bons matches à la Meinau. Il n'y a, finalement, que le déplacement à Lyon que nous avons complètement raté. A Marseille et à Metz, nous aurions pu mieux faire qu'une défaite. Mais il faut dire aussi que nous n'avons pas été épargnés par les blessures. Cela nous a permis de voir que nos jeunes du centre de formation pointent le bout du nez. Des garçons comme Keita, Arrache, Carlier, etc. ont démontré que nous pouvions nous appuyer sur eux. Cela nous permet d'avoir un groupe encore plus étoffé.
Depuis la défaite contre Nantes, le Racing est également invaincu à la Meinau. Est-ce quelque chose d'important pour le club et l'équipe ?
Cela montre qu'il existe un état d'esprit. Les joueurs ont retrouvé la confiance et cela se voit. Pour le club, évidemment que cette invincibilité à la maison est importante. Battre Rennes 1-0 en luttant jusqu'à la dernière seconde et battre Lille aux penalties sont des moments importants pour nous. Ce sont des tournants dans une saison. Et puis, grâce à cette série, nous revenons au classement. Il faut encore se battre et les joueurs le feront jusqu'au bout, j'en suis persuadé.
« Janvier sera capital »
L'objectif de début de saison, qui était d'atteindre la 10e place, est-il toujours d'actualité, selon vous ?
Je crois que pour la deuxième partie de la saison, nous allons nous fixer des objectifs match après match. Janvier sera capital et nous y verrons plus clair après.
En cours de saison, le Racing a changé d'entraîneur. Vous qui l'avez connu quand vous étiez joueur, quel regard portez-vous sur le Jacky Duguépéroux d'aujourd'hui ?
Il a évolué, il a gagné en maturité. C'est un entraîneur directif, qui a beaucoup de caractère. Mais aujourd'hui, il me semble qu'il a pris du recul, qu'il analyse de manière plus calme les situations. Il a gagné en expérience, tout simplement. Et puis, Jacky est un homme du club. Il a participé activement au recrutement des pros mais aussi des jeunes. Donc il a une photo bien précise des forces et faiblesses de l'équipe pro et des équipes de jeunes.
On a l'impression qu'il s'épanouit pleinement dans ce rôle d'entraîneur…
Du jour au lendemain, il est redevenu un entraîneur. Et il n'a qu'une obsession, que le club se maintienne. Aujourd'hui, l'équipe lui ressemble, elle ne lâche rien.
Quelle sera l'attitude du Racing durant le mercato hivernal ?
La tendance est de ne pas bouger. Que ce soit pour les arrivées ou pour les départs. Notre volonté est de conserver notre groupe actuel. Je considère que notre mercato, ce seront les retours de Haggui, Le Pen, Keita et Mouloungui un peu plus tard.
Alsacien pour toujours
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Entretien avec... Marc Keller (2e partie)
Suite et fin de l'entretien avec Marc Keller. Cette fois-ci, le Directeur Général du Racing évoque la formation et l'arrivée de jeunes joueurs au sein de l'effectif pro.
Il parle de la politique du centre de formation, des résultats de la campagne d'abonnement et des futures actions du club.
Au cours des dernières semaines, le Racing a annoncé les prolongations de contrat de Sidi Yaya Keita, Eric Mouloungui et Mamadou Niang. Dans quelles perspectives s'inscrivent-elles ?
Actuellement, nous sommes en discussion avec Yacine Abdessadki. Les prolongations de contrat sont une manière de conserver nos jeunes joueurs plus longtemps et nos meilleurs éléments du groupe pro. Cela nous permet aussi d'avoir une ossature pour le futur. L'émergence des Mouloungui, Carlier, Bellaid, Keita est le résultat d'une véritable politique de formation. Cette politique, ce n'est pas seulement de la communication mais une vraie politique de club. C'est notre avenir ! Aujourd'hui, l'effectif pro est composé de Johansen, Kante, Keita, Mouloungui, Lacour, Arrache, Abdessadki, Mphela, Bonis, autant de garçons issus de notre centre. Pratiquement la moitié de notre effectif en vient. Et puis, il ne peut pas y avoir deux politiques, une générale et une pour le centre. Non, c'est un ensemble. Le travail que réalisent Freddy Zix, Jean-Marc Kuentz et Nasser Larguet doit permettre à l'équipe pro de voir arriver, chaque année, quelques jeunes joueurs issus du centre.
Que pensez-vous des résultats des équipes de jeunes, justement ?
Les résultats me semblent corrects. Le centre n'est pas seulement là pour ça, il faut aussi qu'il forme des joueurs pour l'équipe pro. Les résultats sont importants mais pas prioritaires. Actuellement, nous mettons en place, avec Nasser Larguet et Jean-Marc Kuentz, une véritable politique de proximité avec les clubs alsaciens. Nous faisons des efforts vers eux. Nous venons de signer un partenariat avec Obermodern et le 4 janvier nous signerons avec un club et une région qui me sont chères, puisque nous nous engagerons avec Holtzwihr. Nous allons reconduire ces actions auprès de plusieurs clubs. Notre politique est de recruter, dans un premier temps, des jeunes issus de Strasbourg et de la CUS. Ensuite, nous regardons dans le Bas-Rhin et, plus généralement, l'Alsace. Enfin, ce n'est que vers 15-16 ans que nous nous orientons vers le national pour trouver des joueurs que nous n'avons pas chez nous. Nous travaillons main dans la main avec la LAFA. Je me répète, c'est un travail de proximité. L'effectif pro montre, en ce moment, que nous faisons confiance aux jeunes du centre. Et au sein des effectifs du centre, il y a beaucoup d'Alsaciens. Notre politique vers les clubs de la région n'est pas constituée de grands discours, mais est basée sur le travail, la proximité et le relationnel. Le Racing a besoin d'avoir une Ligue amateure forte afin de s'appuyer plus encore sur les joueurs de la région.
Car il n'y a aucune raison pour qu'un joueur alsacien soit moins bon qu'un jeune Lorrain, Breton ou autres, n'est-ce pas ?
Je suis persuadé qu'en Alsace nous pouvons trouver des petits Johansen, Kante ou Cobos…
« Besoin de reconnaissance »
Vous évoquiez Nasser Larguet tout à l'heure. On sent que son arrivée au club, cet été, est une date clé pour le Racing et son centre de formation.
C'est une arrivée importante, en effet. Nasser possède un CV impressionnant, il a des références de haut-niveau. Il a, notamment, travaillé au centre de formation de Cannes avec Guy Lacombe. C'est quelqu'un de très reconnu, qui fait partie des tout meilleurs formateurs en France. Il s'est intégré pleinement dans le vie du club et surtout du centre. C'est un maillon supplémentaire d'une chaîne qui fonctionne déjà bien. Il fait l'unanimité. Nous avons aussi beaucoup de retours positifs auprès des clubs alsaciens car il effectue un travail de fourmi et de proximité. Nous avons beaucoup investi, ces dernières années, dans la qualité de nos éducateurs. Nasser entre dans cette politique-là .
Vous confirmez donc que le futur du Racing doit passer, presque obligatoirement, par son centre de formation ?
La politique que nous avons mise en place est de nous appuyer fortement sur le centre. Nous recrutons jeunes, même chez les pros, avec des garçons comme Alex Farnerud ou Karim Haggui. Et puis, il y a des compléments avec quelques cadres, tels Pagis, Bassila, Camadini, Devaux… En fait, il s'agit de trouver un juste équilibre entre les jeunes et les joueurs d'expérience. Mais avant de recruter, nous regardons en interne ce que nous avons.
Quel doit être l'avenir du centre ?
Jean-Marc Kuentz et Nasser Larguet mettent en place une politique sportive dans la lignée de ce que nous avons fait ces dernières années. Nous travaillons beaucoup, mais nous avons besoin de reconnaissance. Nous savons que la meilleure pub est de promouvoir nos jeunes en équipe première. Mais notre centre de formation est devenu une référence. Nous devons beaucoup plus communiquer sur notre politique, notre organisation et notre politique régionale qui ne sont pas assez connues, à mon sens. Jean-Marc et Nasser passent du temps auprès des clubs pour des échanges et faire connaître leur travail.
« 8 à 10 000 abonnés dans deux ans »
L'avenir d'un centre passe-t-il avant tout par la stabilité ?
Les gens actuellement en place l'étaient avant. Lors de mon arrivée, j'ai essayé de les responsabiliser un peu plus. Depuis 3-4 ans, c'est « le » chantier du club que nous devons réussir.
Que ressentez-vous quand vous voyez les jeunes du centre jouer, et plutôt bien, en équipe première ?
Quand je vois les Bellaid, Arrache, Carlier etc., que nous avons pris il y a 3-4 ans, grimper les échelons, ça me fait chaud au cÅ“ur. Nous les avons accompagnés et aujourd'hui ils deviennent l'ossature de l'équipe pro. C'est bien, mais nous voulons aussi des résultats. Je pense que le public s'identifiera plus à une génération qui sortira. Un peu comme à l'époque avec les Ismaël, Djetou et Dacourt. Cela donne une force au club et cette force viendra de la base. A nous, après, d'y ajouter de l'expérience.
En parlant du public, quel est le bilan de la campagne d'abonnement ?
Nous voulions 6 000 abonnés cette saison. Sachant qu'il y a deux ans, nous en comptions 3 000 et 4 200 l'an dernier. Nous avons passé la barre des 6 000 malgré un mauvais début de championnat qui nous a handicapé dès le mois d'août. Là aussi, nous avons réalisé un travail de proximité auprès des Comités d'Entreprise, de la LAFA et nous avons pratiqué une politique tarifaire plus simple et plus attrayante. C'est quelque chose sur lequel nous travaillons beaucoup. Nous devons être capables, dans 2-3 ans de franchir la barre des 8 à 10 000 abonnements avec un véritable travail de fond. Je prends l'exemple de la fête de Noël, le 18 décembre dernier. Tout est parti d'une idée simple. Chaque année, les joueurs vont dans les clubs pour les arbres de Noël. Mais cela ne satisfaisait pas tout le monde. Donc nous avons pris l'initiative d'inviter ces clubs et 10 000 jeunes de la LAFA. Nous voulions faire ressortir les valeurs du club, qui sont la convivialité, la fraternité et le partage. C'était ambitieux et je sais que nous aurions pu faire beaucoup plus. Cette opération, les gens du marketing y travaillaient depuis 2-3 mois. C'était un moment important du club et la fête a été réussie. Je peux même annoncer que l'opération sera renouvelée l'année prochaine. Comme la soupe d'Egon ou la journée du supporter, je veux que cette fête de Noël devienne l'un des moments référence pour notre public. Entre 120 et 150 clubs alsaciens ont répondu à notre invitation et encore, nous avons dû refuser du monde. C'est une vraie réponse, ça. En tout cas, c'était l'un des plus beaux moments du Racing, au cours des six derniers mois.
Comment faut-il interpréter ce succès auprès du public ?
Je crois que le Racing se rapproche des gens, actuellement. Et que les gens se reconnaissent dans les actions que nous menons. Que ce soit les journées de détection, les visites du centre les soirs de match. Nous ne communiquons pas mais le travail est fait.
Le Racing prépare-t-il déjà son centenaire, qui aura lieu en 2006 ?
Oui, nous nous réunissons déjà depuis six mois avec un comité d'organisation au sein duquel nous retrouvons quelques anciens du club, comme Jean Wendling ou Nicolas Wiltberger, des historiens, des gens de la Ville, de la Ligue. Le 27 janvier prochain, nous avons prévu une réunion afin de définir les 3 ou 4 grands moments de ce centenaire. 2006 sera une année importante pour le Racing et son public.
L'histoire est en marche ...
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Reste plus qu'à  espérer que notre centenaire soit plus joyeux que celui du Havre ou ils étaient descendus en D2 cette année là .
			
			
									
									30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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L'Alsace a écrit : « C'est une obsession »
En poste depuis quatre ans au Racing, le directeur général Marc Keller pourrait remporter son premier titre majeur ce samedi contre Caen au Stade de France – Paris 2012. La récompense, à ses yeux, du travail en profondeur accompli par le club.
Le 26 mai 2001, lorsque le Racing a remporté la finale de la Coupe de France contre Amiens aux tirs au but, Marc Keller venait de revenir en Alsace et s'était contenté d'un rôle de supporter. Il était déjà au boulot, mais n'avait pas encore officiellement pris ses fonctions de manager sportif. Quatre ans plus tard, le directeur général qu'il est devenu sera cette fois au coeur de l'événement.
“ Marc, que changerait fondamentalement une victoire en finale ? ”
Elle transformerait une saison mal démarrée en une saison historique, pour peu bien sûr que nous nous maintenions en championnat. C'est un grand moment pour le public alsacien qui attend un exploit. En venant à Strasbourg, je savais très bien que le club a très peu de chances de s'adjuger des titres régulièrement. Il ne disputera d'ailleurs que sa 8e finale (en 73 ans de professionnalisme).
“ Cette coupe de la Ligue est-elle devenue une obsession ? ”
Depuis que nous nous sommes qualifiés contre Saint-Etienne le 1e r février (1-0), je n'ai eu que le maintien en tête. Et j'aurais préféré aborder cette finale en l'ayant en poche. Mais depuis lundi, la Coupe est mon obsession. La jouer embellit le bilan d'un club, apporte une euphorie absente du quotidien. Depuis quatre ans, mon travail s'inscrit sur la durée. Avec des objectifs précis : drainer plus d'abonnés (nous en avons 6000 aujourd'hui, nous en viserons 8000 la saison prochaine), faire du RCS un club reconnu pour sa formation, oeuvrer avec intelligence dans le recrutement, assainir les finances et fédérer l'Alsace autour de son club. Tous ces objectifs sont en passe d'être atteints. Même si nous avons raté l'occasion contre Lille, nous possédons l'équipe pour nous maintenir. La 12e ou la 13e place est envisageable. A terme, nous voulons installer durablement le club entre le 7e rang, les bonnes années, et le 12e, les mauvaises.
« En vitrine pour une bonne raison »
“ Le président Egon Gindorf se dit convaincu qu'il y a à Strasbourg l'étoffe dont on tisse les grands clubs… ”
Peut-être, mais à un moment donné, quand on veut lutter sur la durée avec les 5 ou 6 meilleurs, le budget fait la différence. Nous sommes capables de faire un coup sur une saison, comme Lille cette année. Je crois même que c'est possible avec l'équipe actuelle un peu bonifiée. Notre parcours depuis l'arrivée de Jacky Duguépéroux le prouve. Mais il faut savoir qu'un club allemand de haut de tableau que je ne citerai pas (Ndlr : Stuttgart) dispose d'une masse salariale joueurs cinq fois supérieure à la nôtre. C'est pour ça que la finale de samedi est si importante. Dans le Strasbourg d'aujourd'hui, une telle opportunité ne se présente pas chaque année. La preuve : le Racing n'a que six lignes à son palmarès dans les trois compétitions majeures du football français. Quelque part, ça nous met plus de pression.
“ Comme un statut de favoris que vous accordent beaucoup d'observateurs ? ”
Nous le sommes peut-être un peu plus que Caen. Mais le 5-0 de la Meinau le 5 février ne veut rien dire. Là , il y aura un gagnant et un perdant. Les compteurs sont remis à zéro. La Coupe de la Ligue récompenserait le travail du club. Elle le mettrait en vitrine, ce qui n'a pas toujours été le cas ces dernières années, en tout cas pas pour les bonnes raisons. Elle nous sortirait du lot et nous rendrait plus attractifs sur le marché des transferts à travers une qualification européenne, même si la Coupe UEFA n'a plus le statut d'il y a quelques années.
« Grâce à Egon, le club est de nouveau aimé »
“ Le Racing pourrait ainsi offrir un beau cadeau d'adieux au président Gindorf… ”
Ah Egon ! Quand, lors du décès de Mark Mc Cormack, Patrick Proisy est venu nous trouver, Patrick Adler (alors vice-président) et moi, pour nous dire qu'IMG souhaitait vendre le club, la première personne que nous sommes allés trouver, c'était Egon que je connaissais depuis le début des années 1990 et avec qui j'étais toujours resté en contacts. Il a tout de suite dit banco. Patrick et moi avions les idées et l'enthousiasme de la jeunesse. Lui a apporté une crédibilité financière. Même s'il habite près de Nice, il est toujours venu régulièrement. Il a été un soutien permanent, amenant son recul, sa sagesse et son expérience. Nous avons trouvé une osmose totale. Nous l'avons entraîné dans une aventure risquée et j'espérais vraiment que nous serions récompensés. Nous pouvons l'être samedi. Mais d'une certaine façon, les titres ne sont pas importants. Grâce à lui, Strasbourg est redevenu un club aimé. Malgré un mandat court de deux ans, il restera pour moi parmi les présidents majeurs du club pour toutes les valeurs que les gens appréciaient : la simplicité, le désintérêt, la proximité, l'amour du Racing et la philanthropie. Quand je vois combien il est respecté pour ça… Rien que pour lui, je souhaite qu'on gagne.
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Mais tu dors jamais, c'est pas possible  
 
C'est quoi ta drogue ? Car c'est de la bonne
			
			
									
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C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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