[Ex] Guillaume Lacour

[Pinon]

Ou notre Cool à  nous, ca le fait un peu plus

[fan_racing]

Bien sûr qu'il est cool, delà  à  le mettre dans les buts

[ZITELLI]

Lacour: "Etre à  200% dès l'aller "

Après quatre semains d'absence en raison d'une entorse du genou gauche, Guillaume Lacour a fait son retour à  la compétition, samedi face à  Ajaccio, en entrant en jeu en seconde période. Le capitaine du Racing va retrouver son brassard et peut-être même une place de titulaire dès mercredi, lors du match aller des seizièmes de finale de la coupe UEFA, à  Lovech.
Une compétition qui peut permettre au groupe de se relancer après les désillusions de la semaine passée.

Comment va votre genou ?
Il reste encore une petite gêne. Mais, les docteurs m'ont dit que cette gêne durera encore six semaines. Il faut passé au-dessus.

Comment avez-vous géré vos quatre semaines d'absence ?
C'est dur de regarder les coéquipiers à  la télé. D'autant que les matches à  l'extérieur ont été de bons matches. Que ce soit à  Bordeaux ou à  Lens, l'équipe avait bien joué. C'est encore plus rageant de voir ça devant son poste. On a envie d'aider les copains mais on est impuissant.

Comment s'est déroulé votre retour à  la compétition, samedi ?
Bien, même s'il y a ce nul qui ne nous arrange pas. Une fois de plus, nous avons manqué de concentration et d'efficacité devant et derrière. C'est le même problème depuis le début de la saison. Tant que nous ne réglerons pas ça, nous n'y arriverons pas. Il faut relever la tête car deux échéances nous attendent cette semaine, à  commencer par cette coupe de l'UEFA.

« Continuer à  se battre »

Dans les déclarations d'après-match, il était dit que le club était à  90% en L2. Pensez-vous que l'affaire est réglée ?
Non, il faut garder de l'espoir en tête. Tant que ce n'est pas fait mathématiquement, il faudra continuer à  se battre car ça peut aller très vite. Jusqu'ici, nous n'avons connu que des galères. La dernière partie de saison peut, peut-être, nous sourire, non ? En tout cas, il faut garder l'envie. Tant qu'il y a des points à  prendre, il faudra tout donner et se survolter.

Le groupe pense-t-il à  la L2 ?
Non, pas encore.

Dans ces conditions, comment abordez-vous l'UEFA ? Est-ce une consolation de disputer cette compétition ?
C'est un bonus, mais ce ne sera pas une consolation si nous descendons. Ca restera comme une expérience intéressante à  plusieurs niveaux. Jusque là , nous avons vécu de bons moments dans cette coupe même si nous galérons en championnat. Et ça, nous ne pouvons pas l'oublier.

Pensez-vous que la qualification pour les huitièmes de finale est accessible ?
Nous ne connaissons pas trop Lovech, à  vrai dire. Nous nous attendons à  des conditions de jeu difficiles, avec un stade rempli et chaud bouillant. Si cette équipe est parvenue jusqu'à  ce stade de la compétition, c'est qu'elle en a le niveau. Elle a affronté de grosses équipes et il faudra se méfier. Si nous sommes à  notre niveau, nous pourrons passer. Mais il faudra être à  200% dès le match aller.

Rêvez-vous d'aller plus loin dans cette coupe d'Europe ?
Nous nous concentrons déjà  sur ce match aller. Mais c'est vrai que nous avons une opportunité d'aller en huitième et qu'il serait dommage de la laisser filer. Mais nous y verrons plus clair mercredi soir. L'idée est de ne pas prendre de but là -bas.

[Pinon]

Lacour : « àŠtre à  200% »

Bien dans ses crampons depuis son retour de blessure, Guillaume Lacour a vite retrouvé ses galons de titulaire et son brassard de capitaine. A la veille d'un match de la plus haute importance pour le Racing, il sonne la charge.

Voilà  deux semaines, contre Ajaccio, il avait été placé sur le côté gauche pour sa grande rentrée (après 54 minutes de jeu en remplacement d'Abou). La semaine suivante, à  Lovech puis à  Toulouse, c'est à  droite que son entraîneur lui a demandé d'évoluer. Jeudi soir, il est carrément monté d'un cran pour se retrouver en vigie devant sa défense, rôle dévolu généralement au massif Edgar-Gnoléba Loué. Et demain face à  Troyes, sauf surprise, Guillaume Lacour devrait réintégrer le couloir droit.
A la veille de ce « match capital », comme il dit, le capitaine du Racing en appelle aujourd'hui au don de soi.

- Quelle sera la clé du match contre Troyes ?
- Il faudra qu'individuellement, jusqu'à  dimanche, chacun se prépare parfaitement pour ce match. Et une fois sur le terrain, nous devrons mettre de l'envie, de l'agressivité. Bref, être à  200%.

« Nous nous sentons solides en ce moment »

- Ça ne ressemble pas du tout à  ce que le Racing a montré jeudi soir contre Lovech...
- C'est vrai qu'on n'a pas fait un bon match jeudi, qu'on n'a pas tout donné. Peut-être nous sommes-nous retenus inconsciemment pour ne pas risquer la blessure. Mais il y avait certainement une meilleure manière de gérer un match pareil.

- Du coup, vous avez gardé des forces...
- Disons que nous n'avons pas laissé beaucoup d'énergie dans ce match-là . Il est certain qu'il faudra manifester un tout autre état d'esprit contre Troyes, qui va probablement venir pour prendre un point.

- Ne redoutez-vous pas que la pression vous conduise à  déjouer contre Troyes ?
- Tout d'abord, la pression ne sera pas seulement sur nous dimanche. Car après tout, nous n'avons plus grand-chose à  perdre, contrairement à  nos adversaires, qui pourraient nous voir revenir à  quatre points d'eux. Ce qu'il faudra éviter, c'est de s'enflammer. Nous nous sentons solides en ce moment, mais ne nous voyons pas trop beaux. Contentons-nous de jouer comme à  Toulouse.

« L'espoir, je l'ai toujours eu »

- Cette victoire à  Toulouse semble vous avoir redonné beaucoup d'espoir...
- Après notre nul contre Ajaccio, tout le monde a cru que nous étions morts. Mais moi, l'espoir, je l'ai toujours eu, comme tous les joueurs. Et à  10 journées de la fin, si nous nous retrouvons à  quatre points du premier non-relégable, tout sera possible. C'est vrai qu'on a grillé des jokers contre Paris et Ajaccio, mais il reste un challenge à  relever. Et si nous nous en sortons, ce sera un truc extraordinaire qui restera gravé dans nos carrières à  tous.

[Pinon]

Présent à  la conférence de presse au Sankt-Jakob Park, ce mercredi après-midi, Guillaume Lacour est allé dans le sens de son entraîneur : ce match ne ressemblera pas à  celui du mois d'octobre dernier, quand le Racing s'était imposé à  Bâle.
Le capitaine strasbourgeois prône la méfiance car il se doute que les Suisses seront animés d'une grosse envie de revanche. Il dit aussi que lui et ses coéquipiers ont une chance unique de découvrir un quart de finale de coupe d'Europe et qu'il ne faudra pas laisser passer cette chance.

Avant le match face à  Bâle, pensez-vous que le Racing possède un avantage psychologique par rapport à  la victoire en phase de poules ?
Non, je ne pense pas. Ce sont deux compétitions différentes. Un match de poule, on l'aborde différemment d'un match aller de huitième de finale. Les deux équipes partent sur un même pied d'égalité. Il n'y a aucun avantage par rapport à  ce match d'il y a cinq mois.

Pensez-vous que Bâle sera plus méfiant vis-à -vis du Racing ?
Oui, certainement. Je me rappelle que nous avions été bousculés mais que nous avions réussi à  marquer aux bons moments. Mais c'est vrai que cette victoire a dû changer quelque chose dans leur préparation du match.

Vous, comment l'avez-vous préparé ce rendez-vous ?
En se disant que nous avons une chance unique d'aller en quart de finale d'une coupe d'Europe. C'est une possibilité extraordinaire. Il faut d'ailleurs peut-être se dire que cela ne nous arrivera plus dans nos carrières et qu'il faut donc se surpasser pour connaître ça. Nous mettons le championnat de côté un petit moment pour être à  fond dans l'UEFA. Cela nous a plutôt bien réussi pour l'instant.

« Ne pas prendre de but »

Comment aborder un face-à -face en match aller-retour ?
On se dit que le plus important est de ne pas prendre de but à  l'aller. Cela permet de se placer dans une situation favorable pour le retour.

Le coach va-t-il faire tourner son effectif ?
Actuellement, le groupe enregistre le retour de quelques blessés. Le groupe s'est élargi. Peut-être que l'entraîneur fera quelques changements dans le onze de départ mais je crois que c'est le genre de décision qu'il faut savoir accepter même si tout le monde a envie de jouer de tels matches.

Trouvez-vous que les deux équipes, le Racing et Bâle, ont beaucoup changé depuis le premier match en octobre ?
Ce ne sera pas le même match. Nous avons changé de visage avec l'arrivée de quelques joueurs au Mercato. Bâle aussi a vu deux joueurs partir et deux autres arriver.

[Seb T.]

Pour le club, le maintien est primordial, pour les joueurs, passer ce tour ouvrirait certaines portes à  des joueurs en instance de départ...

Pour moi, j'ai peur que cette coupe UEFA monopolise les têtes au détriment de notre championnat car le match important est celui du Mans dimanche, pas celui de ce soir...

J'ai l'impression que l'on commence tout doucement à  faire notre deuil de cette L1, les joueurs se concentrant sur l'UEFA pour se faire remarquer en vue d'un transfert la saison prochaine...

Un peu le même scénario lors de la victoire en coupe sous l'ère Proisy...

[silex57]

Je ne suis pas tout à  fait d'accord avec toi, le fait qu'ils soient motivés en UEAF peut être une bonne chose pour maintenir une pression constante et une motivation intacte. Bien sûr on peut en soupconner certains de vouloir se vendre mais faire un gros match ce soir sera bon pour dimanche.

En ce qui concerne Lacour je n'ai aucun doute sur sa motivation à  rester en L1 !

[Seb T.]

Sauf que j'ai l'impression qu'on a tout de même un peu déjoué à  Rennes, les têtes étaient déjà  à  Bâle, et qu'un match comme ce soir va bouffer un max d'énergie pour un groupe où on ne peux pas vraiment faire tourner l'effectif...

Et le match de dimanche est loin d'être gagné...

[Its_me]

Il ne s'est pas entrainé cet aprem ... quelqu'un aurait des infos?

[Nico]

Peut-être aussi aller faire un tour à  l'infirmerie !

Si sa continu on va jouer les matchs la dedans