Même si c'est possible de ne plus être relégable ce soir, ça sera très loin d'être une mince affaire ... On ne peut pas parler de déception si on ne passe pas encore devant ... Je craindrais presque que si on réussit à passer devant, les joueurs croient le maintien acquis et se reposent à nouveau sur leurs lauriers ...Alsacien2 a écrit :Peut etre que dans 22 h nous ne serons plus reléguable...
Le racing va t il une nouvelle fois nous décevoir ?
[05/06] 32ème J: RCS / Lille : 2-2
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Je ne me souviens pas qu'ils se soient reposés sur leurs lauriers croyant que le maintient était acquis.Keating a écrit :Même si c'est possible de ne plus être relégable ce soir, ça sera très loin d'être une mince affaire ... On ne peut pas parler de déception si on ne passe pas encore devant ... Je craindrais presque que si on réussit à passer devant, les joueurs croient le maintien acquis et se reposent à nouveau sur leurs lauriers ...Alsacien2 a écrit :Peut etre que dans 22 h nous ne serons plus reléguable...
Le racing va t il une nouvelle fois nous décevoir ?
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DNA a écrit :Tenir la limite
Engagé dans un passionnant combat pour le maintien, le Racing se voit enfin offrir ce soir l'occasion de sortir de la zone de relégation dans laquelle il marine depuis six mois. Pour y parvenir, il doit mater Lille à la Meinau. Deuxième condition : que Troyes dérouille à Rennes.
Sept rounds. Il reste sept rounds à tenir pour le Racing. Toujours debout, mais encore mené aux points, aura-t-il suffisamment de ressources pour enlever la décision à la faveur d'une fin de combat que l'on attend épique ? « Si nous parvenons à maintenir notre qualité de jeu et à rester attentifs en défense, je suis convaincu que nous prendrons encore pas mal de points », prédit Jacky Duguépéroux.
Bien entendu, cette quête finale n'aura de sens que si elle débouche sur le maintien en Ligue 1. Ce qui revient à dire que Troyes (actuel 17e, premier non relégable) doit s'écrouler. Cest plutôt bien parti. Les Champenois viennent d'engranger péniblement 4 points en 10 journées, et s'apprêtent à rencontrer les deux meilleures équipes actuelles de Ligue 1 : Rennes ce soir en Bretagne, et Lyon samedi prochain dans l'Aube.
C'est donc le moment où jamais pour Strasbourg de marquer les esprits. « Mais attention, prévient Duguépéroux. Avec les Lillois, ça ne rigole pas. Ils pratiquent un jeu simple et vont venir chez nous pour gagner. Lille n'est pas Saint-Etienne. Il faudra faire davantage d'efforts que dimanche dernier pour espérer s'imposer. C'est le message que je vais m'efforcer de faire passer. »
Battre Lille ne sera donc pas une mince affaire pour un Racing qui n'a à ce jour battu aucune des équipes de la première moitié de tableau. D'où l'intérêt manifesté par « Dugué » pour un éventuel résultat nul : « Il faut penser à jouer bien sûr, y compris quand on mène 1-0. Penser au jeu, toujours, plutôt qu'à l'enjeu. Mais ce qui importe plus que tout, c'est de ne pas prendre de but. Quitte à devoir se satisfaire du point du match nul. »
A Nantes, à Bordeaux, et plus récemment à la Meinau face au Mans, les Strasbourgeois ont abandonné le point du nul dans les arrêts de jeu, faute d'avoir tenu la distance. Or avec trois points de plus, le Racing serait aujourd'hui 17e
Peu à l'aise à domicile, où il n'a glané que 13 de ses 26 points, le Racing va maintenant devoir se faire violence. Car il lui manque au moins quatre victoires pour s'en sortir, et il n'ira pas toutes les chercher à l'extérieur. Il serait donc souhaitable, pour ne pas dire vital, que les derniers visiteurs de la Meinau (Lille, Nantes, Nancy) repartent de Strasbourg « à poil ».
«Tout peut arriver, conclut Duguépéroux. La preuve : je n'avais jamais rien ramené de Saint-Etienne de toute ma carrière... » Tout peut encore arriver, oui, mais à condition de tenir la limite. Or plus le dernier round approche, plus le K.-O. menace. Et dire que la tension n'est pas encore à son comble...
DNA a écrit :Face à des Lillois en ce moment aérodynamiques, les Strasbourgeois vont devoir faire preuve d'une organisation sans faille. Le salut n'est qu'à ce prix.
LA SERIE LILLOISE. - Depuis que l'année 2006 a débuté, ou plutôt depuis une défaite à Troyes le 11 janvier donc à l'orée de cette nouvelle année, on n'arrête plus les joueurs du LOSC. Ou très exceptionnellement. Les hommes de Claude Puel n'ont ainsi perdu qu'une de leurs dix dernières rencontres.
C'était à Nice le 4 février (2-0). Depuis, ils ont repris leur marche en avant et sont invaincus depuis six rencontres (trois nuls et trois victoires). En pleine confiance donc.
L'ORGANISATION. - Lille n'est pas l'équipe la plus spectaculaire ni la plus joueuse de la planète, on le sait. En revanche, elle est parfaitement organisée et ça compense largement. De la première à la dernière minute, elle reste en place et ne renonce jamais puisque le mental est à la hauteur de cette exigence-là .
Pour contrer ce bloc redoutable qui jamais ne se désunit, il s'agit d'occuper les espaces. En permanence. En ne lâchant pas un pouce de terrain. Le retour attendu de Pontus Farnerud au milieu devrait permettre une meilleure conservation du ballon.
L'ABSENCE DE MOUSSILOU. - C'est un manque cruel pour Puel qui est privé de son meilleur buteur de la saison dernière Matt Moussilou (12 buts) qui souffre des adducteurs. Mais comme à Lille une place libre ne le reste jamais longtemps, Odemwingie a pris le relais. Avec déjà huit buts inscrits depuis le début du championnat.
LA MOTIVATION. - Elle doit être extrême. La victoire convaincante ramenée de Saint-Etienne a redonnée une chance inespérée aux Strasbourgeois. Ils ne pouvaient rêver mieux à sept journées de la fin du championnat. Baisser les bras à un moment ou à un autre de la rencontre, comme c'est arrivé déjà quelques fois, serait une faute professionnelle.
Et puis, ce soir le Racing accueille quand même, l'air de rien, l'une des meilleures équipes françaises de ces dernières saisons. Actuellement 3e du championnat, et donc toujours en course pour la Ligue des Champions, après avoir fini 2e l'an dernier, 3e en 2001 et 5e en 2002. Une référence.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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