 De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...
 De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...[CDM 2006] France / Italie - 1/1 (tab 3-5)
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Je sais pas s'il y avait tellement de tireurs de pénos sur le terrain, Henry, Zidane et Ribéry n'étant plus là . On ne peut pas non-plus reprocher grand chose à  Trezeguet, ce n'est pas le fait d'avoir été face à  son coéquipier qui a changé énormément le donne je pense  De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...
 De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...
			
			
									
									
						 De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...
 De toute façon les deux équipes méritaient de s'imposer, dans ce cas seul un coup de chance peut en sortir une du pétrin ; aujourd'hui il est intervenu lors des tirs-au-but ...- Gotcha
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et pourquoi pas ?argueti a écrit :Pourquoi faire tirer Trezeguet contre son gardien de club ?
Soyons humble dans la victoire (mais ça c'est baleze
 ), mais soyons digne dans la défaite ....
), mais soyons digne dans la défaite ....Bravo aux italiens qui ont fait un match très solide, et qui ont parfaitement tiré leurs 5 péno...
En 1998 La france bat l'italie alors qu'un italien frappe son tir au but sur la barre .... En 2000 trezeguet élimine l'italie et en 2006 trézéguet frappe la barre sur tir au but contre l'italie. Décidement, le destin est joueur ...
c'était une belle finale, je suis très déçu pour Zidane qu'il sorte de cette manière .... première utilisation de l'arbitrage vidéo dont on en fait les frais mais le geste est inexcusable ... En fait, c'est à l'image du bonhomme. Capable de nous enchanter totalement, mais aussi de complètement partir en vrille.
La france a réussi son mondial ... Raymond a presque réussi son pari, envers et contre tous, bravo à lui, car on perd la coupe du monde sans avoir perdu un seul match.
Bravo également à Vieira et Makelele pour qui c'était certainement leur dernier mondial ...
- argueti
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L'Alsace a écrit :L'Italie sur un coup de barre
L'Italie a conquis hier soir son quatrième titre mondial en s'imposant aux tirs au but (1-1, 5-3), après que Trezeguet, le héros de la finale de l'Euro 2000, ait expédié son penalty sur la barre transversale de Buffon. L'Italie est un beau champion au terme d'une finale marquée par l'expulsion de Zidane, auteur d'un coup de boule inqualifiable sur Materazzi.
La roue tourne. Il y a quatre jours, Raymond Domenech avait évoqué les nombreuses éoliennes qui parsèment la campagne allemande pour le dire. Hier soir, à Berlin, l'équipe de France a perdu la première finale de son histoire, après les victoires de 1984, 1998 et 2000. Et deux joueurs symbolisent cette terrible désillusion au terme d'un match qu'elle a dominé et maîtrisé à partir de la 45e minute de jeu. Mais voilà : Zinédine Zidane a été logiquement expulsé à dix minutes de la fin des prolongations, auteur d'un inqualifiable coup de tête sur Materazzi. Quelle triste fin pour ce génie du football, qui avait encore ouvert le score après sept minutes de jeu, s'offrant une « Panenka » sur le penalty. Il méritait une autre sortie que ce bras brandi par M. Elizondo, l'arbitre argentin, en direction des vestiaires. Ensuite, lors de la séance fatidique des tirs au but, un seul joueur a manqué sa tentative : David Trezeguet, le héros de 2000 qui avait offert le championnat d'Europe aux Bleus. Il aura traversé ce Mondial comme une âme en peine, perdant sa confiance et son adresse devant le but. La finale de la Coupe du monde s'est donc achevée sur la pénible épreuve des tirs au but, entre une équipe de France et une Italie qui se sont rendus coup pour coup. A cette loterie, l'Italie aura pour la première fois de son histoire eu le dernier mot, Pirlo, Materazzi, De Rossi, Del Piero et Grosso (déjà décisif face à l'Australie et l'Allemagne) ne laissant aucune chance à Fabien Barthez. Au sortir de ce Mondial, l'Italie est un beau champion du monde (la France l'aurait été aussi), après avoir montré du jeu pendant toute la compétition, Marcello Lippi ayant enfin donné du poids offensif à la Squadra Azzurra. 24 ans après, les Transalpins se rassoient donc sur le toit du monde et pourront mettre une quatrième étoile sur leur maillot.
La « Panenka » de Zidane
Entre deux équipes chantres de la défense lors de cette Coupe du monde, on peut s'attendre à un jeu fermé, une longue et pénible partie d'échecs. Après d'entrée quatre minutes d'arrêt de jeu pour soigner Thierry Henry, groggy après avoir percuté l'épaule de Cannavaro, l'attaquant français prolonge le premier ballon de la tête vers Malouda. Celui-ci fonce dans la surface et s'écroule entre Cannavaro et Materazzi, l'arbitre signifiant le point de penalty. Une décision généreuse, l'image télé montrant que Materazzi, au moment de toucher Malouda, retire sa jambe. Le penalty est transformé par Zinédine Zidane, de façon très osée, à la Panenka, le ballon heurtant la transversale avant de rentrer d'une vingtaine de centimètres dans le but et d'en ressortir (7e). Les Bleus sont à cet instant champions du monde, mais les Italiens ne semblent nullement abattus. Ils repartent immédiatement vers l'avant, combinent fort bien au milieu de terrain, et cherchent à trouver des espaces ou un point faible dans l'arrière-garde tricolore. Celui-ci va se trouver sur les corners. Sur le premier, tiré par Pirlo (mais la balle était passée par l'arrière du but…), Materazzi s'élève plus haut que Vieira et égalise (19e). Tout est donc à refaire et ce but donne confiance aux Transalpins, qui monopolisent le ballon (58 % de possession à la pause). Sur un second corner de Pirlo, Materazzi est encore à l'arrivée du ballon et trouve Thuram sur la trajectoire (28e). Sept minutes plus tard, Thuram contre in extremis Toni sur une accélération de quatre Italiens dans un petit périmètre. Sur le corner, Toni s'élève plus haut que Thuram et place une tête sur le dessus de la barre transversale (35e). Les Français peuvent s'estimer très heureux à la pause, dominés par une séduisante équipe italienne. Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre change complètement. Cette fois, ce sont les Bleus qui ont l'emprise sur le match. Les situations chaudes se succèdent sur le but de Buffon. Henry passe ainsi en force côté gauche, avant de tirer à ras de terre (46e), puis il dribble toute la défense azzurra avant de buter sur Zambrotta (50e). Puis Abidal s'échappe à gauche, mais Henry tergiverse trop sur son centre en retrait (52e). Puis sur un contre lancé par Ribéry, Zidane sert Malouda qui est accroché dans la surface par Zambrotta, mais l'arbitre n'ose cette fois siffler un penalty (53e). Deux minutes plus tard, Malouda s'échappe de la ligne de fond, mais son centre est trop en retrait pour Ribéry (55e). Puis Henry teste encore les gants de Buffon, impeccable sur sa lourde frappe (63e). Les Bleus restent dominateurs, même s'ils perdent Vieira sur blessure (élongation de la cuisse gauche) et même s'ils doivent se méfier des coups francs transalpins : Toni bat ainsi Barthez mais il est hors jeu (62e), alors que Pirlo tire au ras du montant (77e).
Zidane expulsé
Il faut finalement avoir recours aux prolongations. Cela devient de plus en plus dur physiquement, plus encore pour les Italiens, qui ont déjà joué davantage en demi-finale face à l'Allemagne. Les deux occasions sont françaises : Ribéry s'appuie sur Malouda mais rate le cadre de quelques centimètres (100e), avant de céder sa place à Trezeguet. Puis, sur un centre de Sagnol, Zidane place une tête à bout portant, sortie sur un exploit par Buffon (104e). On sent que les Tricolores peuvent forcer la décision, mais Zinédine Zidane commet alors l'irréparable, l'incompréhensible : provoqué verbalement par Materazzi, il répond par un violent coup de tête dans le thorax. Il est logiquement expulsé et termine ainsi sa fabuleuse carrière, sur un dernier coup de sang. Quel gâchis… La France ne s'en remettra pas.
« Cela fait très mal »
Au sortir de la Coupe du monde de football, Raymond Domenech n'a toujours pas perdu le moindre match. Mais le spécialiste des matches nuls a vu le dernier s'échapper à lui, le nul face à l'Italie hier soir ayant offert le titre mondial aux Transalpins après la loterie des tirs au but.
Bien sûr, à la sortie des vestiaires, les visages étaient fermés, tristes d'être passés si près d'un second titre mondial, huit ans après la folle soirée du Stade de France. Deux ans après avoir pris ses fonctions à la tête de l'équipe de France, Raymond Domenech n'a toujours pas perdu le moindre match de compétition officielle. Mais il a dû regarder les Italiens brandir la Coupe du monde hier à Berlin, la faute à un malheureux tir au but de David Trezeguet venu s'écraser sur la barre transversale. David Trezeguet était évidemment très marqué en sortant des vestiaires, ayant du mal à retenir les larmes. « Mais c'est la vie, il faut savoir l'accepter. Je pense que nous aurions dû gagner cette rencontre, terminer avant l'épreuve des tirs au but en marquant un second but. Il aurait fallu aller plus souvent au bout de nos actions. La France était la meilleure équipe sur le terrain hier soir. C'est vraiment dommage de quitter l'Allemagne sur cette note, après un match qui n'avait peut-être pas le niveau d'une finale de Coupe du monde, même s'il y a eu de la qualité par moments. Quant à mon tir au but, j'essaye de très bien le placer, j'ai le malheur que le ballon touche la transversale. Cela fait partie d'une carrière de joueur. J'ai vécu une Coupe du monde difficile, je n'ai peut-être pas su m'adapter au nouveau système proposé. Nous avons quand même éliminé des gros ». Thierry Henry veut également terminer sur une note positive. « Ce soir (hier), c'est évidemment une énorme déception. Mais je crois qu'il ne faut surtout pas oublier tout ce que nous avons fait depuis un mois. Il faudra continuer à bâtir à partir de ça. Hier, nous n'avons pas eu la première mi-temps, mais la seconde et les prolongations pour nous. Cela s'est joué à très peu de choses, je pense notamment à ce tir de Ribéry qui passe à quelques centimètres ou cette tête de Zidane qui est remarquablement arrêtée par Buffon. Après, c'est la loterie, il n'y a rien de plus à ajouter ».
« Zidane est un homme »
« Cela fait mal, note Patrick Vieira, très mal. Je pense que nous avions les moyens de gagner cette finale, nous avons pris le dessus plus le match avançait. L'expulsion de Zizou n'est pas un tournant, car cela n'a pas eu de conséquence. Mais nous prenons surtout le but de l'égalisation trop rapidement après l'ouverture du score ». Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération française, pense avant tout à son capitaine Zinédine Zidane. « Je pense qu'il doit être triste et malheureux dans le vestiaire. Je ne le critique pas, je ne le blâme pas. C'est un homme. Il ne faut pas tirer sur le pianiste et sur l'artiste, ni sur l'entraîneur d'ailleurs. Concernant l'avenir de Raymond Domenech, les instances fédérales vont se réunir prochainement (Ndlr : un conseil fédéral est prévu mardi). Je ne sais pas comment cela va se passer. J'ai toujours soutenu le coach. » Sur la partie en lui-même, le président note que « la France n'a pas été ridicule. Nous avons peut-être souffert en première période, mais nous avons dominé la partie par la suite. Je ne pense d'ailleurs pas que l'expulsion de Zizou ait eu une quelconque incidence sur le résultat final. C'est la loi du sport, c'est déjà arrivé à tout le monde de perdre de cette manière ».
Déclarations
Aimé Jacquet (sélectionneur de l'équipe de France, championne du monde en 1998) : « Une séance de tirs au but c'est toujours aléatoire. Les joueurs sont fatigués, manquent de sérénité, de lucidité… Et je dois dire que ma déception est double. Parce que je pense que la France a fait un match plein. Je pensais tout au long de cette deuxième mi-temps et les prolongations que nous allions marquer parce que la France était beaucoup plus présente physiquement, techniquement. Je m'attendais à tout moment à un but. L'éviction de Zizou a été terrible ! Il y a eu une provocation et peut-être des mots qui ont été jetés comme cela. C'est terrible de le voir partir comme cela car je pensais très sincèrement qu'il a soulevé cette Coupe du monde. » Willy Sagnol (défenseur de l'équipe de France): sur l'incident Zidane-Materazzi «Je n'ai rien vu, je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais ça n'a rien changé au match. J'espère que ce qu'on a fait jusqu'à la finale va nous servir de base pour les qualifications à l'Euro-2008. Si on garde le même état d'esprit, on devrait y arriver. Arriver en finale et perdre aux tirs au but, c'est difficile de retenir quelque chose au niveau sportif, mais on retiendra notre merveilleuse aventure humaine et cela, ça n'a pas de prix. Je dis merci à Zidane, Thuram et Makelele pour ce qu'ils ont fait mais maintenant on va essayer de se débrouiller sans eux.» William Gallas (défenseur de l'équipe de France): «Après l'expulsion de Zidane, on savait qu'on pouvait les mettre encore en danger. Même si Zizou est sorti, on voulait absolument gagner, et ne pas repartir sur une défaite. C'est le football. Malheureusement on ne le maîtrise pas ! C'est dommage, peut-être qu'on fera mieux la prochaine fois. Tout le monde a vu que dans le jeu on a été meilleurs qu'eux. On n'a été mis en danger que sur les coups francs et les corners. Je pense qu'on a vu une grande équipe de France». Fabio Cannavaro (capitaine de l'équipe d'Italie) : « C'est une émotion fantastique, surtout de gagner comme cela aux tirs au but. Je suis tellement content car nous tenions tous à bien faire dans cette Coupe du monde. » Gianluca Zambrotta (défenseur de l'Italie): «C'est une énorme satisfaction, presque indescriptible. Au moment de lever la Coupe j'avais encore du mal à y croire, j'avais l'impression de vivre un rêve. Nous avons dominé la première période, c'était beaucoup plus dur en seconde période et surtout en prolongation. (A propos de Zidane) Je n'ai pas été étonné de sa réaction, il avait déjà fait cela lorsqu'il jouait à la Juventus. (A propos de son avenir) Je vais voir ce qu'il va se passer en Italie, je n'ai rien décidé, j'étais concentré sur le Mondial. Quand la sentence sera tombée, je prendrai ma décision».
Rêve brisé
Le rêve était beau. Il est fini et le réveil n'en sera que plus dur ce matin. Il aura duré une grosse quinzaine, depuis une qualification arrachée au forceps contre le Togo le 23 juin à Cologne (2-0). Jusque-là , les Bleus avaient suscité plus d'inquiétudes que de certitudes. A la 55e minute, juste avant le premier but libérateur de Patrick Vieira face aux Eperviers, personne n'en menait large. Ni en France, ni dans les tribunes, ni, sans doute, au bord du terrain. Et probablement pas non plus sur la pelouse, malgré les démentis a posteriori des uns et des autres. Au sortir d'un premier tour plus inquiétant qu'emballant, l'équipe de France s'est pourtant révélée sinon à elle-même, du moins à des supporters échaudés par deux ans de tâtonnements. Contre l'Espagne en 8e (3-1) et le Brésil en quart (1-0), plus que face au Portugal en demie (1-0), elle a donné du cachet à son Mondial et, simultanément, guéri les maux de tête d'un peuple que menaçait la gueule de bois en cas de réplique du séisme de 2002 en Corée du Sud. En 270 minutes, le pays s'était repris à rêver. Oui, mais voilà . Des Italiens désireux d'accrocher une quatrième étoile sur leur tenue bleu roi et revanchards après les quarts du Mondial 1998 et la finale de l'Euro 2000 perdus face à la France ont privé, hier à Berlin, Zinédine Zidane, expulsé pour le dernier match de sa carrière, et les siens du sacre planétaire. Les Bleus avaient tant parlé du 9 juillet, même quand leur qualité de jeu ne le justifiait pas, qu'ils avaient fini par convaincre tout le monde que leur ponctualité dans la capitale allemande pouvait n'être que le signe d'un dénouement heureux. Mais la génération Zidane ne partira pas sur un deuxième titre mondial. Les Azzurri ont brisé son rêve. Un rêve qui n'en reste pas moins beau.
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Moi c'est ça qui me dérange et me dégoûte.Gotcha a écrit :.... première utilisation de l'arbitrage vidéo dont on en fait les frais mais le geste est inexcusable ...
Non pas qu'il faille excuser le geste de Zidane, loin de moi cette idée.
Mais plutôt parce que j'en ai plus que marre de ces autorités du football qui n'ont aucune cohérence entre les discours et les actes. Et en premier lieu les arbitres.
On refuse l'usage de la vidéo, mais Zizou se fait sortir après un bref coup d'oeil du 4e arbitre sur un écran. Pas de problème, mais à ce titre là un Ronaldo lors de France-Portugal devait se prendre une dizaine de cartons jaunes pour simulation avérée (ben quoi: j'ai appris depuis cette CdM qu'on pouvait sortir bcp de cartons jaunes à l'encontre d'un même joueur...
 ).
 ).Cela ne change rien à la victoire de l'Italie que je ne remets pas en cause, ni au geste de Zizou que je n'excuse pas (j'espère même qu'il se fera sanctionner). Mais lorsque de telles incohérences éclatent à la gueule de milliards de téléspectateurs, j'ai comme l'impression que les autorités du football se moquent ouvertement du monde, et préfère se cacher la tête dans le sac et empocher les dividendes d'une CdM réussies en terme d'organisation plutôt que de favoriser l'esprit du football...
Pour ma part, je sort de cette CdM avec un profond dégoût pour le football que j'ai vu. Chapeau bas aux Allemands pour leur organisation, et honte à la FIFA de nous offrir un tel spectacle.
Et merci à l'EdF de ne pas avoir cultivé cet esprit!
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Manu a écrit :Foot - CM - FRA : Pas de défilé lundi ?
Facile de changer d'avis aprésL'équipe de France pourrait ne pas défiler sur les Champs-Elysées, lundi, à la suite de sa défaite en finale de la Coupe du monde, si l'on en croit Raymond Domenech au micro de Canal +. Le sélectionneur ne veut pas imiter les joueurs de Saint-Etienne, qui avaient été fêtés après leur défaite en finale de Coupe des champions contre le Bayern Munich, en 1976.
Plus affectés par leur défaite contre l'Italie que satisfaits par leur excellent parcours lors de la Coupe du monde, les Bleus ont annulé la remontée des Champs-Elysées (Paris) qui était prévue lundi après-midi dans leur programme pour saluer leurs supporters. Le sélectionneur de l'équipe de France Raymond Domenech avait déjà souhaité dimanche soir que cette parade soit écartée : «Si c'est moi qui décide, on n'y va pas.»
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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- Hans
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Moi j'ai trouvé le niveau de cette coupe du monde relativement faible et j'ai vu des joueurs très rapidement épuisés (faudrait quand même sérieusement penser à  alléger le calendrier de la saison).
Compte tenu de la jeunesse et de la qualité de son équipe, je pense qu'il faudra vraiment compter avec l'Allemagne pour les prochains championnats d'Europe et la prochaine Coupe du Monde (même remarque pour l'Espagne, bien qu'un peu trop légere physiquement). En revanche, la France, l'Italie, le Portugal entre autres vont devoir pas mal revoir leurs sélections.
			
			
									
									
						Compte tenu de la jeunesse et de la qualité de son équipe, je pense qu'il faudra vraiment compter avec l'Allemagne pour les prochains championnats d'Europe et la prochaine Coupe du Monde (même remarque pour l'Espagne, bien qu'un peu trop légere physiquement). En revanche, la France, l'Italie, le Portugal entre autres vont devoir pas mal revoir leurs sélections.
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Je pense surtout que l'on a raté le coche pour accrocher une seconde coupe du monde ... à  mon avis on est pas près de retrouver une équipe de France en finale d'une coupe du monde ...
Comme le dit Hans, l'Allemagne et l'Espagne seront les grosses équipe de demain, sans compter sur le Brésil qui aura à coeur de se racheter et l'Argentine qui à une équipe relativement jeune mais talentueuse (Messi et Tevez étaient quand même sur le banc, ça prouve bien qu'ils ont une nation riche en talents)
En tout cas, Merci aux BLEUS et surtout aux anciens qui ont eu le cran et le courage de revenir Car sans un Thuram magistral est un Zidane magicien, je suis pas sûr que l'on aurait fait un tel parcours ...
 Car sans un Thuram magistral est un Zidane magicien, je suis pas sûr que l'on aurait fait un tel parcours ...
			
			
									
									Comme le dit Hans, l'Allemagne et l'Espagne seront les grosses équipe de demain, sans compter sur le Brésil qui aura à coeur de se racheter et l'Argentine qui à une équipe relativement jeune mais talentueuse (Messi et Tevez étaient quand même sur le banc, ça prouve bien qu'ils ont une nation riche en talents)
En tout cas, Merci aux BLEUS et surtout aux anciens qui ont eu le cran et le courage de revenir
 Car sans un Thuram magistral est un Zidane magicien, je suis pas sûr que l'on aurait fait un tel parcours ...
 Car sans un Thuram magistral est un Zidane magicien, je suis pas sûr que l'on aurait fait un tel parcours ...C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
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