[06/07] 13ème J: Gueugnon / Strasbourg : 0-1
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- argueti
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Je vois bien ca : Lacour arrière gauche et Johansen-Cohade au milieuStan a écrit :Kantari arrière gauche et Johansen sur le banc ou Lacour arrière gauche et Johansen-Cohade au milieu ?
A mon avis JPP choisira la 1ère formule, et je pense que c'est d'ailleurs la meilleure chose à faire.
Ca commence à me saouler qu'on se prive d'Abou, alors soit il fait aucun effort, soit JPP a vraiment une dent contre lui.
 
 Faut peut etre se poser : est ce qu'Abou fait le necessaire à l'entrainement ? Est-il completement remis ?
- raphou96
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DNA a écrit :Une série à forger
Après deux succès consécutifs à la Meinau, le Racing veut poursuivre sur sa lancée, du côté de Gueugnon. Un déplacement à sa portée mais qui sent le traquenard à plein nez. Méfiance, méfiance...
A vrai dire, la rencontre dominicale contre Caen est en trompe-l'oeil. Elle ne reflète en tout cas pas le quotidien de cette Ligue 2.
Les projecteurs de la télé, les encouragements d'une Meinau bien garnie où l'on était venu en famille, les félicitations polies des vaincus, à l'image du généreux gardien normand Vincent Planté, ont tendance à embellir la réalité.
A Gueugnon, on a toujours plus à perdre qu'à gagner
Si un euphorisant parfum d'élite a pu parcourir les vestiaires strasbourgeois l'espace d'une soirée, les Bleus n'auront pas eu le loisir de s'y habituer. Ce soir, leur nez sera exposé à une odeur âcre et mordante. Un subtil fumet du terroir, de sueur, d'acier émanant des forges voisines et, peut-être, de peur. Celle de la défaite. Parce qu'à Gueugnon, on a toujours plus à perdre qu'à gagner. Même si le « mythique » stade Jean-Laville sonne le creux depuis que son équipe y pratique un pauvre football - 2 500 courageux sont attendus -, les Bourguignons ont l'esprit de contradiction. En vieux routards de ce championnat, ils connaissent les ficelles du métier. Sous la conduite du doyen Victor Zvunka, dont le nom est également inscrit au patrimoine national de la Ligue 2 - 15e saison sur un banc -, les Forgerons savent se montrer enquiquinants pour qui veut nourrir de hautes ambitions.
« Un nul à l'extérieur prend la forme d'une défaite »
« Je ne connais pas l'endroit mais je m'attends à une ambiance un peu hostile, note Yves Deroff, le défenseur du Racing. Dans ce championnat bizarre, où toutes les équipes de tête n'arrêtent pas de gagner, un match nul à l'extérieur prend la forme d'une défaite. Du coup, on y va pour prendre les trois points. Mais on sait que la soirée s'annonce compliquée. »
En tout début de saison, Metz a ainsi dû patienter jusqu'à trois minutes du terme pour trouver la faille et arracher la victoire, grâce à Babacar Gueye (1-0). L'AC Ajaccio, elle, y a en revanche laissé toutes ses plumes. De quoi éveiller les soupçons alsaciens. Encore un peu plus après le nul ramené par Gueugnon, la semaine dernière, de Grenoble (2-2)...
« On doit craindre cette équipe mais aussi croire en nous »
« Quand on joue contre des "gros", je ne suis pas inquiet, n'a de cesse de répéter Jean-Pierre Papin. Là , c'est plus délicat. Je m'attends à un match difficile, plus encore que contre Grenoble ou Caen. On doit craindre cette équipe, mais aussi croire en nous. » Il est vrai que la série d'invincibilité, qui court maintenant sur dix journées, la montée en puissance progressive et la belle impression générale laissée dimanche à la Meinau donnent quelques gages de sécurité. Le moment semble donc opportun pour venir récolter un deuxième succès à l'extérieur, après celui de Créteil (0-2) le mois dernier. « On a encore découvert un nouveau visage, celui d'un Racing efficace, conclut Papin. Avec une série de trois victoires consécutives, l'automne alsacien prendrait des allures d'été indien...
- raphou96
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Les réponses sur AbouDNA a écrit :Un Américain à Gueugnon
Les Strasbourgeois devront se méfier d'une équipe de Gueugnon qui vient d'arracher le match nul à Grenoble et qui pourra compter sur son explosif attaquant américain Jérémiah White.
WHITE LA MENACE. - Drôle de zèbre, que ce Jérémiah White. Après avoir débuté à Wake Forrest University - où en plus de jouer au foot, il suit des cours de littérature et de philosophie - le jeune américain part à ... l'OFK Belgrade, en Serbie, en 2002. Il fait la une des journaux après avoir été agressé par des Belgradois avinés, puis file en deuxième division grecque, où il se fait arnaquer par les dirigeants du club de Panserraikos.
Il atterrit finalement à Gueugnon l'an dernier. Après un début de saison tonitruant, marqué par un triplé à Montpellier, White est rentré dans le rang. Mais cet attaquant « explosif, mais encore brouillon », comme le dit Victor Zvunka, reste pour l'instant le meilleur artilleur du FCG, avec 4 buts au compteur. Un Américain qui se plaît en Bourgogne car la campagne autour de Gueugnon lui rappelle « la ferme de sa grand-mère, en Pennsylvanie ». Méfiance aussi face aux deux autres attaquants gueugnonnais, Dramane Coulibaly (3 buts) et Larsen Touré (1 but).
LA PASSE DE SIX. - La particularité des Forgerons cette année est d'avoir encaissé à deux reprises 6 buts. Le 25 août face à Guingamp (score final 6-1) et le 29 septembre dernier face au Havre (6-1 aussi, Rudy Carlier sauvant l'honneur côté FCG).
PAS DE NUL. - Le FC Gueugnon n'aime pas les matches nuls à domicile. En six rencontres au stade Jean-Laville, aucun match ne s'est terminé par un score vierge ou nul. Les Forgerons se sont imposés à trois reprises (Amiens, Tours et Ajaccio) et se sont inclinés à trois reprises (Dijon, Metz et Niort).
BONNE SERIE. - Après un mois de septembre difficile (trois défaites consécutives), le FCG s'est bien repris. Les Forgerons se sont en effet imposés à domicile face à Ajaccio (1-0), avant d'arracher un point à Grenoble (2-2).
BLESSES. - Côté strasbourgeois, JPP devra faire sans Vergerolle (blessé aux ischio-jambiers et absent pour un mois) ni Gasmi, qui soigne toujours sa cheville. A Gueugnon, David Le Frapper et Icham Mouissi sont blessés. A noter que le Strasbourgeois Rudy Carlier n'a pas été gardé dans le groupe.
LE SOUCI ABOU. - L'Egyptien Abou pousse Papin à bout. L'entraîneur strasbourgeois se désespère de constater que son latéral gauche ne comprenne toujours pas un mot de français un an après son arrivée en Alsace. « Footballistiquement, c'est un super joueur, explique-t-il, il est capable de faire des trucs incroyables, mais je ne peux pas prendre le risque de mettre l'équipe en péril à cause d'un problème de communication ».

- argueti
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L'Alsace a écrit :Le Racing veut jouer à onze
En déplacement ce soir (20 h) à Gueugnon, les Strasbourgeois tenteront de porter à onze matches leur série d'invincibilité en Ligue 2, voire de signer en Bourgogne leur deuxième succès à l'extérieur.
Le Racing peut-il échouer là où Metz, Châteauroux et Le Havre, les trois seules équipes qui le devancent au classement, ont réussi ? Messins, Castelroussins et Havrais ont en effet – au moins – un point commun : celui d'avoir battu Gueugnon. Les premiers au stade Jean-Laville (1-0), les autres à Gaston-Petit (2-1) et à Jules-Deschaseaux (6-1). Au sortir de deux rendez-vous capitaux à la Meinau parfaitement négociés contre Grenoble (1-0) et Caen (3-2), les Strasbourgeois se préparent donc à une balade dans le bucolique stade Laville. Balade qui risque fort de n'être pas de santé. Voilà cinq ans (depuis le 27 novembre 2001) que le RCS ne s'était plus offert une escapade dans ce coin retiré de Bourgogne. A l'époque, déjà pour le compte de la L 2, il en était rentré avec un point dans la besace (0-0), un peu plus d'un an après y avoir été éliminé en quarts de la Coupe de la Ligue (2-0) par des Gueugnonnais vainqueurs surprises de l'épreuve quelques semaines plus tard (2-0 face au PSG en finale). Jean-Pierre Papin avoue ne pas connaître la « mythique » enceinte bourguignonne. Yves Deroff non plus. « Je ne connais pas ce stade, mais sur ce qu'on nous en dit, il est apparemment assez hostile », glisse le latéral droit du RCS. « Ça risque peut-être d'être plus dur que contre Le Havre, Grenoble ou Caen. On craint toujours de reproduire le match en demi-teinte que nous avions réalisé à Tours fin août (0-0). Nous nous étions laissés endormir. C'est une leçon que – je l'espère – nous aurons retenue. Même un nul serait insuffisant. Car les nuls prennent des allures de défaites, tant les autres avancent vite. Nous devons nous imposer pour nous ancrer dans les trois premières places. Mais pour y parvenir, nous devrons nous démultiplier pour garder la concentration et la rigueur qui ont été les nôtres contre Grenoble et Caen. » « Gueugnon n'est pas Tours et il faut craindre cette équipe », lui fait écho JPP, « Mais nous devons aussi croire en nous, car depuis Tours, nous avons progressé. Nos deux victoires contre Grenoble et Caen ont renforcé notre confiance et notre sérénité. Les victoires de nos concurrents directs sur Gueugnon sont l'exemple à suivre. »
Gueugnon relève la tête
Fidèle à sa ligne de conduite, JPP n'a que peu modifié son groupe (voir ci-dessous). Le Bulgare Dimitar Rangelov, 17e contre Caen, et Ahmed Kantari réintègrent les 16 en lieu et place de Jean-Christophe Vergerolle, blessé, et Eugène Ekobo. « Ekobo a besoin de temps de jeu en prévision des trois matches qui nous attendent la semaine suivante et des absences (Ndlr : Bellaïd et Deroff seront suspendus contre Istres, Vergerolle est out pour un mois) », précise l'ancien international. Reste que les Gueugnonnais, plus mauvaise défense de L 2 (22 buts, dont 6 lors du voyage au Havre), sont eux aussi en forme ascendante et se verraient bien mettre un terme à la série d'invincibilité strasbourgeoise. « Après un début de saison en dents de scie, nous venons d'enchaîner deux très bons résultats : une victoire sur Ajaccio 1-0 et un nul 2-2 à Grenoble où nous menions 2-1 jusqu'à la 89e », rappelait mercredi Rudy Carlier, prêté cette saison par le RCS à Gueugnon et qui ignorait alors qu'il ne figurerait pas dans le groupe bourguignon. « Nous devons poursuivre sur cette lancée. N'oublions pas que l'objectif du club est d'abord le maintien, à atteindre le plus vite possible. » Inutile de dire que le Racing, chauffé à blanc par ses succès sur Grenoble et Caen, ne l'entend pas de cette oreille. Quel meilleur endroit que l'antre des Forgerons pouvait-il espérer pour battre le fer quand il est encore chaud ?
Johansen revient, Lacour recule
La blessure de Jean-Christophe Vergerolle, out un mois pour une déchirure à l'ischiojambier droit, a amené Jean-Pierre Papin à revoir sa copie pour le voyage à Gueugnon. C'est le polyvalent Guillaume Lacour qui y occupera le poste de latéral gauche laissé vacant. L'ex-capitaine du RCS avait d'ailleurs déjà pris le relais dimanche après le remplacement de son jeune coéquipier en fin de match contre Caen (3-2). Il a déjà dépanné un certain nombre de fois dans un registre qui n'est cependant pas celui qu'il préfère. Son recul d'un cran entraîne bien entendu la dissociation de l'immuable tandem de milieux récupérateurs Lacour - Cohade. Le grand bénéficiaire de ce remaniement forcé est Pascal Johansen, auteur d'une convaincante entrée face aux Normands. « Quand tu remplaces Lacour - Cohade par Johansen - Cohade, tu ne perds pas grand-chose, non ? », interroge faussement un JPP convaincu que le Colmarien est plus qu'une solution de rechange. Sinon, pourquoi lui aurait-il renouvelé sa confiance lorsque Sedan a approché « Pagalou » voici une grosse semaine ? Mais qui dit gagnant dit aussi perdant. Latéral gauche de formation, l'Egyptien Abou a été laissé à disposition de la réserve qui se rend à Calais samedi (18 h). « Abou est un excellent joueur, mais ses problèmes de communication ne me donnent pas toutes les garanties de sécurité », justifie JPP. « Dans une défense à quatre, il faut parler français. Depuis près d'un an qu'il est là , il n'a pas fait l'effort d'apprendre les 20 mots de base qui lui permettraient de communiquer avec ses coéquipiers. Je ne veux pas prendre le risque de prendre un but sur une mésentente liée à une incompréhension. » Le reste de l'équipe ne varie pas. Kevin Gameiro épaulera de nouveau Hervé Tum en pointe. « Je ne vais pas me priver de cette doublette. Kevin a beaucoup bossé contre Caen. Il ne lui manque qu'un but. Et le connaissant, ça va venir vite », assure son entraîneur.
Stéphane Godin
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Keating et alex, vous n'êtes pas les seuls, moi je n'aime pas du tout voir johansen aller au milieu et lacour arriere gauche ....
d'ailleurs je trouve que changer le milieu défensif et mettre lacour ArG met beaucoup plus en péril l'équipe que de conserver notre colonne vertébrale et de faire jouer Abou..
			
			
									
									
						d'ailleurs je trouve que changer le milieu défensif et mettre lacour ArG met beaucoup plus en péril l'équipe que de conserver notre colonne vertébrale et de faire jouer Abou..


 
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