il retombe dans ses travers : aucune combativité (il ne court pas pour récupérer les ballons, alors qu'il est plus frais que les autres !!! INADMISSIBLE !!), individualisme, dribbles forcés, nonchalance...
qd il joue comme ça, il n'est d'aucune utilité à l'équipe !!!
en début de saison, c'était l'inverse : il faisait le pressing, il jouait plus collectif, et surtout il était vif ce qui lui permettait d'être bien placé et de la mettre au fond malgré que ce ne soit pas un grand buteur dans l'âme...
effectivement, je crois qu'un petit passage par la CFA lui remettrait les idées en place... il se prend pour une star, alors qu'il est à côté de ses pompes en ce moment !!! dommage...
[Ex] Éric Mouloungui
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C'est pls le même Mouloungui, on dirait qu'il a un peu besoin de souffler en s'moment
Complètement à cours de jus le mec, j'ai l'impression qu'il court à chaque fois au ralenti enfin bref ...
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J'ai trouvé que physiquement c'était mieux puisqu'il a réussi à prendre quelque fois l'avantage masi alors niveau centre et intelligence de jeu 0!!
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
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DNA a écrit :Mouloungui, le plan axial
En l'absence d'Hervé Tum, jugé à court de forme, c'est Eric Mouloungui qui occupera le poste de deuxième attaquant, demain à Grenoble (20h30). Le Gabonais, en retrait ces dernières semaines, a là une belle occasion de retrouver le devant de la scène.
Il n'y a pas « d'affaire » Hervé Tum. Jean-Pierre Papin est formel. Le mouvement d'humeur de l'attaquant camerounais, vexé d'avoir été remplacé avant la pause l'autre vendredi contre Ajaccio (0-0), n'entre pas en ligne de compte. La petite blessure qu'il traînait en début de semaine n'est pas non plus consécutive à sa puissante reprise de volée dans la glacière, au moment de quitter le terrain.
Toujours est-il que l'ex-Messin ne sera pas du déplacement à Grenoble. Sans que l'on connaisse avec exactitude la raison de cette défection, puisque l'intéressé a - temporairement - fait voeu de silence. « Il ne s'est pas entraîné avec nous de la semaine, Hervé n'est pas prêt, c'est tout », tranche posément JPP dans un grand sourire.
« Sur une enjambée, il peut faire la différence »
Pendant que le co-meilleur buteur du Racing - six réalisations avec Cohade - enquille les tours de terrain en compagnie du préparateur physique, la tête d'Eric Mouloungui est apparue dans l'interstice. Tout au long de la semaine, le grand échalas de Port-Gentil a travaillé les fameux « automatismes » aux côtés du toujours souriant Joao Paulo, pas trop perturbé par ce changement de partenaire.
C'est donc la paire brésilo-gabonaise qui sera chargée de trouver le chemin des filets, demain soir, en terre iséroise. « C'est le choix qui s'imposait à mes yeux, dit Papin. Sur les derniers matches, Eric est souvent très dangereux dans ses appels. Sur une enjambée, il peut faire la différence. »
Confiné depuis le début de la saison sur le flanc gauche de l'attaque, Mouloungui a donc été préféré aux « spécialistes » du poste. A savoir Ali Mathlouthi, que Papin juge « pas prêt pour débuter », ou Papys M'Bodji, qui manque lui « d'impact. » Quant à Kevin Gameiro, auteur d'un doublé avec la réserve samedi dernier, il est encore laissé à la disposition de la CFA.
« C'est une double fierté, précise Mouloungui. A la fois de retrouver une place de titulaire et de pouvoir évoluer à mon poste de prédilection. Cette saison, j'ai terminé l'un ou l'autre match dans cette configuration, comme à Gueugnon, mais je n'ai pas eu la chance de débuter. »
En comblant cette lacune, le Gabonais a l'occasion de marquer les esprits, lui qui a plutôt usé les patiences ces dernières semaines. Flamboyant à l'automne dernier - cinq buts en six matches, entre les réceptions du Havre et d'Istres -, le gaucher qui va sur ses 23 ans est progressivement rentré dans le rang.
« Que je m'inspire des grands joueurs comme Henry ou Eto'o »
« J'ai été blessé aux adducteurs en janvier, j'ai perdu ma place et ça a été dur de revenir dans une équipe qui tourne bien, rappelle-t-il. Maintenant, je sais aussi que je pèche dans la finition. Jean-Pierre Papin me le répète assez souvent. Il faut que je m'inspire des grands joueurs comme Henry ou Eto'o, qui vont vite mais ne perdent pas leur lucidité devant le gardien. »
Demain, au stade Lesdiguières, personne ne demandera au Gabonais d'évoluer sur la même fréquence que les stars d'Arsenal ou du Barça. Que Mouloungui fasse déjà du bon Mouloungui, à savoir mettre sa vitesse au service du collectif, ainsi que quelques bons ballons dans les pieds de Joao Paulo. Ça sera déjà bien assez.