La saison se termine seulement que déjà les divergeances eclatent au nez et la barbe des supporters qui croyaient (encore une fois) que ce genre d'affaires étaient bel et bien passées de mode au RCS.
Et bien non, certaines choses ne changeront décidément jamais au racing, pas plus que le futur classement (entre la 12e et la 17e) dans le meilleur des cas.
Les relations entraineur-dirigeants restent perpétuellement conflictuelles, plombant d'avance les espoirs de saison dorée, puisque chacun s'evertue a tirer la couverture de son coté et que chacun part dans un sens contraire.
Moi ce qui me fait proprement halluciner, c'est de lire qu'a aucun moment les deux parties ne se sont retrouvés à une table pour parler des transferts...
Des dirigeants sollistes, un entraineur autiste, voilà une belle équipe! Ca promet pour la saison prochaine.
L'intronisation d'un hypothétique nouvel entraineur correspondrait à une énième révolution dont on sait trop bien les déchirements inhérents, surtout dans la gestion de l'effectif et le recrutement...
En un mot, au racing on rase, on reconstruit, on rerase, on rereconstruit et au final on n'avance jamais.
Jean-Pierre Papin
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EDES
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Perpétuel bordel, ce club !
Johansen, ça ne m'étonne pas de ce fout... de mer.., Tum, Abou, Devaux ont retenu quelques griefs contre JPP, en quelque sorte ses méthodes à l'italienne. Ces enfants gâtés auraient dû connaître l'ère Gress qui en a fait baver à ses joueurs, mais on connaît le résultat. Ces joueurs devraient se mettre dans le crâne qu'ils ne sont pas au club Med et que pour le salaire de plus que PDG on leur demande "quelque chose" en retour.
Maintenant, autre point, j'estime que le président n'a pas à s'immiscer dans le domaine technique, ou alors, il n'a qu'à cumuler toutes les fonctions : président, recruteur, entraîneur, préparateur physique, médecin, kiné, coupeur de rondelles de citron à la mi-temps, ...
Johansen, ça ne m'étonne pas de ce fout... de mer.., Tum, Abou, Devaux ont retenu quelques griefs contre JPP, en quelque sorte ses méthodes à l'italienne. Ces enfants gâtés auraient dû connaître l'ère Gress qui en a fait baver à ses joueurs, mais on connaît le résultat. Ces joueurs devraient se mettre dans le crâne qu'ils ne sont pas au club Med et que pour le salaire de plus que PDG on leur demande "quelque chose" en retour.
Maintenant, autre point, j'estime que le président n'a pas à s'immiscer dans le domaine technique, ou alors, il n'a qu'à cumuler toutes les fonctions : président, recruteur, entraîneur, préparateur physique, médecin, kiné, coupeur de rondelles de citron à la mi-temps, ...
Racing, jetzt geht's los !!!
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Je pense que Papin a rempli son contrat..on ne peut pas le lui enlever...un public venu nombreux en L2...Quelle est la moyenne justement ??
Cependant, les divergences semblent trop évidentes pour que cela ne réjaillisse pas de toute façon pendant la saison, les deux parties se rejetant sans cesse la faute...
Je suis un peu circonspect sur ce que Papin dit en ce moment. N a t il pas envie réellement de partir ? c est à se le demander sincerement. A partir de là , qu il assume et que le Racing ne soit pas crétin pour lui payer sa derniere année de contrat...Que Jpp s exprime ouvertement.
Ne peut on donc jamais etre tranquille au Racing ? La saison se prépare maintenant alors avant de fantasmer sur tel ou tel joueur, réglons le cas du coach...Quant à Lacombe, j etais un farouche partisan de son départ du PSG...s il venait à Strasbourg....Vous croyez que des joueurs vont venir au Racing avec un mec pareil entraineur ?????????
Cependant, les divergences semblent trop évidentes pour que cela ne réjaillisse pas de toute façon pendant la saison, les deux parties se rejetant sans cesse la faute...
Je suis un peu circonspect sur ce que Papin dit en ce moment. N a t il pas envie réellement de partir ? c est à se le demander sincerement. A partir de là , qu il assume et que le Racing ne soit pas crétin pour lui payer sa derniere année de contrat...Que Jpp s exprime ouvertement.
Ne peut on donc jamais etre tranquille au Racing ? La saison se prépare maintenant alors avant de fantasmer sur tel ou tel joueur, réglons le cas du coach...Quant à Lacombe, j etais un farouche partisan de son départ du PSG...s il venait à Strasbourg....Vous croyez que des joueurs vont venir au Racing avec un mec pareil entraineur ?????????
Vade retro Rudi Garcia...bouh t'es moche quand tu chouines
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L'Alsace a écrit :48 heures de plus
Comme prévu, Jean-Pierre Papin et Philippe Ginestet se sont rencontrés hier. Si rien de décisif n'a filtré, il semble que les positions se soient assouplies. Les deux hommes se reverront lundi pour prendre une décision sur l'avenir du coach.
C'est l'histoire du célèbre sketch joué par les regrettés Pierre Desproges, dans le rôle du journaliste, et Thierry Le Luron, dans celui de l'ancien secrétaire général du Parti communiste, Georges Marchais. Marchais/Le Luron répond à côté à une question du journaliste Desproges. Celui-ci s'en offusque : « Ce n'est pas ma question. » « Non, mais c'est ma réponse », lui objecte Le Luron/Marchais. Imparable. Hier, Jean-Pierre Papin et Philippe Ginestet ont joué à ce petit jeu, toujours à l'honneur en pareille circonstance, qui consiste à noyer le poisson devant la presse. Un jeu du chat et de la souris pour lequel les deux hommes ont montré d'évidentes prédispositions. En bons technocrates, comme aurait dit Coluche à qui l'on doit cette citation : « Quand tu as posé une question à un technocrate et qu'il y a répondu, tu ne comprends même plus le sens de ta question. » L'entraîneur et le président du Racing se sont donc comme prévu rencontrés toute la matinée d'hier au siège de la société du patron du RCS, Eurinvest. Une longue discussion dont à la lumière de ce qui n'a pas été dévoilé, il est bien délicat d'avancer un pronostic. JPP est ensuite passé à la Meinau. Il était 12 h 45. Sébastien Migné, son adjoint, et Alex Vencel, son entraîneur des gardiens, faisaient le pied de grue au stade depuis un moment déjà . « Je suis comme vous, je subis les événements », disait le premier sur les coups de midi. «Mais je ne suis pas pessimiste : Jean-Pierre monte souvent très vite en température, mais il redescend vite aussi. Ceci dit, ça fait bizarre de penser que nous devrions aujourd'hui fêter l'accession et qu'au lieu de ça…» Trois-quarts d'heure plus tard, l'entraîneur strasbourgeois confirme « qu'il y a certainement eu des avancées », avant d'ajouter : « La décision (Ndlr : de son départ ou de son maintien) sera prise un peu plus tard. Je n'ai pas à raconter ce qui s'est dit. Des propositions ont été faites de chaque côté. Nous avons mis les choses à plat. La discussion s'est bien passée, a été très constructive. Nous nous reverrons dans 48 heures. » Seule entorse à un discours convenu : son démenti sur les relations supposées – plutôt avérées – tendues avec le centre de formation. « J'ai fait signer huit gamins pros. Je peux difficilement faire plus. »
« Le dialogue n'a jamais été rompu »
Un temps annoncé au stade, Philippe Ginestet est finalement rentré chez lui. Lui aussi se refuse « à entrer dans les détails. Nous avons fait le bilan de la saison, évoqué ce qui doit être amélioré. Avec Jean-Pierre, le dialogue n'a jamais été rompu. Il s'est déroulé dans un bon esprit. Il y a des divergences, mais nous nous entendons bien. Chacun va réfléchir durant 48 heures. Certaines situations demandent de prendre le temps de la réflexion. Nous nous reverrons lundi à Strasbourg. Dégager une tendance ? C'est difficile. Les deux options sont envisageables. Jean-Pierre a ses idées et s'y tient. Je souhaite juste que nous prenions la bonne décision pour le club. » Seule certitude : les choses ne traîneront pas longtemps. « Le marché des transferts ouvre lundi », rappelle le président, « et une décision définitive interviendra au plus tard dans trois ou quatre jours. »
Stéphane Godin
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Par exemple : 10 % detélésupporteur a écrit : et pour les spécialistes de la communication, les mots ne valent que pour 10 %
= jeunes consl'expérience de la vie, celà existe quand même![]()
ça marche bien en effet....
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DNA a écrit :Proche de la rupture.
Philippe Ginestet et Jean-Pierre Papin se sont longuement entretenus hier matin, histoire d'évoquer une situation qui devient inextricable. Président et entraîneur se reverront lundi pour décider de la suite à donner à leur collaboration. Tout porte à croire que la rupture est proche.
« On n'a fait qu'un bout de chemin ensemble. Si on commence à vouloir divorcer au bout d'un an, ça ne va pas faire bien !. » Ainsi parlait Jean-Pierre Papin vendredi dernier devant les vestiaires en ébullition de la Meinau, provoquant l'hilarité de l'assistance réunie autour de lui.
Son équipe venait de battre Metz. Le billet pour la Ligue 1 était au fond de la poche. Dans l'euphorie ambiante, les accolades et les sourires semblaient sincères. Le stade, lui, avait choisi son héros. JPP était intronisé en fanfare « homme du renouveau » par une foule sous le charme.
Un peu plus d'une semaine plus tard, plus personne n'a envie de rire. Car la belle histoire entre le Ballon d'Or et Strasbourg a du plomb dans l'aile. Déjà lourd ces dernières semaines, l'air est devenu vicié depuis hier. Il est vrai qu'en Alsace, le temps était à l'orage...
Règlements de compte à Ibiza
Une fois la montée consommée, le président Ginestet avait d'entrée insisté sur la nécessité de « s'asseoir autour d'une table » histoire de remettre « certaines choses à plat. » La petite virée de décompression à Ibiza, de lundi à mercredi dernier, aurait pu y contribuer. Il se trouve que c'est plutôt l'effet inverse qui s'est produit. La détente a ainsi rapidement cédé la place aux règlements de compte.
Les langues de certains joueurs se sont déliées. Papin se serait ainsi montré particulièrement incisif envers son « prési ». Quant à Ginestet, il a été « à l'écoute ». La méthode JPP, que l'intéressé a lui-même qualifié de « dur, à l'italienne », n'a pas plu à tout le monde.
La gestion humaine, pas forcément le point fort de Papin, a aussi provoqué des séquelles. Des garçons comme Tum, Johansen, Abou ou encore Devaux ont tous retenu des griefs, ouvertement formulés ou non, contre leur entraîneur.
Mais la principale pierre d'achoppement réside dans la qualité de jeu. « Quand on voit toutes les fois où l'on a arraché la victoire dans les derniers instants, et que la montée ne se joue finalement qu'à un point (70 pour le Racing contre 69 pour Amiens), je me dis que le coup est passé près, dit ainsi Philippe Ginestet. En Ligue 1, l'abnégation et l'enthousiasme sont des vertus nécessaires, mais pas suffisantes. »
C'est de tout cela, et de certaines choses tues - contrat, recrutement, etc. -, dont les deux hommes se sont entretenus hier matin. Pas en tête à tête, puisque Jean-Luc Herzog, le directeur général du Racing, ainsi qu'Alexandre Wacker, l'homme qui représente les intérêts de Papin, ont participé au conciliabule. Ce qui confère aux pourparlers un caractère solennel.
Au sortir de la réunion, Jean-Pierre Papin est venu partager le barbecue de fin de saison organisé par une petite partie des joueurs sur le parvis des vestiaires. Face à la presse, le coach s'est bien gardé de livrer la teneur des débats.
« Je n'ai rien à dire, sourit l'intéressé. Ou plutôt j'ai déjà oublié ! Plus sérieusement, on a remis certaines choses à plat. C'était nécessaire. Il y a eu des avancées. Mais on s'est laissé un délai de réflexion de 48 heures. »
Le président, qui n'a pas fait le crochet par le vestiaire, ne s'est pas montré plus disert. « Ce qui est sûr, c'est que l'on ne s'est pas regardé dans le blanc des yeux en se disant que tout était parfait, résume-t-il. De part et d'autre, on a mis en avant les points négatifs. » Avant d'ajouter, d'un ton ferme et définitif : « Ce que je veux, c'est un contenu de jeu digne de la L 1. »
« Si Séb n'est pas là , je ne serai plus là »
L'une des hypothèse, non confirmée ni infirmée par les deux hommes, laisserait à penser que pour « rehausser » le niveau tactique - globalement pauvre - de l'équipe, un homme d'expérience vienne s'asseoir sur le banc au côté de JPP. Soit à la place de son ami et actuel adjoint, Sébastien Migné. Ce à quoi Papin répond sans sourciller : « Si Séb n'est pas là , moi non plus, je ne serai plus là . »
On l'aura compris, le discours s'est sérieusement « musclé » entre l'entraîneur et son président. Ce qui ne laisse plus guère de place au dialogue ni au compromis.
« Aujourd'hui, c'est un sentiment d'incompréhension qui prédomine, reconnaissait Papin hier soir. J'ai fait le boulot, on est en Ligue 1 dès la première année. Peut-être sommes-nous allés trop vite pour certains. Je ne comprends pas ce que l'on me reproche. En tout cas, j'ai encore un an de contrat. Si je pars, ça ne sera pas de mon fait. »
Le ton est donné. Verdict lundi...
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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