[Ex] James Fanchone
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DNA a écrit :Ailier par alternance
Arrivé cet été du Mans, l'ailier James Fanchone a trouvé ses marques au Racing. Avant la venue de Rennes samedi soir à la Meinau, il revient sur son début de saison et la mauvaise passe actuelle de son équipe.
« Je suis heureux d'être là », lance d'emblée James Fanchone. A 27 ans, le milieu offensif le répète, il se sent bien au Racing, « mieux dans (sa) tête » même.
A voir son attitude posée - presque trop discrète dans un univers plutôt adepte du « bling, bling » - on le croit volontiers. Et cette sérénité, Fanchone tient à la garder, même si son équipe est dans un « mauvais cycle ».
« On n'est pas encore dans les trois derniers, mais il faut relever la tête »
« Une saison, c'est fait de hauts et de bas. En ce moment, c'est un bas. On n'est pas encore dans les trois derniers et il n'y a rien d'alarmant, mais il faut relever la tête », explique-t-il.
Lui qui a la lourde tâche d'alimenter les attaquants en ballons depuis son couloir droit ne s'inquiète pas du manque de réalisme d'un Racing qui n'a trouvé qu'une seule fois les filets lors des quatre derniers matchs. « Après la rencontre à Nice, c'était pareil. Tout le monde parlait du manque l'efficacité offensive parce qu'on ne marquait pas. Mais ensuite, on a enchaîné. Tant qu'on a des occasions, c'est bon signe », rappelle-t-il.
Pour lui, rien de grave dans cette pénurie de buts, ce sont des « petits détails » qui font défaut. Un peu moins de « lucidité » un peu moins de « concentration » et la balle qui doit finir au fond des cages passe dix centimètres à côté, « comme face au PSG, avec la toute dernière occasion d'Alvaro ».
Des hauts et des bas, donc. A l'image du début de saison de James Fanchone. Avec ses hauts, comme ces matchs pleins face au Mans ou Toulouse. Et ses bas, comme ces rencontres passées à être assis sur le banc de touche.
« J'ai bien démarré la saison, je suis monté en puissance et j'ai même marqué à Toulouse. Mais ensuite, je me suis blessé et ça a été un vrai un coup d'arrêt », raconte James Fanchone.
Depuis son retour, Jean-Marc Furlan fait jouer l'alternance : l'ailier a joué 12 matchs, dont 9 comme titulaire et 3 comme remplaçant. « Avec Kévin (Gameiro) on fait a peu près un match sur deux. Chacun fait du mieux possible à l'entraînement et ensuite c'est le coach qui décide. On y est préparé », ajoute-t-il.
« Il faut laisser ses états d'âme personnels de côté »
Un turn-over que Fanchone accepte, à défaut de l'apprécier. « C'est sûr que j'aimerai bien être titulaire à chaque fois. Mais le turn-over est positif pour le club, ça veut dire qu'il y a beaucoup de bons joueurs. Et puis il faut laisser ses états d'âmes personnels de coté », ajoute encore celui que Jean-Marc Furlan surnomme « l'artiste ».
Comme ses coéquipiers, Fanchone sait que les trois rencontres à venir risquent d'être déterminantes pour l'avenir du Racing. « Que ce soit Rennes, Nancy ou Caen, chaque match est un combat et si on veut s'en sortir, il va falloir s'arracher. Après un bon début de saison, on s'est peut être installés dans le confort, en pensant que le maintien serait vite assuré. Mais en fait, on n'est jamais à l'abri ».
Malgré cette mauvaise passe, Fanchone s'accroche à l'objectif du staff, à savoir atteindre les 26 points à la trêve. « C'est toujours possible. Mais il faut commencer par se redonner confiance en gagnant à domicile ». Ce n'est pas le public de la Meinau, sevré de victoires depuis le mois d'août, qui dira le contraire.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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