[Ex] Zoltan Szelesi

[The_Key_Player]

Il a pas mal joué contre Rennes j'ai été agréablement surpris!

[argueti]

Et poourtant :

Classement Strasbourg / Rennes
Nombre de votes : 20

Place Joueur Points
1 SANTOS Alvaro 47.25
2 PAISLEY Grégory 15.95
3 RENTERIA Wason 6.4
4 JOHANSEN Pascal 6.4
5 COHADE Renaud 6
6 MULENGA Jacob 5.25
7 CASSARD Stéphane 1.25
8 BELLAID Habib 0
9 RODRIGO Lacerba Ramos -0.15
10 DOS SANTOS Manuel -3
11 SZELESI Zoltan -3.85

[The_Key_Player]

C'est injuste selon moi. Il a fait quelques enchaînements intéressants devant et n'a pas vraiment été mis en danger derrière.

Un match tout à  fait correct donc! Deroff aurait sûrement fait pire!

[tredtred]

Lacour aussi...

[Its_me]

C'est injuste selon moi. Il a fait quelques enchaînements intéressants devant et n'a pas vraiment été mis en danger derrière.

Un match tout à  fait correct donc! Deroff aurait sûrement fait pire!

En même temps en face c'était plutôt faible je trouve
Autant lors de ses premières prestations je ne l'avais pas trouvé mauvais ... autant les derniers temps

[argueti]

Pourquoi il laisse centrer le caennais sur le premier but !!!

[NéRiK]

Pacqu'il est nul.

[Pinon]

Szelesi ne doute pas

Même si une intégration à  parfaire et une certaine fatigue due à  l'accumulation des matches ne lui ont pas toujours permis de justifier son statut d'international, le latéral droit hongrois du RCS reste serein.

Il a toujours le sourire aux lèvres. Une façon, sans doute, d'aller au devant de ses interlocuteurs, lui qui reconnaît volontiers un français encore approximatif. Arrivé fin août au Racing pour deux saisons (jusqu'en 2009), moyennant une indemnité de transfert de 230 000 euros versée à  son ancien club, Cottbus, Zoltan Szelesi a alterné le bon et le moins bon. Concurrencé au poste de latéral droit par un Guillaume Lacour qui connaît chaque recoin de la maison bleue, l'international hongrois a tout de même disputé 13 rencontres de L 1.
Il a tour à  tour profité de deux suspensions et d'une longue blessure de l'ex-capitaine du RCS, mais aussi du replacement de ce dernier dans l'entrejeu - comme à  Lens - pour garder un temps de jeu conséquent. Jean-Marc Furlan, qui estime l'homme, ne cache cependant pas que le joueur ne l'a pas pleinement convaincu.

« Je ne maîtrise pas encore très bien le français »

Lui ne se cherche pas d'excuses, même s'il reconnaît avoir découvert en France une autre culture et un autre football. « J'ai à  Strasbourg tout ce dont j'ai besoin pour me sentir bien. La ville est superbe. La cuisine alsacienne et les restaurants sont très bons (il rit). Ma femme est ici avec moi. Deux à  trois fois par semaine, nous prenons des cours de français ensemble. Comme moi, elle parle anglais et allemand, mais elle a besoin d'apprendre le français, pour la vie de tous les jours et pour communiquer avec les autres épouses de joueurs. Je ne maîtrise pas encore très bien le français, mais j'en sais assez pour me faire comprendre sur le terrain. »
Le Hongrois ne nie toutefois pas avoir accusé le coup durant quelques semaines. « En fin d'année 2007, j'étais fatigué. Mes allers-retours en sélection (1) sont épuisants. Pour rallier Budapest, je n'ai jamais de vol direct. Je dois transiter par Paris ou Milan. Quand j'arrive là -bas, une fois sur deux, c'est pour repartir en déplacement. Ensuite, il faut jouer un match, rentrer à  Strasbourg après une escale à  Budapest, une autre à  Paris ou Milan et enchaîner avec le Racing. J'ai parlé avec le coach (Jean-Marc Furlan) : il savait que j'avais besoin d'un break pour revenir plus fort. L'important, c'était de lui permettre d'aligner l'équipe la plus compétitive, avec ou sans moi. Mon cas personnel passe après. »

« En France, la tactique est prépondérante »

C'est sans doute pour cette raison qu'il vit sereinement sa concurrence avec Lacour : « J'arrive de Bundesliga qui, en termes de couverture médiatique et d'engouement des fans, est le championnat le plus relevé d'Europe et qui, dans le jeu, tend à  concurrencer l'Angleterre. Je suis international et il va de soi que je suis venu à  Strasbourg pour jouer le possible. Mais la concurrence est normale. Guillaume a l'avantage de bien connaître le club et certains autres joueurs. De parler français aussi. Moi, je dois encore m'adapter à  un football français très différent. En Allemagne, le jeu est très physique, axé sur l'engagement. Là -bas, 70 % de ton travail consiste à  gagner tes duels. En France, la tactique est prépondérante. Si tu parviens à  assimiler ces deux façons de voir le football, tu es armé pour devenir un footballeur de très haut niveau. Encore deux ou trois mois et tout sera plus facile pour moi. Je ne doute pas. Je suis fort mentalement. »

(1) Il rejoindra ce week-end la sélection hongroise avec laquelle il jouera en amical face à  la Slovaquie mercredi à  Chypre.

[argueti]

Loin d'être le plus mauvais ce soir ...

[silex57]

Les autres ont fait ce qu'il faut pour, malheureusement ....