Jean-Marc Furlan

[silex57]

Ben avec moulou, renteria et fanchone (ou gameiro), c'est quand meme plus souvent un 4-3-3. Nos ailiers ont une vocation assez offensive quand meme.

Mais c'est vrai que notre bon jeu du début de saison a rapidement ete décortiqué par nos adversaires, puis contré efficacement.

L'idéal, c'est de savoir joueur en 4-4-2 (avec 2 ailiers ou 3 recup et un axial) et en 4-5-1/4-3-3, ce qui commence à  venir tout doucement...

Pares l'efficacité d'un systeme est evidemment lié à  la qualité des joueurs.........

Pour moi le problème c'est pas que nos adversaires aient analysé notre jeu mais c'est plutôt qu'on ne développe plus ce bon jeu ...

[Phapha]

Vous êtes marrant, à  vous lire on fonctionnerait avec 12-13 joueurs.

[Tenor]

Il est urgent de remettre du volume au milieu, des joueurs qui tiennent le match entier, pas des petits poucets.
Des joueurs qui en début de saison savaient attaquer, soutenir, et défendre un résultat ce qui n'est pas le cas en ce moment et c'est bien inquiétant. Tout va très vite et il faut relativiser. Des matchs ont été gagnés sur un coup de dé. Les équipes qui se sont produites à  la Meinau jouaient tout aussi bien que la Racing...mais à  l'extérieur, ce qui veux dire que tous les points sont difficile à  gagner autant à  la Meinau que maintenant à  l'extérieur. Le calendrier me fait bien peur...et il n'est pas du tout impossible de voir les bleuets glisser dangereusement vers les profondeurs, si Furlan ne prend pas des décisions criantes qui s'imposent ! Primo, de remettre les joueurs costauds, ceux qui ont évolués ensemble au milieu, en début de saison, de mettre les gens de métier sur les arrières d'ailes qui est primordial avec des consignes strictes de marquage et pas à  15 mètres, de sommer la défense centrale, surtout Bellaîd, de redescendre de son nuage, je le compare à  Ismaël, capable du meilleur comme du pire..c'est surtout le pire en ce moment, ce qui déstabilise une équipe entière. Devant, il faut jouer avec 2 voir 3 attaquants à  domicile si on veux gagner, et ils sont capables d'évoluer sur tout le front, mais seulement avec un milieu très actif en soutien...les poumons, et c'est bien là  l'essentiel de la clef du match. Mais ces chamboulements n'ont rien amené du tout y compris en coupe, je ne parle même pas du gardien. Le staff a du pain sur la planche, c'est pas compliqué, il faut aller au charbon et tous ensemble. Encore une chose, les commentaires des joueurs sont totalement superflus en ce moment...trop parler nuit à  l'équipe. Les journalistes n'ont qu' à  continuer à  inventer, c'est leur métier d'ailleurs, puisque les écrits ne reflètent en aucun cas ce que nous voyons en ce moment. Et top !!!

[vaevictis]

En meme temps les milieux sont les memes quien debut de saison donc je ne vois pas trop ou tu veux en venir.

[télésupporteur]

c'est très joli, tous vos systèmes
moi, je demande tout simplement à  bellaïd, mouloungui (surtout lui), rodrigo et fanchone de retrouver leur niveau de début de saison, et il n'y aura plus de problèmes de système

[Pinon]

L'entraîneur strasbourgeois est revenu hier sur le coup de gueule qu'il a poussé vendredi soir après l'élimination du RCS contre Metz en Coupe de France. Sans en faire une montagne.

Peu habitués à  un tel coup de sang, les Strasbourgeois n'avaient pas fait mystère de la grosse colère piquée par Jean-Marc Furlan vendredi soir après la déroute du Racing en 16es de Coupe de France contre Metz à  la Meinau (0-3). Le coach, qui assure pourtant « qu'un entraîneur n'a pas besoin de crier et de hurler pour se faire comprendre », est sorti de ses gonds pour la première fois de la saison. « Dans mon esprit, il est hors de question de déballer sur la place publique ce qui se passe dans le vestiaire. Mais puisque les joueurs en ont parlé… Ce sont des affaires de famille et en famille, on se dit les choses. Il peut y avoir des coups de gueule. Ça n'enlève rien à  ce que je pense de la qualité du groupe et ça ne me coupe pas des joueurs. »
Avec sa faconde méridionale, JMF reconnaît avoir parfois le sang chaud. « Autant je peux faire preuve d'une grande réflexion sur la gestion de mon groupe, autant un coup de sang ne se calcule pas. Je suis instinctif et j'ai donc réagi à  l'instinct. J'ai vécu mes plus grandes humiliations en Coupe de France. Mais ce n'est pas l'essentiel et c'est vite oublié. Car le championnat et le maintien sont prioritaires. Il suffit de relever la petite affluence du derby contre Metz en Coupe (9305 spectateurs) pour constater que le public l'a lui aussi bien compris. »

[bennysev]

Furlan sortant de ses gonds... Ca lui arrive???

[Pinon]

Furlan, 100e match en Ligue 1

Samedi soir, à  l'occasion de la réception de Saint-Etienne à  la Meinau (20h), Jean-Marc Furlan vivra son 100e match sur un banc de Ligue 1. Trois ans et demi après son premier match à  ce niveau, l'Entraîneur Général va franchir ce cap avec le Racing.
L'occasion de revenir avec l'ancien coach de Libourne et de Troyes, qui a débuté il y a onze ans chez les amateurs, sur ses 100 premiers matches au plus haut-niveau, ses souvenirs et la perception qu'il a de son métier.

* PLUS BEAU SOUVENIR:

« C'était l'an dernier, avec Troyes. Nous avons battu Lyon à  la 93e minute de jeu. C'est le plus beau moment pour l'instant car c'était une période importante pour le Club. »

* PLUS MAUVAIS SOUVENIR:

« Pour moi, les plus mauvais souvenirs surviennent souvent en Coupe car c'est une compétition très violente. La qualification te procure une grande joie mais l'élimination est aussi une grosse déception. En Championnat, le fait de ne pas avoir réussi à  maintenir Troyes l'an passé a été un échec, évidemment. Nous n'avons pas atteint l'objectif fixé. Je l'ai très mal vécu. C'a été très douloureux. »

* PREMIER MATCH EN LIGUE 1:

« C'était le 30 juillet 2005 pour un déplacement de Troyes à  Nice (1-1). Franchement, je ne m'imaginais pas pouvoir entraîner un club de L1 un jour. Quand j'étais en CFA, je voyais les entraîneurs de Ligue 1 comme des extraterrestres. A Nice, j'avais ressenti de l'inquiétude. Je ne savais pas si les joueurs seraient à  la hauteur. Mais je ne m'imaginais vraiment pas dans une telle situation 3 ou 4 ans avant. Je ne pensais pas pouvoir arriver en Ligue 1 un jour. »

* APRES 100 MATCHES EN L1, DECOUVRE-T-ON ENCORE DES CHOSES ?

« Je suis convaincu que je serai meilleur dans un mois, dans une année et dans dix ans. L'entraîneur est un chercheur qui doit constamment s'instruire, s'ouvrir au monde. Il ne peut être que plus fort en vieillissant. En Argentine, on dit souvent que les meilleurs entraîneurs sont ceux aux cheveux blancs. Mais 100 matches, ce n'est rien. Il en faut beaucoup plus pour être confirmé. Mais pour rester dans ce milieu, il faut suivre l'esprit de la jeunesse. Car diriger des jeunes en 2010 n'a rien à  voir avec diriger des jeunes des années 90, par exemple. Aujourd'hui, un entraîneur doit savoir déléguer, être à  l'écoute. Le souci de l'entraîneur est donc de suivre l'évolution des footballeurs et de s'y adapter. »

* DIFFERENCES ET POINTS COMMUNS ENTRE LE MILIEU AMATEUR ET LE MILIEU PRO ?

« Il y a beaucoup de points communs. Déjà , chez les amateurs comme en pro, on parle d'une seule et même chose: le football. La seule différence est liée à  l'environnement. Dans le monde pro, il y a beaucoup plus de gens investis dans le marketing, dans la finance, dans le partenariat et l'idée est de fédérer toutes ces personnes derrière le projet. Mais les joueurs sont les mêmes. Sauf qu'en CFA, par exemple, on n'a pas les soucis liés à  l'environnement du joueur. On est en contact direct avec lui. Dans le monde professionnel, il faut réguler le comportement des joueurs en fonction de leur environnement. Intrinséquement, le footballeur est le même, il a la même passion et l'argent n'a rien à  voir là -dedans. Quel que soit le niveau, les garçons ont soif de ballon et de victoires. Mais l'impact de l'enjeu financier et de l'environnement consituent les plus grosses différences. »

* A QUOI RECONNAàŽT-ON UN BON ENTRAàŽNEUR ? LA DUREE OU LE PALMARES ?

« Je pense que c'est à  la durée, à  la constance. Ce métier oblige à  une remise en question chaque semaine. C'est le seul métier au monde qui exige cela. C'est comme si les politiques étaient soumis à  un scrutin chaque week-end. Les titres, c'est quelque chose d'irrationnel car ils dépendent des clubs que tu entraînes et des joueurs que tu diriges. Il y a de grands entraîneurs qui n'on jamais eu de de titres mais qui ont marqué leur époque. Je pense notamment à  Luis Cesar Menotti. àŠtre présent longtemps, voilà  le plus important et le challenge le plus délicat. Mais cela tient aussi aux résultats... »

Une petite victoire pour son anniversaire, ce serait cool comme cadeau

[Tenor]

Do you remember NICE de brice....avec un flot de remplacents ?

Bis repetita ?

Espérons que non, et que l'entraîneur puisse profiter d'une très bonne soirée, ça libère et on respire, la vie est belle

Alors draaaan les garçons et à  fond la caisse.

D'avance merciiiii

[argueti]

De toute façon je crois hélas qu'on n'a pas le droit à  l'heure : une défaite samedi cumulée à  d'autres résultats nous mettrait presque en position de reléguable ...