[Ex] Pascal Johansen

[silex57]

Lol, mdr ptdr

[Notelpats]

kikoo

[Phapha]

ça y est, je ne comprends déjà  plus.

Pour revenir à  Pagalou, l'incident est clos ? On le reverra sur le banc ces prochains temps ?

[argueti]

Rentrée volontaire, dommage ...

[télésupporteur]

intermitant,tu as raison,
il se troue souvent dans ses prestations

[Phapha]

Très très bon Telesup'

[vaevictis]

football365.fr

Souvent écarté depuis l'arrivée de Furlan, Pascal Johansen semble aujourd'hui bénéficier de nouveau d'une cote en hausse dans l'esprit de son coach. Le renouveau du Racing passera-t-il par lui ?

Jean-Marc Furlan n'a pas hésité longtemps. Samedi dernier, contre Lille, lorsque l'entraîneur strasbourgeois s'est retrouvé privé de Rodrigo, coupable d'un geste impardonnable sur Lichtsteiner et donc logiquement expulsé, il a tout de suite appelé Pascal Johansen. Pourtant depuis le début de la saison, l'histoire entre les deux hommes ressemble davantage à  un film de guerre qu'à  une histoire d'amour. Johansen a certes connu quelques pépins physiques depuis l'arrivée de Furlan en Alsace, mais si l'ancien Marseillais n'est apparu d'entrée qu'à  onze reprises cette saison, c'est surtout dû au peu de confiance que lui accorde l'ancien coach de l'ESTAC. A peine arrivé, Furlan, déçu par l'attitude et les prestations de son milieu de terrain, n'avait d'ailleurs pas mis longtemps à  « tailler un costard » à  son joueur, le jugeant nettement en deçà  de son potentiel.

« On ne peut pas se le cacher, Johansen est avant tout un très grave problème pour lui-même, déclarait Furlan dans les Dernières Nouvelles d'Alsace en début de saison. Ce garçon a un talent immense. Seulement, quand tu es son huitième ou neuvième entraîneur et que tes prédécesseurs ne sont pas parvenus à  en tirer la quintessence, c'est que le problème se situe à  son niveau. Il en est d'ailleurs parfaitement conscient. » Johansen, rarement titularisé malgré une série flatteuse de neuf apparitions dans l'équipe de départ lors des onze derniers matchs de l'année 2007, a bien reçu le message. Aussi cyclothymique que le dit sa réputation, le Strasbourgeois s'est tu et a travaillé dans l'ombre.
Pas facile pour ce garçon plutôt rebelle qui a dû se contenter en tout et pour tout de trois entrées en cours de jeu en 2008 en L1.

Au point d'amener Furlan à  changer progressivement son discours au sujet de son « souffre-douleur », l'entraîneur du Racing admettant même il y a peu que Johansen était « très bon » à  l'entraînement et qu'il n'avait plus « rien à  lui reprocher ». « Nous avons un Johansen en très grande forme ces derniers temps », lâchait Furlan. Quelques jours après une altercation entre le natif de Colmar et Mouloungui (« Comme d'habitude, c'est le même qui prend. Parce qu'il est facile de sanctionner un Johansen dont tout le monde connaît le sale caractère », ironisait alors le joueur), Johansen a donc presque naturellement retrouvé le groupe alsacien. Et en une demi-heure de bonne qualité face à  Lille, malgré la défaite à  l'arrivée, le n°18 strasbourgeois, entré à  la place d'Alvaro Santos, a presque fait oublier son début de Championnat. Très à  l'aise dans l'entrejeu, Johansen, au Racing depuis dix saisons maintenant, a prouvé que le sursaut d'orgueil de l'équipe pouvait très bien passer par lui. Ce qui constituerait une belle revanche par rapport à  cette saison qui ne devrait pas lui laisser beaucoup de bons souvenirs.

[silex57]

Qu'il se rachète de ses trop fréquents errements et nous tire l'équipe vers le haut, c'est tout ce que l'on peut souhaiter !!

[argueti]

Johansen : la panne de réveil

C'est le genre de péripétie qui – dit-il – lui « arrive une fois par an » : hier, Pascal Johansen, « victime » d'une panne de réveil, a raté l'entraînement programmé à  10 h par Jean-Marc Furlan. La veille, les joueurs avaient, pour ressouder le collectif en cette période difficile, décidé de manger tous ensemble pour la 2e fois de la saison.Après « une soirée très sympa », le Colmarien n'a pas réussi à  s'extraire des bras de Morphée. « En fait, ce n'est pas ça : quand mon réveil a sonné, je l'ai éteint et je me suis dit : "Allez, encore cinq minutes." Mais j'étais fatigué et je me suis rendormi. Quand j'ai rouvert les yeux, j'ai appelé Ferhat Khirat (Ndlr : le coordinateur sportif) pour lui dire que je ne pourrais pas venir. Sauf erreur, c'est arrivé à  un autre joueur cette saison et ça ne l'a pas empêché de jouer le lendemain et de marquer. Là , on en est à  cinq jours du match à  Paris. Il n'y a pas de quoi en faire un plat. » Le Haut-Rhinois fait ici référence à  James Fanchone qui, le 18 janvier, avait « séché » la séance matinale à  la veille du match à  Auxerre. A l'époque, l'ex-Manceau s'était trompé d'horaire. Jean-Marc Furlan n'avait pas jugé utile de sanctionner son joueur, buteur décisif en fin de rencontre le lendemain dans l'Yonne (1-1). Il ne semble pas plus enclin à  le faire cette fois. « Nous savions que les joueurs organisaient une soirée ce jeudi. C'est une initiative louable. Pascal a des défauts, mais il est honnête. Lorsqu'il a eu Ferhat au téléphone, il ne s'est pas défilé. Il a juste dit : "Je suis en vrac, j'aime autant ne pas venir." C'est une attitude désarmante. Quelle décision vais-je prendre ? Je vais faire dans le soft. A deux mois de la fin, il n'est pas question de faire la révolution. Mais je me dois d'être cohérent vis-à -vis du groupe. Il y aura une explication. » Sauf retournement de tendance, le Haut-Rhinois partira néanmoins demain en stage à  Saclay. « Il viendra avec nous pour préparer le match de mercredi à  Paris», certifie Furlan.

[NéRiK]

Je me lève le matin à  6h sans réveil...Quelle excuse. Dur dur la vie de footballer.