[07/08] 37ème J: Strasbourg / Caen : 1/4

[Tenor]

Je l'attendais bien cette réponse mais uniquement de ta part, petit tu l'oublies stp
Au fait, il t'invite à  diner de temps en temps pour le soutenir à  ce point

[Jeter]

dit moi si Johansen signe a Metz ,

tu vas toujours suivre le racing ,

ou suivre le Joueur ?????????

[Phapha]

[Tenor]

[Keating]

Lacour forfait
Le Racing comptera ses hommes, samedi, face à  Caen. De nombreux doutes entourent la forme physique de quelques joueurs ces temps-ci.

Pour la dernière de la saison à  la Meinau, le Racing devra composer avec un groupe qui semble éprouvé, dans tous les sens du terme. Au-delà  de la surréaliste série de neuf défaites d'affilée concédées depuis début mars, quelques joueurs traînent la jambe. Outre les blessés longue durée - Othon, Cohade, Renteria -, Jean-Marc Furlan devra faire sans son vice-capitaine, Guillaume Lacour. Touché la semaine passée, le milieu de terrain avait dû surmonter la douleur face à  Nancy. Il en a résulté une déchirure abdominale, qui met fin à  sa saison. Par ailleurs, Zoltan Szelesi (malade) et Yacine Abdessadki (adducteurs) ne sont pas au mieux. Le staff technique n'en a pas moins décidé de ne concerner qu'un groupe de dix-huit éléments pour le match face à  Caen. « S'il devait y avoir un autre forfait, il n'y aurait que dix-sept joueurs sur la feuille de match », a indiqué Jean-Marc Furlan. Quant à  ses intentions sur son onze titulaire, l'entraîneur strasbourgeois s'est montré peu loquace. Jouer franchement la carte jeune ne semble pas dans ses intentions. La nécessité de l'emporter pour mettre fin à  une pitoyable période comptable exclut de voir Bah et Schneiderlin associés dans l'entrejeu notamment. Le groupe : Cassard, Puydebois, Bellaïd, Dos Santos, Ducrocq, Paisley, Szelesi, Abdessadki, Bah, Fanchone, Gasmi, Johansen, Rodrigo, Schneiderlin, Gameiro, Mouloungui, Alvaro Santos, Mulenga.

[lolo14]

Allez pour vous redonner un peu le moral, le stade malherbe risque de faire tourner son effectif et faire jouer ceux qui n'ont pas beaucoup participé.
A commençer dans les buts costil qui remplaçera planté, (costil selectionne en equipe espoir recherche un club la saison prochaine....), sinon sont out : deroin, compan,leca, mazure,gomis, seube.
Devant vous risquez de decouvrir un jeune talent toudic qui sera preté la saison prochaine en L2 pour qu'il prenne de l'experience.

[Keating]

Ah ben s'il est bon vous pourrez nous le prêter

[Pinon]

Le dernier combat

Même si, pour sa dernière sortie à  la Meinau demain (20 h 45) contre Caen, le RCS se présentera diminué par les forfaits de Renteria, Cohade, Othon et Lacour, Jean-Marc Furlan fait de ce 37e rendez-vous une question d'honneur.

Dès samedi soir à  Nancy, au sortir d'une deuxième débâcle consécutive 3-0 (après Rennes le week-end précédent) et, surtout, d'une neuvième défaite de rang — record historique du RCS en 56 saisons de L 1 (le président Philippe Ginestet avait lancé un appel solennel aux joueurs : « Contre Caen, il faudra offrir au public de la Meinau une victoire dont il est sevré depuis trop longtemps. »
Dans la semaine, Jean-Marc Furlan avait embrayé, avec un discours moins anodin qu'il n'y paraît : « J'ai besoin d'un succès contre Caen pour y voir plus clair, pour que tout le monde au club, moi compris, puisse tenir un discours plus positif. »
De là  à  en déduire que ce rendez-vous face aux Normands puisse être décisif à  plus d'un titre, il y a un fossé qu'on peut peut-être enjamber. Sportivement, les choses sont claires : si les Strasbourgeois ne battent pas les Caennais demain, ils seront officiellement en L 2 (Ndlr : leur goal-average est beaucoup plus négatif que ceux de Toulouse, Lens et Paris). « Si on ne gagne pas, on y est », soupire Habib Bellaïd.
Hors du terrain, les affaires sont peut-être moins limpides. Entre la volonté affichée par une majorité des dirigeants de poursuivre avec Jean-Marc Furlan en 2008-2009 (même en L 2) et la lassitude perceptible chez l'entraîneur, l'avenir du RCS balance. Celui de l'entraîneur, sous contrat jusqu'en 2010 à  Strasbourg, résisterait-il à  une nouvelle déroute ? Bien sûr, la question, déjà  débattue en interne lors d'une épique discussion entre le directeur général Jean-Luc Herzog et l'administrateur Eric Vogel dans l'avion privé qui ramenait les dirigeants de Rennes, risque de revenir de manière récurrente dans les quinze prochains jours. De fait, affirmer que Strasbourg jouera demain, sur un seul match, une grande partie de son futur n'a rien d'une extrapolation. Mais Furlan préfère s'en tenir au présent : « La saison n'est pas finie. Il faut toujours parler au présent. C'est plus joli et plus léger. » Voilà  bien la seule légèreté dans le discours, plus grave qu'à  l'ordinaire, d'un coach se décrivant lui-même comme « humilié et en colère. » Et d'ajouter : « Nous sommes tous sous le coup d'une humiliation grave depuis deux mois. Une humiliation qui traduit le manque de caractère du groupe. Cette humiliation, les joueurs doivent l'arrêter, eux seuls. Samedi, il me faut 11 barjots sur le terrain. »

« C'est fou qu'il reste un espoir »

Ce discours de responsabilisation, Furlan le tient depuis des semaines. Il en avait même fait l'axe central de son argumentaire dans sa causerie à  Nancy. On connaît le résultat. « Après Nancy, il y a eu une vraie remise en question. J'aurais aimé être fier des joueurs à  Picot. Après Rennes, c'était une affaire de fierté. Le jour du match, de 9 h 30 à  12 h 30, j'ai vu tous les gars durant trois heures en entretiens individuels. Je leur ai dit que j'aimerais qu'ils soient plus réactifs, plus responsables. »
Après avoir joué de tous les mots et usé tous les maux, l'entraîneur strasbourgeois fera encore vibrer demain la corde sensible de l'honneur. Sans penser aux dernières chances de maintien. « Qu'il reste un mince espoir après neuf défaites d'affilée, c'est fou. Mais je ne me pose pas de questions sur le maintien. Le match contre Caen est une question d'honneur, de panache, de fierté et de valeurs humaines. J'ai envie, nous avons tous envie de mettre le masque à  oxygène sur le visage pour respirer mieux. Si nous gagnons, mais seulement après, nous pourrons voir où en sont ces chances de maintien. »
Un succès face aux Caennais ne serait pas qu'un point d'honneur. Il serait un point de départ.

Les 18 pour Caen : Cassard, Puydebois, Bellaïd, Dos Santos, Ducrocq, Paisley, Szelesi, Abdessadki, Bah, Fanchone, Gasmi, Johansen, Rodrigo, Schneiderlin, Gameiro, Mouloungui, Mulenga, Santos.

[Tenor]

Je me demande si certains de peur ne vont pas chier dans leur froc samedi soir en rentrant sur le terrain, tellement la honte doit les gagner. Mais positivons, ils gagneront et fêteront tous ensemble la fin de saison pour le dernier match, en conviant les supporters à  boire une bière
Et... au revoir et merci

[Phapha]

Devant vous risquez de decouvrir un jeune talent toudic qui sera preté la saison prochaine en L2 pour qu'il prenne de l'experience.

D'après ce que j'en ai vu il est plutôt bon, ça m'étonne même qu'il ne reste pas en L1. Ce serait un peu le Mathlouti du Stade Malherbe
C'est pas lui qui avait marqué un but valable refusé contre l'OM ?