b'en il est pas blessé la, il me semble ???
lol lol lol
[Ex] Pontus Farnerud
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Il est quand meme tombé sur de belles moissonneuses ( Diomède ).Bomber a écrit :c quand même une belle machine à blessures...
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
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[Ex] Pontus Farnerud
Farnerud, Viking au pied d'or
Pontus Farnerud, le Suédois du Racing Strasbourg, aurait pu être un très bon hockeyeur au pays de l'or blanc. Finalement, à 15 ans, il a opté pour le ballon de foot et ne regrette nullement ce choix.
Il est doué. Et pas seulement balle au pied. Pontus Farnerud, dans ses jeunes années, maniait aussi bien le palet que le ballon. A l'âge de 15 ans, il a finalement laissé tomber la crosse, alors qu'il était déjà appelé à jouer en seniors dans son club de Landskrona. Bien lui en a pris. Après des gammes à Monaco, il a rejoint Strasbourg l'an passé et mérité sa place en sélection suédoise, où il espère jouer un rôle intéressant. Découverte d'un Viking aux pieds dorés.
MON PREMIER BALLON
Ouh, je ne me souviens peut-être pas de mon premier ballon, mais je sais que dans le jardin chez mon père, j'ai très vite joué avec mon frère Alexander, très petit. Il y avait des ballons partout, dans la maison et dehors. C'était à Landskrona en Suède.
MON PREMIER CLUB
Landskrona également. J'ai toujours évolué dans le même club jusqu'à ce que je parte pour Monaco à 18 ans. Je n'ai fait que trois club au total. J'ai débuté dès l'âge poussins. J'ai énormément de souvenirs, tous les tournois auxquels nous avons participé lorsque nous étions jeunes. Nous avions une superbe équipe, nous avons gagné beaucoup de tournois, partout en Suède, même au Danemark. Quand j'avais 15 ans, je suis finalement monté chez les professionnels pour m'entraîner avec eux. J'ai été obligé de quitter mes copains qui sont restés un peu plus longtemps avec les jeunes. J'ai alors côtoyé des joueurs qui avaient plus de 30 ans. Ce n'était pas difficile, j'étais tellement excité, j'avais beaucoup d'envie de réaliser des choses avec eux, comme je le faisais avec mes copains. A l'époque, Landskrona évoluait en seconde division. Après trois ou quatre mois d'entraînement, j'ai intégré l'équipe et je n'en suis plus sorti.
L'EDUCATEUR QUI M'A MARQUE
J'ai eu le même entraîneur sur une très longue durée, dès mon arrivée au club. Il s'appelle Bernt Lindgren. Il m'a fait progresser petit à petit. J'ai passé près de 10 ans avec lui, il m'a beaucoup fait bosser. Je ne l'ai quitté qu'à l'âge de 15 ans, lorsque j'ai intégré les pros. Je reste en contact encore aujourd'hui, très souvent. C'est aussi le père de mon meilleur copain, avec lequel j'ai joué ensemble. Quand je rentre en Suède, je vais immédiatement les voir. Et on parle de football, rien que ça. On s'est côtoyé 10 ans, mais je ne me souviens pas d'une conversation où le foot n'était pas au centre des débats (rires). On parle de Landskrona, des petits clubs autour, du championnat de France, etc.
MON IDOLE
Marco Van Basten. Quand j'étais jeune, j'étais beaucoup plus porté vers l'offensive, j'étais presque un attaquant. Alors d'office, je regardais avant tout les buteurs. Je l'admirais surtout après le but qu'il a inscrit contre la Russie en finale de l'Euro en 1988 à Munich. Après, j'ai un peu reculé sur le terrain, mais je n'ai aucun regret de ne plus jouer attaquant. Je me sens très bien comme milieu défensif.
MA PREMIÈRE SELECTION
C'était contre la Grèce en février 2002. Ça fait presque deux ans. C'était un très grand moment pour moi, très fort, peut-être le plus fort de ma carrière. Me retrouver avec les meilleurs joueurs de Suède, ceux que je suivais jusque-là à la télé, ça fait quand même quelque chose. C'était un moment de grande fierté, j'ai rarement senti une émotion aussi forte. J'ai fait un bon match, j'étais titulaire comme milieu défensif. Derrière moi, il y avait Patrick Andersson, qui est devenu champion d'Europe avec le Bayern de Munich, qui est ensuite allé à Barcelone, et qui est à présent retourné en Suède. Il m'a dirigé pendant tout le match, il m'a vraiment aidé. Je suis sorti à la 70e minute sur une petite blessure. Cela s'est très bien passé, j'étais très content.
MA VIE EN SELECTION
On retrouve les copains, c'est très positif. En revanche, il y a quand même un point négatif, c'est qu'il y a tellement de qualité dans l'équipe. Le sélectionneur a un très large choix, la concurrence est vraiment dure. Mentalement, cela peut être difficile, car tu as parfois l'impression de pouvoir jouer, mais le coach fait alors d'autres choix et un autre joueur a sa préférence. Mais c'est partout comme cela. En Suède, on a une grosse équipe et forcément, c'est délicat de s'y faire une place. Quand je suis arrivé, je connaissais déjà quelques joueurs, l'accueil y a été très facile. Notre force aussi dans l'équipe de Suède est notre ambiance, on n'a pas la même qualité que l'équipe de France par exemple, donc il faut s'appuyer sur d'autres éléments. Entre nous, on se connaît bien, on rigole, mais sur le terrain, on se bat les uns pour les autres, il y a une grosse solidarité.
MA PREMIÈRE COMPETITION INTERNATIONALE
Le Mondial 2002 donc. J'étais déjà content de faire partie du groupe. On a en plus fait une très bonne Coupe du monde, on a fait un super parcours. On est sorti premier du groupe devant l'Angleterre, l'Argentine et le Nigeria. On est ensuite tombé sur le Sénégal, qui avait tout pour lui dans cette Coupe du monde, et on a malheureusement encaissé ce but en or. C'est un peu dommage, mais la Suède était très contente de notre performance. Le public est enthousiaste, nous soutiens à fond. Il est devenu très foot en 1994, lorsque la Suède a pris la 3e place du Mondial. Cela a beaucoup changé ces dix dernières années. Pour moi personnellement, le Mondial en Asie restera une grande aventure. J'ai beaucoup appris dans cette période. En plus, je ne me sentais jamais aussi bien, dans mes jambes ou techniquement que pendant ce Mondial. J'ai pris tellement de plaisir à m'entraîner avec les autres. Même sans jouer, j'ai pris mon pied.
MON EURO
J'ai envie de jouer… J'ai été en Asie pour la Coupe du monde 2002, mais je n'ai pas joué. C'était un petit bonus pour moi, qui n'avais pas beaucoup de sélections auparavant. Mais cette fois-ci, j'ai vraiment envie de jouer, même une minute, deux minutes, cinq minutes, 35 minutes. Plusieurs matches, pourquoi pas, mais j'espère franchement ne pas vivre toute la compétition depuis le banc de touche. Cela me démange. Pour le moment, je ne suis pas encore au meilleur de ma forme, je me ressens encore de ma blessure contractée en fin de saison. Mais les derniers matches ont été un peu meilleurs qu'en début d'année.
MES ESPOIRS POUR LA SUÈDE
Le premier match sera capital. Nous jouons contre la Bulgarie et il faudra le gagner. En cas d'échec, ce ne sera pas une catastrophe, mais après on rencontrera l'Italie et le Danemark, ce qui risque d'être un peu plus dur. Donc, si on peut gagner le premier match, on sera bien parti pour la suite. Maintenant, l'objectif est évidemment de finir parmi les deux premiers et de se qualifier pour les quarts de finale. Le match contre le Danemark sera un peu particulier pour nous, puisqu'il constituera un petit derby scandinave, et on a très envie de jouer contre nos voisins. Le Danemark est une très bonne équipe et je pense que cela donnera un match très intéressant. L'Italie est le gros morceau, le favori du groupe. Mais on a vu au Mondial 2002 qu'il peut y avoir des surprises. Personne n'est sûr de passer le cap du premier tour. On a aussi vu en Ligue des champions que tout le monde peut battre tout le monde. Quant à nos atouts, ils sont essentiellement défensifs, car nous ne prenons que peu de buts. Mais ces dernières années, on a eu des joueurs comme Larsson ou Ibrahimovic qui marquent des buts. Il y a un bon mixage aujourd'hui.
MON PLAN DE CARRIÈRE
Je suis encore jeune, même si j'ai déjà passé quelques années à l'étranger. J'espère continuer à progresser et me retrouver dans une équipe où je prends du plaisir, où j'ai des responsabilités. Au fur et à mesure, j'espère que je passerai de plus en plus dans des grands clubs. Mais on verra bien comment ça se passera, je ne veux pas trop me projeter dans le futur.
l'Alsace

Pontus Farnerud, le Suédois du Racing Strasbourg, aurait pu être un très bon hockeyeur au pays de l'or blanc. Finalement, à 15 ans, il a opté pour le ballon de foot et ne regrette nullement ce choix.
Il est doué. Et pas seulement balle au pied. Pontus Farnerud, dans ses jeunes années, maniait aussi bien le palet que le ballon. A l'âge de 15 ans, il a finalement laissé tomber la crosse, alors qu'il était déjà appelé à jouer en seniors dans son club de Landskrona. Bien lui en a pris. Après des gammes à Monaco, il a rejoint Strasbourg l'an passé et mérité sa place en sélection suédoise, où il espère jouer un rôle intéressant. Découverte d'un Viking aux pieds dorés.
MON PREMIER BALLON
Ouh, je ne me souviens peut-être pas de mon premier ballon, mais je sais que dans le jardin chez mon père, j'ai très vite joué avec mon frère Alexander, très petit. Il y avait des ballons partout, dans la maison et dehors. C'était à Landskrona en Suède.
MON PREMIER CLUB
Landskrona également. J'ai toujours évolué dans le même club jusqu'à ce que je parte pour Monaco à 18 ans. Je n'ai fait que trois club au total. J'ai débuté dès l'âge poussins. J'ai énormément de souvenirs, tous les tournois auxquels nous avons participé lorsque nous étions jeunes. Nous avions une superbe équipe, nous avons gagné beaucoup de tournois, partout en Suède, même au Danemark. Quand j'avais 15 ans, je suis finalement monté chez les professionnels pour m'entraîner avec eux. J'ai été obligé de quitter mes copains qui sont restés un peu plus longtemps avec les jeunes. J'ai alors côtoyé des joueurs qui avaient plus de 30 ans. Ce n'était pas difficile, j'étais tellement excité, j'avais beaucoup d'envie de réaliser des choses avec eux, comme je le faisais avec mes copains. A l'époque, Landskrona évoluait en seconde division. Après trois ou quatre mois d'entraînement, j'ai intégré l'équipe et je n'en suis plus sorti.
L'EDUCATEUR QUI M'A MARQUE
J'ai eu le même entraîneur sur une très longue durée, dès mon arrivée au club. Il s'appelle Bernt Lindgren. Il m'a fait progresser petit à petit. J'ai passé près de 10 ans avec lui, il m'a beaucoup fait bosser. Je ne l'ai quitté qu'à l'âge de 15 ans, lorsque j'ai intégré les pros. Je reste en contact encore aujourd'hui, très souvent. C'est aussi le père de mon meilleur copain, avec lequel j'ai joué ensemble. Quand je rentre en Suède, je vais immédiatement les voir. Et on parle de football, rien que ça. On s'est côtoyé 10 ans, mais je ne me souviens pas d'une conversation où le foot n'était pas au centre des débats (rires). On parle de Landskrona, des petits clubs autour, du championnat de France, etc.
MON IDOLE
Marco Van Basten. Quand j'étais jeune, j'étais beaucoup plus porté vers l'offensive, j'étais presque un attaquant. Alors d'office, je regardais avant tout les buteurs. Je l'admirais surtout après le but qu'il a inscrit contre la Russie en finale de l'Euro en 1988 à Munich. Après, j'ai un peu reculé sur le terrain, mais je n'ai aucun regret de ne plus jouer attaquant. Je me sens très bien comme milieu défensif.
MA PREMIÈRE SELECTION
C'était contre la Grèce en février 2002. Ça fait presque deux ans. C'était un très grand moment pour moi, très fort, peut-être le plus fort de ma carrière. Me retrouver avec les meilleurs joueurs de Suède, ceux que je suivais jusque-là à la télé, ça fait quand même quelque chose. C'était un moment de grande fierté, j'ai rarement senti une émotion aussi forte. J'ai fait un bon match, j'étais titulaire comme milieu défensif. Derrière moi, il y avait Patrick Andersson, qui est devenu champion d'Europe avec le Bayern de Munich, qui est ensuite allé à Barcelone, et qui est à présent retourné en Suède. Il m'a dirigé pendant tout le match, il m'a vraiment aidé. Je suis sorti à la 70e minute sur une petite blessure. Cela s'est très bien passé, j'étais très content.
MA VIE EN SELECTION
On retrouve les copains, c'est très positif. En revanche, il y a quand même un point négatif, c'est qu'il y a tellement de qualité dans l'équipe. Le sélectionneur a un très large choix, la concurrence est vraiment dure. Mentalement, cela peut être difficile, car tu as parfois l'impression de pouvoir jouer, mais le coach fait alors d'autres choix et un autre joueur a sa préférence. Mais c'est partout comme cela. En Suède, on a une grosse équipe et forcément, c'est délicat de s'y faire une place. Quand je suis arrivé, je connaissais déjà quelques joueurs, l'accueil y a été très facile. Notre force aussi dans l'équipe de Suède est notre ambiance, on n'a pas la même qualité que l'équipe de France par exemple, donc il faut s'appuyer sur d'autres éléments. Entre nous, on se connaît bien, on rigole, mais sur le terrain, on se bat les uns pour les autres, il y a une grosse solidarité.
MA PREMIÈRE COMPETITION INTERNATIONALE
Le Mondial 2002 donc. J'étais déjà content de faire partie du groupe. On a en plus fait une très bonne Coupe du monde, on a fait un super parcours. On est sorti premier du groupe devant l'Angleterre, l'Argentine et le Nigeria. On est ensuite tombé sur le Sénégal, qui avait tout pour lui dans cette Coupe du monde, et on a malheureusement encaissé ce but en or. C'est un peu dommage, mais la Suède était très contente de notre performance. Le public est enthousiaste, nous soutiens à fond. Il est devenu très foot en 1994, lorsque la Suède a pris la 3e place du Mondial. Cela a beaucoup changé ces dix dernières années. Pour moi personnellement, le Mondial en Asie restera une grande aventure. J'ai beaucoup appris dans cette période. En plus, je ne me sentais jamais aussi bien, dans mes jambes ou techniquement que pendant ce Mondial. J'ai pris tellement de plaisir à m'entraîner avec les autres. Même sans jouer, j'ai pris mon pied.
MON EURO
J'ai envie de jouer… J'ai été en Asie pour la Coupe du monde 2002, mais je n'ai pas joué. C'était un petit bonus pour moi, qui n'avais pas beaucoup de sélections auparavant. Mais cette fois-ci, j'ai vraiment envie de jouer, même une minute, deux minutes, cinq minutes, 35 minutes. Plusieurs matches, pourquoi pas, mais j'espère franchement ne pas vivre toute la compétition depuis le banc de touche. Cela me démange. Pour le moment, je ne suis pas encore au meilleur de ma forme, je me ressens encore de ma blessure contractée en fin de saison. Mais les derniers matches ont été un peu meilleurs qu'en début d'année.
MES ESPOIRS POUR LA SUÈDE
Le premier match sera capital. Nous jouons contre la Bulgarie et il faudra le gagner. En cas d'échec, ce ne sera pas une catastrophe, mais après on rencontrera l'Italie et le Danemark, ce qui risque d'être un peu plus dur. Donc, si on peut gagner le premier match, on sera bien parti pour la suite. Maintenant, l'objectif est évidemment de finir parmi les deux premiers et de se qualifier pour les quarts de finale. Le match contre le Danemark sera un peu particulier pour nous, puisqu'il constituera un petit derby scandinave, et on a très envie de jouer contre nos voisins. Le Danemark est une très bonne équipe et je pense que cela donnera un match très intéressant. L'Italie est le gros morceau, le favori du groupe. Mais on a vu au Mondial 2002 qu'il peut y avoir des surprises. Personne n'est sûr de passer le cap du premier tour. On a aussi vu en Ligue des champions que tout le monde peut battre tout le monde. Quant à nos atouts, ils sont essentiellement défensifs, car nous ne prenons que peu de buts. Mais ces dernières années, on a eu des joueurs comme Larsson ou Ibrahimovic qui marquent des buts. Il y a un bon mixage aujourd'hui.
MON PLAN DE CARRIÈRE
Je suis encore jeune, même si j'ai déjà passé quelques années à l'étranger. J'espère continuer à progresser et me retrouver dans une équipe où je prends du plaisir, où j'ai des responsabilités. Au fur et à mesure, j'espère que je passerai de plus en plus dans des grands clubs. Mais on verra bien comment ça se passera, je ne veux pas trop me projeter dans le futur.
l'Alsace

Modifié en dernier par argueti le 14 août 2004 22:27, modifié 1 fois.
L'histoire est en marche ...
- Rcs68
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Pontus Farnerud pas retenu par Deschamps
groupe monégasque
Roma, Audard - Evra, Modesto, Oshadogan, Maicon, Squillaci, Givet – D.Perez, Bernardi, Zikos, Juan, El-Fakiri - Chevanton, Kallon, Adebayor, So.Camara
Blessés : Nonda (cuisse), Plasil (pubalgie)
Suspendu : J.Rodriguez
Choix de l'entraîneur : Gr.Lacombe, P.Farnerud
http://www.football365.fr
Franchement, c'est n'importe quoi. Plutot que de nous faire c***r, Monaco ferait mieux de nous faciliter le prèt de ce joueur au lieu de le faire jouer en CFA
. Avec ce qu'il a apporté que ce soit défensivement ou offensivement, il y aurait encore une place pour lui dans le groupe.
Mais bon, on dirait qu'a Monaco on prefere payer un joueur a etre sur le banc que de le preter en L1.
D'ailleure, quand je vois cette equipe, meme là -bas, il a sa place au milieu.
Roma, Audard - Evra, Modesto, Oshadogan, Maicon, Squillaci, Givet – D.Perez, Bernardi, Zikos, Juan, El-Fakiri - Chevanton, Kallon, Adebayor, So.Camara
Blessés : Nonda (cuisse), Plasil (pubalgie)
Suspendu : J.Rodriguez
Choix de l'entraîneur : Gr.Lacombe, P.Farnerud
http://www.football365.fr
Franchement, c'est n'importe quoi. Plutot que de nous faire c***r, Monaco ferait mieux de nous faciliter le prèt de ce joueur au lieu de le faire jouer en CFA

Mais bon, on dirait qu'a Monaco on prefere payer un joueur a etre sur le banc que de le preter en L1.
D'ailleure, quand je vois cette equipe, meme là -bas, il a sa place au milieu.
Bassila, LePen, Camadini, Pagis, Claude Fichaux..., les jeunes ont un peu de mal. Je crois que c'est sur vous que l'on doit compter cette saison.
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