C'était annoncé que le rachat se faisait par un francais amoureux du RCS, c'est dont vrai.
Alors pourquoi pas, cette article donne au moins l'envie de croire que beaucoup de choses seront faites pour que ce club puisse revenir en L1.
			
			
									
									Alain Fontenla
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Re: Alain Fontenla
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
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Re: Alain Fontenla
Après faut voir aussi que les différents journaux ont pas mal confondu de manière plus ou moins volontaire les qualificatifs de représentants et d'actionnaires. Un chef qui a tout avec un mec qui gère en dessous, au moins ça fait un organigramme simple et efficace, c'est que ce bordel sans nom qu'est le racing commencerait tout doucement à ressembler à un club de foot
			
			
									
									30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- silex57
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Re: Alain Fontenla
C'est pas demain qu'il est censé venir au Racing ? J'avais souvenir d'une promesse de présentation pour ce jeudi ...
			
			
									
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Re: Alain Fontenla
Il tiendra une conférence de presse vendredi
			
			
									
									
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Re: Alain Fontenla
j ai du mal à tout suivre là...j imagine Pelé en ce moment  
			
			
									
									
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Re: Alain Fontenla
L'Alsace a écrit :Alain Fontenla est arrivé
Annoncée initialement pour ce soir, l’arrivée du nouvel actionnaire majoritaire du Racing, Alain Fontenla, est déjà effective. À pied d’œuvre à Strasbourg depuis hier soir, il a rencontré Julien Fournier. Ce dernier souhaitait lui demander de visu ce qu’il avait déjà réclamé par téléphone ces derniers jours : l’assurance que les engagements pris par Roman Loban (Ndlr : un investissement de 10 millions d’euros sur les deux ou trois ans à venir) seraient tenus par l’homme d’affaires français. Ce matin, les deux hommes ont rendez-vous avec le maire de Strasbourg, Roland Ries. Ils lui réserveront la primeur des éclaircissements qu’attend l’Alsace du foot.
L'histoire est en marche ...
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Re: Alain Fontenla
ça va être intéressant dans les prochains jours, on va être réellement fixés sur l'ambition de la nouvelle équipe !
			
			
									
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- argueti
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Re: Alain Fontenla
Heuresement qu'il ne lui a pas demandé ce citer un nom de joueur du clubDNA a écrit :« Ma motivation, c'est la passion »
Il y a désormais un visage à mettre sur un nom. Celui d'Alain Fontenla, tout en rondeur et plutôt enjoué, est apparu hier à la Meinau. Le nouvel actionnaire majoritaire du Racing, un peu gêné d'être ainsi placé en pleine lumière, nous a accordé un entretien lors de sa première journée strasbourgeoise. Le jeune financier français basé à Londres dit être animé par la passion du ballon rond.
Alain Fontenla, entouré de Ralph Isenegger (à gauche) et de Christophe Cornelie (à droite), fait le tour du propriétaire. Et confirme qu'il y aura du changement sur le banc strasbourgeois.
Alain Fontenla - prononcez « Fontainela » - ne s'attendait pas à ça. En l'espace de quelques heures, l'homme est passé d'un milieu confidentiel et feutré, celui de la finance, à un autre qui attire la lumière, là où roule un ballon qui déchaîne tant de passion et peut, parfois, rendre fou.
« Sur le devant de la scène de manière involontaire »
« Je me retrouve sur le devant de la scène de manière involontaire, sourit-il. Maintenant que je suis là, c'est trop tard ! » Cordial et avenant, le nouvel actionnaire principal du Racing ne répond pas exactement au profil de la tête brûlée, prête à s'enflammer de manière inconsidérée pour une équipe de football. Natif de Chambray-lès-Tours, en Indre-et-Loire, voilà 35 ans, Alain Fontenla affiche au contraire des références on ne peut plus sérieuses et, pour tout dire, très cartésiennes. Après avoir fait ses humanités au lycée Louis le Grand, à Paris, il s'est attelé à un DEA de Mathématiques « sur la théorie des jeux » puis à un DESS en finance des marchés. Enseignant à la Sorbonne et à l'Université d'Evry, il bifurque ensuite vers le monde de la banque, où il se spécialise dans la gestion de fonds. Aujourd'hui basé à Londres, où son activité indépendante le conduit à prodiguer « des conseils en investissement pour des personnes très fortunées », celui qui avoue « ne pas être particulièrement préparé » à son nouveau rôle entend donner une nouvelle impulsion au Racing. Même s'il reconnaît sincèrement ne pas savoir grand-chose de ce club.
« J'ai joué au foot pendant quinze ans, comme tout le monde ! »
Hier après-midi, dans un bureau de la Meinau, sa nouvelle maison, Alain Fontenla a donc livré ses premières impressions et évoqué ses ambitions. Entouré de Christophe Cornelie, pressenti pour devenir le président-délégué, et de Ralph Isenegger, avocat genevois au coeur du dossier de rachat, le nouveau patron n'a pas toujours paru à l'aise dans le jeu des questions-réponses, a peiné à se montrer convaincant sur des éléments précis et concrets même s'il ne s'est jamais dérobé. Entretien.
- Comment se déroule votre première journée à Strasbourg ?
- Elle n'est pas de tout repos ! Je suis arrivé hier soir (mercredi) pour faire connaissance avec Julien Fournier, que je n'avais jusque-là eu qu'au téléphone. Ce matin (hier), nous avons été reçus par M. le maire. Et me voilà devant la presse. Je ne suis pas habitué à un tel agenda, moi qui ne suis pas un grand communicant...
- Quels sont vos rapports avec le football ?
- C'est une passion. J'y ai joué pendant quinze ans, chez moi, en Touraine. Comme tout le monde, quoi ! Mais avant d'être entré en contact avec Ralph (Isenegger), je n'avais jamais été impliqué, ni de près, ni de loin dans le milieu du football professionnel.
« Une occasion comme celle-là ne se présente pas tous les jours »
- Pourquoi alors avoir franchi le pas à Strasbourg ?
- Quand Ralph m'a appris que le club était à vendre, je m'y suis intéressé de près. Le Racing est quand même un grand club. Une occasion comme celle-là ne se présente pas tous les jours...
- Votre nom n'est pourtant pas apparu au départ dans l'opération de rachat, qui a été menée par un dénommé Roman Loban, jeune Estonien basé à Londres. Pourquoi ?
- Roman Loban, je ne le connais pas. J'étais a priori censé racheter 50% des parts, l'autre moitié devant lui revenir. Mais il y a eu un cafouillage - c'est un euphémisme - dans notre communication. Comme son arrivée a été accueillie de manière défavorable, M. Loban a décidé de se retirer. J'ai réfléchi et je me suis dit qu'il serait judicieux de racheter 100% des parts.
- Au nom de la société Carousel Finance SA basée à Genève ?
- Non, à titre personnel. Carousel représente mes intérêts. Nous avons déjà fait beaucoup d'affaires ensemble, je siège même au Conseil d'administration. Mais dans ce cas précis, je suis client (il s'interrompt)... Je précise que cette situation n'a rien d'anormale !
« Ma motivation n'est pas d'ordre financier »
- Comprenez-vous que la complexité et le flou de toute l'opération incitent à la méfiance ?
- Je comprends la méfiance des gens. Ce matin (hier), M. le maire avait aussi hâte de connaître notre projet et nos ambitions. Je peux vous assurer que ma motivation n'est pas d'ordre financier. L'investissement dans un club de foot est bien trop aléatoire pour espérer en tirer des dividendes. Ma seule motivation, c'est la passion.
- Avez-vous des liens particuliers avec Strasbourg ?
- Il y a une quinzaine d'années, j'y venais assez régulièrement pour rendre visite à des amis, voilà tout. En revanche, je n'avais jamais mis les pieds au stade. J'essayerai d'y venir le plus souvent possible. Mais comme j'habite à Londres, ce ne sera pas évident d'être là à chaque match. Je vais déjà tâcher de voir celui de dimanche (à 16h contre Thionville) et de rencontrer auparavant les joueurs, si mon emploi du temps me le permet.
« Une situation précaire mais nullement désespérée »
- Dans quel état avez-vous trouvé votre club ?
- Il est dans une situation précaire mais nullement désespérée. Je suis tout à fait confiant dans les moyens et les possibilités de remonter la pente. Pour gérer le sportif, domaine dans lequel je ne compte pas interférer au regard de mes compétences, j'ai nommé quelqu'un de compétent en la personne de Julien Fournier.
- Que faut-il à cette équipe pour sortir de la panade ?
- Un petit électrochoc à tous les niveaux, que ce soit dans l'organisation elle-même, dans l'effectif et dans le jeu.
- Le remplacement de Pascal Janin à la tête de l'équipe est-il entériné ?
- Il va rapidement se passer quelque chose, en effet. Les contacts avec Jacques Santini et Jean-Pierre Papin sont très avancés. Mais je n'ai pas plus de précisions à l'heure actuelle. Ce sera à Julien Fournier de trancher.
« Mon investissement sera suffisant pour se montrer ambitieux »
- Le nouveau PDG a évoqué un investissement de 10 millions d'euros sur les deux ou trois prochaines années. Cela correspond-il à la réalité ?
- On injectera ce qu'il faudra pour que Julien puisse atteindre ses objectifs. Il faudra s'adapter en fonction des besoins. Je ne vais pas parler de chiffres sans connaître la situation exacte du club. Mon investissement a des limites, mais il sera suffisant pour se montrer ambitieux.
- Quelle est aujourd'hui la priorité ?
- Il faut rapidement quitter la zone de relégation pour être certain de repartir en Ligue 2 l'an prochain. Et puis, on me dit que nous ne sommes qu'à seize points du troisième. Pourquoi ne pas rêver de jouer l'accession...
« Je refuse de penser à une relégation »
- C'est une plaisanterie ?
- Non, mathématiquement, tout est encore possible. Aujourd'hui, nous sommes plus proches du National que de la Ligue 1, c'est vrai, mais tout le monde doit se retrousser les manches. Il va certainement se passer des choses au mercato d'hiver. L'idée, c'est de s'appuyer sur des joueurs pivot et d'améliorer la qualité d'ensemble. Ne me demandez pas de noms de recrues, voyez cela avec Julien Fournier !
- Envisagez-vous la relégation ?
- Non, catégoriquement. C'est hors de question. Je refuse même d'y penser. A moyen terme, il faudra accéder en élite et s'y installer de manière durable. D'ici deux ou trois ans, on fera le bilan et verra si la méthode est bonne.
Sébastien Keller
 
   
  
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						- argueti
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Re: Alain Fontenla
Pour le bien du club, ça ne peut qu'être une bonne chose (en bleu) !L'Alsace a écrit :Fontenla en pleine lumière
Absent la semaine passée lors de l’officialisation du rachat du RCS, le nouveau propriétaire Alain Fontenla sort de l’ombre pour exposer son projet et dissiper les doutes qui entourent son arrivée.
Il reconnaît sans détour son erreur. Étranger au milieu du football professionnel, Alain Fontenla a découvert ces derniers jours à ses dépens que le monde du ballon rond constituait une formidable et parfois incontrôlable caisse de résonance. Devant la levée de boucliers qu’a provoquée son intronisation par contumace vendredi dernier, l’homme d’affaires a décidé de passer à l’action.
Arrivé mercredi à Strasbourg, il s’est présenté au maire Roland Ries hier matin, a enchaîné une interview avec les deux quotidiens régionaux l’après-midi (1), rencontrera ce matin (10 h) les actionnaires minoritaires, puis tiendra une conférence de presse élargie à 11 h. Il repartira ce soir, reviendra la semaine prochaine, s’efforcera d’assister à la rencontre du vendredi 18 contre Guingamp et devrait se rendre au Havre le 22.
En quelques jours, A. Fontenla a bien saisi que sa stratégie de communication - ou plutôt son absence de stratégie - avait contribué à donner de lui une image brouillée. « Je ne pouvais pas être là vendredi pour raisons professionnelles. Et il y a eu un cafouillage regrettable, lié au fait que je ne suis pas un pro de la com. Nous nous y sommes mal pris. Je voulais me présenter dans les règles. Je n’ai pas anticipé les répercussions négatives que pourrait avoir mon absence. »
Selon lui, ces mêmes répercussions auraient eu raison de l’Estonien Roman Loban avec lequel il assure n’avoir aucune relation d’affaires. « M. Loban a été refroidi par l’accueil qui nous a été réservé. Nous ne pensions pas être exposés aussi rapidement. Pour l’instant, nous avons encore chacun 50 % des parts de Philippe Ginestet. Mais M. Loban a souhaité se désengager. Avant la fin de l’année, je serai l’unique propriétaire. »
« Un projet réaliste sur plusieurs années »
Un propriétaire qui assure n’avoir pas vocation à interférer dans la gestion sportive du RCS. « Mon objectif est de nous entourer de compétences et de recruter des joueurs de qualité pour compléter l’effectif. Ma priorité était d’introniser à la tête du club quelqu’un qui a fait ses preuves, Julien Fournier en l’occurrence. Je l’ai rassuré et lui ai confirmé que chacun jouerait son rôle : moi, celui d’actionnaire ; lui, celui de président directeur général. Il est en phase d’audit. Sur l’aspect sportif, je n’interviendrai pas. J’ai une totale confiance en lui. Je suis passionné de foot, mais n’ai pas la prétention de modifier moi-même l’organigramme ou recruter. C’est de son ressort. »
Sans promettre la lune, le businessman souhaite redonner au Racing un peu de son lustre passé. « Un club de cette notoriété, dans une ville comme Strasbourg, dont les parts sont à racheter, ça ne court pas les rues. Quand Ralph Isenegger (l’avocat genevois qui a mené les négociations) m’a parlé de cette possibilité, j’ai tout de suite été intéressé. J’ai même accepté le risque de reprendre un club menacé de relégation en National. Nous allons tout faire pour l’éviter. La situation est précaire, mais pas désespérée. En regardant le classement, on se dit qu’avec un cercle vertueux de trois ou quatre victoires, les choses seraient différentes. Le premier objectif est de sortir de l’ornière, d’assurer au plus vite le maintien en L 2 et d’y retrouver une place honorable. Nous allons tout faire pour que la dégringolade ne se poursuive pas. Ensuite, qui sait ? Même si ça va être difficile, la L 1 n’est pas hors de portée. D’ailleurs, à plus long terme, ma volonté est de faire du Racing un club régulièrement bien classé en L 1. Je sais qu’en Alsace, le public est exigeant. Il veut des résultats, mais aussi du beau jeu. Nous arrivons avec un projet réaliste sur plusieurs années. Les résultats devront parler pour nous. Nous sommes là pour faire un travail sérieux. »
Ça tombe bien : le chantier est immense.
Itinéraire d’un enfant gâté
Salarié durant huit ans d’une grande banque française, Alain Fontenla vole de ses propres ailes depuis un an et demi. Cet ancien footballeur rêvait de reprendre un club.
Il dit ne pas s’être caché, mais n’a pas été facile à débusquer. Conscient de l’urgence de se présenter à visage découvert, Alain Fontenla est en ville depuis mercredi soir. Cet homme d’affaires de 35 ans (né le 28 mai 1974 à Chambray-les-Tours et marié) a commencé son cursus au lycée de Loches (Indre-et-Loire), avant de suivre une classe prépa en maths spé au réputé lycée Louis-Legrand à Paris.
Le nouveau patron du Racing obtient ensuite un DEA (diplôme d’études approfondies) de maths appliquées sur les théories du jeu à l’université de Jussieu, puis un DESS (diplôme d’études supérieures spécialisées) de finances de marchés à Paris Dauphine. En 2000, il intègre une grande banque française et va y gravir tous les échelons durant huit ans. « J’ai d’abord été gérant en négociations sur les produits dérivés, puis gérant de fonds communs de placement et de SICAV. J’ai démissionné il y a un an et demi et suis parti à Londres pour y mener une activité indépendante de conseil en investissements auprès de clients fortunés et d’institutionnels. Je suis membre du conseil d’administration de Carousel SA Finance (Ndlr : nos précédentes éditions) dont les activités sont régulées par les autorités financières suisses. »
Ancien stoppeur du Loches Athlétic Club chez les jeunes ( « j’ai joué de 5 à 18 ans »), Alain Fontenla a suivi le RCS dans les années 1990, à l’époque où sa petite amie du moment habitait la région. « Ça relève de la vie privée », rougit-il, peu désireux de s’épancher. « Je n’allais pas très souvent à la Meinau, mais j’ai vu jouer les Frank Leboeuf ou Franck Sauzée. J’aime le Racing. C’est comme ça. Si vous me demandez mon club espagnol préféré, je vous répondrai instantanément La Corogne, parce que mon père est galicien. Avec Strasbourg, c’est pareil. C’était plus un rêve qu’un projet de racheter le club. J’ai eu les moyens de le réaliser. »
Stéphane Godin
(1) Sélectionnés par Julien Fournier pour leur couverture journalière et massive du club.
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Re: Alain Fontenla
C'est quand même un gros bordel cette reprise...
			
			
									
									"Disons que la comparaison qui sert de matrice au raisonement est quelque peu grandiloquante donc peu pertinante, mais il n'y a pas contradiction logique pour autant" Julio 10/05/08 
						

 
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