[10/11] Le Fil Rouge

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télésupporteur
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par télésupporteur »

vu le dépassement de soi testé lors de ce stage commando par une descente en rappel ( en toute sécurité ), je proposerais au racing de faire un stage de survie ( alimentaire ) étalé sur deux jours :!:
par exemple la veille, à partir de 22h, jusqu'au lendemain 8 h du matin :lol:
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fab
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par fab »

DNA a écrit :Place au terrain

Le Racing a évité le pire. La Fédération française de football (FFF) a entendu l'appel du club strasbourgeois, qui réintègre donc le championnat National, troisième échelon hexagonal. Reste désormais à accomplir l'essentiel : retrouver dès la fin de saison une place en Ligue 2.

Les prémonitions de Jean-Claude Plessis, mercredi soir au Rheinstadion de Kehl, se sont avérées exactes. A la fin de la rencontre amicale contre Francfort (défaite 3-2), le président était persuadé que le dossier strasbourgeois allait trouver grâce aux yeux de la DNCG (*), réunie en commission d'appel plus tôt dans la journée à Paris. Hier au petit matin, la Fédération a fini par officialiser la bonne nouvelle, à travers un communiqué laconique au style télégraphique : « Rétrogradation en CFA / Décision : infirme + encadrement de la masse salariale ».

L'heure était au soulagement et aux remerciements

En clair, le club plus que centenaire est sauvé des eaux, ou plutôt de la disparition de la carte du foot pro. Quant à la contrainte salariale, elle est presque anecdotique. « Cela veut dire que la moyenne des salaires versés aux joueurs ne doit pas excéder 6 000 euros », précise Plessis. Ça tombe bien : le Racing n'avait de toute façon pas l'intention de dépenser plus. Hier, l'heure était au soulagement et aux remerciements, en particulier à l'adresse de la mairie. Grâce à l'intervention de la Ville, représentée à l'audition fédérale par Alain Fontanel, adjoint au maire chargé des finances, le dossier strasbourgeois a gagné en consistance et en crédibilité. « Le côté positif dans toute cette histoire, c'est que la peur de voir le club descendre en CFA a permis de fédérer toutes les forces, se réjouit Jean-Claude Plessis. M. Fontanel a joué un rôle prépondérant. Jusque-là, les relations entre ceux que l'on appelle les "Londoniens" et les élus étaient tendues, voire glaciales. Les gens se sont rencontrés, ils se connaissent désormais. Il y a un climat de confiance. » Malgré l'enthousiasme présidentiel, l'entente cordiale décrétée en début de semaine entre les deux parties - après des mois d'opposition parfois véhémente -, est toutefois plus dictée par l'urgence de la situation que par de soudaines accointances.

« L'aide de la Ville a été décisive dans ce dossier »

Les mauvaises langues prétendront même que les actionnaires de Londres ont habilement joué le coup, contraignant Ville et communauté urbaine à mettre la main au porte-monnaie en dernier recours, même si le rachat par la Ville du centre de formation à hauteur de 4 millions d'euros est considéré comme « un investissement et non une aide ». Toujours est-il que cette unité, fut-elle de façade, a pesé dans la balance. « Nous sommes évidemment satisfaits du résultat, précise Alain Fontanel. Je considère que notre soutien a été décisif dans ce dossier, elle a permis de créer une cohérence. Maintenant, il n'est pas concevable que l'on se substitue au rôle des actionnaires privés. Nous allons continuer à accompagner le club, tout en veillant à ce que chacun tienne ses engagements. » Débarrassé de l'épée de Damoclès qui menaçait au-dessus de sa tête, le Racing va désormais pouvoir se mettre au travail. « On n'a pas attendu cette décision pour avancer, rectifie Plessis. Mais maintenant, on va enfin pouvoir se concentrer sur le terrain. » A ce titre, l'équipe de Laurent Fournier est-elle suffisamment armée pour reprendre en fin de saison l'ascenseur vers l'étage supérieur ? A Kehl, Plessis se montrait résolument optimiste face aux supporteurs : « On sera en Ligue 2 l'an prochain, je vous le garantis ! »

« Si loin du mal-être de l'an dernier »

Jusque-là, les Strasbourgeois ont plutôt fait bonne figure - trois victoires, une défaite honorable contre Francfort - lors des matches amicaux. Plessis, qui loue « l'enthousiasme et la manière instillés par Fournier, si loin du mal-être de l'an dernier », n'entend d'ailleurs pas bouleverser l'effectif (lire ci-dessous). Histoire de renforcer les liens entre tous ces jeunes gens, le coach a d'ailleurs emmené ses troupes crapahuter avec les agents d'élite du GIPN, hier, en lieu et place d'un entraînement classique. Le symbole est tout trouvé. Pour remonter, les Bleus devront afficher un esprit commando. Celui qui a fait tant défaut ces dernières saisons.

Séb.K
Si un problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. S'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par Its_me »

L'Alsace a écrit :Robert Félix n’est plus

Une page du Racing Club de Strasbourg s’est tournée à jamais. Hier, à 18 h 35, le cœur de Robert Félix s’est arrêté de battre, épuisé de lutter contre la maladie.

Robert Félix avait 79 ans. Et il était l’intendant « historique » du Racing. Un club qu’il avait intégré par la section amateur en 1950. Il avait ensuite « pris les rênes » de l’équipe professionnelle en 1961 pour inventer une fonction qui n’existait ni à Strasbourg, ni ailleurs : celle d’intendant. « Dans un club, c’est celui qui s’occupe d’organiser les déplacements, les stages d’avant-saison, les matches amicaux, les réservations d’hôtel. Il est également gestionnaire de l’équipement des joueurs. Il faut être un homme de confiance pour l’entraîneur, le staff et les joueurs », aimait-il à expliquer. C’était sans doute là le secret de la longévité à ce poste de Robert Félix, qui avouait sa fierté d’avoir transmis sa passion et sa fonction à son fils Didier en juin 2004.

La rédaction sportive de « L’Alsace » présente ses plus sincères condoléances à la famille en deuil.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par argueti »

DNA a écrit :Le portier est identifié

Le Racing est toujours dans l'attente concernant les joueurs dont les contrats n'ont pas été enregistrés par la Ligue. Par ailleurs, Bill Tchato est à l'essai.

GURTNER N°1. - Laurent Fournier ne désespère pas de renforcer son groupe au mois d'août. Au poste de gardien de but, néanmoins, l'affaire est tranchée : Régis Gurtner, dans l'esprit de l'entraîneur, sera n°1 à l'entame de la saison. « Je pars avec lui dans les cages », souligne-t-il. Dans le même ordre d'idée, Vauvenargues Kéhi, titulaire en Coupe de la Ligue face à Évian (2-2 a.p., 4-5 t.a.b) vendredi dernier, lui inspire confiance. Le technicien explique simplement que le jeune portier doit accumuler du temps de jeu pour poursuivre sa progression. « Il peut être n°2, mais je pense aussi qu'il devra jouer avec la réserve, en CFA2 », conclut Fournier. L'idée de recruter un élément susceptible de renforcer le pool des gardiens fait son chemin, sans que cela ne constitue une priorité.

L'ATTENTE. - Avant tout, le club a les yeux rivés sur un tout autre sujet. Le staff technique est dans l'attente de l'enregistrement de huit contrats, soit la qualification d'un tiers de son effectif. Gurtner, Marcio, Eyenga, Nyatchou Ndema, Genghini, Outrebon, Betsch (blessé) et Abadie n'avaient pas pu prendre part au premier match officiel de la saison. L'entraîneur espère bien pouvoir compter sur eux face à Cannes, à la Meinau, le 14 août. « Avec 14 joueurs, cela me semblerait délicat d'envisager la saison, parce qu'en termes quantitatifs, pour l'instant, on est juste », préfère en rire le coach. La Ligue s'est réunie mercredi. Hier après-midi, le Racing n'avait pas de nouvelles concernant ces qualifications.

MÉNAGÉS. - Le match amical d'Offenbourg, samedi (18h), n'aura qu'une valeur toute relative, l'entraîneur se refusant à « griller » ses hommes avant le début du championnat. Les joueurs qui sont restés 120 minutes sur la pelouse face à Évian ne joueront au maximum qu'une mi-temps. A noter que Milovan Sikimic, abdominaux douloureux, sera ménagé.

PICHOT ENTROUVRE LA PORTE. - Vu à Brunstatt face à Aarau l'espace d'une mi-temps, Stéphane Pichot pourrait rejouer demain soir. Pourtant, le latéral droit ne souhaitait pas vivre une saison en National. « C'est toujours le cas, a indiqué le joueur. Mais il n'y a rien de concret en termes de contacts. Je suis sous contrat. Si je suis convoqué, je répondrai présent. » L'ancien Sochalien a suivi la préparation dans son intégralité. Il se considère prêt physiquement. « Il me manque juste un match amical »... qui pourrait donc être celui d'Offenbourg.

OTHON REPREND DOUCEMENT. - Dans le sens des retours, les seules bonnes nouvelles proviennent de Quentin Othon. Le milieu de terrain, opéré du genou à l'intersaison, a repris la course et mettra le mois d'août à profit pour peaufiner sa forme.

TCHATO A L'ESSAI. - Tout en espérant régler au plus vite la situation des joueurs en « stand by », le Racing continue toutefois à prospecter. Le poste d'arrière gauche reste notamment à pourvoir. Depuis hier, Bill Tchato est à l'essai. Le Camerounais, âgé de 35 ans et vainqueur de la CAN 2002, s'entraînait depuis six mois à Nice. « Olivier Echouafni nous l'a conseillé, explique Laurent Fournier. C'est quelqu'un qui m'intéresse, avec de l'expérience. » Il s'agit d'évaluer si les possibilités salariales du Racing sont à la hauteur de l'attente du joueur.

SANS MARGE DE MANOEUVRE. - Si d'aventure une manne financière, liée au transfert des ex-Strasbourgeois Gameiro ou Niang, devait garnir les caisses du Racing, cela ne signifierait pas pour autant des recrues en cascade. Quoi qu'il arrive, le Racing est soumis à un carcan imposé par la DNCG au moins jusqu'au mercato hivernal. Aucune rentrée d'argent n'offrira de coudées franches supplémentaires au club strasbourgeois. « Même les 100 000 euros que nous avons récupérés sur le départ de Franck Dja Djedje (ndlr : à Arles-Avignon) ne sont pas pris en compte par la Ligue », explique Jean-Luc Witzel, le directeur sportif strasbourgeois. Ainsi, il n'est pas question de laisser partir Bah pour Blackpool, les 500 000 euros proposés n'étant pas considérés comme suffisants.
L'histoire est en marche ...
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argueti
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par argueti »

L'Alsace a écrit : Neuf licenciements demain

La direction du RCS annoncera ce mercredi en comité d’entreprise extraordinaire le départ de neuf salariés. Une décision qui précède de nouvelles coupes franches dans d’autres secteurs d’activités.

Jean-Claude Plessis a beau avoir crié haut et fort que le Racing ne licencierait personne malgré la relégation en National, la situation était devenue intenable. Penser que le club, descendu au 3 e échelon hexagonal, pouvait poursuivre sa galère avec une voilure de Ligue 1 relevait de l’utopie pure et simple. Le 30 mai (« L’Alsace » du lendemain), le président du RCS était pourtant catégorique : « La masse salariale joueurs va baisser de plus de 1,5 million pour sauver le personnel. Nous avons travaillé pour éviter les licenciements. »

Depuis, le préparateur physique Jean-Claude Thiry a été viré pour faute grave. L’entraîneur Pascal Janin a lui aussi été remercié, mais pour des raisons strictement sportives. Une procédure a également été engagée contre l’attachée de direction Valérie Bonjour, assistante de J.-C. Plessis, là aussi pour faute. Enfin, les dirigeants ont signifié au coordinateur sportif Pascal Camadini, sous contrat jusque fin août 2011, qu’ils souhaitaient son départ. Une enveloppe de 30 000 euros a aussitôt été proposée au Bastiais pour solde de tout compte. L’ancien pro l’a refusée. Les avocats des deux parties négocient actuellement pour trouver un accord amiable.

Moins de deux mois et demi après les assertions de Jean-Claude Plessis, la triste réalité financière s’apprête maintenant à rattraper le personnel. Ce mercredi, en comité d’entreprise extraordinaire, la direction annoncera neuf licenciements économiques, comme nous le laissions entendre dans notre édition du 2 juillet. Un chiffre qui ne doit rien au hasard. La notion de plan social, avec toutes les contraintes administratives afférentes, n’intervient qu’à partir de dix licenciements. « Dès qu’il y a plan social, les procédures deviennent beaucoup plus lourdes », explique un spécialiste de ce type d’affaires sur la place strasbourgeoise. « Les dirigeants du Racing se sont arrêtés à neuf pour ne pas se compliquer inutilement la tâche. »

Specht et Wendling révoqués à leur tour ?

A priori, les noms ne seront pas dévoilés demain (1). Mais depuis la convocation de ce CE extraordinaire, son ordre du jour, dans lequel cette charrette est évoquée noir sur blanc, s’est propagé comme une traînée de poudre dans les locaux de la Meinau. « C’est chaud », témoigne un salarié, chacun se demandant s’il sera invité à monter sur l’échafaud.

De fait, si l’identité des sacrifiés sur l’autel budgétaire - dans le respect des conventions collectives - n’est pas communiquée ce mercredi, l’angoissante attente des employés se prolongera de quelques jours, le temps pour les lettres de licenciement de parvenir à leurs destinataires. Ces départs massifs constituent naturellement une première dans l’histoire du club et sont la conséquence directe et fâcheuse de l’inédite relégation au 3 e niveau national.

Sous le contrôle du président délégué Christophe Cornelie, chevalier blanc des finances, le RCS a ainsi entrepris de resserrer les boulons dans tous les domaines. Petit à petit, les actionnaires londoniens, qui maîtrisent déjà à peu près tout, étendent leur champ d’action. Le conseil d’administration réuni mercredi dernier a convoqué une nouvelle assemblée générale le 30 août. Après la révocation de Dominique Pignatelli le 30 juin, les deux derniers administrateurs alsaciens, Léonard Specht (représentant de Robert Lohr qui a tout de même injecté 2,6 millions d’euros dans le club et détient 20 % de la société anonyme sportive professionnelle) et Thierry Wendling (actionnaire à 1,06 % de la holding de tutelle EuroRacing), seront selon toute vraisemblance à leur tour évincés. Seront-ils remplacés par des hommes du duo Hilali - Fontenla ? Difficile à dire pour l’instant.

Cette fin août s’annonce donc extrêmement compliquée, y compris pour le groupe sportif. Alors que huit joueurs attendent toujours l’homologation de leur contrat, certains pourraient bien se retrouver le bec dans l’eau si le RCS n’enregistre aucun nouveau départ et n’allège sa masse salariale, condition sine qua non à leur engagement définitif.

Au-delà du 31 août, date de fermeture du marché des transferts, les Bleus dont les baux n’auraient pas été validés par la Ligue de Football Professionnel ne pourraient être conservés. La liste des chômeurs du Racing s’allongerait encore.

Stéphane Godin

(1) Pascal Camadini, au club en contrat à durée déterminée, n’en fait pas partie.
Et Plessis, il l'a descendu son salaire ?
L'histoire est en marche ...
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par Gotcha »

Enfin, les dirigeants ont signifié au coordinateur sportif Pascal Camadini, sous contrat jusque fin août 2011, qu’ils souhaitaient son départ. Une enveloppe de 30 000 euros a aussitôt été proposée au Bastiais pour solde de tout compte. L’ancien pro l’a refusée. Les avocats des deux parties négocient actuellement pour trouver un accord amiable.
non seulement il n'aura servi à rien, mais en plus il s'accroche tel le vieux morpion :evil:
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par silex57 »

C'est l'amour du club ;)
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par supppourtjs »

C'est surtout un proche de Ginestet.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par Tenor »

L'Alsace en parlait déjà le 2 juillet dernier, donc c'est l'aboutissement de la suite logique que d'éliminer des salariés d'un club qui évolue en National.
Mais ce qui m'étonne dans ces licenciements, c'est que l'on parle aussi de Specht qui possède 20% à travers Lohr ;)
Les financiers londoniens ont bien pris le dessus sur le sportif en attendant, que le club remonte la pente et qui sera peut être un jack pot dans le cas ou il y aurait des montées successives rapides.
C'est loin d'être gagné pour eux avec les alsacos qui restent avec l'arme aux pieds en 2ème ligne ;)
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Re: [10/11] Le Fil Rouge

Message par télésupporteur »

Tenor a écrit :C'est loin d'être gagné pour eux avec les alsacos qui restent avec l'arme aux pieds en 2ème ligne ;)
et la larme à l'oeil :lol:
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