Les Brêves du Football
- NéRiK
 - Secrétaire général@Directoire

 - Messages : 8212
 - Enregistré le : 6 avr. 2005 17:47
 - Localisation : Strasbourg-Neudorf
 
Re: Les Brêves du Football
Abusé  
			
			
									
									Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
						- Kriskool
 - Responsable marketing @Directoire

 - Messages : 4333
 - Enregistré le : 1 juin 2004 18:18
 - Localisation : Stras-Robertsau
 
Re: Les Brêves du Football
Putain ils savent exporter les chnews, mais quant ils faut importer ils sont pas encore doués en nego 
			
			
									
									"Disons que la comparaison qui sert de matrice au raisonement est quelque peu grandiloquante donc peu pertinante, mais il n'y a pas contradiction logique pour autant" Julio 10/05/08 
						- 
				Tenor
 - Manager général@Directoire

 - Messages : 14229
 - Enregistré le : 26 janv. 2008 18:21
 - Localisation : HAGUENAU
 
Re: Les Brêves du Football
on va y arriver bientôt... 
			
			
									
									
						- Its_me
 - Sélectionneur@InfosRacing

 - Messages : 20241
 - Enregistré le : 11 févr. 2003 20:07
 - Localisation : Strasbourg
 
Re: Les Brêves du Football
Le Parisien a écrit :Cinq personnes ont été blessées jeudi dans l'effondrement d'une partie du toit du stade du club de football du FC Twente, à Enschede (est des Pays-Bas). Selon la télévision néerlandaise, les cinq victimes, dont on ne connait pas la gravité des blessures, seraient des ouvriers qui intervenaient dans l'enceinte pour des travaux d'agrandissement.
La police locale a confirmé la présence de victimes sous les décombres.
Selon des témoins cités par l'agence de presse néerlandaise ANP, des ouvriers sont partis en courant au moment de l'effondrement de la toiture. les images impressionnantes montrent un amas de tôles et de poutres métalliques. Aucune rencontre sportive n'était organisée au moment de l'accident.

"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
						- argueti
 - Sélectionneur@InfosRacing

 - Messages : 37462
 - Enregistré le : 16 mai 2003 23:27
 - Localisation : Strasbourg
 - Contact :
 
Re: Les Brêves du Football
So Foot a écrit :Top 10 : Disparus en 2011
Il n’y a pas qu’Amy Winehouse et le News of the World qui nous aient quitté depuis le début de cet été 2011. Quelques clubs, au passé plus ou moins prestigieux, ont également dû tirer leur révérence. Putain de crise économique.
1. FC Gueugnon (France)
En 2000, le FC Gueugnon remporte la Coupe de la Ligue. Un événement historique qui lui permet, entre autres, de participer à la Coupe de l’UEFA. Mais il ne s’agit pas d’un tremplin : l’équipe sombre en effet dans les profondeurs du National. En 2009, Tony Vairelles propose un projet pour aider financièrement le club. Vendu. Gueugnon prospère à nouveau, remonte en Ligue 1, fait signer Ibrahimovic et Iniesta, et remporte la Ligue des Champions. Non, en vrai, au bout d’un an de gestion, les forgerons sont relégués en CFA par la DNCG, avant d’être repêchés en appel. Mais la saison 2010-11 est une cata. Le 8 avril, avec plus un rond en poche, l’équipe est dissoute par le tribunal de Mâcon. L’avenir est en Division d’Honneur (D6). Toujours avec Tony Vairelles ?
2. Sporting Toulon Var (France)
Il fut un temps où le SC Toulon existait dans le panorama des clubs de Ligue 1. Dans les années 80, l’équipe emmenée par Delio Onnis (meilleur buteur de D1 en 1984) obtient d’excellents résultats, comme une cinquième place en 1988. Mais l’âge d’or est de courte durée. L’équipe sudiste est reléguée en deuxième, puis en troisième division. Pire encore, en 1999, endetté jusqu’au cou, le Sporting est rétrogradé en CFA2, puis réduit à néant en cours de saison. L’équipe 2, qui adopte le nom de Sporting Toulon Var, reprend le flambeau, et parvient à remonter jusqu’en National en 2005. Candidats à la montée en Ligue 2, les jaunes et bleus, toujours aussi fauchés, sont finalement exclus, en juillet 2011, de toute compétition nationale. Le club a fait appel. Au mieux, ce sera la DH. Au pire, le week-end devant Canal.
3. Atletico Roma (Italie)
Lors de l’été 2010, la Cisco Roma (ex-Lodigiani) change de nom et devient l’Atletico Roma. Objectif : s’imposer comme la troisième équipe romaine de Serie A. La saison est excellente. L’Atletico Roma termine à la troisième place de Lega Pro 1, et joue les barrages pour accéder à la Serie B. Qualifiée pour la finale, l’équipe chute à 90 minutes d’une historique promotion, en s’inclinant face à la Juve Stabia. C’est alors la chute. Le 17 juillet, le Conseil Fédéral de la Figc exclut l’équipe du championnat à cause d’un manque de structure. Le président fait appel mais ne peut s’engager à avoir un nouveau stade en deux mois. Le 25 juillet, son appel est rejeté. L’Atletico Roma devra renaître dans le championnat d’Excellence Laziale (D6). Sous un nouveau nom ?
4. Ravenna (Italie)
Dans deux ans, le Ravenna Calcio aurait fêté ses 100 ans. Un centenaire qu’il n’attendra jamais. Cette équipe historique, dont le meilleur résultat est une huitième place en Serie B (1996-97), ne pourra plus rêver à une arrivée parmi l’élite. 14ème au terme de la dernière Lega Pro, Ravenna subit, comme l’Atletico Roma, les foudres du Conseil Fédéral au terme de la saison. Le scandale des paris clandestins retarde le rachat du club, qui arrive le 1er juillet, avec plus d’un mois de retard. Du coup, le 18 juillet, la Fédération décide de refuser son inscription au championnat, à cause d’un retard de paiement de deux jours. Le club fait appel, sans succès. Le 25 juillet, Ravenna est officiellement hors du football.
5. Salernitana (Italie)
A la fin des années 90, la Salernitana accède pour la deuxième fois de son histoire à la Serie A. Le bonheur ne dure qu’un an, puisque le club de Salerne redescend immédiatement en B. S’en suivent des années de flou, et une première banqueroute en 2005, qui entraîne une relégation arbitraire en troisième division. Le club remonte, puis fait l’ascenseur. Cette saison, elle accède à la finale des plays-off pour remonter en Serie B, mais perd face au Hellas Vérone. Mais les problèmes financiers sont trop grands. La Salernitana croule sous les dettes, et n’a plus les moyens de survivre. Avant même d’être exclue, elle se déclare en faillite. La Salernitana n’est plus. Un nouveau club verra le jour la saison prochaine : le Salerno Calcio. En Serie D.
6. Universidad Las Palmas (Espagne)
Un grand nombre de clubs espagnols est actuellement englué dans la crise économique. Heureusement, la plupart survit grâce à la Ley Concursal, une loi permettant de suspendre le paiement des dettes sans être déclaré « en faillite ». Mais il arrive que le cas soit désespéré. C’est arrivé à l’Universidad Las Palmas, club de troisième division espagnole fondé en 1994. Lors de ses quatre premières années d’existence, Las Palmas gravit les divisions et se retrouve en D3, puis en D2, en 2000-01. Après s’être finalement stabilisé en D3, le club accumule les dettes jusqu’à atteindre un point de non-retour, cette saison. Début juillet, il est relégué en D4 pour cause de salaires impayés, puis totalement dissous le 7 du même mois. Dur dur, de ne pas avoir les faveurs du Roi.
7. FC Sachsen Leipzig (Allemagne)
Plus de cent années d’existence envolées. C’est la triste histoire du FC Sachsen Leipzig, club allemand créé en 1899 sous le nom originel de Britannia 1899 Leipzig. Champion de RDA en 1951 et 1964, l’équipe prospère jusque dans les années 80. En 1990, après la réunification de l’Allemagne, elle fusionne avec le BCG Chemie Böhlen et prend le nom du FC Sachsen Leipzig. A partir de là, l’ancien club de RDA évolue dans les ligues régionales, et remonte petit à petit jusqu’à la troisième division, entrevoyant l’espoir d’un incroyable retour parmi l’élite. Mais en 2011, le FC Sachsen Leipzig n’a plus d’argent. Le président, aidé par la ville, tente un dernier assaut pour s’inscrire en D5, mais l’inscription lui est refusée. Prends ça le mur de Berlin.
8. FC Unirea Urziceni (Roumanie)
En septembre 2009, l’Europe découvre l’Unirea Urziceni, un club roumain qui vient, pour la première fois, d’être sacré Champion de Roumanie. L’équipe se retrouve propulsée en Ligue des Champions. Avec Dan Petrescu aux manettes, elle se paye de luxe d’aller taper les Rangers à l’Ibrox Stadium (4-1) et passe finalement à un point de la qualification en huitièmes. Cette même année, Urziceni frôle à nouveau le titre de champion. Mais en 2010-11, c’est la dégringolade. Les blancs et bleus sont obligés de vendre des joueurs pour combler les dettes. L’effectif est affaibli, et Urziceni sombre jusqu’à la relégation. En juillet, le président Bucsaru n’a même pas les moyens d’inscrire le club à la D2. Deux ans après avoir brillé en C1, Urziceni appartient déjà au passé. Tristeţe.
9. Sporting Fingal (Irlande)
L’histoire d’un club météorite. Le Sporting Fingal est fondé en 2007, dans un quartier du nord de Dublin. C’est Liam Buckley, l’ancien coach des Shamrock Rovers, qui entraîne l’équipe. En 2008, le club doit participer pour la première fois à la D3 irlandaise. Mais au dernier moment, il se retrouve promu en D2 à cause du forfait de Kilkenny City. Un an plus tard, le Sporting Fingal monte en première division et remporte même la FAI Cup, ce qui lui donne le droit de participer à l’Europa League. Mais en février 2011, le conte de fées s’arrête. A cause d’une forte crise économique, le club ne peut pas continuer à exister et tous les contrats sont rompus. Bref, mais intense.
10. Saturn Oblast Moscou (Russie)
Trop triste de perdre un club avec un nom aussi classe. Son écusson a la forme de la planète Saturne, et son surnom, « les Aliens », envoie du lourd côté charisme. Club attaché à l’image soviétique par excellence, le Saturn Oblast Moscou, aussi connu sous le nom de FC Saturn Ramenskoye, a campé le ventre mou de la première division russe pendant de nombreuses années. Ennemi juré du Lokomotiv, les derbys entre les deux clubs étaient peut-être les plus chauds de la capitale. En 2011, son président, l’ancien chef de l’Armée Rouge Boris Gromov, ne parvient pas à combler les dettes. Cette formation historique déclare banqueroute et, comme l’indique le règlement russe, est rayée de la carte. Le nom du Saturn continuera à exister via l’équipe réserve, le Saturn 2, actuellement en D4. Saturn funéraire.
Eric Maggiori
L'histoire est en marche ...
						- 
				télésupporteur
 - Manager général@Directoire

 - Messages : 14297
 - Enregistré le : 3 juin 2004 13:56
 - Localisation : Mont-de-Marsan - Landes
 
Re: Les Brêves du Football
donc le racing n'est pas encore un club prestigieux  
			
			
									
									
						- PoY
 - Manager général@Directoire

 - Messages : 12233
 - Enregistré le : 9 nov. 2003 21:26
 - Localisation : 45
 
Re: Les Brêves du Football
On a surtout pas encore totalement disparu (sinon ils auraient aussi mis Grenoble  
 ) 
			
			
									
									
						- 
				Tenor
 - Manager général@Directoire

 - Messages : 14229
 - Enregistré le : 26 janv. 2008 18:21
 - Localisation : HAGUENAU
 
Re: Les Brêves du Football
Bitteres Aus im DFB-Pokal
31.07.2011
Auch den SC Freiburg hat es erwischt.
Das Team von Trainer Marcus Sorg scheiterte ausgerechnet bei dessen Pflichtspiel-Premiere als SC-Chefcoach in der ersten DFB-Pokalrunde mit 2:3 (1:1) beim Drittligisten SpVgg Unterhaching.
ça commence mal
			
			
									
									
						31.07.2011
Auch den SC Freiburg hat es erwischt.
Das Team von Trainer Marcus Sorg scheiterte ausgerechnet bei dessen Pflichtspiel-Premiere als SC-Chefcoach in der ersten DFB-Pokalrunde mit 2:3 (1:1) beim Drittligisten SpVgg Unterhaching.
ça commence mal
- Its_me
 - Sélectionneur@InfosRacing

 - Messages : 20241
 - Enregistré le : 11 févr. 2003 20:07
 - Localisation : Strasbourg
 
Re: Les Brêves du Football
C'est quand même vachement rare :
			
			
									
									Eurosport a écrit :Javi Poves plaque le foot "où tout n'est qu'argent"'
Un joueur de foot professionnel, le défenseur du Sporting Gijon Javi Poves, a rompu son contrat pour quitter le monde du football. Selon un porte-parole du club mardi, il était trop ecoeuré par le monde du football où "tout n'est qu'argent".
"Plus tu connais le football, plus tu te rends compte que tout n'est qu'argent, que c'est pourri, et tu perds un peu tes illusions", avait déclaré le joueur, cité par le quotidien El Pais. Avant de quitter son équipe, Poves avait demandé à ce que son salaire ne soit pas versé sur son compte bancaire, pour ne pas encourager la spéculation. Il avait aussi refusé une voiture offerte par une entreprise aux joueurs du club.
Se définissant comme "anti-système", le joueur qui va reprendre ses études d'histoire s'était dit partisan "d'aller dans les banques pour les brûler et couper des têtes".
Il a également refusé de s'identifier au mouvement des "indignés", né à la mi-mai autour d'un même ras-le-bol, rassemblant jeunes, chômeurs, salariés ou retraités sur la Puerta del Sol à Madrid. "C'est un mouvement créé intentionnellement par les médias pour canaliser ce mal-être social et pour que cette étincelle ne devienne pas dangereuse et incontrôlable pour le système", avait-il déclaré au site d'information lainformacion.com.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
						- 
				Stan
 - Président@Directoire

 - Messages : 15743
 - Enregistré le : 14 août 2002 21:22
 - Localisation : Landes
 
Re: Les Brêves du Football
Rare de garder ses convictions de gaucho quand tu gagnes autant d'argent, et de les assumer de telle manière !
			
			
									
									
						
                
 Les inscriptions au forum sont rouvertes