Arsenal

[RACING1906]

Ce n'était pas un grand joueur mais quel entraîneur !

Il aurait pu, s'il l'avait voulu, être sélectionneur de l'équipe de FRANCE.

Dommage qu'il ne s'intéresse pas au RACING.

[RACING1906]

WENGER DANS LE MILLE

Débarqué à Arsenal en 1996 dans l’anonymat le plus complet, Arsène Wenger va vivre 18 ans plus tard son 1000e match à la tête des Gunners, demain, lors d’un derby londonien épicé contre Chelsea.

« Arsène qui ? » , n’avait pu s’empêcher de titrer à l’époque l’Evening Standard, plein de défiance à l’égard de l’ex-entraîneur de Monaco, arrivé de Nagoya au Japon et inconnu dans le Royaume au moment de remplacer Bruce Rioch le 30 septembre. « On s’est demandé ce que ce Français qui portait des lunettes et ressemblait à un professeur pouvait bien connaître au football » , a ensuite reconnu son ex-capitaine Tony Adams.

Quasiment deux décennies plus tard, l’ex-empire s’accorde unanimement à reconnaître certains mérites à l’Alsacien de 64 ans. Et, même s’il n’a pas que des émules, l’Angleterre reconnaît que les méthodes et le savoir-faire de ce dandy austère ont grandement aidé à transformer un football puissant mais poussiéreux. « C’est un faiseur de miracle qui a révolutionné le club », assure l’ex-vice président David Dein. « Il a changé la face du foot anglais » , surenchérit même l’ancien joueur de Liverpool Jamie Carragher, devenu consultant.

La première moitié de son séjour londonien, jusqu’à son dernier titre en 2005, restera comme son chef-d’œuvre, avec notamment trois titres de champion et quatre Coupes d’Angleterre. Dont un mémorable premier doublé coupe-championnat dès sa 2e saison en 1998 et surtout un 3e titre de champion en 2004 avec une invincibilité préservée toute la saison et étendue ensuite à 49 matches d’affilée. Un exploit que personne n’avait réalisé depuis Preston North End en 1889. Et peut-être sa plus grande fierté.

La réalité comptable l’a ensuite rattrapé et le diplômé d’économie attend un trophée depuis maintenant neuf ans. Car, à la différence de ses rivaux, Wenger n’a jamais cédé à la course à l’armement et a toujours préféré construire un club sain financièrement, privilégiant le recrutement malin. Obligé de vendre ses pépites (van Persie, Fabregas, Nasri) pour équilibrer les comptes et financer la construction de l’Emirates Stadium, Arsenal s’est fait peu à peu distancer avant de revenir dans la course cette saison.

« Un jour, quand je me retournerai, je serai fier »

L’exploit de Wenger est alors d’avoir su ne jamais descendre en mai en dessous de la 4e place et d’avoir toujours assuré sa place en Ligue des champions. Néanmoins, la finale de C1 perdue en 2006 contre le Barça à la suite de l’exclusion rapide de Lehmann (2-1) est une douleur vive chez le discret technicien, déjà battu en 2000 en finale de C3 par Galatasaray aux tirs au but (0-0).

Son autre grande qualité est d’avoir su manœuvrer en douceur pour régénérer l’ancien « Boring Arsenal » («l’ennuyeux Arsenal ») et en faire une marque. Il a ainsi misé au début sur de jeunes Français prometteurs comme Vieira ou Henry avant de s’internationaliser un peu sans perdre sa fibre pour façonner des talents précoces en vedettes mondiales. « Je suis sûr qu’un jour, quand je me retournerai, je serai fier, a-t-il reconnu du bout des lèvres cette semaine. Surtout de mes premières années car la 2e période a été plus compliquée, sans trophée. J’ai initié un changement compliqué. J’ai accepté de rester en sachant qu’on avait seulement une petite chance d’être champion ».

« C’est un grand honneur d’être là depuis aussi longtemps et personne ne pouvait imaginer cela. Dans ce métier, on ne voit pas plus loin que le prochain match mais parfois, petit à petit, on parvient au 1000e » , poursuivait-il. Son buste trône déjà dans le stade aux côtés de celui de la légende Herbert Chapman. « Arsène est intrinsèquement lié au club. C’est difficile d’imaginer Arsenal sans lui » , témoigne le DG actuel Ivan Gazidis. « C’est un entraîneur incroyable fait pour ce club. Ses équipes jouent bien et son stade est plein chaque semaine » , synthétise le rival écossais Ferguson, avare de mots mais pour une fois pas de compliments. C’est dire !

lalsace.fr

[Kaniber]

On en a déjà parler , il ne viendra jamais au Racing , ou du moins il ne mettra jamais du pognon dans le Racing

[Kaniber]

[quote="RACING1906"]Ce n'était pas un grand joueur mais quel entraîneur !

j'en connais un autre , pour c'qui est de joueur , mais par contre celui que je connais et aussi un piètre Entraineur

[RACING1906]

Pas la peine de me faire un dessin

[Kaniber]

[Its_me]

Alors je me suis déjà énervé avec la défaite du Racing ... mais là c'est encore pire devant Chelsea - Arsenal.
Après 20 minutes Arsenal s'est déjà pris 3 buts et un carton rouge !

[Gotcha]

regarde nimes lens, tu seras plus zen et t'en auras rien à foutre

[Kaniber]

Alors je me suis déjà énervé avec la défaite du Racing ... mais là c'est encore pire devant Chelsea - Arsenal.
Après 20 minutes Arsenal s'est déjà pris 3 buts et un carton rouge !

Chelsea les buts
S. Eto'o 5' A. Schürrle 7' E. Hazard 17' (pen.) Oscar 42' ,66' M. Salah 71'

Chelsea 6 - 0 Arsenal

Arsenal vit un véritable cauchemar pour la 1000e d'Arsène Wenger sur le banc londonien. Le manager français n'a jamais connu un tel revers, même si l'écart est le même que lors de sa plus grosse défaite, face à MU (8-2), le 28 août 2011.

Arsenal connaît une nouvelle défaite majeure lors d'un déplacement sur la pelouse d'un prétendant au titre, après le 6-3 encaissé à Manchester City et le 5-1 à Liverpool.
Chelsea adresse en tout cas un message fort au Paris Saint-Germain, son futur adversaire en quart de finale de la Ligue des champions; même si Arsenal a grandement facilité la tâche des Blues cet après-midi.

Notre Ami Arsène doit en tirer une tronche

[Kaniber]

Arsenal-Wenger: "C'était un accident"
Publié le 25 mars 2014
Orange sports
Ce mardi, Arsenal reçoit la visite de Swansea City en match en retard de la 29e journée de Premier League. Après le naufrage de Stamford Bridge face à Chelsea (6-0), la prestation des Gunners sera forcément suivie de près. Pour sa part, Arsène Wenger ne semble pas inquiet. "Nous sortions de deux matches convaincants face au Bayern Munich et à Tottenham, avec deux belles performances défensives à la clef, donc cette défaite contre Chelsea était un accident, a commenté le manager londonien sur la télévision officielle du club. Comment se remet-on d'un tel accident ? On répare les dégâts et on passe à autre chose, donc au prochain match".

Bin oui on peut le prendre de cette façon