L'Equipe 2 - Championnat de National 3
- Alex Barotchais
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De tout leur coeur 

  
Les stagiaires du Racing sont rentrés le coeur lourd sur la pelouse, hier. Tous pointaient de l'index le ciel. (Photo DNA - Laurent Réa)
Les stagiaires du Racing ont remporté, hier, le derby alsacien contre Mulhouse. Marqués par le décès de Fabrice Viau, ils voulaient rendre hommage à leur coéquipier ainsi qu'à sa famille. Un match d'une rare émotion, qui aura montré à quel point ils étaient attachés à leur camarade.
RC Strasbourg II 4
FC Mulhouse 1
Stade Jean-Nicolas Muller. 330 spectateurs. Mi-Temps : 3-1. Arbitre : M. Moreira assisté de MM. Antoni et Uhl. Les buts : Moukouri (3e'), Momha (5e'), Mphela (41e'), N'Diaye (72e') pour Strasbourg II ; Bradaia (89e') pour Mulhouse.
Avertissements : Arrache (20e'), Abdessadki (54e'), Kobylik (65e') à Strasbourg II ; Yenga (43e'), Milliet (56e') à Mulhouse. Expulsions : Sam (90e') à Strasbourg II ; Milliet (67e') à Mulhouse.
RC STRASBOURG II : Delin - Bellaid, Sam, Sow, Momha - Kobylik, Faty, Abdessadki (Sylvestre, 80e'), Arrache (Ulm, 46e') - Moukouri (cap.), Mphela (N'Diaye, 46e').
FC MULHOUSE : Lovergne (cap.) - Chavrondier, Yenga, Tjock (Milliet, 46e'), Eglin (Kovacevic, 46e') - Camara (Bader, 66e'), Fischer, Demuth, Ferreira - Nanni, Bradaia.
Pas de cris de joie. Juste l'impression d'avoir fait ce qu'ils devaient faire. Rien de plus. Comment pouvait-il en être autrement, d'ailleurs ? Touchés en plein coeur par la disparition de Fabrice Viau (voir notre édition d'hier), les stagiaires du Racing ne souhaitaient et ne pouvaient pas fêter leur victoire sur Mulhouse.
Alors ils sont sortis du terrain comme ils y étaient entrés. Ensemble, émus, en silence. En pensant très fort à leur camarade. Une vive émotion a flotté dans les vestiaires, quand la soeur, la mère, le père et la compagne de Fabrice Viau sont venus remercier les jeunes Strasbourgeois.
L'index vers le ciel
Car c'était évidemment l'unique mot d'ordre pour ces 90' là . Alors ils ont mis tout ce qu'ils avaient sur le terrain. Leur coeur, surtout. C'est l'âme triste qu'ils sont entrés sur la pelouse. Salim Arrache et Benjamin Delin, le maillot de Viau dans les mains, étaient suivis du reste du groupe qui pointait, de l'index, le ciel. Comme pour dire que, désormais, il y aura une part d'eux-mêmes là -haut. A tout jamais.
Moment rare, chargé d'émotion. Comme l'était la minute de silence. Une minute beaucoup trop intense pour beaucoup et qui laissait des traces de rouge au fond des yeux.
La rencontre, presque anecdotique donc au vu de l'environnement, n'était finalement qu'une histoire de coeur, d'envie, d'amitié. Les stagiaires, hier, ont joué en hommes. Leur réaction sur leur premier but, signé Moukouri (3e'), en était un parfait exemple. Là aussi, pas de cris de joie, juste le besoin d'aller derrière le but embrasser la famille du défunt.
« La moindre des choses »
Momha (5e'), Mphela (41e') et N'Diaye (72e') célébraient tout aussi sobrement leur but. « Gagner ce match, c'était la moindre des choses que l'on pouvait faire », se contentera de dire Jean-Marc Kuentz à la fin du match.
Les stagiaires voulaient rendre hommage à Fabrice Viau. Sur tout ce qu'ils ont montré avant, pendant et après ce match, ils peuvent être fiers d'eux. Ils ont agi en hommes.
			
			
									
									
Les stagiaires du Racing sont rentrés le coeur lourd sur la pelouse, hier. Tous pointaient de l'index le ciel. (Photo DNA - Laurent Réa)
Les stagiaires du Racing ont remporté, hier, le derby alsacien contre Mulhouse. Marqués par le décès de Fabrice Viau, ils voulaient rendre hommage à leur coéquipier ainsi qu'à sa famille. Un match d'une rare émotion, qui aura montré à quel point ils étaient attachés à leur camarade.
RC Strasbourg II 4
FC Mulhouse 1
Stade Jean-Nicolas Muller. 330 spectateurs. Mi-Temps : 3-1. Arbitre : M. Moreira assisté de MM. Antoni et Uhl. Les buts : Moukouri (3e'), Momha (5e'), Mphela (41e'), N'Diaye (72e') pour Strasbourg II ; Bradaia (89e') pour Mulhouse.
Avertissements : Arrache (20e'), Abdessadki (54e'), Kobylik (65e') à Strasbourg II ; Yenga (43e'), Milliet (56e') à Mulhouse. Expulsions : Sam (90e') à Strasbourg II ; Milliet (67e') à Mulhouse.
RC STRASBOURG II : Delin - Bellaid, Sam, Sow, Momha - Kobylik, Faty, Abdessadki (Sylvestre, 80e'), Arrache (Ulm, 46e') - Moukouri (cap.), Mphela (N'Diaye, 46e').
FC MULHOUSE : Lovergne (cap.) - Chavrondier, Yenga, Tjock (Milliet, 46e'), Eglin (Kovacevic, 46e') - Camara (Bader, 66e'), Fischer, Demuth, Ferreira - Nanni, Bradaia.
Pas de cris de joie. Juste l'impression d'avoir fait ce qu'ils devaient faire. Rien de plus. Comment pouvait-il en être autrement, d'ailleurs ? Touchés en plein coeur par la disparition de Fabrice Viau (voir notre édition d'hier), les stagiaires du Racing ne souhaitaient et ne pouvaient pas fêter leur victoire sur Mulhouse.
Alors ils sont sortis du terrain comme ils y étaient entrés. Ensemble, émus, en silence. En pensant très fort à leur camarade. Une vive émotion a flotté dans les vestiaires, quand la soeur, la mère, le père et la compagne de Fabrice Viau sont venus remercier les jeunes Strasbourgeois.
L'index vers le ciel
Car c'était évidemment l'unique mot d'ordre pour ces 90' là . Alors ils ont mis tout ce qu'ils avaient sur le terrain. Leur coeur, surtout. C'est l'âme triste qu'ils sont entrés sur la pelouse. Salim Arrache et Benjamin Delin, le maillot de Viau dans les mains, étaient suivis du reste du groupe qui pointait, de l'index, le ciel. Comme pour dire que, désormais, il y aura une part d'eux-mêmes là -haut. A tout jamais.
Moment rare, chargé d'émotion. Comme l'était la minute de silence. Une minute beaucoup trop intense pour beaucoup et qui laissait des traces de rouge au fond des yeux.
La rencontre, presque anecdotique donc au vu de l'environnement, n'était finalement qu'une histoire de coeur, d'envie, d'amitié. Les stagiaires, hier, ont joué en hommes. Leur réaction sur leur premier but, signé Moukouri (3e'), en était un parfait exemple. Là aussi, pas de cris de joie, juste le besoin d'aller derrière le but embrasser la famille du défunt.
« La moindre des choses »
Momha (5e'), Mphela (41e') et N'Diaye (72e') célébraient tout aussi sobrement leur but. « Gagner ce match, c'était la moindre des choses que l'on pouvait faire », se contentera de dire Jean-Marc Kuentz à la fin du match.
Les stagiaires voulaient rendre hommage à Fabrice Viau. Sur tout ce qu'ils ont montré avant, pendant et après ce match, ils peuvent être fiers d'eux. Ils ont agi en hommes.
L'histoire est en marche ...
						- argueti
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Cueillis à  froid 
Vesoul 2
RC Strasbourg II 0
Stade René-Hologne. - Mi-temps : 2-0. 300 spectateurs. Arbitre : M. Mathy.
Les buts : Cossi (1re') et Clerval (6e'). Avertissements : Soulagnet (56e'), Djebi-Zadi (59e') à Vesoul ; Sow (69e') à Strasbourg.
VESOUL : Noël, Giuranna, Soulagnet, Paul, Maire (Crevat 57e'), Djebi-Zadi, Clerval, Perrot, Cossi (Nkoulou 80e'), Boulanger, Abda (Masselin 75e').
STRASBOURG : Delin, Momha, Vergerolle, Savane, Sow, Keita, Ulm, Bellaid, Mphela, N'Diaye (N'Sangu 63e'), Batomenila (Imbs 48e').
Les courageux qui viennent régulièrement braver la météo hivernale du côté du stade René-Hologne avaient pris l'habitude, bon an mal an, de gérer leur frustration. Et de voir leurs nerfs mis à contribution. Hier, le scénario fut radicalement différent. Et il ne fallait pas être en retard ! Les uns en terminaient à peine avec la narration de leur semaine, les autres pas encore assis cherchaient un coin au sec. Du côté des bancs locaux et visiteurs, on en était encore au plan d'occupation. Bref, un rituel classique d'avant-match. Mais les Vésuliens avaient décidé de prendre tout le monde à contre-pied. Y compris la défense alsacienne d'ailleurs...
Sur le coup d'envoi, en quelques secondes, le ballon arrivait à 25 mètres du but de Delin. Une frappe tendue d'Abda obligeait ce dernier à intervenir, sans passer par le round d'observation. La claquette du portier alsacien atterrissait sur Cossi qui exécutait la sentence devant le but vide.
En moins d'une minute, Vesoul avait construit le scénario idéal et menait à la marque. Une chose suffisamment rare cette saison pour l'apprécier à sa juste valeur. Et ce premier uppercut au menton allait être suivi d'un direct du droit quelques minutes plus tard. Sur sa deuxième percée, Vesoul allait faire mouche. Perrot, à deux doigts de devancer Delin de la tête, obtenait un corner confié à la patte gauche de Boulanger. Ce dernier, en métronome, déposait le cuir sur la tête de Clerval, au coeur des six mètres. 2-0, le KO parfait.
Proche du KO
Evidemment, cette entame arrosait les bonnes intentions locales d'un coulis de sérénité. Là encore, une soirée tranquille à Vesoul, cela faisait si longtemps... Alors les Vésuliens lâchaient les chevaux face à un adversaire sonné et compté. Après une première alerte consécutive à une tête de Boulanger (11e'), Delin, le portier visiteur, se joignait aux spectateurs pour regarder une tentative de Paul flirter avec sa lucarne (16e'). Strasbourg ne pouvait pas en rester là et devait enclencher la première. Et durant le dernier quart d'heure de ce premier acte, Noël dut chausser les gants. Sans gros danger tout de même.
Au retour des vestiaires, Strasbourg montait encore d'un cran. Loi des vases communicants, Vesoul voyait tomber dans sa besace des contres synonymes de KO définitif. Delin claquait une frappe de Abda (47e'). Sow sauvait sur sa ligne un lob gagnant de Cossi (52e') alors que Boulanger (sur son mauvais pied) ratait une occasion en or (69e'). Et comme de l'autre côté le Vesoul connaissait deux chaudes alertes (situation confuse, 59e' ; claquette de Noël, 62e'), le clan local n'était pas complètement tranquille.
Bloc renforcé
Claude Robin jouait logiquement la sécurité en sortant un attaquant (Abda) pour passer à cinq derrière. On ferme la boutique ! Et les dernières velléités alsaciennes s'échouaient sur ce bloc renforcé. Vesoul tenait son deuxième succès consécutif après le nul lyonnais.
			
			
									
									Vesoul 2
RC Strasbourg II 0
Stade René-Hologne. - Mi-temps : 2-0. 300 spectateurs. Arbitre : M. Mathy.
Les buts : Cossi (1re') et Clerval (6e'). Avertissements : Soulagnet (56e'), Djebi-Zadi (59e') à Vesoul ; Sow (69e') à Strasbourg.
VESOUL : Noël, Giuranna, Soulagnet, Paul, Maire (Crevat 57e'), Djebi-Zadi, Clerval, Perrot, Cossi (Nkoulou 80e'), Boulanger, Abda (Masselin 75e').
STRASBOURG : Delin, Momha, Vergerolle, Savane, Sow, Keita, Ulm, Bellaid, Mphela, N'Diaye (N'Sangu 63e'), Batomenila (Imbs 48e').
Les courageux qui viennent régulièrement braver la météo hivernale du côté du stade René-Hologne avaient pris l'habitude, bon an mal an, de gérer leur frustration. Et de voir leurs nerfs mis à contribution. Hier, le scénario fut radicalement différent. Et il ne fallait pas être en retard ! Les uns en terminaient à peine avec la narration de leur semaine, les autres pas encore assis cherchaient un coin au sec. Du côté des bancs locaux et visiteurs, on en était encore au plan d'occupation. Bref, un rituel classique d'avant-match. Mais les Vésuliens avaient décidé de prendre tout le monde à contre-pied. Y compris la défense alsacienne d'ailleurs...
Sur le coup d'envoi, en quelques secondes, le ballon arrivait à 25 mètres du but de Delin. Une frappe tendue d'Abda obligeait ce dernier à intervenir, sans passer par le round d'observation. La claquette du portier alsacien atterrissait sur Cossi qui exécutait la sentence devant le but vide.
En moins d'une minute, Vesoul avait construit le scénario idéal et menait à la marque. Une chose suffisamment rare cette saison pour l'apprécier à sa juste valeur. Et ce premier uppercut au menton allait être suivi d'un direct du droit quelques minutes plus tard. Sur sa deuxième percée, Vesoul allait faire mouche. Perrot, à deux doigts de devancer Delin de la tête, obtenait un corner confié à la patte gauche de Boulanger. Ce dernier, en métronome, déposait le cuir sur la tête de Clerval, au coeur des six mètres. 2-0, le KO parfait.
Proche du KO
Evidemment, cette entame arrosait les bonnes intentions locales d'un coulis de sérénité. Là encore, une soirée tranquille à Vesoul, cela faisait si longtemps... Alors les Vésuliens lâchaient les chevaux face à un adversaire sonné et compté. Après une première alerte consécutive à une tête de Boulanger (11e'), Delin, le portier visiteur, se joignait aux spectateurs pour regarder une tentative de Paul flirter avec sa lucarne (16e'). Strasbourg ne pouvait pas en rester là et devait enclencher la première. Et durant le dernier quart d'heure de ce premier acte, Noël dut chausser les gants. Sans gros danger tout de même.
Au retour des vestiaires, Strasbourg montait encore d'un cran. Loi des vases communicants, Vesoul voyait tomber dans sa besace des contres synonymes de KO définitif. Delin claquait une frappe de Abda (47e'). Sow sauvait sur sa ligne un lob gagnant de Cossi (52e') alors que Boulanger (sur son mauvais pied) ratait une occasion en or (69e'). Et comme de l'autre côté le Vesoul connaissait deux chaudes alertes (situation confuse, 59e' ; claquette de Noël, 62e'), le clan local n'était pas complètement tranquille.
Bloc renforcé
Claude Robin jouait logiquement la sécurité en sortant un attaquant (Abda) pour passer à cinq derrière. On ferme la boutique ! Et les dernières velléités alsaciennes s'échouaient sur ce bloc renforcé. Vesoul tenait son deuxième succès consécutif après le nul lyonnais.
L'histoire est en marche ...
						- 
				PSYKO
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- Messages : 112
- Enregistré le : 10 janv. 2004 22:26
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13  	Nancy B	37 	17 	5 	5 	7 	15 	17 	-2
14 Jura Sud Foot 36 17 5 4 8 19 28 -9
15 Strasbourg B 34 17 5 2 10 20 26 -6
16 Vesoul 33 17 4 4 9 17 29 -12
17 Chapelle Luc 32 17 4 3 10 14 25 -11
18 Troyes B 24 17 0 7 10 12 32 -20
Ca c'était le classement avant leur défaite, donc oui ils sont désormais relégables. Et perdre 2-0 contre celui qui était pire qu'eux ben çà montre qu'en fin de saison la CFA2 est au bout ...
			
			
									
									
						14 Jura Sud Foot 36 17 5 4 8 19 28 -9
15 Strasbourg B 34 17 5 2 10 20 26 -6
16 Vesoul 33 17 4 4 9 17 29 -12
17 Chapelle Luc 32 17 4 3 10 14 25 -11
18 Troyes B 24 17 0 7 10 12 32 -20
Ca c'était le classement avant leur défaite, donc oui ils sont désormais relégables. Et perdre 2-0 contre celui qui était pire qu'eux ben çà montre qu'en fin de saison la CFA2 est au bout ...
- seb
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J'espère qu'on va se maintenir... mais malgré tout il faut être indulgent.
Beaucoup des joueurs du groupe devraient jouer normallement en "- de 18ans"... C une volonté du club de confronter les jeunes promoteurs au rude championnat de CFA. C'est sensé les aguérir.
Alors oui, il faut qu'ils se maintiennent, mais leur classement n'est pas important. Et nos jeunes progressent et prennent du métier match apres match... et c bien l'essentiel.
			
			
									
									
						Beaucoup des joueurs du groupe devraient jouer normallement en "- de 18ans"... C une volonté du club de confronter les jeunes promoteurs au rude championnat de CFA. C'est sensé les aguérir.
Alors oui, il faut qu'ils se maintiennent, mais leur classement n'est pas important. Et nos jeunes progressent et prennent du métier match apres match... et c bien l'essentiel.
- 
				PSYKO
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CFA : victoire écrasante en amical
L'équipe de Jean-Marc Kuentz et Jacky Canosi, qui devait accueillir Moissy Cramayel samedi à l'occasion de la 19e journée du CFA, a finalement disputé un match amical contre Vauban (CFA2). Les bleus et blancs n'ont pas fait de détail et l'ont emporté 8 à 0. Rudy Carlier, auteur d'un triplé, David Ulm et Talla N'Diaye, tous deux auteurs d'un doublé, et Yannick Imbs ont marqué.
Détection
Une journée de détection sera organisée demain au centre pour des joueurs de Strasbourg et de la CUS nés en 1992 et 1993. Tous ont subi une pré-sélection.
 
			
			
									
									L'équipe de Jean-Marc Kuentz et Jacky Canosi, qui devait accueillir Moissy Cramayel samedi à l'occasion de la 19e journée du CFA, a finalement disputé un match amical contre Vauban (CFA2). Les bleus et blancs n'ont pas fait de détail et l'ont emporté 8 à 0. Rudy Carlier, auteur d'un triplé, David Ulm et Talla N'Diaye, tous deux auteurs d'un doublé, et Yannick Imbs ont marqué.
Détection
Une journée de détection sera organisée demain au centre pour des joueurs de Strasbourg et de la CUS nés en 1992 et 1993. Tous ont subi une pré-sélection.

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