Ultra Boys 90 (UB90)
- Kaniber
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Moi aussi je suis en Ouest haut secteur D rang U
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Tu t'en fous tu vas jamais au stade
- Kaniber
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Si tu parles de moi, il faut vraiment avoir des nerfs pour regarder tout un championnat, surtout avec les matchs qu'il on fait, et cela depuis le CFA2, si cette année on verra du football et n'ont des danseurs d'opérette j'y serais toute la saison .
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
si tu parles de moi, je vais sélectionner en L2 ceux qui m'intéressent vraiment et où il pourrait y avoir une saveur particulière et tu sais à quel endroit ?
je l'avais déjà signalé, en populaire debout, oui Monsieur
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- Kaniber
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
dna a écrit :« Racing, tes supporters sont là »
Ils étaient 18 000 supporters pour ce premier match strasbourgeois de la saison, pas mal pour un 6 août. Pour la première fois, le club des Ultra Boys a pris ses aises en tribune ouest, tandis qu’à l’est, des animations pour les enfants étaient inaugurées.
« Jetzt gehts los, jetzt gehts los… », scande Nicolas, 21 ans, d’Ergersheim, appuyé contre une rambarde, le bras levé. Ce membre des Ultra Boys 90 apprécie le passage du quart de virage nord-ouest à la grande tribune ouest : « Ça va faire comme une marée bleue. Un mur bleu, comme à Dortmund ! » Il vient à la Meinau depuis qu’il a sept ans : « Je suis toujours resté ! » Et il savoure déjà la suite : « On va monter au plus haut niveau, on va rejouer contre des grands clubs… »
« On voulait l’ambiance »
« Allez Racing, allez ! » « Si t’es Strasbourgeois, lève-toi… » Dès avant le coup de sifflet, les supporters donnent de la voix et n’arrêtent pas, encouragés au micro par les « capos ». Les supporters font un beau « tifo » en bleu et blanc et c’est parti. Pas question pour ceux qui ont leurs places numérotées juste derrière la longue banderole des Ultra Boys de rester assis. D’abord, ils ne verraient rien et de toute façon, c’est difficile de ne pas bouger dans le voisinage du club de supporters : tout le monde est mis à contribution pour pousser l’équipe.
Leur ancien président Olivier Kost, supporter depuis la fin des années 80, apprécie : « On sent que ça revient. Le changement de tribune suit l’engouement pour le club. »
Les Ultra Boys seront bientôt 400 membres, ils étaient 300 la saison passée. Au plus fort des turbulences, le noyau n’a pas varié, ils étaient 100, 150 à avoir persisté.
« On voulait l’ambiance », confirment Michel Bronn, 47 ans, et son fils Quentin, 20 ans, de Gerstheim. Ils ont justement pris leur abonnement pour toute la saison dans la tribune ouest. Supporters de longue date, ils ont des écharpes « collectors » autour du cou - elles ont au moins huit ans- mais ils ont déjà prévu de se rééquiper, c’est l’effet retour en Ligue 2. Ils espèrent « minimum le maintien » mais restent « raisonnables » : « Si ça passe en Ligue 1, c’est le bonus. »
« Il va falloir attendre au moins une dizaine de matchs pour faire un premier bilan », estime de son côté Baptiste Siegrist, 22 ans, de Hunawihr, dans le Haut-Rhin, prudent à quelques minutes du coup d’envoi.
Posté en haut de l’escalier de la tribune, il maquille bénévolement les joues des supporters, une ligne bleue, une ligne blanche, depuis l’ouverture des portes.
Une nouvelle « family zone »
à l’arrière de la tribune est
C’est là qu’est expérimenté le nouveau concept de « family zone ». Au menu, coloriage, foot sur un mini-terrain synthétique, goûter, et même petit concert des Gospel Kids pour donner envie aux familles.
Le milieu offensif blessé, Abdelhak Belahmeur, passe dire bonjour au public, se prête à une interview conduite par le magicien Dan Leclaire, qui s’occupe d’animer le nouvel espace. Le joueur échange ensuite quelques balles avec les enfants sous le regard des parents.
Marion, 23 ans, de Strasbourg, et Bénédicte, 38 ans, de Sélestat, se dirigent, elles, vers la tribune « présidentielle », elles ont eu une invitation. Pas spécialement fans de foot, hors grandes compétitions, elles font une exception pour le Racing, « parce que c’est le club local ». Prudentes elles aussi, elles pronostiquent la première partie du tableau, sans penser encore à la montée.
Pendant que la première mi-temps suit son cours, tout le monde ne regarde pas le match : « On sent un effet Ligue 2, un engouement pour le nouveau maillot », observe Pascal, responsable de la boutique du Racing qui reste ouverte pendant le match. Jusqu’au début de la rencontre, le flot des clients était ininterrompu : « C’est un carton. »
Pascal entame sa 27e année auprès du Racing et est avant toute chose supporter. À lui le pronostic de fin : « Vu l’effectif et par rapport aux autres équipes, que je suis aussi, le Racing arrivera parmi les quatre premiers du tableau. »
- Kaniber
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
SO a écrit : 366 000 km pour le Racing
Depuis 25 ans, Grégory Walter est un supporter du Racing. Tombé dedans dès le plus jeune âge, ce passionné a suivi son club dans tous ses déplacements, soit près de 9 tours du globe ! Ses aventures sont répertoriées dans un livre à sortir prochainement et qui racontent une part de l’Histoire du club.
« Ce jour-là, ma vie a basculé. » Comme beaucoup de gamins de l’époque, aujourd’hui adultes et parents, ce 13 mai 1992 restera comme un élément fondateur. José Cobos est inarrêtable, Stephen Keshi explose les filets rennais, Jacky Paillard fait chavirer la Meinau : ce barrage du Racing face à Rennes est ancré dans bien des mémoires. Pour Grégory Walter, tout « a basculé » ce soir-là.
Certes, le terreau était favorable, avec des parents supporters du club, qui avaient même assisté au titre de champion de France 79. Mais lui va encore plus loin dans cette passion. Il goûte à un premier déplacement en 2001, pour un match… à domicile du Racing. La Meinau suspendue, c’est à Caen que les Strasbourgeois « reçoivent » Auxerre. Gregory Walter est dans le car qui conduit les supporters alsaciens. Il sera de tous les déplacements de « son » Racing ensuite (seulement huit « absences » entre 2001 et 2003, aucune depuis…).
319 déplacements jusqu’à la fin de la saison dernière
De Lille à Toulouse, d’Amiens à Grenoble, de Dunkerque à Luçon, de Rome à Lovech, en passant par Illzach-Modenheim, Saint-Denis et le Stade de France, Moulins, Chambly, Paris, Belfort, etc… En tout, 319 voyages pour plus de 366 000 km parcourus sur les traces du Racing. Il a calculé, cela représente neuf fois le tour de la terre. Le titre de son livre, racontant ses déplacements, était tout trouvé : « Neuf fois le tour de la terre pour mon club ».
« Je me suis toujours demandé si j’étais capable d’écrire un livre, confie celui qui est aujourd’hui vice-Président de la Fédération des Supporters du RCS. Je me suis lancé un peu sur un coup de tête. J’ai attaqué ce projet en novembre dernier, l’écriture s’est terminée en août. » Epaulé par neuf relecteurs, et notamment Anaïs, rencontrée dans les tribunes de la Meinau, devenue sa femme depuis et la mère de son petit Robin (2 ans), Grégory Walter a bouclé son ouvrage dernièrement. Préfacé par Marc Keller, il sera en vente avant la fin du mois au stade ainsi que par correspondance (via sa page Facebook ou par mail : neuffoisletour@gmail.com).
Ce livre, qui explore 15 années de l’Histoire du Racing (2001 à 2016), va bien au-delà des simples anecdotes qui pimentent les déplacements retranscrits par Grégory. Il raconte une partie de cet attachement si fort que l’Alsace a pour son club, cet amour si fort qui fédère les Alsaciens derrière leur Racing. « Un bon supporter, c’est un supporter qui aime le club au-delà des hommes qui le composent et de manière inconditionnelle, analyse-t-il. Peu importe la manière de traduire cet attachement. » Grégory, lui, a traduit son attachement en étant là, partout, quelle que soit la division et la distance. Par amour de son club.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/ ... 59717.html
- Kaniber
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Alsa'sports a écrit : Une reprise sans les Ultra Boys 90 !
C’est via un communiqué que le groupe de supporters “Ultra Boys 90” vient d’annoncer que la reprise s’effectuerait sans eux. L’ambiance dans le Stade de la Meinau risque de prendre un gros coup, mais la décision est sage de la part des U90 qui précisent que la situation sanitaire que traverse la France n’est malheureusement pas compatible avec leur mode de “supportérisme”. En espérant que cela ne dure pas trop longtemps car le Racing à besoin d’eux !
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Etant devenue une tribune "debout", la tribune Ouest sera probablement fermée pendant la saison ou transformée en tribune assise pour gagner des places et de l'espace entre les gens.
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
avec 5000 places dans toute l'enceinte dont 3000 déjà attribuées aux VIP loges, on pourra entendre une mouche voler avec en bruit de fond le claquement des fourchettes et
des couteaux dans les assiettes et les bulles chanter dans les verres à champ
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Re: Ultra Boys 90 (UB90)
Surtout que dans les 5000 autorisés sont compris les deux clubs, les stadiers, la sécurité, les vendeurs, les hôtesses, etc ...
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)