[Ex] Pascal Johansen
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Pas d'infos à ce sujet mais je trouve que Johanssen passe bien de la pommade à Keller, et moi, si j'étais à sa place et que je devais partir de Marseille, je n'irai pas à Nantes, Sochaux ou Le Mans pour me relancer, je reviendrais au racing où le jeu et l'environnement actuel est vraiment propice à un retour anticipé...
Mieux vaut une bière qui fait pisser qu'une femme qui fait chier (P. Heineken)
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Pascal Johansen
Les fourmis de Johansen
Pascal Johansen (face à Guillaume Lacour) : retrouvailles avec Strasbourg ? (Photo DNA - Yves Dieffenbacher)
Il a des fourmis dans les jambes. Depuis le 7 février, et une victoire sur Ajaccio, Pascal Johansen n'a plus joué en championnat. Dimanche, il espère croiser la route du Racing.
« Nous avons été catastrophiques. » Pascal Johansen était du déplacement à Bastia. Il était au bout du banc. « J'étais 17e, pas sélectionné donc, sourit-il. J'étais déçu de ne pas jouer, mais c'est comme ça. C'est Marseille. » Et l'Olympique Marseille, le Colmarien le fréquente depuis déjà 18 mois. « Je suis toujours content de mon choix. Je ferai le point à la fin de la saison », explique-t-il.
« Une grosse claque »
Ses préoccupations sont ailleurs, plus olympiennes que personnelles. Au repos hier, les Phocéens ont tenté de récupérer moralement de leur déroute. « J'ai évité de lire la presse. On a pris un grosse claque alors que nous rêvions d'aller à Liverpool l'esprit serein, reprend Pascal Johansen. Pourtant, on donnait l'impression d'avoir donné quelques garanties, d'avoir retrouvé une certaine stabilité. »
Et lui, comme Christanval, Célestini ou Marlet (remplaçants ou non-présents à Bastia) ronge en plus son frein. « Tout joueur a envie de jouer. Quand il n'est pas, au moins, sur la feuille de match, il ne peut pas être heureux. »
Deux titularisation avec José Anigo
Utilisé avec parcimonie par Alain Perrin, Pascal Johansen semble ne pas jouer beaucoup plus avec José Anigo. « Il m'a dit qu'il comptait sur moi, sur ma combativité », note l'ex-Racingman. Avec... l'ex-Minot des années 80, il a été titularisé deux fois et est entré en jeu une fois.
Depuis, cinq matches se sont disputés et Pascal Johansen a disparu des feuilles de match de L1, comme des statistiques. « Je me suis blessé au mollet, puis au genou. Et au mauvais moment surtout. Quand je suis revenu, José Anigo a préféré me faire disputer un match en CFA. Puis, j'ai fait un bout de match à Dniepr. Je pensais jouer à Bastia, mais voilà . »
« Avec Perrin, je ne savais plus »
Victime de la concurrence, de la montée en puissance de Mathieu Flamini, Pascal Johansen tarde à faire reconnaître son talent. « Je ne me fais pas de soucis, continue-t-il. C'est vrai qu'ici, plus qu'ailleurs peut-être, on est très nombreux à l'entraînement. Nous sommes plus d'une vingtaine à postuler pour dix places. Le coach a des choix à faire. »
Il revient bien entendu sur l'éviction d'Alain Perrin, l'homme qui l'a fait passer de l'Est au Sud. « On s'attendait à son départ forcé. Plus ça allait mal, plus il se renfermait sur lui-même. Et plus, nous prenions des distances avec lui. Il avait institué un turn-over dans l'effectif. Il était respecté au début, mais à un moment, je ne savais plus ce qu'il pensait de moi. »
Un public impatient
Quant au style José Anigo, Pascal Johansen le définit entre parenthèses. « Il est dur pendant les séances et les matches, mais après, il redevient joueur, dit-il avant de sourire. Et, à Marseille, il présente l'énorme avantage d'être... Marseillais. Sa nomination a ravi tout le monde. »
Mais les résultats, eux, tardent à suivre et l'impatience historique du public marseillais se manifeste de plus en plus. « La saison passée, nous avions fini 3e avec une équipe moyenne. 14 joueurs sont arrivés avec une équipe autrement plus forte sur le papier. Alors... »
« Quand il parle, tu l'écoutes »
Alors, récemment, Steve Marlet et Fabien Barhez ont été pris à partie par des supporters, via un mégaphone au Vélodrome. « Ils ont été insultés. On leur reproche d'être venus à Marseille, non pour défendre le club, mais pour avoir une chance d'aller à l'Euro », reprend Pascal Johansen. L'incident a été clos par José Anigo. « Quand il parle, on l'écoute. Les supporters sont venus dans notre vestiaire s'expliquer et s'excuser. »
Dimanche, après un crochet par Liverpool, il espère retrouver le Racing sur sa route. « Si je ne joue pas, j'aurai les glandes », dit-il de manière crue.
Retrouvailles avec Bassila
Il retrouvera Cyril Chapuis, « avec lequel je m'entendais bien à Marseille », et surtout Christian Bassila. « C'est un mec avec lequel il est impossible de ne pas s'entendre. On s'appelle très régulièrement. Tu sais, quand t'es pote dans la vie avec un coéquipier, tu l'es aussi sur le terrain. » Dimanche, il oubliera tout sentiment. « Il faudra l'emporter pour se faire pardonner, et pour se rapprocher de l'Europe. »
Pascal Johansen (face à Guillaume Lacour) : retrouvailles avec Strasbourg ? (Photo DNA - Yves Dieffenbacher)
Il a des fourmis dans les jambes. Depuis le 7 février, et une victoire sur Ajaccio, Pascal Johansen n'a plus joué en championnat. Dimanche, il espère croiser la route du Racing.
« Nous avons été catastrophiques. » Pascal Johansen était du déplacement à Bastia. Il était au bout du banc. « J'étais 17e, pas sélectionné donc, sourit-il. J'étais déçu de ne pas jouer, mais c'est comme ça. C'est Marseille. » Et l'Olympique Marseille, le Colmarien le fréquente depuis déjà 18 mois. « Je suis toujours content de mon choix. Je ferai le point à la fin de la saison », explique-t-il.
« Une grosse claque »
Ses préoccupations sont ailleurs, plus olympiennes que personnelles. Au repos hier, les Phocéens ont tenté de récupérer moralement de leur déroute. « J'ai évité de lire la presse. On a pris un grosse claque alors que nous rêvions d'aller à Liverpool l'esprit serein, reprend Pascal Johansen. Pourtant, on donnait l'impression d'avoir donné quelques garanties, d'avoir retrouvé une certaine stabilité. »
Et lui, comme Christanval, Célestini ou Marlet (remplaçants ou non-présents à Bastia) ronge en plus son frein. « Tout joueur a envie de jouer. Quand il n'est pas, au moins, sur la feuille de match, il ne peut pas être heureux. »
Deux titularisation avec José Anigo
Utilisé avec parcimonie par Alain Perrin, Pascal Johansen semble ne pas jouer beaucoup plus avec José Anigo. « Il m'a dit qu'il comptait sur moi, sur ma combativité », note l'ex-Racingman. Avec... l'ex-Minot des années 80, il a été titularisé deux fois et est entré en jeu une fois.
Depuis, cinq matches se sont disputés et Pascal Johansen a disparu des feuilles de match de L1, comme des statistiques. « Je me suis blessé au mollet, puis au genou. Et au mauvais moment surtout. Quand je suis revenu, José Anigo a préféré me faire disputer un match en CFA. Puis, j'ai fait un bout de match à Dniepr. Je pensais jouer à Bastia, mais voilà . »
« Avec Perrin, je ne savais plus »
Victime de la concurrence, de la montée en puissance de Mathieu Flamini, Pascal Johansen tarde à faire reconnaître son talent. « Je ne me fais pas de soucis, continue-t-il. C'est vrai qu'ici, plus qu'ailleurs peut-être, on est très nombreux à l'entraînement. Nous sommes plus d'une vingtaine à postuler pour dix places. Le coach a des choix à faire. »
Il revient bien entendu sur l'éviction d'Alain Perrin, l'homme qui l'a fait passer de l'Est au Sud. « On s'attendait à son départ forcé. Plus ça allait mal, plus il se renfermait sur lui-même. Et plus, nous prenions des distances avec lui. Il avait institué un turn-over dans l'effectif. Il était respecté au début, mais à un moment, je ne savais plus ce qu'il pensait de moi. »
Un public impatient
Quant au style José Anigo, Pascal Johansen le définit entre parenthèses. « Il est dur pendant les séances et les matches, mais après, il redevient joueur, dit-il avant de sourire. Et, à Marseille, il présente l'énorme avantage d'être... Marseillais. Sa nomination a ravi tout le monde. »
Mais les résultats, eux, tardent à suivre et l'impatience historique du public marseillais se manifeste de plus en plus. « La saison passée, nous avions fini 3e avec une équipe moyenne. 14 joueurs sont arrivés avec une équipe autrement plus forte sur le papier. Alors... »
« Quand il parle, tu l'écoutes »
Alors, récemment, Steve Marlet et Fabien Barhez ont été pris à partie par des supporters, via un mégaphone au Vélodrome. « Ils ont été insultés. On leur reproche d'être venus à Marseille, non pour défendre le club, mais pour avoir une chance d'aller à l'Euro », reprend Pascal Johansen. L'incident a été clos par José Anigo. « Quand il parle, on l'écoute. Les supporters sont venus dans notre vestiaire s'expliquer et s'excuser. »
Dimanche, après un crochet par Liverpool, il espère retrouver le Racing sur sa route. « Si je ne joue pas, j'aurai les glandes », dit-il de manière crue.
Retrouvailles avec Bassila
Il retrouvera Cyril Chapuis, « avec lequel je m'entendais bien à Marseille », et surtout Christian Bassila. « C'est un mec avec lequel il est impossible de ne pas s'entendre. On s'appelle très régulièrement. Tu sais, quand t'es pote dans la vie avec un coéquipier, tu l'es aussi sur le terrain. » Dimanche, il oubliera tout sentiment. « Il faudra l'emporter pour se faire pardonner, et pour se rapprocher de l'Europe. »
L'histoire est en marche ...
- Frantz
- Entraineur adjoint@Staff
- Messages : 1615
- Enregistré le : 7 mars 2003 11:31
Il est en-train de regreter d'etre là -bas. Qu'il y reste.
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
http://rernes.free.fr/
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- FUPERMAN
- Professionnel@Pro
- Messages : 406
- Enregistré le : 27 déc. 2003 10:00
Encore un beau gâchis!...........qui a tout de même rapporté la bagatelle de 2M € au Racing. Le problème c'est qu'à Marseille ils sont 5 à évoluer dans son registre, et dans cette situation de surconcurrence tu es obligé d'être le meilleur!
Un autre qui a failli suivre le même chemin de croix, c'est Habib Beye. Clair qu'après ses débuts contre Auxerre et son absence prolongée pour blessure, je le voyais mal remonter la pente.........et pourtant, si vous avez suivi les derniers matchs de Marseille, il apparaît clairement que Habib est de loin le meilleur Olympien actuellement.
Un autre qui a failli suivre le même chemin de croix, c'est Habib Beye. Clair qu'après ses débuts contre Auxerre et son absence prolongée pour blessure, je le voyais mal remonter la pente.........et pourtant, si vous avez suivi les derniers matchs de Marseille, il apparaît clairement que Habib est de loin le meilleur Olympien actuellement.
- Frantz
- Entraineur adjoint@Staff
- Messages : 1615
- Enregistré le : 7 mars 2003 11:31
Ouais mais en fin de saison Marseille va encore changer d'entraineur et ce cher Habib ne sera meme plus sur la feuille de match.
Si l'Amazonie est le poumon de la terre, Metz en est le trou du cul.
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