recrue du racing chez les 16 ans
celà me semble être le plus grand potentiel existant chez les jeunes
je pronostique une première titularisation chez les pros dans moins de 3 ans
[Ex] Jean-Christophe Lourde
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Jean-Christophe Lourde
Entretien avec... Jean-Christophe Lourde
Arrivé cet été en provenance de l'INF Clairefontaine, Jean-Christophe Lourde a été intégré au groupe 18 ans qui débute le championnat, ce dimanche, face à Auxerre.
Défenseur central international né à Paris, il est venu à Strasbourg pour réussir mais aussi parce qu'il est attaché au club.
Comment s'est déroulée la préparation d'avant-saison ?
Elle a été dure. L'an passé, j'étais encore à Clairefontaine et c'était complètement différent. Ici, ç'a été plus physique et plus intense. On demande plus qu'à l'INF, mais je m'y suis habitué.
Comment s'est passée votre intégration au sein du groupe 18 ans et au sein du centre de formation ?
Je connaissais quelques joueurs, ce qui m'a permis de bien m'intégrer. En sélection des moins de 16 ans, j'avais côtoyé Quentin Othon, Julien Olivier et Mustapha Durac. Et puis, avec mon père, je suis souvent venu à Strasbourg. Mon père y a de la famille et y a joué quand il était footballeur pour un club Mauricien, le CSM. Par conséquent, le centre, je le connaissais un peu de vue.
'Pas la même vie'
Le changement par rapport à l'INF n'est-il pas trop brutal ?
Ce n'est pas du tout la même vie. Ici, nous sommes plus libres et plus responsables. Je trouve ça mieux, même s'il faut savoir gérer ce changement. Les fréquentations sont, je pense, déterminantes et il ne faut pas fréquenter n'importe qui. Mais cette vie me permet de goûter un peu au professionnalisme.
Durant les matches amicaux, l'équipe a oscillé entre une défense à trois et à quatre. Dans quel système te sens-tu le plus à l'aise ?
J'ai l'habitude d'évoluer à trois derrière. Mais les deux schémas me vont très bien. Tout est une question d'automatismes, en fait. En 18 ans Nationaux, le niveau est plus élevé et ça va plus vite, donc ça demande plus d'efforts.
'Nous pouvons faire mal'
T'es-tu fixé des objectifs pour cette saison ?
M'imposer en défense et disputer les phases finales avec l'équipe. Auxerre et Lyon font figure de favoris mais ce sont des joueurs comme nous et il n'y a pas à avoir peur, par conséquent. On a vu que lors des matches amicaux, nous pouvons être très bons, mais aussi assez mauvais. Si nous restons sérieux, nous pouvons faire mal. Il y a du potentiel au sein du groupe. Mais pour l'instant, j'ai l'impression que nous nous en servons pas aussi bien qu'on le pourrait. Nous possédons de très bons attaquants, rapides. Mais nous n'utilisons pas encore leurs capacités au maximum.
L'an passé, tu as été appelé à tous les rassemblements de l'équipe de France des moins de 16 ans. Quelles sont tes ambitions avec les Bleuets, cette saison ?
Il faut se qualifier pour les championnats d'Europe des moins de 17 ans qui auront lieu en Italie. Ma génération passe juste après celle des Ben Arfa et Menez, qui ont été sacrés champions d'Europe de la catégorie la saison passée. Evidemment, nous portons une image et nous nous devons de ne pas la rabaisser. Nous savons que nous serons observés.
'Le maillot bleu, c'est unique'
L'équipe de France représente quoi pour toi ?
C'est une récompense du travail effectué toute la semaine et les week-ends. C'est quelque chose qui se mérite. Mais, enfiler le maillot bleu, c'est unique. C'est aussi une grande fierté pour mes parents qui m'ont suivi depuis tout petit. Je leur dois ça. Mais être en équipe de France des jeunes ne garantit rien. C'est un plus au niveau de l'expérience.
A-t-on un statut particulier quand on sort de l'INF et que l'on intégre un centre de formation ?
Je pense que l'on attend plus d'un joueur issu de l'INF qu'un autre. Tout vient de la réputation de Clairefontaine. Moi, j'y ai passé trois ans. J'étais entraîné par André Mérelle. La dernière année a été difficile parce que nous avons terminé 6es au classement mais surtout parce que le groupe s'est disloqué, il n'y avait plus de solidarité. Les deux premières années, en revanche, étaient très bonnes. On ne cesse de progresser, en fait.
'Mon père m'a donné goût au Racing'
Pourquoi avoir opté pour le centre du Racing ?
Je me suis engagé avec Strasbourg il y a déjà un an et demi. J'ai choisi ce club parce que j'aime bien le Racing, c'est une équipe que je suis depuis quelque temps. Et puis, le projet sportif que l'on m'a proposé était intéressant. Si je dois réussir, ce sera ici. J'ai été contacté par Monaco, Rennes, Auxerre, entre autres, mais comme mon père m'avait donné goût, depuis tout petit, au Racing... Il a toujours suivi les résultats de Strasbourg, alors ça m'a donné envie, forcément. Je crois qu'il avait joué un match amical une fois ici, et qu'il avait sympathisé avec quelques joueurs. Depuis, il est attaché à ce club.
As-tu des joueurs ou des matches du Racing qui te restent en mémoire ?
La victoire en coupe de France en 2001. Je l'ai suivie à la télé et j'étais à fond derrière le Racing ! En tant que joueur, j'ai toujours aimé Habib Beye. En plus, quand je suis venu visiter le centre, il y a un an et demi, c'est la première personne à être venu me parler.
SO
Arrivé cet été en provenance de l'INF Clairefontaine, Jean-Christophe Lourde a été intégré au groupe 18 ans qui débute le championnat, ce dimanche, face à Auxerre.
Défenseur central international né à Paris, il est venu à Strasbourg pour réussir mais aussi parce qu'il est attaché au club.
Comment s'est déroulée la préparation d'avant-saison ?
Elle a été dure. L'an passé, j'étais encore à Clairefontaine et c'était complètement différent. Ici, ç'a été plus physique et plus intense. On demande plus qu'à l'INF, mais je m'y suis habitué.
Comment s'est passée votre intégration au sein du groupe 18 ans et au sein du centre de formation ?
Je connaissais quelques joueurs, ce qui m'a permis de bien m'intégrer. En sélection des moins de 16 ans, j'avais côtoyé Quentin Othon, Julien Olivier et Mustapha Durac. Et puis, avec mon père, je suis souvent venu à Strasbourg. Mon père y a de la famille et y a joué quand il était footballeur pour un club Mauricien, le CSM. Par conséquent, le centre, je le connaissais un peu de vue.
'Pas la même vie'
Le changement par rapport à l'INF n'est-il pas trop brutal ?
Ce n'est pas du tout la même vie. Ici, nous sommes plus libres et plus responsables. Je trouve ça mieux, même s'il faut savoir gérer ce changement. Les fréquentations sont, je pense, déterminantes et il ne faut pas fréquenter n'importe qui. Mais cette vie me permet de goûter un peu au professionnalisme.
Durant les matches amicaux, l'équipe a oscillé entre une défense à trois et à quatre. Dans quel système te sens-tu le plus à l'aise ?
J'ai l'habitude d'évoluer à trois derrière. Mais les deux schémas me vont très bien. Tout est une question d'automatismes, en fait. En 18 ans Nationaux, le niveau est plus élevé et ça va plus vite, donc ça demande plus d'efforts.
'Nous pouvons faire mal'
T'es-tu fixé des objectifs pour cette saison ?
M'imposer en défense et disputer les phases finales avec l'équipe. Auxerre et Lyon font figure de favoris mais ce sont des joueurs comme nous et il n'y a pas à avoir peur, par conséquent. On a vu que lors des matches amicaux, nous pouvons être très bons, mais aussi assez mauvais. Si nous restons sérieux, nous pouvons faire mal. Il y a du potentiel au sein du groupe. Mais pour l'instant, j'ai l'impression que nous nous en servons pas aussi bien qu'on le pourrait. Nous possédons de très bons attaquants, rapides. Mais nous n'utilisons pas encore leurs capacités au maximum.
L'an passé, tu as été appelé à tous les rassemblements de l'équipe de France des moins de 16 ans. Quelles sont tes ambitions avec les Bleuets, cette saison ?
Il faut se qualifier pour les championnats d'Europe des moins de 17 ans qui auront lieu en Italie. Ma génération passe juste après celle des Ben Arfa et Menez, qui ont été sacrés champions d'Europe de la catégorie la saison passée. Evidemment, nous portons une image et nous nous devons de ne pas la rabaisser. Nous savons que nous serons observés.
'Le maillot bleu, c'est unique'
L'équipe de France représente quoi pour toi ?
C'est une récompense du travail effectué toute la semaine et les week-ends. C'est quelque chose qui se mérite. Mais, enfiler le maillot bleu, c'est unique. C'est aussi une grande fierté pour mes parents qui m'ont suivi depuis tout petit. Je leur dois ça. Mais être en équipe de France des jeunes ne garantit rien. C'est un plus au niveau de l'expérience.
A-t-on un statut particulier quand on sort de l'INF et que l'on intégre un centre de formation ?
Je pense que l'on attend plus d'un joueur issu de l'INF qu'un autre. Tout vient de la réputation de Clairefontaine. Moi, j'y ai passé trois ans. J'étais entraîné par André Mérelle. La dernière année a été difficile parce que nous avons terminé 6es au classement mais surtout parce que le groupe s'est disloqué, il n'y avait plus de solidarité. Les deux premières années, en revanche, étaient très bonnes. On ne cesse de progresser, en fait.
'Mon père m'a donné goût au Racing'
Pourquoi avoir opté pour le centre du Racing ?
Je me suis engagé avec Strasbourg il y a déjà un an et demi. J'ai choisi ce club parce que j'aime bien le Racing, c'est une équipe que je suis depuis quelque temps. Et puis, le projet sportif que l'on m'a proposé était intéressant. Si je dois réussir, ce sera ici. J'ai été contacté par Monaco, Rennes, Auxerre, entre autres, mais comme mon père m'avait donné goût, depuis tout petit, au Racing... Il a toujours suivi les résultats de Strasbourg, alors ça m'a donné envie, forcément. Je crois qu'il avait joué un match amical une fois ici, et qu'il avait sympathisé avec quelques joueurs. Depuis, il est attaché à ce club.
As-tu des joueurs ou des matches du Racing qui te restent en mémoire ?
La victoire en coupe de France en 2001. Je l'ai suivie à la télé et j'étais à fond derrière le Racing ! En tant que joueur, j'ai toujours aimé Habib Beye. En plus, quand je suis venu visiter le centre, il y a un an et demi, c'est la première personne à être venu me parler.
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L'histoire est en marche ...
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L'INF Clairefontaine est la structure fédérale de formation des jeunes joueurs (jusqu'à 16 ans je crois). En gros, c'est le service public du centre de formation, où les clubs font leur marché pour acheter des jeunes joueurs qui signent une fois leur préformation à l'INF terminée. L'INF a des équipes qui jouent dans les championnats nationaux de jeunes, avec les équipes de jeunes des centres de formation "privés" comme celui du RCS
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Re: Jean-Christophe Lourde
Bon ben cette fois c'est ratétélésupporteur a écrit :recrue du racing chez les 16 ans
celà me semble être le plus grand potentiel existant chez les jeunes
je pronostique une première titularisation chez les pros dans moins de 3 ans
DNA a écrit :Du côté des jeunes, le défenseur de l'équipe de CFA Jean-Christophe Lourde, de passage à Strasbourg, a indiqué hier qu'il allait tenter sa chance à l'étranger. En commençant par faire un essai à Naples (Série A), où il est attendu dès aujourd'hui.
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Re: Jean-Christophe Lourde
Mais p..... pourquoi on laisse partir un mec comme ça ? S'il a le potentiel pour aller à Naples il l'a largement pour jouer chez nous !!!! Et je dis pas ça parce que dans FM il était excellent
"Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" Nietzsche.