Face a l'Inter je m'en rappel j'avais légérement eu les nerfs !
Surtout chez eux j'avais écouté le match c'était bien cette époque!
[96/97] Finale CDF : Bordeaux / RCS : 0-0 (5-6 t.a.b.)
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Sur le site de la lfp ... pour les 10 ans de la coupe de la ligue, ils font un retour sur les différents vainqueurs. Pour le Racing, c'est Vencel qui s'y colle :
Alexander Vencel : "Un souvenir magnifique"
12 avril 1997, Strasbourg remporte la Coupe de la Ligue à l'issue de la séance des tirs au but (0-0 6 t.a.b. à 5) face à Bordeaux. Dix-huit ans après le titre de champion de France, le Racing ajoute une ligne à son palmarès. Emblématique gardien du club alsacien pendant six saisons, Alexander Vencel, aujourd'hui au Havre, revient sur l'unique trophée qu'il a remporté à ce jour en France. Et dire que le portier slovaque a failli ne pas disputer la finale…
Dans quel contexte abordiez-vous cette finale de la Coupe de la Ligue 1997 ?
Avec Strasbourg, nous vivions plutôt une bonne saison. Nous étions dans le coup pour décrocher une place en Coupe UEFA. Sportivement, l'équipe était sympa sur et en dehors du terrain. Je me souviens que nous allions pêcher et jouer à la pétanque avec le président Weller. Sinon, il était beaucoup question du changement de propriétaire puisque IMG venait de racheter le club.
A titre personnel, quel souvenir conservez-vous des jours précédents la finale?
Pour moi, ce fut une semaine pas comme les autres. Le mercredi à l'entraînement, je me suis blessé en contractant une énorme entorse au genou. Jusqu'au match, je n'ai pas pu m'entraîner. J'ai passé mes journées entre les mains du kiné, de l'ostéopathe et du médecin. Arrive le samedi. Je boîte mais j'ai très envie de jouer. D'un côté, il y a avait la santé, de l'autre la volonté. Au moment de l'échauffement, j'ai senti le regard des 15.000 supporters du Racing qui avaient fait le déplacement. De la loge, le président Weller est descendu sur la pelouse pour me demander mon avis. Finalement, j'ai décidé de jouer. Je n'y ai pas pensé sur le moment mais j'ai pris alors de très grands risques. Si j'étais passé à côté du match…
Le match justement. Qu'en retenez-vous ?
En fait, il y a eu deux matches en un. Le premier dura 120 minutes. Excepté un tir de Ziani, je n'ai pas eu grand'chose à effectuer. Ensuite, ce fut la séance des tirs au but qui se prolongea jusqu'au neuvième tireur. Je devais me charger du neuvième penalty car Okpara ne voulait pas le tirer. Finalement, Stéphane Collet m'a sauvé la mise en se proposant et en inscrivant le but de la victoire.
Et après ?
Après, c'est forcément un souvenir magnifique. La montée en tribune, la dernière finale au Parc des Princes, le tour d'honneur, tout cela restera gravé à jamais dans ma mémoire. En plus, c'est mon seul trophée remporté en France. Après notre finale de Coupe de France perdue en 1995, cela constituait une sorte de revanche. Avec notre bon parcours en Coupe UEFA qui a suivi, cette victoire constitue le top durant les six ans que j'ai passé à Strasbourg. Grâce à ce titre, on a pu en effet défier et éliminer les Glasgow Rangers et Liverpool avant de chuter devant l'Inter Milan de Ronaldo.
Avez-vous gardez des contacts avec des joueurs de l'époque ?
Oui bien sûr et je ne manque pas de suivre la carrière de joueurs comme Valérien Ismaël, qui fait un truc extraordinaire en ce moment avec le Werder Brême. Il y a aussi Olivier Dacourt, qui réussit à l'AS Rome. Je vous le dis, on formait vraiment un groupe sympa. D'ailleurs, le public strasbourgeois n'a pas oublié cette période. Quand j'y suis retourné pour la première fois sous les couleurs du Havre, j'ai eu droit à une énorme ovation avec une énorme banderole en slovaque pour me remercier.
Alexander Vencel en bref
Né le 2 mars 1967 à Bratislava (Slovaquie)
Actuellement au Havre (Ligue 2)
1994-1995 : Strasbourg, 37 matches
1995-1996 : Strasbourg, 38 matches
1996-1997 : Strasbourg, 30 matches
1997-1998 : Strasbourg, 32 matches
1998-1999 : Strasbourg, 30 matches
1999-2000 : Strasbourg, 17 matches
2000-2001 : Le Havre, 38 matches
2001-2002 : Le Havre, 38 matches
2002-2003 : Le Havre, 38 matches
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L'homme de la vallée
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Le poteau au match allez c'était évidement Dacourt.
Et le but refusé a l'aller tjs c'était à Zamorano y me semble.
J'me rappelle plus tard Ismaël avait dit : "Quand l'assistant a levé le drapeau, j'avais envi de l'embrasser"
Et le but refusé a l'aller tjs c'était à Zamorano y me semble.
J'me rappelle plus tard Ismaël avait dit : "Quand l'assistant a levé le drapeau, j'avais envi de l'embrasser"
- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
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