[CDM2014] Groupe E

[Kaniber]

Un symbole de l'échec de l'équipe de France au Mondial 2010 a été détruit. L'équipementier Adidas a fait déchiqueter une réplique du "bus de Knysna", en référence à la grève des joueurs.

C'était une honte pour la France, et je pense que les gens et le monde du foot ne vont pas l'oublier pour très longtemps cette mascarade...

[RACING1906]

Qu'est-ce qu'ADIDAS ne ferait pas pour de la pub ?

En plus, il ne s'agit même pas de l'original.

[RACING1906]

Le HONDURAS, ,c'est musclé

Malgré une interruption d'une demi-heure en raison d'un orage, le Honduras a mis beaucoup d'intensité (et de coups) dans son match de préparation face à l'Angleterre, ce samedi (0-0). Les Bleus ne doivent pas s'attendre à une partie de plaisir dans une semaine.

La cascade de forfaits qui s'abat sur la Coupe du monde n'a manifestement pas refroidi Anglais et Honduriens. Ce samedi, à Miami, leur rencontre n'avait rien d'amicale à quelques jours seulement de leur entrée en lice. Malgré une interruption d'une demi-heure en raison d'un orage, les deux équipes, le Honduras en tête, ont mis de l'intensité. Beaucoup d'intensité, parfois à la limite. Les hommes de Luis Fernando Suarez ont même terminé la rencontre à dix contre onze suite au second avertissement reçu par Bryan Beckeles (66e).

Dans cette rencontre musclée, Ross Barkley (entré à la pause) a tout de même su tirer son épingle du jeu en enchaînant les prouesses techniques dans le camp adverse. Mais malgré quelques occasions franches, dont une tête de Daniel Sturridge à bout portant, les Three Lions ne sont pas parvenus à faire la différence (0-0). Il leur faudra élever leur niveau pour se défaire de l'Italie samedi prochain. L'équipe de France, elle, affrontera le lendemain un Honduras prêt à imposer un défi physique important à son adversaire...

lequipe.fr

[RACING1906]

La Suisse, open

Pour son dernier Mondial, le sélectionneur des Helvètes, Ottmar Hitzfeld, entend bien mener sa sélection le plus loin possible.

Ottmar Hitzfeld tirera sa révérence à l’issue du Mondial. Il mettra ainsi un terme à une carrière plus qu’honorable avec notamment des périodes fastes du côté de Dortmund et du Bayern Munich. Comme chacun le sait, les Suisses sont des gens prévoyants, son successeur est donc déjà désigné, il s’agit de Vladimir Petkovic. Ce dernier, natif de Sarajevo, avait émigré en pays helvète en 1987. Il a sillonné la Suisse de long en large comme joueur puis entraîneur. Suffisamment pour se faire apprécier.

En décembre 2013, il était limogé de la Lazio de Rome et a donc fait son retour dans sa patrie d’adoption. Une chance, car depuis février et la votation, comme disent les Suisses, contre l’immigration massive, les étrangers ne rencontrent plus tout à fait le même comité d’accueil. Dans la vie de tous les jours en tout cas. En football, il y a plus de tolérance sur l’autel des résultats.

Pour bien comprendre le problème, il suffit de donner un chiffre : sur les 23 sélectionnés en partance pour le Brésil, avec la nouvelle loi en vigueur, treize ne pourraient plus porter le maillot à la croix blanche. La raison : ils sont nés hors des frontières de la Suisse. Curiosité parmi d’autres, cinq joueurs d’origine albanaise ont été retenus par Ottmar Hitzfeld. Et, clin d’œil de l’histoire-géo, c’est à Tirana que la « Nati » a décroché le pompon.

Cette politique d’ouverture a propulsé la Suisse au 7e rang FIFA, du jamais vu ! À l’instar de la France, en 98, qui avait porté aux nues le célèbre « Black-Blanc-Beur », les Helvètes puisent l’essentiel de leurs forces dans cette diversité culturelle, désormais bannie par les suffrages de février dernier (50,3 % des électeurs ont opté pour la résiliation des accords de libre circulation entre l’UE et la Suisse). Cette génération est donc peut-être la dernière du genre, elle est exceptionnelle.

Aucune défaite en éliminatoire

L’apport des Balkans, de la Turquie et autres contrées étrangères n’est pas la seule explication à cette période dorée. Voilà une douzaine d’années maintenant que les clubs ont entrepris un travail considérable et méthodique sur la formation des jeunes. Et notamment avec les fils… d’émigrés. Les résultats sont là désormais. D’ailleurs quelques grosses écuries européennes sont venues se servir, d’Allemagne et d’Italie principalement.

Preuve que la formule fait recette, le parcours de qualification des Suisses, dans un groupe, il est vrai modeste (Islande, Slovénie, Norvège, Albanie, Chypre) n’a connu aucun accroc. Aucune défaite et seulement trois nuls en dix matchs.

Mieux, pour la première fois de son histoire, la Suisse n’a pas attendu le dernier jour pour composter son billet. Elle rêve aujourd’hui de briller encore davantage et de concrétiser des espoirs un peu fous.

Inutile de préciser que les retrouvailles avec la France ne seront pas le moment le moins attendu. Car les deux voisins échangent peu. Aucun international suisse en Ligue 1 cette saison. Quant à la cohabitation entre les trois communautés (française, allemande et italienne), elle demeure toujours électrique. Là, rien n’a changé.

DNA

[RACING1906]

L'EQUATEUR veut troubler le jeu

Malgré le statut de favoris de la France et de la Suisse, l’Équateur, qui a devancé l’Uruguay dans la phase qualificative en Amérique du Sud, pourrait être un sérieux rival lors du troisième match des Bleus.

C’est au cours d’une grande fête organisée en leur honneur, sur la principale place de la capitale, Quito, que les joueurs de la sélection équatorienne, ont dit au revoir au pays le 26 mai dernier. En présence du président de la République, Rafael Correa. Celui-ci a remis au capitaine, Luis Antonio Valencia, la bannière nationale, et a ensuite invité toute l’équipe au Palais du gouvernement pour une réception et un déjeuner. De quoi témoigner de la fierté et des attentes d’un peuple d’environ 15 millions d’habitants.

La « Tri », le surnom de l’équipe nationale aux trois couleurs (jaune, bleu, rouge), s’est offert un ultime bain de foule et s’est gonflée de confiance et d’ambition avant de rejoindre les États-Unis pour ses matches de préparation. Au programme, le Mexique, l’Angleterre, puis le Brésil, pour être au top dès son premier match de Coupe du monde face à la Suisse.

« On plantera très haut ce drapeau durant le Mondial. Pour ces couleurs, nous lutterons jusqu’au bout parce que nous les avons dans le cœur », a assuré Valencia, la star de l’équipe nationale.

Et ce n’était pas seulement une image. L’Équateur a encore en mémoire le décès, par arrêt cardiaque consécutif à une péritonite, le 29 juillet dernier, d’une autre figure de la « Tri », l’attaquant de poche Christian « Chucho » Benitez à l’âge de 27 ans (24 buts en 58 sélections).

Cette Coupe du monde a donc une valeur émotionnelle forte pour l’Équateur, qui reste sur un 8e de finale perdu en 2006 contre l’Angleterre (0-1).

Atteindre ce niveau sera aussi l’objectif cet été au Brésil, dans un groupe où France et Suisse font figures de favoris.

Plus forts en altitude qu’au niveau de la mer

En deux participations aux phases finales de Coupe du monde (2002 et 2006), l’Équateur a tout de même remporté trois victoires pour quatre défaites. Durs au mal, les Équatoriens l’ont été également lors du parcours qualificatif à la Coupe du monde 2014, puisqu’ils ont terminé quatrièmes, devançant l’Uruguay à la différence de buts.

C’est à domicile, dans son stade Atahualpa à Quito, à 2 850 mètres d’altitude, que l’Équateur, conduit par Reinaldo Rueda, a acquis sa qualification. En gagnant sept matches et en ne concédant le nul que face à l’Argentine.

L’équipe de France devra donc se méfier de cet adversaire coriace qu’elle affrontera lors du troisième et peut-être décisif, match de groupe, à Rio le 25 juin prochain. Pour l’occasion, l’Équateur devrait ainsi bénéficier du soutien de milliers de Sud-Américains.

Une seule fois par le passé, les deux équipes se sont affrontées. En match de préparation à l’Euro 2008. Un certain Bafétimbi Gomis avait inscrit les deux buts de ce match joué à Grenoble, gagnant ce soir-là, sa place dans la sélection de Raymond Domenech. C’est déjà très loin. Le 25 juin, même au niveau de la mer, ce sera une autre histoire.

DNA

[Kaniber]

Pour son dernier Mondial, le sélectionneur des Helvètes, Ottmar Hitzfeld, entend bien mener sa sélection le plus loin possible.

je pense qu'il faudra s'en méfier....

Malgré le statut de favoris de la France et de la Suisse, l’Équateur, qui a devancé l’Uruguay dans la phase qualificative en Amérique du Sud, pourrait être un sérieux rival lors du troisième match des Bleus.

Personnellement a part la Suisse, les deux autres équipes ne doivent pas être des terreurs...

[PoY]

Le Honduras a fini (3eme) devant le Mexique en ayant battu les 2 premiers à domicile (USA et Costa Rica)

Faut pas croire qu'on aura la Jamaïque en face hein, ce ne seront pas des matchs faciles, même si on devrait être en mesure de les gagner

[Kaniber]

Personnellement la France va se qualifier les mains dans les shorts

[Tenor]

Honduras France

[RACING1906]

Dimanche 15 juin. pour le premier match de poule.

Je ne crois pas que ce sera aussi facile. Il faut respecter l'adversaire.