[14/15] 3ème J: Paris FC / Strasbourg - 1/1

[FM17]

je pronostique une défaite du Racing sans conséquence pour la suite puisque je crois le Paris FC au dessus de toutes les autres équipes cette année. Tout autre résultat serait une bonne surprise pour moi.
Amusez vous les "parisiens" au stade ce soir

[Kaniber]

Come toi FM 17 ....

[PoY]

L'article d'hier :

Avec humilité

À 28 ans, Pacho Donzelot, arrivé au club en 2010, est l’un des anciens de la maison bleue. À quelques heures d’affronter le Paris FC, il prône « l’humilité » comme vertu fondamentale.

Vendredi soir, face à Épinal, “Pacho” Donzelot s’est rappelé au bon souvenir de la Meinau. D’un coup de rein dont il a le secret, le latéral de 28 ans a offert – sur un plateau – l’ouverture du score à Frédéric Marques, d’un centre millimétré. Oui mais voilà, le Franco-Colombien n’aime pas trop tirer la couverture à lui. Et quand on évoque ce but, il parle de… ses coéquipiers.

« Il faudra un état d’esprit guerrier »
« Je suis soulagé d’avoir offert une passe décisive, surtout que ce but nous a permis de gagner le match, mais c’est Yannick (Aguemon) qui a fait le plus dur du boulot. C’est lui qui a fait la passe, j’ai juste adapté mon appel », explique-t-il. On l’a dit, Francisco “Pacho” Donzelot est du genre à privilégier le collectif. Et quand on lui demande quelles seront les clés de la rencontre à Paris, la latéral formé à Nantes n’hésite pas : « Il faudra un état d’esprit guerrier. Il faudra être bien soudé, pour bien défendre en bloc ».

Sûr que face à l’armada parisienne, les Strasbourgeois n’ont pas trop intérêt à faire les malins, mais plutôt à rester en mode “compact”, si l’on en croit Donzelot. « Paris est une super belle équipe, qui a fait un gros recrutement », expose celui qui a passé une saison au PFC (en 2009-2010). Et Donzelot de prévenir : « On y va en outsider, avec beaucoup d’humilité. Dans le foot, on sait que tout peut aller très vite, on peut passer de l’euphorie à la déprime en un week-end ».

Le latéral le sait d’autant mieux qu’il a justement connu “la déprime” la saison passée. Blessé durant de longs mois au tendon d’Achille, le défenseur est revenu en janvier, mais a traîné son blues toute la fin de saison. « Dès que je reprenais, je me refaisais mal. Je n’ai jamais lâché dans la tête, mais je ne voyais pas le bout du tunnel. Je n’avais qu’une envie : que la saison se termine pour repartir à zéro, en faisant une vraie préparation ». Le défenseur l’avoue volontiers : il doit « une revanche » au club et à lui-même, après une saison 2013-2014 presque blanche. Avec deux titularisations en deux rencontres (assorties d’une passe décisive, donc), celui qui jouera la concurrence avec Marc Fachan est pour l’instant sur de bons rails. À l’image du Racing, qui a engrangé deux victoires en autant de rencontres.

Pourtant, Donzelot prône avant tout l’humilité. « Il ne faut pas se dire que comme on a gagné deux matches, le troisième sera facile. Épinal ne nous a pas inquiétés dans le jeu, mais on aurait quand même pu ressortir de ce match avec un nul. Tous les ingrédients sont réunis pour qu’on fasse une belle saison, mais on n’oublie pas d’où on vient ». Et le latéral de préciser, au cas où le message ne serait pas assez clair : « Quand les gens autour viennent me parler de Ligue 2, je leur rappelle qu’on pourrait être en CFA ». Cela pourrait être une façon de s’enlever la pression. Mais pour “Pacho” Donzelot, c’est surtout une façon de se prémunir des erreurs commises par le passé.« On a bien débuté, mais il faudra continuer à être costaud pour engranger des points ». Surtout à Paris, face à un prétendant annoncé à la montée en Ligue 2.

Et ceux d'aujourd'hui :

Un test en capitale

Coleaders de National après leurs deux succès chez l’autre repêché Colomiers (3-1) et contre le promu Epinal (1-0), les Strasbourgeois commenceront véritablement à s’étalonner ce soir (20 h) à Charlety où, pour la 3e journée, les attend un Paris FC aux dents très longues.

« Nous avons hâte d’y être, de jouer dans un beau stade, face à une belle équipe, composée de bons joueurs, dont Christian Kinkela, un attaquant pétri de qualités avec qui j’ai évolué à Ajaccio, pour commencer à juger notre valeur, même si, au 3e match, il faudra relativiser. Peut-être le Paris FC est-il favori, mais nous restons le Racing Strasbourg et je suis sûr qu’il ne nous prendra pas de haut. Ça devrait donner un bon match. »
Comme tous ses coéquipiers, Jean-Philippe Sabo n’ignore pas qu’un test grandeur nature attend le RCSA, coleader avec deux victoires, ce soir (20 h) dans la capitale pour le 3e épisode de la saison 2014-2015. Car, comme le dit encore le latéral gauche bas-rhinois, « Patrick Trotignon (Ndlr : l’ancien président et/ou dirigeant de Châteauroux, Evian-Thonon-Gaillard et Grenoble, arrivé cet été comme directeur général) n’est pas venu au PFC pour faire de la figuration. »
L’histoire récente entre les deux clubs n’invite de toute façon pas le Racing à faire le malin. En 2013-2014, le club francilien s’est ainsi imposé 2-0 tant dans son vétuste stade Déjerine à l’aller qu’à la Meinau au retour. Et le 14 septembre 2010, pour sa 1re saison en National, l’équipe alsacienne alors dirigée par Laurent Fournier s’était fait reprendre 2-2, alors qu’elle menait encore 2-0 à la 83e devant… 800 spectateurs dans un stade Charlety qui peut en contenir 20 000 et risque fort de sonner une nouvelle fois le creux en soirée.

Le clinquant recrutement parisien
Cet été, le PFC, lui aussi repêché - faut-il le rappeler - en 2013 et 9e en 2013-2014, a beaucoup changé. De visage et de dimension. Avec un budget de 4 millions (1,3 de moins tout de même que le RCSA), ses ambitions ont été revues à la hausse. Son clinquant recrutement en atteste. S’il a perdu ses deux attaquants, Oussoumane Fofana, double buteur à l’aller face au Racing l’an passé (parti à Dunkerque), et Karl Toko Ekambi, lui aussi auteur d’un doublé au retour à la Meinau (Ndlr : il a rejoint Sochaux), il a engagé plus d’une demi-douzaine de joueurs, la plupart rompue aux joutes des trois premiers niveaux nationaux. Et il n’a sans doute pas terminé son marché, puisqu’on lui prête des contacts très avancés avec le chef d’orchestre de Luzenac Idriss Ech-Chergui.
Après son nul vierge inaugural à domicile contre le relégué de L2, le CA Bastia, l’équipe de Christophe Taine s’est imposée 3-1 au Poiré-sur-Vie grâce à des buts de trois de ses recrues offensives. Trois nouveaux atouts qui ont souvent fait des misères au Racing ces dernières années et dont le pedigree en dit long sur les moyens déployés par le PFC : Richard Socrier (ex-Laval, Metz, Brest, Ajaccio, Angers, 45 matches de Ligue 1, 4 buts, 240 matches de L2, 59 buts), Christian Kinkela (ex-Amiens, Boulogne, Ajaccio, Sedan, Châteauroux, 29 matches de L1, 3 buts, 172 matches de L2, 26 buts) et Mouri Ogounbiyi (ex-Guingamp et Nîmes, 111 matches de L2, 13 buts, 67 matches de National, 20 buts) qui, lui, est forfait pour une blessure à la cuisse. Et encore ne s’attarde-t-on pas ici sur le milieu venu de Sochaux Loïc Poujol (51 matches en L1), le solide défenseur central d’Amiens, Hervé Libohy, qui fut en Picardie le complément du néo-capitaine strasbourgeois Ernest Seka, ou d’autres.
Pas étonnant que l’ex-milieu récupérateur malien du Racing Abdoulaye Coulibaly et ses partenaires abordent 2014-2015 avec, dans le dos, une énorme pancarte de favoris dans la course à l’accession. « Nous y allons en confiance, en sachant qu’un match difficile nous attend , annonce Jacky Duguépéroux. Nous y allons aussi pour jouer et y faire un résultat positif. »
Un résultat qui donnerait un peu plus d’épaisseur aux deux succès méritoires, mais plutôt logiques acquis à Colomiers et contre Epinal.
Un seul changement. Pour ce voyage à Paris, le groupe strasbourgeois n’enregistre qu’une modification : le jeune défenseur Yoann Salmier, qui remplace un autre jeune, le milieu Ali Karasahin, apparaîtra pour la première fois sur une feuille de match de National.

Le groupe strasbourgeois : Gauclin, Vencel (g) - Donzelot, Seka, Sikimic, Sabo, Grimm, Amofa, Munch, Belahmeur, Lienard, Aguemon, Marques, Bahoken, N’Diaye, Salmier. Absents : Fachan (reprise), N’Dour (pied), Oliveira (voûte plantaire), Bah (genou), Binder (genou), Karasahin, Weissbeck, Ieraci, Schmittheissler (choix de l’entraîneur).

En mode capital

Après avoir pris la mesure de deux adversaires, a priori, à sa portée, le Racing rend visite au Paris FC, l’un des gros bras annoncés du championnat.

Sur la planète foot, la vérité du mois d’août n’est évidemment pas toujours celle de mai. Du côté de l’OM ou de l’AS Monaco, on doit espérer la pertinence de l’adage. Au Racing, un coup d’œil dans le rétroviseur aura vite fait de le rappeler. Il y a un an, à pareille époque, les Strasbourgeois comptaient quatre points en deux matches et la défaite à Fréjus-St-Raphaël correspondait à une forme de logique, entre un promu et un cador. La suite et la fin s’enchaînaient entre désillusions en cascade et repêchage miraculeux. En cet été, il ne s’agit toutefois pas de bouder son plaisir. Avec ses deux succès initiaux, Jacky Duguépéroux et ses joueurs donnent l’espoir d’une reconstruction de fond en comble (13 départs, 7 arrivées) réussie. Ils se frottent néanmoins à du lourd aujourd’hui, une sorte de plat de résistance après deux mises en bouche parfaitement digérées.

« Le PFC est favori mais on est le Racing quand même »
Désigné comme l’un des quatre ou cinq favoris du championnat, le Paris FC fait figure d’épouvantail en raison d’un recrutement poids lourd – des garçons comme Poujol, Socrier, Kinkela, Ogounbiyi ou Cantini déboulent d’un ou deux échelons au-dessus –, d’une réorganisation complète à l’intersaison – avec l’arrivée de Trotignon, évincé de la présidence d’Évian/Thonon, le club a déménagé à Choisy-le-Roi et joue à Charlety. Présent depuis six ans en National, le Paris FC n’a visiblement pas l’intention de trop prolonger l’aventure. « On a disputé deux matches qu’il fallait essayer de gagner et on y est parvenu, explique Jean-Philippe Sabo. Maintenant, on affronte une bonne équipe. Trotignon n’est pas venu s’occuper de ce club pour faire de la figuration. À nous de montrer qu’on est présent dans ce championnat. Le PFC est favori mais on est le Racing quand même. »

« On veut confirmer ce qu’on a fait »
L’affiche du jour fleure effectivement bon un lustre d’un autre âge, avec une demi-douzaine d’oppositions intervenues dans le cadre de l’élite nationale entre 1973 et 1979. S’il a disputé la plupart, Jacky Duguépéroux n’en reste pas moins focalisé sur les enjeux du présent. L’entraîneur strasbourgeois ne connaît que trop bien les enjeux du troisième match de la saison. « Ça va être un match difficile, sachant que l’on n’est pas vraiment à l’aise à l’extérieur, indique le coach du Racing. Mais si on est des compétiteurs, on n’aborde pas ces matches avec la trouille. On va voir où on en est. » Sans nécessairement ouvrir le parapluie, “Dugué” décèle dans les premières semaines de compétition quelques raisons de prolonger l’état de grâce. « On veut confirmer ce qu’on a fait, précise-t-il. On va essayer de prendre les mesures qui s’imposent pour ne pas prendre de but, mais on y va aussi pour jouer, même si l’adversaire aura sans doute les mêmes idées que nous. »

En sortant indemne de son match dans la capitale, le Racing entretiendrait assurément l’impression d’une dynamique qui ne garantirait rien pour la saison mais qui l’éloignerait des profondeurs fréquentées lors de l’exercice passé. Ce n’est pas à négliger, même au cœur de l’été.

[alphons]

En sortant indemne de son match dans la capitale, le Racing entretiendrait assurément l’impression d’une dynamique qui ne garantirait rien pour la saison mais qui l’éloignerait des profondeurs fréquentées lors de l’exercice passé. Ce n’est pas à négliger, même au cœur de l’été.

je dirai qu'une victoire permettrai au racing de se positionner en tant que club qui vise autre chose que le maintien, 8 points d'avance sur le premier releguable, à 31 points du maintien apres 3 journées

un match nul ou une defaite rappelerai à MK que le recrutement n'est pas terminé....

[PoY]

Paris FC - Strasbourg : Sécurité renforcée à Charléty

L'an passé, le déplacement des supporters parisiens à Strasbourg avait donné lieu à des incidents. La confrontation entre les supporters des deux clubs avait débouché sur des gardes à vue, et à terme, sur une sanction pour le PFC (Retrait d'un point avec sursis + 5000€ d'amende). La sanction financière a toutefois été retirée depuis.

Ainsi, d'après Le Parisien, la vigilance est de mise en vue du match de ce soir, et la sécurité a été renforcée à Charléty. Des stadiers supplémentaires ont été appellés en renfort, tandis que les supporters parisiens et strasbourgeois seront placés dans des tribunes éloignées. Les deux clubs ont beaucoup échangé en amont afin d'éviter tout incident et que cette rencontre soit placée sous le signe de l'apaisement.

Au match aller, il n'y avait eu aucun incident

[Alkand]

L'an dernier il y avait une largeur de terrain entre les deux groupes de supporters et on a poireauté pendant de longues minutes que tous les supporters parisiens soient partis pour pouvoir sortir.
Là ce sera sûrement pareil. Ils ne nous laisseront pas quitter le stade tant que la voie ne sera pas libre.

[fab]

en place avec poy et alkand

[Kaniber]

Le match se dispute devant 500 personnes - en comptant large -, dont quelque 150 supporters strasbourgeois.


Un mot sur les conditions de jeu: la pelouse est parfaite, mais pour la troisième fois en trois journées, le Racing évolue sous une pluie battante. On se répète, mais quel dommage que la Fédération ne fasse pas démarrer les championnats en été!!!!

déjà vingt deux minutes de jeu et toujours 0-0

Le stade s'est un peu rempli depuis le coup d'envoi: il doit y avoir 600 personnes maintenant à Charléty.

Abdelhak Belahmeur vient de voir jaune à son tour pour une faute sur le capitaine du PFC Hervé Lybohy.

Nouveau carton jaune, très sévère pour celui-là, pour Stéphane Bahoken, auteur d'une faute, certes, mais d'une faute pas vraiment méchante sur Cantini qui a beaucoup... crié.

La très grosse occase de cette première mi-temps pour le RCSA: sur un excellent centre de N'Diaye côté droit, Bahoken a jailli aux 6 mètres au nez et à la barbe de son garde du corps, mais son coup de tête mal assuré a filé juste au-dessus de la transversale.


Mi-temps 0 - 0

[Kaniber]

Pénalty pour PFC provoquer par Sabo 1-0

L'égalisation pour le Raciiiiiiiiiiiiiiiiiing!!!!!!!!!!!! Ernest Sekaaaaaaaaaaaaa!!!!

1-1

[FM17]

et but....