[09/10] 1er Tour CDLL : Istres / RCS - 6/1

[urotsukidogi]

Pour le moment c'est plus cauchemardesque que difficile

[fl0w]

depuis Kingston en Jamaique je lis le resume du match et je prends peur...

[Bou]

bien fait de pas etre alle voir le match, ouf !!!

[Stan]

Et Shéréni ne nous aurait pas apporté non plus ...

Putain si on en vient à  regretter Shereni on est tombé bien bas..

Petite idée pour les dirigeants : recruter 2-3 vrais joueurs de foot avant le 31 de préférence c'est plus pratique, puis essayer de rester copain avec les Bah, Gargorov et autres JAF qui pourront quand même peut être nous servir.

[Jeter]

je viens de voir le score , quelle taule !!!!

[Barwadel]

C'est une correction !

Raison de plus de dire que nos joueurs n'ont pas le niveau.

[argueti]

Perdu dans le désert

Le Racing n'a pas existé hier au Stade Parsemain. Dominé dans tous les compartiments du jeu, le candidat à  la montée a été ridicule face à  un promu du National. A six jours de ses débuts en L 2, il quitte la coupe de la Ligue par la petite porte.

La fête des supporteurs risque d'être un tantinet triste, ce matin, sur les coups de 10 h30. On espérait des sourires sur le visage alsacien, au retour de son voyage en Provence. Mais le Racing revient du Midi avec un oeil au beurre noir, quelques dents en moins et le moral en charpie, en gros anéanti par un souffle enthousiaste. Pour faire la fête, on a rêvé invité d'honneur moins lugubre. Il a pris une leçon de football, hier, en présentant un visage proche du néant. Inférieure physiquement, jonglée techniquement, l'équipe de Gilbert Gress a fait peine à  voir. Elle a semblé perdue dans un théâtre qui n'avait, a priori, rien du guet-apens.

« Pas un prétendant à  la montée, au contraire »

Le FC Istres Ouest Provence a dominé le championnat de National la saison passée, mais son statut de promu ne l'apparente pas à  un cador de la L 2 qui débute vendredi prochain. Accessoirement, il n'a jamais dépassé le stade des 16es de finale dans une coupe nationale. Il est clair que le Racing pourra toujours avancer quelques circonstances atténuantes. Son hôte du jour a finalement belle allure. Avec El Bahri, Mesloub, Begeorgi et Ciaravino en feux follets, il n'est pas complètement exclu qu'il puisse incarner l'une des énormes surprises d'un championnat qui a envoyé Boulogne se frotter à  l'OM ou au PSG à  partir de la semaine prochaine. Mais au regard de leur prestation inaugurale, les Strasbourgeois sont quasiment assurés de ne pas avoir le droit de rivaliser avec la crème hexagonale dans douze mois. Le cas contraire pourrait s'apparenter à  non assistance à  équipe en danger... de se ridiculiser. Gilbert Gress a bel et bien été contraint au même constat : « Sur la prestation de ce soir, on n'est pas un prétendant à  la montée. Au contraire. » En gros, il ne serait pas loin d'être un candidat à  ne pas descendre. « Je suis inquiet, bien sûr, on le serait à  moins », a ajouté le technicien. En pareilles circonstances, on peut toujours se raccrocher à  quelques branches, même virtuelles. Trop grosse pour être vraie, la déculottée provençale correspondrait à  un cauchemar de 90 minutes, à  un énorme raté pour débuter la saison.

Ce matin, le Racing n'est pas une équipe

On sait également que le chantier sportif a connu du retard et que l'effectif demeure incomplet avec notamment l'arrivée impérative d'un attaquant. Mais Châteauroux ne sera sur le terrain de la Meinau que dans cinq jours et, même avec Ibrahimovic ou Eto'o en pointe hier, le Racing en aurait pris une bonne en ce samedi à  décorner un boeuf au bord de l'étang de Berre. Sa défense aux abois à  chaque offensive istréenne, débordée dans les grandes largeurs au milieu de terrain, l'équipe strasbourgeoise n'a dû qu'à  quelques inattentions adverses et qu'à  un éclair isolé le droit d'exister offensivement. Dans l'ensemble, elle a eu l'allure d'un fétu de paille perdu dans une tempête. « Ça met un gros coup au moral, a souligné David Ledy, l'un des seuls à  s'exprimer. On n'a pas été solidaire, on n'a pas joué ensemble. » Ce matin, le Racing n'est pas une équipe. Pas encore espère-t-on. Dans un drôle d'endroit pour une rencontre et le début d'une aventure, on a eu droit à  un drôle de score. On est contraint à  un drôle de constat. Avec le secret espoir qu'il ne soit que temporaire.

François Namur

[argueti]

Une équipe à  la mer

Premier match officiel 2009-2010 et premier naufrage pour le RCS, humilié par le promu en Ligue 2, Istres, à  Fos-sur-Mer lors du premier tour de Coupe de la Ligue (6-1). Une correction plus qu'inquiétante à  moins d'une semaine de l'ouverture de la saison de L 2.

Les financiers du Racing, qui espéraient engraisser leur cochon tirelire grâce à  la Coupe de la Ligue, en sont pour leurs frais. Car hier, pour sa première sortie officielle 2009-2010, l'équipe entraînée par Gilbert Gress a pris l'eau chez le champion de France de National promu en L 2, Istres. Le RCS a reçu rien moins qu'une leçon de foot, mis au supplice par la vitesse d'exécution et la technicité des hommes de Henri Stambouli, de Mesloub à  El Bahri, en passant par Begeorgi, Chedli et Ciaravino. Difficile, d'ailleurs, de faire surnager des individualités de ce naufrage dans un océan de médiocrité. On en retiendra seulement trois : Mamadou Bah, toujours candidat au départ (voir ci-contre), Magaye Gueye, rentré de sélection des moins de 19 ans en toute hâte et titulaire, et Stéphane Cassard, constamment livré à  lui-même. « Si l'on excepte le gardien de but, aucun joueur ne peut faire un reproche à  un autre », assène un Gilbert Gress désarçonné par cette raclée. « Dès le départ, nous avons été totalement absents. C'est une faillite générale et collective, dans l'état d'esprit, sur les plans physique et technique. »

Gueye eut le mérite d'entretenir – brièvement – le suspense en égalisant d'une superbe frappe à  l'entrée des 16 m sur un service de Bah (18 e). Il interrompit ainsi le festival que l'ancien Marseillais Fabrice Begeorgi avait entamé dès la 13 e et poursuivit sur deux nouveaux buts avant la pause (26 e et 38 e). Sur un corner, le triple buteur istréen bonifia ensuite sa prestation personnelle d'une passe décisive pour Ciaravino, auteur d'une merveille de bicyclette, une fois de plus sans opposition (63 e). Six minutes plus tard, Mesloub en ajouta un cinquième (69 e), avant que le rentrant Nouri n'enfonce le clou à  la 84 e, toujours seul face à  un capitaine abandonné.

Pelé : « Encore plus inquiet »

Le pauvre Stéphane Cassard était allé chercher six fois le ballon au fond de ses filets. Mais sans ses arrêts ou duels gagnés face à  Ciaravino (24 e), El Bahri (29 e), Begeorgi (30 e), Ciaramino encore (50 e) et El Bahri toujours (63 e), le score aurait pris des proportions encore plus historiques. Le groupe strasbourgeois, que les cadres de l'équipe trouvent trop juste pour jouer la montée, est-il aussi limité que son premier match officiel le laisse à  penser ? La question va tarauder les têtes alsaciennes d'ici à  l'ouverture du championnat vendredi (20 h 30) à  la Meinau contre Châteauroux. « Il n'y a pas grand-chose à  dire », lâche, lapidaire, Steven Pelé, « Nous n'avons rien montré. Vraiment rien. Nous étions inquiets avant le match. Nous le sommes encore plus. »

Anéanti par ce score empruntant au tennis, Gilbert Gress est sonné. « Je savais déjà  qu'il y avait beaucoup de travail, que la saison serait difficile, mais je ne pensais pas qu'elle le serait autant. Je suis inquiet, on le serait à  moins. Que vais-je dire aux joueurs cette semaine ? Aujourd'hui, il ne s'agit pas de dire, mais de faire. En recrutant ? Si l'on se fiait à  ce match, il faudrait recruter dix joueurs. Ce qu'il faut dire, c'est que 30 buts sont partis (Ndlr : marqués en 2008-2009 par James Fanchone, Kandia Traoré et Renaud Cohade) et qu'on ne les a pas remplacés. Est-ce que les joueurs ont envie de travailler avec moi ? Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Demandez leur. Mais avez-vous le sentiment que j'ai envie de travailler avec tous les joueurs présents sur le terrain ? »

Une dernière phrase qui ne contribuera sûrement pas à  placer sous le signe de la communion le décrassage de ce matin (10 h), théâtre de la journée des supporters à  la Meinau. Et dire que la saison n'a pas encore démarré…

Stéphane Godin

[fidelio]

Au delà  de la raclée d'hier soir,c'est le discours general des joueurs et du staff qui me fait bondir.

Le Raçing possède un effectif formé de joueurs qui etaient a deux doigts de monter la saison dernière,et de joueurs qui ont une experience en ligue 1.

Franchement,ras le bol de les voir tous faire profil bas.
Que devrait dire les autres ?

Il faut ce ressaisir un point c'est tout.Et qu'on arrète de faire les pleureuses,car là  sa fait desordre.

Ensuite,qu'on degage les rigolos de la cellule de recrutement.
Ce Pierre Ginestet ne sert a rien,et là ,c'est pas un scoop.

Plutot que d'aller chercher je ne sais quel joueur a l'autre bout du monde,regardons les joueurs libres,notamment sur la liste de l'UNFP.
Il nous faut imperativement un defenseur central de plus,un attaquant,et un meneur de jeu.

Franchement,faut arreter maintenant,on est le Racing club de Strasbourg bordel,et pas Triffouillis -les-Oies.

[FM17]

C est la famille Ginestet que j aimerais voir partir définitivement...