
Jafar Hilali
- Keating
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Re: Jafar Hilali
Curieux qu'il n'y ait pas de réaction ... En tout cas c'est très, très intéressant ... si tout est vrai, et ça  
			
			
									
									
						
- Its_me
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Re: Jafar Hilali
Exactement comme tu le dis ... si ce qu'il dit est vrai ...
			
			
									
									"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
						- PoY
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Re: Jafar Hilali
Pas de réaction car wait & see  
			
			
									
									
						
- argueti
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Re: Jafar Hilali
Du coup le site cieletblanc est accusé de servir la comm' de Jafar et c'est le drame  
			
			
									
									
L'histoire est en marche ...
						- Hans
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Re: Jafar Hilali
Cette interview ne m'a pas du tout convaincu. Pour une fois, il répond aux questions ... mais quand tu vois le niveau des réponses ...  
			
			
									
									
						
- Its_me
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Re: Jafar Hilali
L'Alsace a écrit : « J'assumerai »
Plutôt réticent à communiquer, Jafar Hilali, le principal actionnaire du Racing avec Alain Fontenla, a fini par rompre le silence. Alors qu'il se prépare à prendre la présidence du club strasbourgeois, le successeur de Jean-Claude Plessis dévoile ses intentions. S'il n'est pas à Strasbourg pour être aimé, il ne compte pas non plus y échouer.
- Après des mois de silence, vous acceptez de parler. Cela semble inconcevable pour un personnage aussi exposé que le propriétaire du principal club alsacien. Comment en est-on arrivé là ?
- Les conditions de mon investissement n'ont rien d'anormales. C'est par le biais d'un salarié de ma société que l'on s'est intéressé au Racing. C'était une équipe de foot qui allait mal, elle était 18e en L2, elle avait beaucoup de problèmes. Et c'est un club de l'Est de la France, dans une région saine, riche. Il y a des enjeux autour de ce club. En raison de la gestion de ces dernières années, le club avait besoin qu'on le rebooste un peu. On a procédé à l'achat pour 1,5 millions d'euros. Cela s'est fait vite, peut-être un peu trop.
«Je conçois que les gens qui suivent ce club depuis longtemps soient dégoûtés»
- Dix mois plus tard, les choses vont encore plus mal. Comment analysez-vous la situation ?
- Il y a quelque chose d'hallucinant. C'est comme un énorme accident. Je ne suis pas un accro du foot, contrairement à Alain Fontenla. Mais ce qui arrive provoque forcément de la déception. Et Strasbourg qui ne monterait pas, ce serait la risée de la France. Après, il faut s'efforcer d'analyser les choses avec du recul pour essayer de rebondir.
- On a le sentiment que les actionnaires du club ont multiplié les mauvaises décisions depuis une dizaine de mois. Ne s'agit-il pas d'une méconnaissance du foot qui a conduit le Racing où il en est ?
- Il y a des règles à comprendre, qui ne sont pas forcément compliquées. Après, je conçois que les gens qui suivent ce club depuis longtemps soient dégoûtés. Je pourrais faire tout ce que je peux, tant que le Racing n'est pas au moins en L 2, j'aurai tort. J'ai eu des discussions avec Rolland Courbis qui m'a dit qu'en huit mois, j'ai vécu ce que d'autres n'ont pas vécu en 20 ans. Mais si, à la fin, ça se termine bien...
Je découvre quelque chose de génial dans le foot, avec, d'un côté, le processus d'affolement collectif et de l'autre des gens qui s'en tiennent à une direction et à une loyauté. Ça me plaît.
D'un autre côté, je sais aussi qu'on n'a pas à faire à un milieu de moutons. Il y a différentes catégories de gens, ceux qui ont l'info, ceux qui ont un ressenti, ceux qui s'en tiennent à une position ferme et définitive. Aujourd'hui, je ne cherche pas la reconnaissance. Je veux être heureux si le Racing monte en L 2.
- Quels sont vos objectifs et la méthode que vous comptez privilégier pour les atteindre ?
- Dans un premier temps, il faut établir une certaine stabilité. Il y a eu trois présidents différents. Aujourd'hui, je ne veux plus que l'on me mette de bâtons dans les roues. Si ça ne devait pas marcher, j'assumerai. Je serai président à la fin du mois.
« Le Racing, c'est un énorme club dans l'absolu »
Ensuite, dans ma démarche, il s'agit de distinguer le sportif et le reste du club. On n'est pas à Luzenac. Le Racing, c'est un énorme club dans l'absolu, c'est une grosse entreprise, c'est peut-être une trop grosse entreprise. En tout cas, Jean-Claude Plessis m'a encore décrit l'ambiance à Ohlungen, dimanche. Ça n'a rien à voir avec un club comme Sochaux.
On se retrouve dans une région avec une identité forte, dans une ville multiculturelle comme Strasbourg. Lorsque j'ai rencontré Philippe Richert, je lui ai d'ailleurs proposé de rebaptiser le club, qui deviendrait le Racing Club de Strasbourg Alsace. Parce que fondamentalement, on se retrouve d'abord dans une région de foot.
- Connaissant la difficulté des greffes tentées par le passé, ne craignez-vous pas de vous retrouver en première ligne ?
- Je sais qu'il y a eu Daniel Hechter, McCormack ou même Alain Afflelou qui ont échoué ici. Initialement, je n'avais pas la volonté de mettre la main à la pâte. Mais on est dans un environnement où l'on veut savoir qui il y a derrière. On espérait un schéma autre que le président-actionnaire. Visiblement, ça ne marche pas.
Dans le processus, il est clair qu'on a perdu beaucoup de temps. En tant que président, je ne veux pas être un boulet pour le sportif. Je me pose tous les jours la question du moyen d'apporter un plus. Dans ma tête, par exemple, ce n'est certainement pas en assistant aux matches. De la même manière, je ne peux pas incarner le club de toute une région.
« Jean-Luc Witzel va remplacer Jean-Claude Plessis au directoire »
Mais un boss c'est un boss et il décide de tout. Prochainement, Jean-Luc Witzel (ndlr : l'actuel directeur sportif) va remplacer Jean-Claude Plessis au directoire et je remplacerai Jean-Claude Plessis à la présidence. J'espère que ce dernier acceptera de rester dans un vrai rôle de représentant du club.
- Il reste que les finances du club inquiètent...
- Je suis allé avec Alain Fontanel (nldr : l'adjoint au maire en charge des finances) devant la DNCG et la trésorerie est assurée jusqu'à la fin de la saison. Ensuite, le budget du club et les investissements ne sont pas la question. Pendant le naufrage, le Titanic aurait bénéficié des plus grands investissements, cela n'aurait rien changé.
Sur les neuf millions d'euros pour la saison, six sont consacrés au sportif, avec un budget fort pour la formation. Trois pour l'extra-sportif, c'est trop. Or, il faut un attaquant et un milieu offensif pour donner un coup de pouce. J'espère que la DNCG nous autorisera à recruter. On voulait investir les 600 000 euros obtenus avec le transfert de Bah dans l'effectif. La DNCG ne nous l'a pas autorisé.
« Je ne vais pas faire plaisir à tout le monde »
- En vous dévoilant, avez-vous le sentiment de franchir le pas ?
- Ça fait trois mois que je l'ai franchi. Je vais chercher à dissiper les incompréhensions, mais il n'y a que le résultat qui m'intéresse. On a fait le procès de la communication. Mais je sais que je communique mal. Et dans les prochains temps, je sais aussi que je ne vais pas faire plaisir à tout le monde. Je sais que j'ai fait des erreurs, notamment par rapport aux supporteurs. J'ai ainsi rouvert le kop. Mais j'ai surtout le souci de créer les conditions pour que ça marche. On n'est évidemment pas obligé de m'aimer, mais tout le monde doit faire pour que ça aille mieux.
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Re: Jafar Hilali
DNA a écrit :Hilali va rencontrer les joueurs
Jafar Hilali, l'actionnaire majoritaire du Racing, sera à la Meinau ce matin pour notamment s'adresser aux joueurs à l'issue de l'entraînement.
Les Strasbourgeois ont eu droit à une longue séance hier matin, avec musculation et opposition au programme. Un entraînement auquel ont pris part les jeunes Benedick et Rivieyran.
Mathlouthi (élongation aux ischiojambiers, l'attaquant devrait être absent quinze jours et manquera le prochain match de championnat à Créteil), Pichot (cuisse) et Outrebon (mollet) n'ont pas pris part à la séance et sont forfait pour le 6e tour de la Coupe de France face à Reipertswiller samedi.
La blessure à la cuisse de Mbongo n'est bientôt plus qu'un mauvais souvenir. L'attaquant a participé normalement à la séance hier matin, mais il devrait toutefois être un peu court pour postuler à une place dans le groupe pour la rencontre face aux « Forestiers ».
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Re: Jafar Hilali
L'Alsace a écrit :les joueurs n'ont finalement pas vu Jafar Hilali
Le propriétaire du Racing Club de Strasbourg, qui vient régulièrement en visite au Stade de la Meinau depuis trois semaines, n'a finalement pas rencontré les joueurs du groupe professionnel ce matin, comme c'était prévu depuis une semaine (notre édition du 25 octobre).
L'actionnaire principal du RCS n'a tout simplement pas pointé le bout de son nez, alors qu'il devait se présenter à la troupe de l'entraîneur Laurent Fournier aujourd'hui à l'issue de l'entraînement, qui s'est achevé vers 11h30.
Selon nos informations glanées sur place, une nouvelle date a été fixée par Hilali pour rencontrer les joueurs strasbourgeois. Il s'agit du mercredi 3 novembre prochain, soit un peu plus de trois mois après le début de la saison 2010-2011.
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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				Dropsy
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Re: Jafar Hilali
 
   
   
 non, plutôt...
 
   
   
   
   
   
    
   
   
 Pour tous les défenseurs acharnés de ce type et pour tous les grands pourfendeurs de la presse écrite régionale, responsable selon certains de tous les maux du Racing, l'article est tout ce qu'il y a de plus neutre et en dit néanmoins long sur la motivation et l'implication de ce "Môssieur" Hilalie, qui n'a soit dit en passant, jamais mieux porté son nom...
Nos joueurs sont limités sur le terrain mais on ne fait rien dans leur entourage professionnel pour les aider à se défoncer et à progresser.
- 
				Tenor
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Re: Jafar Hilali
Faux !Dropsy a écrit :


Nos joueurs sont limités sur le terrain mais on ne fait rien dans leur entourage professionnel pour les aider à se défoncer et à progresser.
Les caisses sont vides ; le club est tributaire d'un président payeur ; l'entraineur fait tout pour les faire progresser ;
les joueurs sont jeunes ; tous ont envie de faire carrière plus tard ;
Tous les ingrédients sont là pour monter une équipe dans la durée, seul bémol, nous n'avons pas le temps puisqu'on pourrait perdre le statut pro et c'est celà qui met la pression sur le club, donc sur ceux qui sont sur le terrain.
A moins d'un mécène qui allonge les millions d'euros de suite pour aligner un groupe plus costaud...c'est une autre histoir, et pour l'instant ceux qui sont en place font leur travail de leur mieux


 
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