 
 c'est vrai, mais je rajoute que tous ces réservistes seraient titulaires au racing
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dna a écrit :La parenthèse enchantée
Porté par son intelligence, son courage et la réussite, le Racing a été l’auteur d’un exploit retentissant, samedi, face au PSG. Au-delà d’une victoire, la semaine passée correspond à une vraie bonne affaire, à la démonstration d’une progression bienvenue.
La chance sourit parfois aux audacieux. En foot, même si moult matches se décident sur un détail, un hasard ou des circonstances irrationnelles, celle-ci n’accompagne pas durablement le bienheureux bénéficiaire de manière fortuite.
Pour souligner combien les joueurs strasbourgeois ont été sous grosse pression pendant les deux rencontres de la semaine passée et édulcorer une expression fleurie voire vulgaire, le Racing a eu, en basculant de novembre à décembre, le popotin entouré de tagliatelles.
Face à Caen (0-0) et au PSG (2-1), la bande à Laurey en a bavé des ronds de chapeau. Les adversaires ont eu de monstrueuses occasions qu’ils ont ratées. Normands et Parisiens ont trouvé trois fois les poteaux. Les deux ont pu repartir de la Meinau avec une valise remplie de frustration.
La source de l’incroyable exploit face à Caen ?
Et si les Strasbourgeois ont provoqué une déflagration sur la planète foot, en tombant l’un des deux derniers invaincus du continent européen – le PSG a laissé à Manchester City ce statut si enviable –, c’est sans doute quatre jours avant, en grattant un point méritoire, à défaut d’être mérité, qu’il faut trouver la source de l’incroyable exploit.
Mangane, Koné et les autres avaient arraché le nul face à Caen, en un match qu’ils auraient peut-être perdu deux mois avant. Ils avaient joué aussi mal contre Amiens par exemple, ils avaient fait nettement mieux contre Nantes. Mais à chaque fois, ils avaient perdu à domicile.
Si les Bleus n’avaient pas masqué leur frustration d’avoir raté leur sortie d’avant le PSG, ils avaient au moins la satisfaction d’avoir évité la catastrophe, alors que les Beatles de la Ligue 1 étaient annoncés pour le samedi.
« On voulait vraiment gagner face à Caen parce que l’on sait que certains de nos concurrents vont gagner le week-end prochain », anticipait Dimitri Lienard, le rafraîchissant ailier qui n’espérait pas grand-chose de la confrontation contre les Parisiens.
« On essayera de garder quelque chose de ce match et pas seulement le maillot de l’adversaire, espérait Thierry Laurey, un coach légitimement pessimiste avant l’échéance. On va essayer de faire un match cohérent pour leur poser des problèmes, si on y arrive. » Entendu que le contraire était le plus probable.
L’improbable est donc arrivé. « Toutes les planètes étaient alignées », selon Laurey. Et pour la première fois, le Racing l’a emporté sans nécessairement le mériter. Plus tôt dans la saison, il n’avait pas gagné quelques matches qu’il avait dominés – face à Angers à domicile (2-2), à Saint-Étienne (2-2) plus récemment, sans parler de la défaite à Guingamp (0-2) où il ne s’était pas relevé de l’ouverture du score après avoir dominé pendant une heure. Il faut croire que quelque chose a changé.
« Si on ne s’enflamme pas, on réussira à se maintenir »
Voilà les Strasbourgeois avec quatre points d’avance sur les équipes de la zone rouge écarlate, celle qui conduit directement à l’étage inférieur. Néanmoins, ce n’est pas avec les 18 points actuels qu’ils décrocheront leur maintien. Il y aura d’autres combats à mener à bien, d’autres chantiers où il s’agira de progresser.
S’il leur a laissé deux jours de répit pour apprécier en famille ou entre amis leur monumental exploit, Thierry Laurey ne devrait pas lâcher ses hommes dans son souci de les faire progresser.
Depuis un an et demi, l’évolution est spectaculaire, de promu en Ligue 2 à tombeur de monuments. Le technicien strasbourgeois a tout de même décelé des marges de progression. « On n’a pas bien joué quelques ballons de contre, a-t-il osé après le match. À 300°C, tu n’as pas toujours le geste juste. On a eu des possibilités qu’on aurait pu mieux négocier. Mais je suis très fier d’entraîner cette équipe. Si on ne s’enflamme pas, on réussira à se maintenir. »
Même si le succès face au PSG ne garantit rien quant à l’avenir, il est susceptible de bien faire grandir. Il ne tient qu’aux Bleus de prolonger la parenthèse enchantée.




 
   
  


Entièrement d'accord..alphons a écrit :Le racing aurait gagné devant une equipe reserve?? Excuse bidon de journalistes frustrés, Di Maria valeur 50 millions, Pastore 25 Millions. Draxler Pareil.....
 Sans compter qu'il ne manquait que 4 titulaires au coup d'envoi : Kurzawa (ça aurait dû les arranger), Silva, Verratti et Cavani.
 Sans compter qu'il ne manquait que 4 titulaires au coup d'envoi : Kurzawa (ça aurait dû les arranger), Silva, Verratti et Cavani.
Je viens de vérifier, ces 10 dernières années de nombreux clubs se sont maintenus avec moins de 40 pts. En fait, avec 40 le maintien est quasiment assuré.Phapha a écrit : Une fois redescendu de mon nuage, je regarde le classement et je vois qu'il manque 3 points pour être à 21, càd la moitié de ce qu'il faut normalement pour se maintenir. Bref, on est presque à mi-chemin et ça incite à l'optimisme.

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