tu parles.... quand à strasbourg on était morts et passés du national en CFA2, il ne s'était rien passé
alors si colmar descend, il ne se passera rien non plus...
			
			
									
									
						SR Colmar
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Re: SR Colmar
Peut-être pas à Strasbourg, mais à Colmar il y aura surement du grabuge, bien que le petit nombre qui s'intéresse à Colmar ne fera surement pas autant de bruit que si ça se passerait au racing .
			
			
									
									
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Re: SR Colmar
Dna a écrit :« Je n’ai pas menti »
Christophe Gryczka réfute l’idée selon laquelle son club serait en danger, financièrement parlant. Le président des SRC reconnaît néanmoins qu’une « pression plus forte » pèse sur ses épaules sans les cinq points perdus sur le terrain administratif.
Vendredi dernier, les SRC ont perdu deux points devant la DNCG, puis trois lors du match à rejouer à Béziers (défaite 1-0). Cette journée noire vous a-t-elle assommé ?
– Dire le contraire, ce serait mentir. C’est une saison très difficile. Les turbulences s’enchaînent, c’est quand même assez dingue... Dès le début, on a rencontré des soucis. On a dû faire face aux départs de Dequaire et Crillon (qui avaient donné leur accord à Colmar avant de s’engager à Châteauroux, ndlr).
Ensuite, les résultats n’ont pas été à la hauteur de notre niveau de jeu. Il y a eu de la maladresse devant le but, mais aussi un manque de chance. Et si on avait été en tête du championnat à la trêve, personne n’aurait considéré cela comme anormal.
« On est tombé dans un traquenard incroyable, mais on n’a pas dit notre dernier mot »
Cette rencontre de Coupe de France à Raon-l’Étape (perdue aux tirs au but le 5 décembre, ndlr) , que l’on doit gagner 7-0 , nous a également fait mal (*) .
Et puis, là, on a coup sur coup le départ de Gasser (à Luçon) , le match à rejouer à Béziers, la décision de la DNCG et l’épisode Chéré (**). Oui, c’est une saison éprouvante...
– Pour l’équipe, ces cinq points de moins, c’est un peu le coup de grâce, non ?
– Ce n’est pas mon avis, car ce n’est pas le style de l’entraîneur et des joueurs de lâcher. On fera les calculs à la fin. Déjà, on a saisi le Comité National Olympique et Sportif Français dans l’affaire Béziers.
Il est scandaleux que ce match ait été donné à rejouer. On est tombé dans un traquenard incroyable, mais on n’a pas dit notre dernier mot. On a bien compris qu’on n’obtiendrait rien de la FFF. Par contre, je garde espoir de récupérer le gain de la rencontre (initialement remportée 2-0 par les SRC le 6 novembre) devant le tribunal administratif.
Il y a de grosses anomalies, voire de gros mensonges, dans le jugement rendu par la Fédération en appel. Je ne peux pas les révéler maintenant parce qu’on va s’en servir dans notre argumentaire. Tout ce que j’ai à dire, c’est qu’on a déposé un beau dossier et qu’on y croit fortement.
– Le principal sujet de préoccupation concerne le retrait de deux points infligé par la DNCG. Le club rencontre-t-il des soucis budgétaires ?
– Déjà, je m’étonne quand je lis que les problèmes financiers de Colmar ne sont plus qu’un secret de Polichinelle (voir DNA de dimanche)...
– Ce sont pourtant des échos que l’on entend au sein du club...
– Je n’y crois pas. Aux SRC, seulement deux ou trois personnes sont véritablement au courant des aspects financiers. Aujourd’hui, tous les joueurs sont payés. Et comme je l’ai dit dans mon communiqué, si la DNCG nous a sanctionnés, c’est parce que l’on n’a pas transmis à temps un document administratif. Je n’ai pas menti.
– Ce retrait de deux points n’envoie-t-il pas un signal inquiétant sur de la santé du club ?
– Dans les points qu’elle a abordés, la DNCG n’a pas relevé de problèmes financiers. Sa sanction est injuste, mais elle s’appuie malheureusement sur un point de règlement. Je le répète, il y a un document que l’on n’a pas donné à temps.
– De quel document s’agit-il ?
– Ça nous regarde. Je sais bien que le foot est un domaine très public, mais on n’a pas besoin de toujours tout dire. Il y a des choses qui doivent rester au sein du club.
– Les SRC peuvent-ils subir le même sort que d’autres clubs avant eux, à savoir une rétrogradation administrative ?
– Je ne le pense pas. Je ne nous vois pas comme étant en danger. Depuis que je suis ici, l’argent a toujours été un problème. Il n’y a rien de plus grave que les autres années. On a simplement augmenté un peu notre masse salariale, donc on court encore un peu plus après l’argent et les partenaires... C’est la partie la plus dure du métier de président.
– Vous sentez-vous sous pression, après les récents soubresauts ?
– La pression devient plus forte quand ça ne va pas bien, mais je la ressens depuis que j’ai pris les commandes de ce club. Pour être président, il faut être multimillionnaire, célibataire et à la retraite. Moi, je ne remplis aucun de ces trois critères. En revanche, les critiques, qu’elles soient justifiées ou non, ne me touchent plus comme au début. Au poste que j’occupe, il y en a forcément, mais je ne les écoute pas.
« Je ne me planque pas »
– Votre silence, ces derniers jours, n’a pas manqué d’interpeller...
– C’est un peu triste, mais parfois, mieux vaut se taire et arrêter de communiquer. Dès que je m’exprime, mes propos sont repris sur les sites internet. Au bout d’un moment, tout ce que je dis est déformé et retourné contre moi. Pour certains, sur les réseaux sociaux, je n’ai jamais été la bonne personne. Mais ces mêmes gens critiquaient Damien Ott (l’ancien entraîneur des SRC) avant de faire remarquer, quelques mois plus tard, qu’il est mieux classé que nous (avec sa nouvelle équipe d’Avranches)...
– Il semble que votre entraîneur (Didier Ollé-Nicolle) et vos joueurs attendent aussi de vos nouvelles...
– Mais j’ai déjà parlé au coach, quand la DNCG nous a retiré deux points en première instance. La décision a été confirmée en appel et la raison est toujours la même. Lorsque je l’ai su, vendredi à 18h15, j’ai prévenu Jean-Louis Jaegli (le vice-président présent à Béziers) pour qu’il informe l’équipe.
Cette semaine, je suis en Suisse (Christophe Gryczka est chef d’entreprise dans le domaine pharmaceutique, ndlr) , mais j’ai eu des joueurs au téléphone. Je ne me planque pas.
– Avez-vous le sentiment que vos jours sont comptés, à la présidence des SRC ?
– Je ne veux pas m’approprier ce club, ni que les gens croient que je souhaite à tout prix me maintenir à mon poste. Je me bats, je m’investis, mais je ne crains pas que certains prennent ma place. S’il y a des candidats, on peut en discuter. Et si je sens que c’est mieux pour Colmar, je ne vais pas m’accrocher.
Mais attention, je ne suis pas en train de dire que je veux arrêter ! De toute façon, personne ne s’est jamais manifesté. Gérer un club avec beaucoup de problèmes, en plus de son boulot, de façon bénévole, il faut en avoir envie... C’est un combat de tous les instants. Tu t’inquiètes tous les jours mais quand tu gagnes le week-end, tout ce stress repart. Le vendredi, après une victoire, je suis content. C’est le seul moment où je me dis que je n’ai pas fait tout ça pour rien.
– On en déduit que seule une victoire de vos joueurs, demain à Châteauroux, vous remonterait le moral...
– Qu’ils gagnent les 17 prochains matches (sourire). J’ai confiance en eux.
(*) Au tour suivant, les SRC aurait affronté l’AS Saint-Étienne. (**) Le capitaine colmarien a fait part de son souhait de signer à Bourg-en-Bresse, mais son club a refusé de le libérer.
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Re: SR Colmar
match à 6 points perdu ce soir et Colmar qui s'enfonce sérieusement  
			
			
									
									
						
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Re: SR Colmar
Dna a écrit :19e journée)
Châteauroux 3– 2 SR Colmar
Quand rien ne va…
Plombés par leurs inconséquences défensives, les SRC se sont inclinés hier malgré un match plutôt abouti. Toujours avant-derniers, ils voient l’écart avec le premier non-relégable monter à huit points.
Les SRC sont actuellement dans le dur. Et pour ne rien arranger, rien ne leur a souri hier soir au stade Gaston-Petit de Châteauroux.
Pourtant, ils ont eu le mental pour revenir deux fois au score mais leurs erreurs défensives ont fini par leur coûter le match.
Avec un peu plus de réalisme, les Colmariens auraient pu se mettre à l’abri de ce genre de dénouement. Car en première période, il n’y a eu qu’une équipe sur le terrain. Mais le manque de punch face à Souchaud, notamment de Gbizié (3e ), a empêché les Verts de faire fructifier la nette emprise qu’ils ont eue sur la rencontre durant les 45 premières minutes.
« On a fait une très bonne entame, en faisant circuler le ballon.
Mais quand on ne la met pas au fond et qu’en face ils ont 100 % de réussite, ça devient compliqué, résume l’ailier haut-rhinois qui a perdu son face-à-face avec le gardien castelroussin d’entrée de jeu. On a plus déjoué après le repos. Et au final, ça ne se joue à pas grand-chose. »
Bien en place, avec une certaine assise au milieu leur permettant de récupérer un maximum de ballons, les Alsaciens ont donc déroulé leur football, mettant au supplice une équipe berrichonne qui n’a d’abord fait que défendre, trouvant la faille un peu par hasard sur corner par Tounkara (1-0, 10e ). L’égalisation fort à propos de Touré (1-1, 34e ) a été des plus logiques mais n’a pas réussi à faire définitivement pencher le rapport de force en faveur des visiteurs.
« Ce soir (hier), on n’avait pas une tête de relégable »
« À la mi-temps, c’est un miracle de rentrer à 1-1 », en convient Cédric Daury, le coach de La Berrichonne qui a su trouver la réponse tactique pour équilibrer les débats au retour des vestiaires. Moins souverain, Colmar a dû lutter pour empêcher Châteauroux de s’enhardir. La débauche d’énergie était louable mais le manque de concentration et de lucidité a été payé cash, à chaque fois.
Lebrun a été à la conclusion d’une erreur de communication de l’arrière-garde haut-rhinoise (2-1, 58e ). Moins efficaces dans la construction de leurs actions, les SRC ont néanmoins eu le mérite de trouver les ressources pour revenir au score sur une tête de Burel (2-2, 80e ) avant d’être crucifié dans la foulée par Crillon, l’ancien de la maison (3-2, 86e ).
« On a fauté sur les phases arrêtées défensives avec notre système en zone. Châteauroux a été plus ambitieux et mieux organisé après le repos. Mais il y a tout de même énormément de regrets par rapport à la maîtrise que l’on a eue, déplore l’entraîneur Didier Ollé-Nicolle. Il y avait la place pour ramener au moins un nul. Ce soir (hier) , on n’avait pas une tête de relégable. »
Certes, mais bien jouer ne suffit plus dans la position actuelle des Verts. Scotchés à l’avant-dernière place du National, ils ont vu l’écart avec le premier non-relégable monter à huit points. Hier soir, à Gaston-Petit, Colmar a pu se rendre compte que rien ne lui sera épargné dans sa quête du maintien.
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Re: SR Colmar
Dna a écrit :« Un coupable, le président »
L’attaque est frontale et assumée. L’ancien entraîneur et directeur sportif des SR Colmar, Dominique Lihrmann, invite le président Christophe Gryczka à « combler le trou qu’il a lui-même creusé » et à « passer la main le plus vite possible à quelqu’un de compétent ».
Initialement, nous l’avions contacté pour qu’il nous livre une séquence souvenirs, dix ans après le monumental exploit des SR Colmar face à Monaco en Coupe de France (article à paraître samedi). Et puis, à la fin de l’entretien, la conversation a dérivé sur l’état de santé du club haut-rhinois.
Dominique Lihrmann, l’ex-entraîneur et directeur sportif des Verts (2003-2013), prend la parole pour réclamer publiquement la démission du président Christophe Gryczka. « Si rien ne bouge, dans cinq mois, on est en DH », prédit “ Doumé”, ému aux larmes.
– Quel regard portez-vous sur les SRC, version 2015-2016 ?
– Je me suis récemment lancé dans le théâtre et là, j’ai l’impression de voir un vaudeville au quotidien. Colmar a oublié les vertus du milieu amateur. À mon époque, les murs du Stadium transpiraient certaines valeurs – la sueur, le travail, l’humilité – qui sont en train de s’évaporer.
Quand je vois qu’en début de saison, on a confié le recrutement à un agent usurpateur comme Michael Gerber, ça situe le niveau d’incompétence du président. Moi, je suis parti car je ne pouvais plus cautionner son style de management.
« Quand ça va couler, il va s’en aller »
L’histoire des SRC a commencé à dérailler quand Roland Hunsinger (l’ancien président) a souhaité passer la main après avoir consacré treize ans de sa vie au club. Quelque part, je suis complice, car je faisais partie des personnes qui avaient donné leur aval pour que Christophe Gryczka prenne le relais. Mais pour moi, ce n’est pas un capitaine. C’est le Frédéric Sitterlé du Racing. Quand ça va couler, il va s’en aller. Il est grand temps de le dire haut et fort.
– Que lui reprochez-vous exactement ?
– Il nous a vendu du vent. S’il suffisait de dire “la Ligue 2 est à nous ” pour être performant, ça se saurait. L’intelligence, c’est avoir l’ambition de ses moyens.
Quand j’ai deux millions d’euros, j’en dépense deux. Là, on dépense les sous qu’on n’a pas, et on met le club en situation de danger extrême, en oubliant qu’il y a dix ans, notre budget était de 300 000 euros.
En moins d’un an, Didier Ollé-Nicolle (le coach) a gagné plus que moi aux SRC en dix saisons. Si être pro, c’est être dix fois plus cher et faire nettement moins bien, je ne vois pas l’intérêt.
De mon temps, le staff n’était pas pro et on respectait le budget qu’on avait. On faisait mieux avec dix fois moins de moyens. Je repense à tous ces spectateurs qui nous ont jetés en enfer parce que nous étions amateurs. Damien Ott (l’ancien entraîneur) , on le critiquait dès qu’on pouvait, mais on aurait fini par arriver en Ligue 2 avec lui, en faisant du Colmar.
Cette saison, jamais les trois premières places n’ont été autant jouables. Regardez Belfort. Il y a un garçon là-bas (Maurice Goldmann) qui gagne six fois moins qu’Ollé-Nicolle. Je n’ai pas l’impression qu’il soit six fois moins bon...
« Le président flambeur a joué au poker, il a perdu »
– Que préconisez-vous ?
– La priorité, c’est que les SRC repartent en National l’été prochain. Il faut donc que celui qui nous a mis dans ces conditions nous en sorte, en allongeant les 300 000 euros qui manquent. Ou alors, il faut qu’il s’en aille tout de suite et que l’on trouve quelqu’un pour gommer son ardoise...
Christophe Gryczka aura mon respect le jour où il aura réparé ses conneries. Il a joué au poker, en pensant crouler sous les demandes de sponsors alléchés par la future Ligue 2. Ça aurait pu marcher. Au casino, tu peux toujours gagner, même quand tu y vas pour la première fois. Mais aujourd’hui, le président flambeur a perdu.
Le club est bien amoché. L’équipe “deux” était cinquième en CFA 2. Elle lutte désormais pour son maintien en DH. Si rien ne bouge, dans cinq mois, tout va exploser et on sera en DH avec la “une”.
– C’est vraiment ce qui pend au nez des SRC selon vous ?
– Il est grand temps de tirer la sonnette d’alarme. La DNCG a enlevé deux points à Colmar avant Noël. Il est très rare que cela arrive. Personnellement, je n’ai trouvé que deux précédents sur les dix dernières années : Besançon et Cannes. Ces deux clubs ont été relégués en DH...
J’ai peur qu’on passe à notre tour à la broyeuse, parce qu’on a suivi un vendeur de vent. Je crains fort une relégation administrative.
Pour l’heure, Christophe Gryczka fait l’autruche, mais on va droit dans le mur. À l’image du Titanic, on coule, tout en continuant à être bercé par une douce musique...
Il faut arrêter de croire les balivernes du président. Il nous prend pour des charlots. Selon lui, la Fédération est remplie de gens incompétents. Il a toujours raison et tous les autres sont des imbéciles. Mais ses appels contre la FFF sont de la poudre aux yeux. La réalité, c’est que l’équipe est à huit points du premier non relégable.
« Je décrète l’état d’urgence »
– Pour quelles raisons prenez-vous la parole aujourd’hui ?
– Je le fais parce que je suis un passionné de ce club, qui est en train de sombrer. La situation est dramatique. On prend l’eau de toutes parts et personne n’écope. Au nom de tous les bénévoles qui ont donné de leur sueur pour les SRC, je décrète l’état d’urgence. Nous sommes au début du mois de février. Il est encore temps de sauver l’essentiel.
Je crois fort au maintien sportif, que je souhaite au groupe de tout cœur. Mais sur le plan administratif, si on attend juillet, l’irrémédiable se sera produit. On est tous complices si on se tait.
Aujourd’hui, tout le monde est responsable, mais il n’y a qu’un coupable : c’est ce président fossoyeur. Il faut qu’il retrouve une once de lucidité et qu’il dise : “ Je mets au pot et je laisse la place à quelqu’un de compétent”.
Il doit combler le trou qu’il a lui-même creusé et passer la main le plus vite possible. Qu’il rende le club dans le même état qu’il l’a trouvé.
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Re: SR Colmar
et bien voilà, je ne croyais pas si bien dire.Tenor a écrit :il n'y a pas d'excuses à trouver, le second match a été lamentablement perdu et je réitère que le fait d'avoir viré DO a été une très grosse erreur du président colmarien. On verra bien en fin de saison car ça va chauffer en cas de descente
 
 Enfin une fervent ex entraineur parle à qui veux bien entendre la vérité, ça éclaire ceux qui croyaient ici que Colmar est un club pro en puissance.
Virer le meilleur entraineur de la région et en installant du pro à tout va avec une caisse à résonance vide....merci on connait.
Bravo à Lihrmann de défendre des valeurs du club, ce flambeur doit juste assumer ses erreurs et puis s'en aller. J'ai l'impression de revivre les épopées "Racing" en espérant que l'on ne fera plus jamais les erreurs du passé. Maintenant on sait pourquoi il n'a pas voulu communiquer sur le retrait des 2 points supplémentaires et sur le salaire surdimensionné de ON ...et pour quels résultats
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Re: SR Colmar
Si par malheur il perd ce soir, il y aura du grabuge à Colmar .
Les SR Colmar s'inclinent face à Marseille Consolat (1-2) et sombrent dans une grave crise
C'est fini, ici au Stadium! Les SR Colmar concèdent une défaite très douloureuse, face à une équipe de Marseille Consolat truqueuse, vicieuse et terriblement réaliste. Les Verts ne peuvent plus se contenter de plates analyses, où ils expliquent qu'ils sont supérieurs dans le jeu. Pour l'heure, l'équipe va tout droit en CFA, voire plus bas si les problèmes financiers du club ne sont pas réglés au plus vite...
			
			
									
									
						Les SR Colmar s'inclinent face à Marseille Consolat (1-2) et sombrent dans une grave crise
C'est fini, ici au Stadium! Les SR Colmar concèdent une défaite très douloureuse, face à une équipe de Marseille Consolat truqueuse, vicieuse et terriblement réaliste. Les Verts ne peuvent plus se contenter de plates analyses, où ils expliquent qu'ils sont supérieurs dans le jeu. Pour l'heure, l'équipe va tout droit en CFA, voire plus bas si les problèmes financiers du club ne sont pas réglés au plus vite...
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Re: SR Colmar
Dna a écrit :SR Colmar : Le président sort de son silence après les propos de Dominique Lihrmann Gryczka tacle « l’homme providentiel »
Mis en cause sur la place publique, Christophe Gryczka a pris le temps de la réflexion pour répondre à ses détracteurs. Le président colmarien ne nie pas les problèmes financiers actuels du club mais réfute en être le responsable. Il songe néanmoins à laisser place en démissionnant de son poste
Quatre feuillets insérés dans le programme du match SRC-Consolat. Les spectateurs du Stadium ont eu la primeur, hier soir, de la réponse de Christophe Gryczka suite aux propos tenus par Dominique Lihrmann dans les DNA, jeudi. Mais l’argumentaire longuement développé pourrait ressembler au chant du cygne. Le successeur de Roland Hunsinger envisageait sérieusement de jeter l’éponge.
Avant, il aura donné quelques coups de griffe et exposé sa vérité sur les SRC. Christophe Gruczka reproche notamment d’évoquer « les chiffres sans les connaître » (*) et d’avoir une certaine acrimonie envers les professionnels pensant que « le football n’appartient qu’aux professeurs de sport ».
Concernant le retrait de deux points par la DNCG – qui serait dû au manque de célérité des SRC à informer l’instance fédérale du contrôle fiscal dont ils font l’objet –, Christophe Gryzka rappelle qu’à son arrivée il avait « hérité d’un retrait de trois points par la DNCG pour des raisons exclusivement financières liées à la gestion de l’ancienne équipe » dont son contradicteur faisait partie. Et de rappeler que la politique salariale était plus onéreuse, « les joueurs les plus chers de l’histoire du club [… ] avec des salaires parfois deux fois supérieurs », du temps où les SRC avaient encore un directeur sportif du nom de Lihrmann…
Concernant les problèmes financiers actuels des Colmariens, le président estime « qu’il y en a toujours eu au sein du club. L’argent est la principale difficulté dans ce championnat National. » Et concernant la chasse aux partenaires privés, qui complètent les subventions des collectivités, l’entrepreneur rappelle que « le changement de présidence s’est accompagné de la perte du principal sponsor (Clairefontaine) à hauteur de plusieurs centaines de milliers d’euros par an ». Charge à la nouvelle équipe d’éviter « la disparition » du club et de « faire progresser le budget ».
Christophe Gryczka regrette enfin les « propos injurieux tenus pas un ancien salarié du club, qui n’a jamais été bénévole, à l’encontre d’un président bénévole ». Malgré un poste particulièrement exposé, il ne mérite pas, selon lui, « d’être traité de la sorte, ni d’être traîné dans la boue ». En tout cas, les charges dont il fait l’objet seraient en passe de produire leur effet. Visiblement affecté lors de la rencontre qu’il a suivie hier, au Stadium, Christophe Gryczka n’était pas loin d’envisager avoir suivi son ultime rencontre comme président.
(*) Une somme de 250 000 euros manquant – plusieurs contrats de sponsoring n’auraient pas été honorés – a été évoquée, jeudi soir, lors d’une réunion entre Christophe Gryczka, les joueurs et le staff colmariens.
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Re: SR Colmar
DNA a écrit :Le président confirme qu'il lâche les rênes SRC : Christophe Gryczka démissionne
On aurait pu penser à un coup de chaud, vendredi soir, sur les coups de 23h30. Il n'en est rien. Christophe Gryczka a confirmé ce samedi matin qu'il démissionnait de la présidence des Sports Réunis Colmar.
Une décision prise et annoncée à son premier cercle, dont le vice-président Jean-Louis Jaegli, avant la rencontre face à Marseille Consolat. Meurtri par les nouvelles attaques dont il a été victime, estimant d'ailleurs que Dominique Lihrmann est derrière le tract distribué hier soir devant le Stadium par deux groupes de supporters, le bientôt ex-homme fort de la maison verte a décidé de prendre du recul. "Quand les attaques touchent votre famille, la vie privée et affecte votre santé, il faut savoir dire stop. Je suis responsable de la perte des deux points devant la DNCG car nul n'est censé ignorer le règlement (concernant la déclaration à la DNCG du contrôle fiscal subi par les SRC). On peut aussi me reprocher le sportif puisque j'ai choisi l'entraîneur même si je reste persuadé que Didier Ollé-Nicolle est au minimum un entraîneur de Ligue 2. Mais on peut pas tout me reprocher." Et d'ajouter: "Si on voulait tuer le club, on ne s'y serait pas pris autrement."
Christophe Gryczka a demandé à son avocat, Me Thierry Houlmann (également membre du directoire de la société par actions simplifiée), de régler le côté administratif de la chose. Même s'il ne souhaite ne "plus consacrer une minute" au club phare du Haut-Rhin, le président démissionnaire n'excluait pas de reprendre encore une fois la parole, aujourd'hui, pour faire la lumière sur les dernières zones d'ombre qui obscurcissait jusqu'alors l'avenir des SRC.

 
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