[05/06] 29ème J: Rennes / RCS : 2-1

[argueti]

Tu t'es pas trompé de lien

[roy keane]

Oh si un petit peu

http://www.stade-rennais-online.com/L-e ... bourg.html

C'est mieux

[clacla]

Ce soir il faut s'arraché, le maintien passe par une victoire, un nul serait déjà  bien. J'espère que Nemeth fera comme en séceltion mercredi dernier. Il nous faut croire en lui surtout que c'est le seul attaquant qui nous reste valide . Nos adversaires pour le maintien ont des matchs dificiles à  nous de profiter de cette occasion pour grapiller quelques points. Allez racing toute l'Alsace est derière toi.

[Louis-Marie]

Football : Garder de l'appétit après deux festins...


Sur la lancée de deux festins, le Stade Rennais reçoit ce soir à  sa table, un Racing club de Strasbourg qui retrouve des couleurs. Les Rennais ont montré ces derniers temps qu'ils avaient la capacité d'avaler tout cru les grosses pointures de ce championnat. L'important reste pourtant de ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre.
« En agriculture comme en foot, tout le monde est expert ». Laszlo Bà¶là¶ni aime parfois ponctuer ses conférences de presse de sentences frappées au coin du bon sens paysan. Rien ne l'exaspère plus que les donneurs de leçons, les avis tranchés, les conclusions simplistes car trop vite tirées. Pas plus qu'il n'était convaincu que son équipe sombrait dans la crise, il ne se pliera à  la conviction qu'elle est sortie d'affaire après l'euphorie d'un samedi soir à  Lyon. « Notre championnat confirme simplement que tout le monde peut battre tout le monde. Il est important d'avoir faim. »

Après cinq semaines de disette, la troupe affamée s'est jetée sur Lens et Lyon. Six points en deux matches qui ressemblent à  un festin de roi quand, au passage, on se gave de huit buts marqués. L'appétit des Rennais semble pourtant loin d'être rassasié. Ils sont encore nombreux à  croire possible l'invitation au banquet des Européens en fin de saison. En jouant trois fois sur quatre à  domicile durant le mois de mars et en rencontrant les quatre derniers du championnat, il leur est permis de rêver à  un grand chelem. Une razzia de douze points sur douze les ramènerait, à  coup sûr, dans la course.

Quasiment condamnés à  la descente, voilà  les Alsaciens requinqués par deux victoires consécutives en championnat et des prestations étonnantes en Coupe de l'UEFA. Autant de petites chandelles allumées, juste à  temps, pour espérer encore éviter le purgatoire. Ce n'est donc pas une horde moribonde qui se présentera demain soir Route de Lorient. « C'est une équipe qui n'est pas à  sa place, assure Laszlo Bà¶là¶ni. Compte tenu de ce que j'ai vu lors de leur dernier match (victoire 2-0 contre Troyes), c'est une formation qui a plein de qualités. » Parmi celles notées par l'entraîneur rennais, on note « la capacité d'accélérer très vite après la récupération du ballon » et une certaine adresse « sur les coups de pieds arrêtés. » Pas franchement le point fort des Bretons...

Pour autant, en gagnant brillamment leurs deux dernières rencontres, Gourcuff, Kà¤llstrà¶m et consorts ont engrangé des réserves de confiance qu'il « serait bien bête de gâcher », comme dirait l'ancien coach d'Auxerre. Elles devraient, en tout cas, permettre d'aborder le rendez-vous de samedi avec un tant soi peu d'ambition. « Oui, si on peut jouer comme contre Lyon, on a les moyens de dominer cette équipe de Strasbourg » poursuit celui que le président Cueff verrait bien en Guy Roux de la Bretagne. Comme son homologue bourguignon, Laszlo Bà¶là¶ni n'est, d'ailleurs, pas du genre à  mettre la charrue avant les boeufs. Mais à  laisser sa part aux autres non plus. En agriculture comme en football, c'est bien connu : même trouvé par terre, un sou, c'est un sou.

[D520]

ca vas etre chaud !!!!!!

les bretons sont en forme !!!!
j'espère que les joueurs n'écouterons pas leur entraineur et qu'ils nous prennent de haut , pour des futurs relégués .

alors nous aurons une chance .....

[Louis-Marie]

Notre club respecte le votre ...nous n'allons surement pas vous prendre de haut ...d'ailleurs, cela n'a jamais été le cas cette saison. De plus, nous venons de perdre à  Rennes une grande personnalité, Monsieur VETIER, qui était journaliste et amoureux fou du club. Ce soir, les joueurs arboront un brassard noir, une minute de silence sera respectée. (au passage, si vos supporters pouvaient la respecter, ce que je n'en doute pas). Alors victoire impérative pour deux raisons : pour Patrick Vetier et pour espérer l'europe. Bon match et que le meilleur gagne

[Pinon]

Aux âmes conquérantes...

Revenu à  un souffle et quelques expirations de Troyes, premier non relégable, le Racing s'accroche toujours à  la vie. A Rennes, il s'agira d'exploit. Encore et toujours.
Il faut remonter loin en arrière pour trouver trace d'un tel espoir. C'est que dans cette saison qui s'étire en nuit, les lueurs ont été rares.
La dernière de cette importance là  date ainsi d'il y a quatre mois et demi. Au sortir d'une défaite pourtant. A domicile de surcroît. Face à  Rennes, comme quoi.

Battus, les Strasbourgeois demeuraient pourtant à  quatre longueurs de Troyes, déjà  premier non relégable et expédié à  Auxerre (3-0). A une grosse portée de fusil. La différence est qu'il restait alors vingt-sept matches à  jouer. Contre dix aujourd'hui, ce qui n'est tout de même pas la même limonade on en conviendra.
« Les comptes sont vite faits »

« C'est sûr qu'avec dix matches devant nous, on n'a pas le temps de se poser de question, confirme Cédric Kanté, associé à  Jean-Christophe Devaux ce soir. Les comptes sont vite faits, il nous faut gagner six matches pour nous en sortir, il n'y a donc pas d'impasse à  faire. A Rennes comme ailleurs, on y va pour rapporter quelque chose. Quelle que soit la façon dont on le rapporte. Nous entamons un championnat à  quatre qu'il faut remporter ».
Les prétentions esthétiques ont donc été remisées aux vestiaires, enfin c'est ce qu'on dit toujours dans ces cas-là . Sauf évidemment que ce n'est pas vrai et que personne ne rentre sur un terrain pour mal jouer en espérant remporter la victoire.
D'autant que jusqu'à  preuve du contraire, c'est en jouant au ballon qu'on risque quand même le plus de remporter des matches. Même si on peut perdre aussi plus souvent qu'à  son tour en jouant bien, le Racing l'a démontré jusqu'à  l'absurde cette année. En enchaînant les bons matches et en collectionnant les revers.

C'est le roi Lyon qui y a laissé son dentier

Reste que dimanche, face à  Troyes, c'est en retrouvant le geste simple donc pur et un allant offensif, c'est vrai favorisé par la faiblesse adverse, que les Strasbourgeois sont parvenus à  leurs fins. Il n'y a guère d'autre voie praticable de toute façon en ce moment que celle qui mène vers l'avant.
Le problème tient évidemment en la nature du déplacement. Un voyage à  Rennes en ce moment, ce n'est a priori pas l'idéal. Depuis deux matches, la mer y est démontée, l'attaque locale déchaînée.
Huit buts en deux matches, dont six par le seul Utaka, forfait cela étant ce soir. Lens est venu en prendre quatre il y a quinze jours. Et la semaine dernière, c'est le roi Lyon qui y a laissé son dentier, et à  domicile. L'avertissement est écrit en rouge sur le fronton.

« C'est sûr qu'en ce moment, ils font fort, mais c'est peut-être paradoxalement le moment de les jouer, continue Kanté. De toute façon, on n'a pas le choix, alors... Ce qui est sûr, c'est qu'il faudra rester concentré de bout en bout, sinon on en prendra quatre comme l'an dernier ».

Un scénario catastrophe qu'il vaudrait évidemment mieux éviter. Pour ne pas éteindre la flamme trop vite. La faire durer encore un peu. Il est encore permis d'espérer et l'espoir est un assez joli sentiment.

Si Jacky Duguépéroux doit composer avec les blessures de Gameiro et de Haggui, LazlචBoloni, lui, a vu son attaque se décimer. Au forfait de Frei est venu s'ajouter celui d'Utaka.

Depuis son retour de la CAN, John Utaka, débauché de Lens contre 7,5 M€ cet été, pétait le feu. Neuf buts depuis le début de saison. Six buts en deux matches. Trois contre Lens au stade de la route de Lorient puis trois dans la foulée à  Gerland. De quoi affoler toutes les défenses de France.
Problème pour Boloni, le buteur nigérian est revenu de Lyon blessé au tendon d'Achille à  tel point qu'il a fallu le suturer. A tel point surtout qu'il a dû déclarer forfait pour cette rencontre. Et comme Alexander Frei (5 buts) est lui aussi sur le flanc, le coach rennais va devoir innover.
Avec Hadji, sans doute en pointe. A moins qu'il ne tente un petit coup de poker en lançant Briand, buteur à  l'aller.

DEFENSE POREUSE. - L'attaque n'est pas le seul souci pour Boloni. En treize rencontres de championnat à  la maison, le Stade Rennais a en effet encaissé vingt buts, ce qui en fait la moins bonne des défenses du championnat à  domicile. A l'extérieur, le Racing possède de son côté la 11e défense de l'hexagone, à  égalité avec Nantes et Marseille, avec 18 buts encaissés en 13 matches.
LE RETOUR DE NEMETH. - En nette baisse de forme depuis plusieurs semaines, Alexander Farnerud devrait laisser sa place au Slovaque Nemeth dans le 11 de départ. Très peu utilisé, enfin presque pas du tout même (88' en trois fois), depuis son arrivée, le Slovaque bénéficie à  la fois de son coup d'éclat du Stade de France et de la grave blessure du jeune Gameiro. A lui de ne pas se louper.
HAGGUI OUT. - Karim Haggui est resté à  Strasbourg ce week-end. Rentré blessé de Tunisie, il sera remplacé par Devaux qui fera équipe dans l'axe avec Kanté, comme à  Toulouse, un bon souvenir.
ASSECHER LA POMPE. - Ou plutôt les pompes à  ballons que sont Kà¤llstrà¶m (4 passes décisives) et Monterrubio (3 p.d.). Si les Strasbourgeois, à  commencer par Loué au milieu et Lacour à  droite, réussissent à  bloquer les deux passeurs rennais, ils s'épargneront quelques frayeurs.

[argueti]

Un Rennes à  dompter

Relancé dans la course au maintien après ses succès à  Toulouse et contre Troyes, le Racing défie à  20 h en Bretagne un Stade rennais qui vient de torpiller Lens, puis Lyon à  Gerland sur le même score sans appel (4-1).

C'est reparti pour un tour. Après une semaine de relative accalmie marquée par les confrontations internationales, le Racing, qui a tout de même disputé 13 rencontres officielles en 53 jours entre le 4 janvier et le 26 février (soit une tous les quatre jours), reprend ce soir son bâton de pèlerin pour un nouveau marathon de cinq matches en quinze jours. Ce rythme échevelé, le club strasbourgeois l'a plutôt bien supporté. Il reste sur une série de six matches sans défaite (double confrontation contre Lovech en Coupe UEFA comprise) et vient surtout, pour la toute première fois cette saison, d'aligner deux succès en championnat (2-1 à  Toulouse et 2-0 contre Troyes). En 180 minutes, il a réduit son retard sur le premier non-relégable, Troyes, de 10 à  4 points. Et même si les Aubois reçoivent Auxerre dimanche, le moral des troupes de Jacky Duguépéroux, en déplacement à  Rennes ce soir (20 h), remonte en flèche.

Rennes : ça passe ou ça casse

Le maintien en L 1, qui semblait s'être transformé en vue de l'esprit après les deux nuls d'affilée à  la Meinau contre Paris (1-1) et Ajaccio (2-2), est redevenu d'actualité sur les bords du Krimmeri. « Nous avons la possibilité de revenir complètement dans le jeu », souffle ainsi Amara Diané, auteur de sept buts officiels pour sa première année en Bleu. « Mais nous devons rester calmes, sereins. Rennes a une très grande équipe et nous nous attendons à  un match très difficile. Un match décisif aussi, une fois de plus. Mais ce maintien, nous voulons tous le décrocher, pour nous, pour les dirigeants, pour tout Strasbourg en fait. » Sous la férule de l'hermétique Laszlo Bà¶là¶ni, le Stade Rennais, qui aspire depuis des années à  se mêler à  la lutte des grands, se pose cette saison en grand intermittent du spectacle. Sa 11e place, avec 38 points, en est une preuve. Le nombre de ses nuls (2 seulement, contre 12 victoires et 14 défaites) en est une autre. En clair, avec Rennes (plus mauvaise défense à  domicile avec 20 buts encaissés), ça passe ou ça casse. En début de saison, le Suisse Alexander Frei (actuellement blessé) et ses coéquipiers ont reçu quelques éclats - contre Nantes à  domicile (0-3), au Mans (0-4) et à  Nancy (0-6) - qui leur valent aujourd'hui encore de posséder la 19e défense de la L 1 (42 buts encaissés). « Qu'on arrête de parler de ça », enrage un Bà¶là¶ni rarement – jamais ? - disposé à  l'égard de la presse. « Nous avons évolué depuis, non ? » Pas complètement, si l'on en juge par la série de cinq défaites de rang que les Bretons viennent de rompre en étrillant Lens au Stade de la route de Lorient (4-1), puis Lyon à  Gerland (sur le même score), grâce à  deux triplés du Nigérian John Utaka, forfait ce soir (voir ci-dessous). « Je n'ai pas à  faire l'analyse de mon équipe dans les journaux, mais elle est jeune, perturbée par les absences et certaines blessures graves », daigne concéder le technicien roumain, qui fut l'un des candidats malheureux à  la succession d'Ivan Hasek à  Strasbourg au printemps 2003. « Et si nos résultats sont fluctuants, c'est que forcément, quelque part, tout le monde manque de rigueur et de concentration. » Deux vertus sur lesquelles l'ancien coach de Nancy ne transige pas. Indiscutablement, les deux cartons des Rennais contre Lens et Lyon ont marqué les esprits. « Rennes a un potentiel technique très intéressant », consent volontiers Jacky Duguépéroux. « C'est une équipe qui va très vite en contre. Nous allons nous appuyer sur notre collectif pour contrecarrer ses plans. L'an passé, nous avions tenu une heure avant de nous écrouler en prenant trois buts dans la dernière demi-heure (4-0). Et au match aller cette saison, un contre de Briand nous a privés des trois points (0-1). » Trois points ? Le Racing n'en demande peut-être pas tant en cette 29e journée de Ligue 1. Mais ajouter en soirée un septième match à  sa série d'invincibilité ne serait pas pour lui déplaire. Car à  dix rencontres de la fin, tous les points valent cher.

Haggui forfait, Utaka aussi

Rentré de sélection jeudi après-midi (il est resté sur le banc mercredi soir lors de la défaite de la Tunisie à  Tunis contre la Serbie-Monténégro – 0-1), Karim Haggui a déclaré forfait hier matin. Le défenseur central strasbourgeois est revenu grippé de son voyage au pays, mais est également en délicatesse avec ses abdominaux. « Par sécurité, nous lui avons fait passer une échographie », précise le kiné du Racing Nagib Remita, « elle n'a rien montré et est rassurante. En fait, Karim souffre d'une grande fatigue générale due à  la répétition des matches, entre la CAN et le club. » Haggui absent, Jean-Christophe Devaux retrouvera une place de titulaire dans l'axe de la défense aux côtés de Cédric Kanté. Victime d'une entorse de la cheville droite à  Monaco le 11 janvier, le jeune défenseur central Habib Bellaïd fait, lui, sa grande réapparition dans un groupe élargi à  17 joueurs, tout comme l'Egyptien Hosni qui, blessé à  la cuisse, n'a plus joué en Ligue 1 depuis le 17 décembre contre Marseille. Jacky Duguépéroux devra évidemment composer sans Kevin Gameiro, blessé dimanche dernier contre Troyes et opéré mercredi d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Hier, l'entraîneur strasbourgeois a entretenu le mystère sur la titularisation – ou pas – de l'attaquant international slovaque Szilard Nemeth, buteur mercredi avec sa sélection au Stade de France contre les Bleus (succès de la Slovaquie 2-1). Le coach ne devrait par ailleurs guère retoucher ni son 4-1-4-1, ni sa composition. Il est probable en revanche qu'il procède à  un roulement jeudi à  Bâle en 8e aller de Coupe UEFA. A Rennes où Laszlo Bà¶là¶ni est lui aussi devenu un adepte de ce schéma, l'info du jour est le forfait confirmé du sextuple buteur de ces deux dernières journées, John Utaka, dont le tendon d'Achille, recousu avec cinq points de suture, a mal supporté le « traitement » de faveur administré le week-end dernier par le Brésilien de l'OL, Cris. A noter le retour dans les buts du Suédois Isaksson après l'excellent intérim assuré par Pouplin et la titularisation du capitaine Olivier Monterrubio, entré seulement à  la 88e à  Gerland.

Echo

Johansen avec la réserve. Pascal Johansen, qui a repris l'entraînement collectif en début de semaine après une pubalgie et s'est entraîné normalement avec le groupe hier matin, n'est pas parti à  Rennes dans l'après-midi. Le Colmarien, absent des terrains depuis un mois et demi pour une tendinite d'Achille, jouera avec la réserve à  15 h en amical sur la pelouse synthétique du stade de l'Aar à  Schiltigheim face au Sporting. Les jeunes Ricardo Faty, Gaétan Krebs et Rudy Carlier participeront eux aussi à  cette opposition à  « Schilik ».

[Its_me]

Et voilà  ça va commencer. Dans quelques secondes, les compos...

[Its_me]

<table border="3" bordercolor="#000000"><tr bgcolor="#FFFFFF"><td>Composition de Rennes :</td><td>Composition de Strasbourg :</td></tr><tr><td>
A.ISAKSSON
E.EDMAN
J.PERRIER DOUMBE
J.MENSAH
O.SORLIN
Y.HADJI
K.KALLSTROM
G.BOURILLON
Y.GOURCUFF
S.M'BIA
O.MONTERRUBIO (c.)

</td><td>
N.PUYDEBOIS
J.DEVAUX
C.KANTE
A.ABOU MOSLEM
U.LE PEN
Y.ABDESSADKI
P.FARNERUD
G.LACOUR (c.)
E.LOUE
S.NEMETH
A.DIANE

</td></tr><tr bgcolor="#FFFFFF"><td>Remplaçants de Rennes :</td><td>Remplaçants de Strasbourg :</td></tr><tr><td>
S.POUPLIN
J.FATY
C.BARBOSA
A.MVUEMBA MAKENGO
J.BRIAND

</td><td>
R.GURTNER
A.BOKA
H.BELLAID
A.FARNERUD
R.HOSNI
</td></tr></table>