Y'a des équipes en L1 qui sont dans le même cas, Lorient, Nancy, Valenciennes... Moi ce qui m'inquiète c'est que ces équipes là sont souvent bâties sur les groupes ayant un vécu important ensemble agrémenté de petites touches chaque année. Alors que nous chaque année c'est quasiment nouveau.
A mon sens il faut vraiment s'appuyer sur plusieurs joueurs par ligne pour stabiliser un effectif :
- Cassard
- Paisley - Ducrocq et éventullement Pelé
- Cohade - Lacour puis Bah
- Fanchonne ??
- ???
On voit qu'au niveau de l'offensif on a un vrai souci, il nous manque des anciens du club sur lesquels s'appuyer.
Jean-Marc Furlan
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Re: Jean-Marc Furlan
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Re: Jean-Marc Furlan
Mouloungui n'a jamais rien confirmé. Il a fait une bonne saison en Ligue 2, mais un bon paquet de ses buts sont quand même arrivés sur corner. Ok, il en a marqué quelques autres sympas (contre Reims et Metz notamment). Mais j'ai envie de dire que Fanchone en a fait autant au Mans. Si Furlan avait giclé Mouloungui de l'équipe, 1- il n'aurait eu personne à mettre à la place, 2- Mouloungui n'étant pas "catalogué" dans les têtes de con (mais plutôt dans les pros au mental hyper fragile, ce qui donne d'ailleurs le même résultat), une partie des supporters et de la presse n'aurait rien pardonné au coach.
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Re: Jean-Marc Furlan
C'est clair qu'on aurait tous crié au scandale s'il avait sorti Moulou et Renteria de l'équipe sur plusieurs matchs, soit les 2 seuls joueurs capables de pouvoir faire la différence.
De toute façon, il n'y a pas mort d'hommes
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Re: Jean-Marc Furlan
Dommage que cette capacité qu'ils avaient en soit restée au rang de "potentielle".
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Re: Jean-Marc Furlan
Tout et n'importe quoi...pour être brefJohansen était écarté pendant trois mois, Gasmi depuis le départ, et Abdessadki était un fantôme sur le terrain.
Au milieu, il avait donc le choix avec Othon ,Bah, et Schneiderlin.
N'oublions pas que lors du fameux match à domicile contre Metz, Othon et Schneidelin étaient associés à Lacour et Rodrigo, alors que Johansen et Abdessadki n'étaient pas blessés ni suspendus.
En attaque, il pouvait ( aurait dû ) mettre Gameiro en pointe.
Donc, on ne peut pas dire qu'il n'avait pas de solutions de rechange, bien au contraire.
Quiconque a suivi tous les match est en mesure, s'il évite de prendre systématiquement partie pour un joueur, de dire que Cohade a continué à jouer alors qu'il n'était plus en possession de ses moyens, qu'Abde était aux abonnés absents, et que Gameiro et Renteria ne jouaient pas à leur poste.
A partir de ces constatations, il n'est pas besoin d'aller chercher des excuses dans des soi-disants comportements limites de certains joueurs pour comprendre que l'échec est uniquement dû aux mauvais choix de Furlan, et à son manque flagrant de capacité de gestion des individualités.
Au lieu de tout mettre sur le dos de JMF,puisque tu affirmes qu'il est incapable de gérer les individualités, voir un grouppe :
1) à Troyes il a eu des comportements analogues de 2 joueurs qui pourrissaient le groupe, il les a interdits de vestiaires. Chez les amateurs l'entraineur les vire du club avec à la clef un coup de pied au cul. Chez les pros avec leurs statuts et les contrats béton, les rigolos ont fait constater par un huissier mandaté qu'ils sont interdits de vestiaires et ne peuvent donc plus exercer leur métier de fouteux: résultat des courses...JMF s'est retrouvé au prud'homme avce tout ce qui en découle en général.
2) au racing il en avait 5 !!!
Alors au lieu de raconter des conneries, vernis comme il l'était, il n'allait pas faire la même chose au Racing...ce qui explique largement la non implication de tout ces boulets cités de long en large dans ces topics. Othon et Schneiderlin ont joué contre Metz : COULES tous les 2 simultanément.
Alors ça suffit maintenant de raconter et de véhiculer des faits négatifs sur le coatch alors qu'il se trouvait dans une spirale ou lui-même n'avait plus aucune solution de rechange. Est-ce une fois pour toute compréhensible ?
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Re: Jean-Marc Furlan
Ce n'est pas la peine de gueuler ainsi, si tu veux que je mette à ton niveau je peux parler fort aussi.
Déjà , ce que tu racontes au sujet de deux joueurs de Troyes ayant saisi les prudhommes relève de l'absurdité complète.
Le seul joueur qui a effectué cette démarche est Montero, pour le motif qu'il a subi un harcèlement moral de la part de Furlan.
Alors avant d'avancer des inepties, renseigne-toi.
Un autre joueur, en l'occurence Danic, excellent par ailleurs, a également été arbitrairement écarté par Furlan, mais n'a à aucun moment entrepris une quelconque action.
De plus, si, comme tu l'affirmes, Furlan craignait d'être trainé devant les prudhommes, c'est qu'il ne devait pas avoir la conscience tranquille.
Pour ce qui me concerne, si quelqu'un dépose plainte contre moi alors que je me sais innocent je me sens parfaitement à l'aise et je fais confiance à la justice.
Je suis entièrement d'accord sur le fait que, à l'occasion du match contre Metz, Schneiderlin et Othon étaient à la rue.
il faut d'ailleurs être totalement inconscient pour aligner, à l'occasion de ce derby, d'aussi jeunes joueurs, inexpérimentés de surcroît.
Il lui était possible d'aligner Johansen, alors écarté depuis quelques mois, d'autant plus qu'il l'a rappelé quelque temps après.
La solution de rechange, en fait, s'appelait Johansen tout simplement, et la preuve en est que lorsqu'il s'est effectivement rendu compte de la gravité de la situation il l'a titularisé, non sans au passage lui décerner des louanges bien déplacées ( on se souvient de ses propos : le Racing a besoin de Pascal et Pascal a besoin du Racing ).
L'hypocrisie était à son comble.
Quant à Mouloungi et Renteria, ces deux-là étaient indsipensables, et n'ont été fébriles et inefficaces qu'à partir du moment où Furlan les a sans cesse mis en cause.
On peut aisément penser que sans eux la série de défaites consécutives aurait été largement supérieure, sans compter que bon nombre de points pris en début de saison n'auraient jamais été pris.
Déjà , ce que tu racontes au sujet de deux joueurs de Troyes ayant saisi les prudhommes relève de l'absurdité complète.
Le seul joueur qui a effectué cette démarche est Montero, pour le motif qu'il a subi un harcèlement moral de la part de Furlan.
Alors avant d'avancer des inepties, renseigne-toi.
Un autre joueur, en l'occurence Danic, excellent par ailleurs, a également été arbitrairement écarté par Furlan, mais n'a à aucun moment entrepris une quelconque action.
De plus, si, comme tu l'affirmes, Furlan craignait d'être trainé devant les prudhommes, c'est qu'il ne devait pas avoir la conscience tranquille.
Pour ce qui me concerne, si quelqu'un dépose plainte contre moi alors que je me sais innocent je me sens parfaitement à l'aise et je fais confiance à la justice.
Je suis entièrement d'accord sur le fait que, à l'occasion du match contre Metz, Schneiderlin et Othon étaient à la rue.
il faut d'ailleurs être totalement inconscient pour aligner, à l'occasion de ce derby, d'aussi jeunes joueurs, inexpérimentés de surcroît.
Il lui était possible d'aligner Johansen, alors écarté depuis quelques mois, d'autant plus qu'il l'a rappelé quelque temps après.
La solution de rechange, en fait, s'appelait Johansen tout simplement, et la preuve en est que lorsqu'il s'est effectivement rendu compte de la gravité de la situation il l'a titularisé, non sans au passage lui décerner des louanges bien déplacées ( on se souvient de ses propos : le Racing a besoin de Pascal et Pascal a besoin du Racing ).
L'hypocrisie était à son comble.
Quant à Mouloungi et Renteria, ces deux-là étaient indsipensables, et n'ont été fébriles et inefficaces qu'à partir du moment où Furlan les a sans cesse mis en cause.
On peut aisément penser que sans eux la série de défaites consécutives aurait été largement supérieure, sans compter que bon nombre de points pris en début de saison n'auraient jamais été pris.
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Re: Jean-Marc Furlan
Quelle a été l'issue de l'affaire Montero-Furlan???
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.
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Re: Jean-Marc Furlan
PANORAMICTROYES / JEAN-LOUIS MONTERO :
« On n'est pas du bétail »
Pierrick TAISNE - mardi 05 juin 2007 - 08h00
En conflit avec son ancien entraîneur Jean-Marc Furlan, Jean-Louis Montero revient pour Football365 sur les événements qui ont rythmé sa saison. Un moment difficile pour le défenseur.
Jean-Louis Montero, où est en êtes-vous quant à une éventuelle prolongation de contrat en faveur de Troyes ?
Je ne préfère pas trop en parler pour le moment car nous devons rencontrer le club la semaine prochaine. Je ne sais pas si le nouvel entraîneur (Ndlr : Denis Troch) compte sur moi.
Votre saison a été particulièrement mouvementée sachant que vous ne jouez plus depuis six mois et qu'un conflit vous oppose à Jean-Marc Furlan…
Je suis entré dans une démarche procédurière parce que je n'avais pas le choix. J'ai prévenu mon président à plusieurs reprises que Monsieur Furlan manquait de respect à certains joueurs et je n'avais d'autre solution que de saisir la justice. Mais quand je fais appel à la justice, c'est un cri du cÅ“ur. C'est le seul moyen pour que cette vérité éclate.
Et quelle est cette vérité ?
Il nous a manqué de respect. Si on me fait des remontrances entre quatre yeux, il n'y a pas de problème. Mais il n'a jamais eu le courage d'affronter la vérité en face. Passer par la presse, c'est un manque de respect. Si je l'attaque, c'est au niveau humain. Je veux qu'on sache que l'honnêteté et l'honneur sont de mon côté et que la manipulation et les faux-semblants sont du sien.
C'est-à -dire ?
Quand j'ai fait mon dernier match contre Lyon, il avait dit que j'avais été très bon. Puis je me suis retrouvé en équipe réserve après qu'il ait déclaré le 28 novembre que moi et certains joueurs (ndlr : Ba, Saganowski et Boucansaud notamment) n'avions pas le niveau de la Ligue 1. Je ne comprends pas comment on peut être très bon contre la meilleure équipe de France puis bon à jeter après. Surtout qu'après cela, on affrontait Sedan où j'ai passé trois saisons. Je pensais qu'il allait me faire jouer mais je n'étais pas dans l'équipe. A partir de ce moment, il est venu me voir pour m'expliquer son choix et j'ai donc demandé à occuper un autre vestiaire jusqu'au Mercato, le temps de trouver un club.
« A son arrivée, il a viré Karim Ziani »
L'article publié dans Football365 dans lequel Furlan disait de vous que vous étiez « un egocentrique » a-t-il été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase ?
Pas du tout. A cette occasion, il a tenu des propos sulfureux et insultants mais je n'ai rien dit. On continuait à chercher un terrain d'entente avec le président. On n'y est pas arrivé et je devais donc réintégrer le groupe au mois de janvier. Mais c'est le moment où il a décidé de scinder le groupe pour « éviter les parasites » comme il a pu le dire.
Qu'est ce qui a donc motivé votre décision ?
Au mois de mars, on m'a empêché à deux reprises de m'entraîner avec l'équipe réserve. Pour un joueur qui a passé douze ans au club et qui est monté de CFA 2 à la Ligue 1, c'est pousser le bouchon un peu loin.
Quelle est l'ambiance à Troyes ?
Je le fais aussi pour cette ambiance. Pour montrer qui est véritablement Monsieur Furlan. Il n'est pas comme il voudrait le montrer dans la presse : toujours heureux, toujours content, même lors des défaites. Le problème est qu'il a été entouré de mauvaises personnes qui n'osent pas le contredire. Les deux personnes qui l'ont fait ont été bordurées…
Qui ?
Karim Ziani et moi. Il ne faut pas oublier qu'il a viré Ziani en 2004 à son arrivée. Il a dit de lui qu'il était ingérable. Il faudrait qu'on m'explique pourquoi il l'était à Troyes et pas à Lorient ou à Sochaux. Monsieur Furlan a des qualités mais un joueur a besoin d'être estimé. Il doit leur donner de la confiance et aimer ses joueurs. Quand on ne sent pas aimé, ça devient difficile.
Quels ont été vos rapports avec lui durant cette période ?
J'ai essayé de savoir pourquoi il avait fait signer Ferreira pour jouer à mon poste. J'ai su que c'était parce que Monsieur Lachuer ne s'entendait pas avec moi pour jouer sur le côté droit. Alors on l'a recruté alors que le club recherchait un joueur offensif. De numéro 1, je suis passé à numéro 4 en trois semaines. Il ne faut pas prendre les gens pour des imbéciles. C'est presque risible. Qu'il ne me fasse pas jouer, c'est son choix et je le respecte. Mais qu'il ne dise pas dans la presse que je n'ai pas le niveau. C'est lâche.
« Je n'oublie pas que j'ai travaillé en usine et que j'ai été éboueur »
Qu'attendez-vous aujourd'hui ?
Je demande ma réhabilitation en tant qu'homme. Je ne l'attaque pas au niveau juridique, je l'attaque au niveau humain. Ce n'est pas le club qui m'a mis dans cette situation. J'ai été licencié à huit matchs de la fin mais le président, qui avait donné sa confiance à l'entraîneur, ne pouvait pas faire autrement.
Quels signes attendez-vous pour votre réhabilitation ?
Qu'on me donne raison sur le fond. Pas au niveau financier. Je fais tout pour qu'on s'arrange avec le club. Pour Monsieur Furlan, je vais réfléchir. Je veux que toute la France sache ce qu'il s'est passé. Il ne faut pas que ces choses se reproduisent. C'est vraiment moche. On n'est pas du bétail. Je demande juste un peu de respect. Je n'oublie pas que j'ai travaillé en usine et que j'ai été éboueur. Je suis arrivé à ce niveau avec beaucoup de sérieux et de travail. Qu'on remette en cause mon honneur et mon sérieux, je ne peux pas l'accepter. J'ai été blessé sur le plan humain.
Avez-vous atteint le point de non retour avec Jean-Marc Furlan ?
Je suis prêt à parler et dialoguer. Je ne suis pas quelqu'un de rancunier. Mais je suis en fin de carrière et j'espère que j'aurais la chance de rebondir. Il faut se mettre à ma place. Si je devais finir ma carrière de cette façon, ça serait difficile.
Regrettez-vous que les choses soient allées jusqu'à là ?
Bien entendu. Je le regrette beaucoup.
Je ne connais pas l'issue de la procédure, mais il est tout de même flagrant de constater que les " méthodes " Furlan ne sont pas très glorieuses et se répètent dans les club qu'il " visite ".
« On n'est pas du bétail »
Pierrick TAISNE - mardi 05 juin 2007 - 08h00
En conflit avec son ancien entraîneur Jean-Marc Furlan, Jean-Louis Montero revient pour Football365 sur les événements qui ont rythmé sa saison. Un moment difficile pour le défenseur.
Jean-Louis Montero, où est en êtes-vous quant à une éventuelle prolongation de contrat en faveur de Troyes ?
Je ne préfère pas trop en parler pour le moment car nous devons rencontrer le club la semaine prochaine. Je ne sais pas si le nouvel entraîneur (Ndlr : Denis Troch) compte sur moi.
Votre saison a été particulièrement mouvementée sachant que vous ne jouez plus depuis six mois et qu'un conflit vous oppose à Jean-Marc Furlan…
Je suis entré dans une démarche procédurière parce que je n'avais pas le choix. J'ai prévenu mon président à plusieurs reprises que Monsieur Furlan manquait de respect à certains joueurs et je n'avais d'autre solution que de saisir la justice. Mais quand je fais appel à la justice, c'est un cri du cÅ“ur. C'est le seul moyen pour que cette vérité éclate.
Et quelle est cette vérité ?
Il nous a manqué de respect. Si on me fait des remontrances entre quatre yeux, il n'y a pas de problème. Mais il n'a jamais eu le courage d'affronter la vérité en face. Passer par la presse, c'est un manque de respect. Si je l'attaque, c'est au niveau humain. Je veux qu'on sache que l'honnêteté et l'honneur sont de mon côté et que la manipulation et les faux-semblants sont du sien.
C'est-à -dire ?
Quand j'ai fait mon dernier match contre Lyon, il avait dit que j'avais été très bon. Puis je me suis retrouvé en équipe réserve après qu'il ait déclaré le 28 novembre que moi et certains joueurs (ndlr : Ba, Saganowski et Boucansaud notamment) n'avions pas le niveau de la Ligue 1. Je ne comprends pas comment on peut être très bon contre la meilleure équipe de France puis bon à jeter après. Surtout qu'après cela, on affrontait Sedan où j'ai passé trois saisons. Je pensais qu'il allait me faire jouer mais je n'étais pas dans l'équipe. A partir de ce moment, il est venu me voir pour m'expliquer son choix et j'ai donc demandé à occuper un autre vestiaire jusqu'au Mercato, le temps de trouver un club.
« A son arrivée, il a viré Karim Ziani »
L'article publié dans Football365 dans lequel Furlan disait de vous que vous étiez « un egocentrique » a-t-il été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase ?
Pas du tout. A cette occasion, il a tenu des propos sulfureux et insultants mais je n'ai rien dit. On continuait à chercher un terrain d'entente avec le président. On n'y est pas arrivé et je devais donc réintégrer le groupe au mois de janvier. Mais c'est le moment où il a décidé de scinder le groupe pour « éviter les parasites » comme il a pu le dire.
Qu'est ce qui a donc motivé votre décision ?
Au mois de mars, on m'a empêché à deux reprises de m'entraîner avec l'équipe réserve. Pour un joueur qui a passé douze ans au club et qui est monté de CFA 2 à la Ligue 1, c'est pousser le bouchon un peu loin.
Quelle est l'ambiance à Troyes ?
Je le fais aussi pour cette ambiance. Pour montrer qui est véritablement Monsieur Furlan. Il n'est pas comme il voudrait le montrer dans la presse : toujours heureux, toujours content, même lors des défaites. Le problème est qu'il a été entouré de mauvaises personnes qui n'osent pas le contredire. Les deux personnes qui l'ont fait ont été bordurées…
Qui ?
Karim Ziani et moi. Il ne faut pas oublier qu'il a viré Ziani en 2004 à son arrivée. Il a dit de lui qu'il était ingérable. Il faudrait qu'on m'explique pourquoi il l'était à Troyes et pas à Lorient ou à Sochaux. Monsieur Furlan a des qualités mais un joueur a besoin d'être estimé. Il doit leur donner de la confiance et aimer ses joueurs. Quand on ne sent pas aimé, ça devient difficile.
Quels ont été vos rapports avec lui durant cette période ?
J'ai essayé de savoir pourquoi il avait fait signer Ferreira pour jouer à mon poste. J'ai su que c'était parce que Monsieur Lachuer ne s'entendait pas avec moi pour jouer sur le côté droit. Alors on l'a recruté alors que le club recherchait un joueur offensif. De numéro 1, je suis passé à numéro 4 en trois semaines. Il ne faut pas prendre les gens pour des imbéciles. C'est presque risible. Qu'il ne me fasse pas jouer, c'est son choix et je le respecte. Mais qu'il ne dise pas dans la presse que je n'ai pas le niveau. C'est lâche.
« Je n'oublie pas que j'ai travaillé en usine et que j'ai été éboueur »
Qu'attendez-vous aujourd'hui ?
Je demande ma réhabilitation en tant qu'homme. Je ne l'attaque pas au niveau juridique, je l'attaque au niveau humain. Ce n'est pas le club qui m'a mis dans cette situation. J'ai été licencié à huit matchs de la fin mais le président, qui avait donné sa confiance à l'entraîneur, ne pouvait pas faire autrement.
Quels signes attendez-vous pour votre réhabilitation ?
Qu'on me donne raison sur le fond. Pas au niveau financier. Je fais tout pour qu'on s'arrange avec le club. Pour Monsieur Furlan, je vais réfléchir. Je veux que toute la France sache ce qu'il s'est passé. Il ne faut pas que ces choses se reproduisent. C'est vraiment moche. On n'est pas du bétail. Je demande juste un peu de respect. Je n'oublie pas que j'ai travaillé en usine et que j'ai été éboueur. Je suis arrivé à ce niveau avec beaucoup de sérieux et de travail. Qu'on remette en cause mon honneur et mon sérieux, je ne peux pas l'accepter. J'ai été blessé sur le plan humain.
Avez-vous atteint le point de non retour avec Jean-Marc Furlan ?
Je suis prêt à parler et dialoguer. Je ne suis pas quelqu'un de rancunier. Mais je suis en fin de carrière et j'espère que j'aurais la chance de rebondir. Il faut se mettre à ma place. Si je devais finir ma carrière de cette façon, ça serait difficile.
Regrettez-vous que les choses soient allées jusqu'à là ?
Bien entendu. Je le regrette beaucoup.
Je ne connais pas l'issue de la procédure, mais il est tout de même flagrant de constater que les " méthodes " Furlan ne sont pas très glorieuses et se répètent dans les club qu'il " visite ".
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Re: Jean-Marc Furlan
Oui enfin il faut pas faire d'un cas une généralité !
Qui a tort ? Qui à raison ? Chacun y va de son petit grain de sel pour tirer la couverture vers lui et dire que c'est l'autre le fautif ...
C'est un peu comme la pub pour l'alcool qui était diffusé en France il y a quelques temps ! Moi, non je bois jamais par contre Paul, lui qu'est ce qu'il boit ... Ah non, moi pas une goutte d'alcool depuis des lustres mais Francois, lui il boit comme un trous ...
Bref, on connaitra jamais le fin mot de l'histoire, par contre tout ce qu'on sait c'est que plusieurs joueurs qui sont venus au Racing ont dit vouloir être entrainé par Furlan, d'autres joueurs parlent de bonne ambiance dans le groupe ... des exemples contradictoire à ceux avancés par Montero il y en des tonnes !
Et il faut pas oublier le plus important, c'est que le Racing est actuellement leader et il vient de battre son propre record de victoires consécutives, c'est pas rien et tout ça, sous la direction de Furlan ...
Qui a tort ? Qui à raison ? Chacun y va de son petit grain de sel pour tirer la couverture vers lui et dire que c'est l'autre le fautif ...
C'est un peu comme la pub pour l'alcool qui était diffusé en France il y a quelques temps ! Moi, non je bois jamais par contre Paul, lui qu'est ce qu'il boit ... Ah non, moi pas une goutte d'alcool depuis des lustres mais Francois, lui il boit comme un trous ...
Bref, on connaitra jamais le fin mot de l'histoire, par contre tout ce qu'on sait c'est que plusieurs joueurs qui sont venus au Racing ont dit vouloir être entrainé par Furlan, d'autres joueurs parlent de bonne ambiance dans le groupe ... des exemples contradictoire à ceux avancés par Montero il y en des tonnes !
Et il faut pas oublier le plus important, c'est que le Racing est actuellement leader et il vient de battre son propre record de victoires consécutives, c'est pas rien et tout ça, sous la direction de Furlan ...

C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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- lolo
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Re: Jean-Marc Furlan
Et le point de vue de Furlan dans cette affaire, c'est quoi?lunada a écrit :Je ne connais pas l'issue de la procédure, mais il est tout de même flagrant de constater que les " méthodes " Furlan ne sont pas très glorieuses et se répètent dans les club qu'il " visite ".
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.