Jacky Duguépéroux

[matt57]

Avons nous dit merci à  jacky cette semaine ?

On peut lui faire un remerciement pour l'année il a plus que sauver les meubles!!!!

[Nico]

C'est clair qu'il nous a vraiment sauver de la L2 cette année
MERCI JACKY !!!!
Maintenant il nous faut plus que la coupe de la ligue

[Pinon]

Le maintien n'est pas encore acquis donc mieux vaut ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué même si l'on a déjà  achevé une grande partie de cet ours et qu'il reste plus que la tête en eveil

[lolo]

...et on lui pèlera le jonc... (à  l'ours, hein... )

[Stan]

C'est clair qu'il nous a vraiment sauver de la L2 cette année

Il reste quand même 7 journées, donc pas mal de points à  prendre, pour tout le monde...

[Pinon]

Jacky Duguépéroux, l'entraîneur de Strasbourg, était un homme heureux samedi soir. Pour la première fois de la saison, le club alsacien s'est imposé à  l'extérieur, à  Bordeaux (0-2). « Trois points (qui) font du bien. »

Sur le site internet officiel du club alsacien (http://www.rcstrasbourg.fr), l'entraîneur Jacky Duguépéroux est revenu sur la première victoire à  l'extérieur, à  Bordeaux (0-2), lors de la 31eme journée de Ligue 1 : « Nous étions venus pour être sérieux. Nous avons fait un sans-faute défensivement et cette victoire me semble méritée. Les trois points font du bien. Quand on est rigoureux dans la récupération et que nous faisons les efforts, nous avons vu que nous étions capables de ramener quelque chose de nos déplacements. C'est prometteur pour l'avenir. »

Strasbourg est actuellement 14eme au classement du Ligue 1.

Foot365

[argueti]

« Je voulais changer »

L'audace tactique de Jacky Duguépéroux a payé samedi à  Bordeaux où le Racing est allé cueillir son premier succès à  l'extérieur (2-0). Retour sur le « grand bluff » du technicien strasbourgeois.

« Quand j'étais joueur, je n'étais pas très doué dans l'art du contre-pied. Maintenant que je suis entraîneur, j'ai progressé, avec, pourtant, deux genoux en moins. » Tout en faisant référence au souvenir douloureux de ses opérations aux articulations, Jacky Duguépéroux est hilare. Samedi dans la salle de presse du stade Chaban-Delmas à  Bordeaux, l'entraîneur strasbourgeois se réjouit du tour pendable qu'il a joué, pêle-mêle, à  ses troupes, à  la presse et, surtout, à  des Girondins déboussolés par un dispositif tactique inédit. « J'ai composé l'équipe et l'organisation de jeu en fonction des joueurs qui m'ont paru les plus saignants à  l'entraînement cette semaine », lâche-t-il sans entrer dans les détails. Entre ses parties de poker menteur sur l'état médical de ses troupes, qui font désormais partie de sa panoplie de grand bluffeur, et sa propension à  aligner des compositions d'équipe aussi déroutantes que cohérentes, « Dugué » a réussi quelques coups fameux et fumeux ces derniers temps. On le soupçonne même, dans l'intimité de son bureau, de s'amuser tout seul d'avoir ainsi brouillé les pistes et les cartes. Ainsi jeudi dernier a-t-il convaincu – obligé plutôt - le « webmaster » du Racing à  indiquer sur le site internet du club « qu'une décision serait prise vendredi matin sur la participation de Mickaël Pagis et Ulrich Le Pen ». Une façon de se livrer à  une petite guéguerre psychologique à  distance avec son homologue bordelais Michel Pavon. Quelques instants plus tôt, l'ancien Sochalien, croisé à  la sortie des vestiaires, venait pourtant d'indiquer qu'il ne reprendrait que ce mardi (même s'il a déjà  participé activement au décrassage ce dimanche).

« Une copie presque parfaite »

Mais il serait naturellement trop réducteur d'écrire que la facétie et le sens de la contradiction sont les seules raisons d'être du technicien alsacien. Samedi, « Dugué » a longuement réfléchi avant d'expérimenter un inhabituel schéma en 4-1-4-1. Yves Deroff, aligné 44' en 9 matches de L 1 depuis son expulsion à  Toulouse le 12 janvier, a, contre toute attente, retrouvé son poste de latéral droit d'entrée. Guillaume Lacour, qui l'avait supplanté, est monté d'un cran, dans un rôle de milieu droit où il s'est éclaté. Yacine Abdessadki a regagné l'axe avec bonheur, comme en atteste son 6e but de la saison. Le jeune Sidi Keita a fait admirer sa sobriété à  une place peu usitée de libero de l'entrejeu. Et avec le décalage de Cédric Kanté sur le flanc gauche de la défense, Boka s'est retrouvé milieu excentré sur ce côté. A chaque récupération du ballon, Deroff, respectueux des consignes, est systématiquement venu apporter le surnombre sur l'aile droite, laissant le trio Devaux – Hagui – Kanté prendre en charge Chamakh et Darcheville. « Un système ne signifie rien, tout dépend de l'animation que les joueurs y mettent », se plaît à  répéter le champion de France 1979. « Je vous avais dit vendredi que je ne savais pas encore quelle équipe j'alignerais et que je ne le savais pas toujours la veille des matches. Je ne mentais pas », confirmait-il dimanche après-midi. « J'ai revisionné les cassettes récentes de Bordeaux et il m'a paru intéressant de mettre Farnerud dans la zone de Mavuba et Keita dans celle de Meriem. Yacine Abdessadki s'est repositionné dans l'axe, avec, pour mission, de se muer en 2e récupérateur à  la perte du ballon. Abdessadki – Keita, c'était d'ailleurs ma paire de milieux défensifs pour mon premier match à  Ajaccio. Hormis Deroff, la défense était celle alignée à  Nice. Lacour, lui, a déjà  montré qu'il pouvait jouer plus haut. Boka évoluait à  ce poste à  Beveren. Tous deux ont des qualités défensives, mais savent porter le danger. L'Ivoirien au milieu, c'était en fait la seule véritable nouveauté. Je voulais changer quelque chose à  l'extérieur. L'objectif prioritaire était d'être plus performant à  la récupération. Et sur ce plan, nous avons rendu une copie presque parfaite. Nous avons très peu tremblé. » Ainsi attelé, le Racing a totalement désarçonné Bordeaux. Et si l'OM, certes toujours dangereux à  l'extérieur, tournait lui aussi en bourrique samedi à  la Meinau ?

[Pinon]

Après son premier succès de la saison à  l'extérieur, samedi dernier à  Bordeaux, le Racing aimerait renouer avec le succès à  la Meinau avec la venue de l'OM, ce week-end.
Jacky Duguépéroux s'attend à  un match difficile face à  une formation repliée sur ses bases arrières. Mais, un stade plein peut être un atout pour son équipe.

Comment l'équipe aborde le rendez-vous face à  Marseille, samedi soir ?
Pour tout le monde, c'est un privilège de disputer ce genre de match. Même sur le banc, c'est agréable de faire partie de cette fête. Il faut donc essayer de l'aborder sans peur et en étant relâché. Mais nous savons que ce sera difficile face à  une formation à  l'aise en déplacement.

C'est le troisième choc de suite pour le Racing à  la Meinau.
Oui, après Monaco et Lyon, c'est Marseille, une formation différente des deux autres. L'OM est une équipe qui défend bien, avec notamment un certain Habib Beye qui semble au sommet de son art en ce moment. Il confirme qu'il est un excellent défenseur. De notre côté, nous essaierons de jouer sur nos qualités.

Après la défaite à  domicile face à  Lyon, le groupe a-t-il à  cÅ“ur de renouer avec le succès à  la maison ?
Lyon a cassé une spirale, le déplacement à  Bordeaux aussi. Il nous faut retrouver nos esprits. Ce n'est pas parce que nous nous sommes imposés à  Bordeaux que nous sommes sauvés. Il ne faut surtout pas se griser et jouer avec le même état d'esprit qu'en Gironde.

Il y a un joli coup à  faire en cas de nouveau succès samedi…
Plus vite nous prendrons des points, mieux ce sera. En avril, nous nous sommes fixés 7 points comme objectif. Là , une victoire samedi nous permettrait d'être un peu en avance sur notre tableau de marche mais, je le répète, nous ne serons pas encore sauvés. Nous avons besoin de 40 points, voire même plus, pour accrocher le maintien. Il en faudra même peut-être 42, même si notre goal average peut nous aider. C'est un aspect qui peut se révéler important mais je ne l'espère pas.

Face à  Marseille, le Racing risque d'être obligé de faire le jeu face à  une équipe qui va attendre derrière et procéder par contres.
Il faudra faire le jeu sans se découvrir. C'est toute la difficulté et le problème des équipes qui reçoivent, en général. Il s'agit d'être efficace dans les vingt derniers mètres des deux côtés de la pelouse.

On annonce une Meinau pleine. Cela peut-il être un atout pour vos joueurs ?
Depuis quelque temps déjà , la Meinau est bien garnie. C'est un bon signe. Je pense que les gens viennent pour voir l'OM, mais peut-être pas la majorité. Lors des derniers matches, il y avait plus de 20 000 personnes au stade. C'est plus intéressant de jouer dans des stades pleins que face à  12 000 spectateurs. Nous sentons l'engouement, y compris aux entraînements.

Normalement, les joueurs devraient trouver tout seuls la motivation pour un tel match, n'est-ce pas ?
Oui, normalement il devrait y avoir une motivation naturelle. Mais on disait la même chose avant de recevoir Lyon, et nous avons vu ce que ça a donné. Il ne faut pas se griser.

[enzy]

Merci Jacky, on peut dire aujourd'hui qu'il nous a sauvé de la L2.

[argueti]

Pour moi, ele est sympa cette chanson et comme on a dit avec Hans hier, c'est toujours mieux que "Allez Racing, c'est sur ce soir ... "

Maintenant pitié, ne nous la mettez pas en boucle à  chaque match