[05/06] 5ème J: RCS / Bordeaux - 0/0

[FM17]

On prend un point contre une équipe meilleure que nous...on est à  notre place tout simplement...

[Michel]

Bon mon analyse du match :

(ZzzzzZzzzzzzZzzZzzzzzZz j'ai bien dormi tellement ce match etait ennuyeux).
Bon sinon la tactique bordelaise était pas mal, le blocage des couloirs et un pressing très haut, et c'est inquiétant car chaque fois qu'on nous oppose une résistance, il n'y a AUCUNE révolte, c'est nul, les joueurs sont au Club Med.
Il manque clairement un leader à  cette équipe, un dingo qui peut monter et apporter non seulement le surnombre (comme Jurietti ou Mavuba à  Bordeaux) mais aussi un peu de folie.
Gmamdia était lourd, j'espère qu'il ne nous a pas montré toutes ses capacités ce soir
Maintenant y a 2 semaines pour bosser mais Hosni et Gmamdia seront absent pour cause de sélection nationale
Bon sinon j'aimerais bien que JD essaye une autre combinaison que Pagis - ... ! Pagis il est bien gentil mais y a toujours rien devant, ou sinon une autre solution c'est un jeu très tourné vers l'offensive (4-3-3, pourquoi pas ?) à  la manière de l'Ajax !

Les joueurs :

Cassard (7/10) : Très bon match, comme à  son habitude, très sûr dans ses relances, dans ses sorties aériennes, dans les face à  face, bref parfait !
Boka (6/10) : sobre, pas mal défensivment, a été mis sur l'éteignoir par cette très efficace tactique bordelaise, mais c'est du solide !
Kanté (6,5/10) : Ben Devaux n'est pas prêt de retrouver une place de titulaire
Hagui (6/10) : Un tout petit peu de déchêt mais rien d'alarmant, sobre à  sa manière !
Lacour (5,5/10) : A fait son boulot défensivement, doit plus percuter et chercher des solutions pour avancer, mais il est vrai que c'était difficile hier soir.
Keita (7/10) : Enorme ! A 20 ans on croirait qu'il a l'expérience d'un joueur de 30, a récupéré un nombre colossal de ballon. Moins en vue en seconde mi-temps, a fait un travail dans l'ombre, toujours aussi efficace.
Point positif également : a appris à  se contrôler !
Johansen (5/10) : Un match plein d'envie, il s'est battu, pas beaucoup de reproche à  lui faire, quelques mauvais choix mais pour moi il reste au-dessus de la moyenne !
Hosni (5/10) : On attend beaucoup de lui, a essayé mais n'a pas souvent réussi, quand toute l'équipe sera rôdée il sera à  l'aise, mais moi je n'ai pas envie d'attendre...
Alexander Farnerud (4/10) : Doit se trouver une nouvelle vocation ou bien a énormément de travail devant lui.
Pagis (4,5/10) : Bof bof, y a rien alors il ne fais rien pour que ça s'arange, on ne peut pas trop lui en vouloir mais c'est agaçant de le voir comme ça.
Gmamdia (4/10) : Mister lourdo de la semaine, pas encore prêt, dommâge.

Conclusion : Vite, un déménaguer de surface, quelqu'un qui bouge, le Racing c'est presque une maison de repos pour les joueurs, ça ne bouge pas, c'est statique, et quand ça essaye de se déplacer, c'est pour chercher une bouteille de flotte plus sérieusement ça ne sert à  rien, les joueurs sont tout de suite mangés pour la défense adverse, qui a passé un agréable séjour en Alsace.

Point de vue comptable, rien d'alarmant encore, mais on a d'autres objectis alors c'est chiant de supporter une équipe qui n'est pas capable de se bouger le c.. pour être devant, j'en ai marre, vivement un peu de folie !

[skoblar]

Je viens de regarder le march sur M6 ( pour revoir les actions car j'étais bien sûr au stade ) et encore une fois le juge de touche coté présidentielle a fait n'importe quoi ! Hors jeu imaginaire ( sur Lacour ) et les touches il attendais systématiquement l'arbitre central pour prendre sa décision ! LAMENTABLE !!!!!!!!!!!!

Ne nous plaignons pas pour Lacour
Darcheville n'était pas hors-jeu non plus quand il a lobé Cassard et qu'il s'apprêtait à  marquer dans le but vide : sur M6 le ralenti est formel
Alors arrêtons un peu de parler des arbitres maintenant et si le Racing veut marquer cela ne passera que par des progrès dans le jeu pas dans tout le reste

[lolo]

Oh que non, au contraire... Ce que tu dis vient juste étayer un peu plus les propos de krolouise: l'arbitrage est plus que jamais sujet à  caution en France...

Alors au contraire, parlons-en. Pas pour se plaindre d'une quelconque partialité (car je ne pense sincèrement pas que ce soit le cas), mais pour se plaindre de ces incessantes fautes d'arbitrages qui deviennent de plus en plus flagrantes, et lourdes de conséquences, au point de fausser maintenant un nombre assez impressionnant de matchs...

[skoblar]

Ce que je veux dire, c'est qu'en ce moment le Racing a 1 ou 2 occaz' par match donc il suffit qu'un hors-jeu imaginaire soit sifflé pour qu'en fasse tout un plat
Si le Racing se mettait à  jouer de l'avant, qu'il avait + de 5 opportunités par match, une action litigieuse ne serait pas à  chaque fois le tournant du match et en jouant en première intention, le Racing n'aurait aucun mal à  se les créer, ces occasions

Les équipes qui se procurent bcp d'occasions ds 1 match se plaignent rarement de l'arbitrage, t'as remarqué ?

[lolo]

Tout le monde se plaint de l'arbitrage en ce début de saison, t'as remarqué?

[lolo]

Hagui court après le succès

Avec Metz et Marseille, le Racing est l'une des rares équipes de Ligue 1 à  ne pas avoir goûté à  la victoire. Il est, avec Metz (encore), l'équipe qui a le plus petit nombre de buts inscrits. Désormais 17e, il doit se relever au plus vite sous peine de se faire des frayeurs.

« On manque d'audace, d'un peu de folie. Il faut aller plus vite vers l'avant. Nous n'osons pas assez », disait samedi soir Jacky Duguépéroux, tout en relativisant la situation. « Il n'y a pas le feu. Comme je ne doute pas, je ne suis pas inquiet. J'ai simplement l'impression que mes joueurs sont fragiles mentalement, qu'ils n'arrivent pas à  se lâcher, donc à  se surpasser. A moi de trouver la bonne alchimie. »
Semaine après semaine (cinq désormais), les mêmes phrases, les mêmes mots sont resservis. Tout ça parce que le Racing ne marque plus, donc ne peut pas gagner. Une évidence que les Strasbourgeois vont devoir vite balayer.

« Je suis plus énervé que déçu »

Karim Hagui, l'un des Strasbourgeois en vue contre Bordeaux (avec Keita et Cassard) - encore un défenseur -, en est conscient. « Je suis déçu et notre situation commence à  être dure à  vivre, dit-il d'abord. Il nous faut gagner le plus vite possible pour éviter de revivre notre passé. Hormis une période à  Metz, nous jouons bien. Mais il nous manque ce petit chouia qui peut nous faire gagner. A chaque fois, on sort du match avec l'impression de pouvoir faire quelque chose de mieux. Mais, pour l'instant, nous sommes toujours là  à  attendre notre première victoire. »
Malgré les changements de système (et d'hommes) de Jacky Duguépéroux, le Racing n'avance pas ou peu. « Il faut du temps même s'il est compté », coupe Karim Hagui. « En fait, je suis plus énervé que décu. On mérite mieux. »

La perte Niang

Un peu plus loin dans la conversation, le Tunisien, qui est parti rejoindre sa selection à  Tunis avant un match au Kenya, relève les manques de son équipe.
« On a confiance en nous, on bosse bien et il n'y a aucun problème entre nous, reprend Karim Hagui avec bonne humeur. En fait, on a perdu Niang. Je dirai même que Mika (Mickaël Pagis, NDLR) a perdu son copain, ses repères. Avec Mamadou, c'était simple. Niang filait à  200 à  l'heure et Mika pouvait tourner autour de lui. Maintenant, il est à  Marseille et il faut vivre sans lui. Pour le remplacer, on a des joueurs de talent : Ulrich (le Pen), Alex (Farnerud), Haikel (Gmamdia) ou Salim (Arrache). Il leur faut du temps. Et on oublie que Pagis et Niang n'ont pas bien joué ensemble tout de suite. Il faut trouver une certaine complémentarité devant. »

La frustration de Monaco

Et Hagui refuse également de douter. « On n'en a pas le droit, souffle-t-il. On a des joueurs de qualité, le groupe n'a pas trop changé. Il faut simplement que les nouveaux s'adaptent. » Il reparle aussi du match de Monaco, un des premiers tournants de la saison, quand le Racing avait été privé de deux buts valables et a concédé une défaite injuste. « Même sans ces erreurs d'arbitrage, nous aurions dû gagner avec un peu plus de réalisme », relève l'international tunisien.
Cette défaite, visiblement mal digérée, a laissé plus de traces que les joueurs semblent vouloir l'admettre. A Metz, puis face à  Bordeaux, on a vu plus de frustration que d'occasions sur la pelouse.

« Tactiquement, nous sommes au point »

Le Racing a près de quinze jours pour sublimer cette frustration née d'un début de saison plutôt raté sur le plan comptable.
« Il faut s'accrocher, c'est tout. Cette saison, et c'est déjà  très important, nous ne prenons que très peu de buts. Tactiquement, nous sommes au point. Nous sommes solides. Les trois buts que nous avons encaissés ne sont pas le fait de notre système de jeu, mais d'erreurs individuelles, argumente Karim Hagui avant de sourire. C'est presque rassurant. »
Pour lui, l'essentiel est donc acquis. « Le foot commence derrière. On sait qu'on peut passer de longues périodes, sans prendre de but. Maintenant, il faut s'appuyer là -dessus pour se libérer », termine-t-il.
Et le plus tôt sera le mieux. Le ventre mou du championnat est déjà  à  trois points. Une victoire, quoi !

[argueti]

Un déficit de complémentarité

Entre le rendement déficient de certains cadres et l'intégration imparfaite des recrues, le RCS se cherche.

La trêve internationale de quinze jours aurait pu tomber à  pic et permettre au Racing de travailler les automatismes que Jacky Duguépéroux appelle de ses voeux. Oui, mais voilà , sept Strasbourgeois ont déjà  rejoint ou vont rejoindre dans les prochaines heures leurs sélections respectives : Keita (Mali), Gmamdia et Hagui (Tunisie), Boka (Côte d'Ivoire), Arrache (Algérie), Hosni (Egypte) et Alexander Farnerud (espoirs suédois). Kante est resté à  Strasbourg, se plaignant d'une douleur au genou. « Que Gmamdia et Hosni, qui ont besoin de parfaire leur intégration dans l'équipe, ne soient pas là  est dommageable », regrettait d'ailleurs « Dugué » dès samedi soir. Bref, après cinq journées, le Racing est toujours à  la recherche de la meilleure formule et d'équilibre. Ni le 4-2-3-1 (séduisant à  Lyon, mais décevant à  Metz), ni le 4-4-2 (inefficace contre Bordeaux) n'a vraiment fait ses preuves. Avec un but inscrit en cinq journées (sur un coup franc de Le Pen dans les arrêts de jeu contre Monaco), les partenaires d'un Mickaël Pagis qui se cherche lui aussi émargent au rang des attaques les plus stériles de Ligue 1 (à  égalité à  la dernière place avec Metz). Difficile, il est vrai, de demander à  un Hosni qui faisait samedi ses grands débuts en L 1 d'afficher avec Guillaume Lacour la complicité que ce dernier avait nouée la saison passée avec Yacine Abdessadki. Délicat, aussi, d'exiger d'un Haikel Gmamdia, titularisé pour la première fois après deux apparitions contre Monaco et à  Metz, une entente avec Pagis aussi parfaite que celle qui unissait le capitaine des Bleus avec Mamadou Niang. D'autant qu'en marge de ces logiques soucis d'adaptation pour deux joueurs qui ont quitté leur pays, leur environnement et découvrent une Ligue 1 plus relevée que les championnats tunisien et égyptien, certains des cadres supposés ne sont pas à  la hauteur de leur réputation et de leur niveau passé. Avant-hier, Alexander Farnerud, l'inspirateur de la campagne en Coupe de la Ligue la saison dernière, n'a pas su négocier proprement un seul ballon. Constat à  peu près identique pour un Mickaël Pagis dont les qualités ont suffisamment été vantées dans ces colonnes pour qu'on constate aujourd'hui que le second buteur de L 1 en 2004-2005 (15 buts) marche en ce moment à  côté de ses crampons. La preuve, lui dont l'aisance technique régale d'ordinaire a raté samedi des gestes faciles qu'en temps normal, il réaliserait les pieds attachés. « A force de dire qu'on ne marque pas, il ne faudrait pas que la confiance s'effrite », redoute Jacky Duguépéroux sans s'appesantir sur les cas individuels.

« Pas à  tirer la sonnette d'alarme »

Assurément, le syndrome de l'improductivité guette. « C'est vrai qu'en ce moment, nous avons du mal à  nous tourner vers l'avant », remarque Salim Arrache qui a raté samedi la balle de match à  l'orée des arrêts de jeu, « mais il n'y a pas lieu de tirer la sonnette d'alarme. Certes, trois points en cinq journées, c'est peu. Mais l'an passé, nous n'en comptions que deux et ça ne nous a pas empêchés de réussir le parcours que l'on sait. Samedi, Bordeaux était bien en place et nous ne sommes pas arrivés à  trouver les intervalles. Mais d'un autre côté, nous n'avons pas encaissé de but et ça nous a permis de récolter un point. Tout n'est pas négatif. La roue va tourner, j'en suis persuadé. Nous espérons réussir un coup à  Paris. Si Nice est capable de s'y imposer, pourquoi pas nous ? » Avec six matches entre le 10 septembre et le 2 octobre (à  Paris, à  Graz, contre Lens, à  Ajaccio, face à  Toulouse, contre Graz et à  Troyes), le Racing a en tout cas tout intérêt à  faire enfin sauter son verrou psychologique.

Entraînant, puis en traînant

Locomotive du Racing l'an passé, l'équipe pro peine à  retrouver sa vitesse de croisière, alors que tous les voyants sont au vert : record d'abonnements, 21 028 spectateurs de moyenne et arrivée d'un sponsor maillot très médiatique.

A ceux qui lui demandaient samedi soir après le nul contre Bordeaux (0-0) si les attentes nées de la fin de saison passée n'inhibaient pas son équipe, Jacky Duguépéroux a répondu par la négative. Mais le coach du Racing a volontiers reconnu que ses troupes étaient retenues « par un petit blocage » dont il cherche aujourd'hui encore la raison. Pourtant, « Dugué » avait tout fait avant le match pour provoquer le fameux déclic que ses joueurs et lui attendent. Dès vendredi après-midi, il avait insisté auprès de ses joueurs sur l'arrivée du nouveau principal sponsor maillot, Alain Afflelou, à  l'intronisation duquel il avait assisté en fin de matinée. Sur le thème : « Si un partenaire de cette envergure s'intéresse au Racing, ça veut dire quelque chose. » De quoi placer tout le monde devant ses responsabilités.

“ Avec une bonne défense, on peut voyager”

Puis juste avant le match, le technicien alsacien avait accroché le classement au tableau des vestiaires : « Pour leur montrer que la différence entre la 7e place et la 17e n'était pas si importante, qu'une victoire contre Bordeaux nous aurait replacés au classement, mais qu'un autre résultat nous laisserait en position difficile. » Ces petits « subterfuges » n'ont pas suffi face à  des Girondins qui, au décompte des occasions, auraient mérité de l'emporter. Du coup, alors que l'équipe avait tiré tout le club en fin de saison dernière, elle n'en est plus aujourd'hui la locomotive, mais le wagon de queue. C'est du moins l'analyse qu'en fait Duguépéroux : « S'il y a cette année plus de 10 000 abonnés, si les spectateurs reviennent au stade et si un sponsor de l'importance d'Alain Afflelou vient de s'engager pour trois saisons, c'est grâce au travail accompli par le groupe professionnel en fin de saison passée. Tout le monde bosse très bien à  tous les niveaux, mais l'équipe pro a tiré le club vers le haut par le jeu qu'elle a développé, par son succès en Coupe de la Ligue. Et paradoxalement, alors que tous les voyants sont au vert en ce moment, elle est à  la traîne des autres composantes du RCS. » Tout le monde se refuse cependant à  décréter l'état d'urgence. A l'instar de Stéphane Cassard, qui pèse à  lui seul deux des trois points récoltés jusqu'ici par le club bas-rhinois. En sauvant la baraque à  Metz, puis contre Bordeaux, le gardien bas-rhinois a permis à  son équipe de ne pas sombrer à  la dernière place, derrière un certain Olympique de Marseille. « Dans notre situation, il ne faut pas faire la fine bouche. Tous les points sont bons à  prendre », réagissait-il samedi soir, en copiant-collant son discours du week-end précédent à  Saint-Symphorien. « Nous avions été bons à  Lyon et contre Monaco et n'avions pas pris de points. Nous l'avons été moins à  Metz et face à  Bordeaux et nous en avons ramassé deux. » Entre ses inspirations (quel sauvetage sur la frappe croisée de Perea en fin de rencontre) et celles d'une défense qui tient la route (trois buts encaissés en cinq matches), Jacky Duguépéroux veut trouver des raisons d'espérer. « Avec une bonne défense, on peut voyager. Si nous continuons à  ne pas ou à  peu encaisser de buts, nous ne pouvons que nous améliorer. N'oublions pas que samedi, deux joueurs, Haikel Gmamdia et Hosni, n'avaient jamais évolué avec l'équipe. Ils ont besoin de temps. Et puis, contrairement à  Metz, il n'y a pas eu de démission, pas de laisser-aller. Les joueurs n'ont rien lâché. C'est bon signe. » L'an passé, après cinq journées, Rémy Vercoutre, puis Stéphane Cassard étaient allés chercher à  11 reprises le ballon au fond de leurs filets. Cette saison, le Franc-Comtois a encaissé presque quatre fois moins de buts. C'est un premier pas, évidemment insuffisant pour crier victoire. Une victoire qui se fait toujours désirer.

[EDES]

Honnêtement, samedi soir c'était nul à  c...
Rien, strictement rien à  se mettre sous la dent. Aucune action digne de ce nom. Même pas une toute petite balle dangereuse. Des conneries, Pascal Coquis en a écrit, mais là , je dirai même qu'il est encore loin de la vérité : ce n'était pas du pousse-ballon, c'était quoi, d'ailleurs ? 22 pauvres hères égarés sur une pelouse verte (enfin !) et 20000 stupides spectateurs, dont je faisais partie, qui auraient mieux fait de faire autre chose que de s'emm... 1h30 à  voir des guignols courir après un ballon dont ils ne voulaient pas !
Il fallait que cela soit dit et il faut arrêter de se voiler la face. Monaco, Metz et Bordeaux : 3 matchs insipides qui montrent d'énormes lacunes. Du football d'opérette alors que j'aimerai voir la grande cavalerie !!!

[PoY]

Monaco, Metz et Bordeaux : 3 matchs insipides qui montrent d'énormes lacunes.

Je suis désolé mais le match contre Monaco était loin d'être insipide, je pense même qu'après celui à  Lyon c'était le match le plus abouti avec des buts ( ) du beau jeu et une victoire virtuelle