Jean-Claude Plessis

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argueti
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par argueti »

Sans être devin, je le suis aussi, je le vois pas ressortir encore quelques millions pour le Racing ;)
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supppourtjs
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par supppourtjs »

D'ou l'envie d'ouverture ou de partenariat.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
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argueti
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par argueti »

L'Alsace a écrit : Un club taille-patrons

Le RCS nommera ce mercredi Jean-Claude Plessis président. Son 5 e de la saison. Le 6 e en moins de 10 mois. Combien de temps l’ex-patron du FC Sochaux-Montbéliard tiendra-t-il ? Les paris sont ouverts.

Demain lors de l’assemblée générale de sa SASP (1), le Racing se dotera de son 5 e président en 2009-2010. Jean-Claude Plessis succédera à Luc Dayan. Mais l’ex-patron du FC Sochaux/Montbéliard, de passage jeudi et vendredi pour une première prise de contact et assister à la victoire du RCS sur le dauphin de Ligue 2, Brest (1-0), n’a pas attendu pour marquer son territoire et occuper le terrain. Il a ainsi commencé à prendre la pleine mesure de ce qui l’attend du côté de la Meinau et dans son environnement.

Vendredi, il a reçu au stade Henri Ancel, médiateur désigné par la mairie et porte-parole du dossier de reprise alsacien auquel les propriétaires Alain Fontenla et Jafar Hilali ont tourné le dos. « Je découvre des choses qu’on ne m’avait pas tout à fait présentées sous le même jour », disait le futur président du RCS avant le coup d’envoi contre Brest.

Un exemple ? Dès son premier passage aux vestiaires, le préparateur physique Jean-Claude Thiry l’a alpagué pour lui demander l’autorisation d’acheter une demi-douzaine de chambres à air. Utilisés pour la remise en forme des blessés, les vélos du club avaient un besoin pressant d’être (re) gonflés à bloc.

Plessis est resté interloqué, peu habitué à ce qu’on vienne lui demander d’avaliser des frais d’une trentaine d’euros.

Plessis boycotte Isenegger

Pour amusante qu’elle soit, l’anecdote témoigne d’un fait avéré : avec la pagaille qui a régné ce dernier trimestre, toutes les dépenses, même les plus dérisoires, ont été gelées. Au point qu’en respect des consignes données par sa hiérarchie, le personnel n’ose plus prendre la plus petite initiative.

Jean-Claude Plessis, lui, n’a pas attendu pour en prendre, avant même son entrée définitive en scène à Strasbourg le 29 mars. Un, en priant instamment ses actionnaires de ne pas autoriser leur avocat suisse, Ralph Isenegger, décrié en Alsace dès le rachat le 4 décembre, plus encore après le mercato d’hiver (2), à venir assister à Strasbourg - Brest. « Moi à la présidence, il n’interviendra pas dans les transferts », répète le nouvel homme fort de la Meinau. Deux, en octroyant une double prime - qu’on suppose un rien supérieure à 30 euros - aux joueurs après leur succès face aux Brestois.

Pendant ce temps, malgré l’échec des négociations avec les repreneurs régionaux auxquels ils n’ont « jamais eu l’intention de vendre », Jafar Hilali et Alain Fontenla cherchent toujours des appuis en Alsace. Alors que la nomination de Plessis est censée leur donner une légitimité sportive - ce que l’intéressé sait parfaitement - les deux propriétaires ont récemment sollicité Henri Ancel pour lui proposer un siège au futur conseil de surveillance. Le médiateur de la Ville, qui s’est chargé de décrire vendredi par le menu au futur président le contexte volcanique dans lequel il met les pieds, a poliment décliné et ne souhaite pas commenter notre information.

Avec les élections régionales, la mairie a, elle, eu « d’autres chats à fouetter » que de se consacrer aux soubresauts sans fin du Racing. La nomination de Plessis influera-t-elle sur sa position, elle qui a gelé la subvention de 900 000 euros au club ? Rien n’est moins sûr. Elle n’a en tout cas pas fait dévier d’un centimètre les flèches des supporters en direction de leur cible favorite. Depuis des semaines, le kop fait preuve d’une imagination débordante autour d’un thème unique : « Fontenla, casse-toi. » Vendredi contre Brest, sa nouvelle adaptation était empreinte d’inventivité. « Fontenla, à chaque apparition, tu aggraves ton cas. Ferme-la et casse-toi. »

En des termes moins fleuris, la mairie avait adressé l’autre jeudi la même requête aux propriétaires du RCS qui ont fait la sourde oreille. Reste à savoir si en retour, la voix de stentor de Plessis, en partie missionné pour rétablir le dialogue, portera jusqu’au bureau de Roland Ries et jusque chez les supporters s’ils n’ont pas, eux non plus, envie d’entendre.

Plessis invite chez Aulas

S’il sera présent ce mercredi à l’assemblée générale du Racing pour y être nommé président, Jean-Claude Plessis s’envolera dès jeudi pour Londres où il est convié par le président de l’Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, à une petite « sauterie » dans la brasserie de luxe que ce dernier possède dans la capitale anglaise, le « Bistro K ». Le nouveau président du RCS a obtenu un carton d’invitation pour ses actionnaires Alain Fontenla et Jafar Hilali, histoire de les introduire dans le grand monde du foot auquel les deux hommes semblent prendre goût.

Stéphane Godin

(1) Société anonyme sportive professionnelle.
(2) Certains transferts préconisés par Isenegger ont été annulés par l’ex-président Julien Fournier pour des montages pour le moins alambiqués.
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par silex57 »

Inssuportable la façon dont sont tournés ces articles :evil: Si c'était avec les alsaciens que les patrons du club avaient été invités chez Aulas on entendrait que "Le Racing s'invite à la table des grands" et autres conneries du genre :evil:
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par urotsukidogi »

C'est fou actuellement les londoniens sont des glands et les locaux font vraiment pourris, que du bon en perspective pour le futur
30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par silex57 »

Ouais si l'an prochain les résultats ne sont pas au rendez vous ça promet !!
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par PoY »

Ca devient de plus en plus pathétique ces articles... Enfin au moins ils auront réussi à décridibiliser les locaux aux yeux de pas mal de monde... Moi au départ j'étais pour le rachat, maintenant je suis contre, enfin surtout pas à ces blaireaux :twisted:
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par silex57 »

Je me suis fait la même réflexion, c'était peut être le but depuis le départ :mrgreen:
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par raphou96 »

DNA a écrit :Le 5e élément

Cet après-midi, un 5e président sera désigné à la tête du Racing cette saison. Jean-Claude Plessis sera présenté à l'Assemblée Générale des actionnaires pour être nommé administrateur, avant de succéder officiellement à Luc Dayan, lors du conseil d'administration qui suivra.

Il paraît qu'à l'aune de leurs histoires respectives passablement agitées, le Racing et l'Olympique de Marseille se ressembleraient quelque peu. Le premier s'est vu affectueusement surnommer « OM de l'Est » par quelques observateurs lointains. Franchement, la saison actuelle du club strasbourgeois n'est pas loin de rendre bien fade le quotidien phocéen.
Un changement de président (Diouf pour Dassier) et d'entraîneur (Gerets pour Deschamps) en un an, cela s'apparente à une insipide limonade pour un amateur de amer-bière. Janin a remplacé Gress qui a remplacé Furlan. Plus fort, Dayan a succédé à Fournier qui a pris la suite de Ginestet qui avait pris la place de Specht au relais de Ginestet. Si le Racing n'était contraint de se contenter d'une saison de L 2 végétative, quelques attentions supplémentaires se seraient assurément orientées vers un club qui marche sur la tête et qui a décidé de faire sienne la politique du bazar ambiant.

Plessis a une incontestable légitimité dans le foot français

En gros, « quand y en a plus, y en encore » pour paraphraser un rappeur à la mode. Au Racing, jusqu'au terme de la saison au moins, on continuera de danser à contretemps, de rattraper le temps perdu et de rechercher le rythme, qui ponctue la vie d'un club normalement constitué, à savoir celui du match. Les événements du jour, s'ils devaient déboucher sur les évolutions attendues, n'y changeront rien. En tout cas pas tout de suite. Tout à l'heure, donc, à l'heure où d'aucuns se consacrent au pousse-café, on cherchera à sabrer le champagne pour célébrer l'arrivée du messie. Il a 66 ans. Il est sorti d'une retraite qui commençait à lui peser pour son manque d'adrénaline. Il a un parcours et dispose d'un réseau qui lui confèrent une incontestable légitimité dans le foot français. Depuis dix jours, Jean-Claude Plessis est descendu dans l'arène médiatique pour annoncer son arrivée à la tête du Racing. Depuis six jours, il croise des sparring partners, les journalistes, les techniciens strasbourgeois, les joueurs, quelques supporteurs, dont un qui lui a souhaité « bienvenue dans la m...e » hier, pour préparer s(es)on combat(s). En fait l'ancien président de Sochaux livrera ses premiers rounds significatifs en début d'après-midi. Car devant les actionnaires de la SASP Racing, il devrait un peu mieux mesurer la situation du club dans son environnement. La précédente assemblée générale avait donné lieu à quelques scènes pathétiques, les propriétaires du club se révélant longtemps incapables de faire ouvrir la porte du salon des présidents. Quelques représentants des minorités, René Maeschler en tête, en avaient profité pour faire entendre leur courroux.

Plessis a certains partisans. Son prédécesseur en avait aussi.

Tout à l'heure, Jean-Claude Plessis, au cours d'« une AG menée par l'actionnaire, avec la présence de Christophe Cornelie et Alain Fontenla, devrait être nommé administrateur puis, lors du CA, président directeur général », comme le souligne l'intéressé.
On espère que sa présence sera moins fugace que celle de Dayan, disparu des écrans de contrôle depuis quelques semaines. En tout cas, sa présidence débutera dans un environnement où la défiance n'a pas disparu. Plessis compte certains partisans, son prédécesseur en avait aussi. Pour les sportifs, comme Stéphane Cassard, le gardien expérimenté, les propriétaires ont « fait le bon choix. Il vit le foot. Même si on commençait à être habitué de n'avoir personne en déplacement voire à domicile, ça fait plaisir. » Présent aux côtés de Janin sur le terrain d'entraînement, le futur président tend à convaincre aussi le technicien. « On sait maintenant qui est le patron, souligne d'ailleurs Janin. On doit se voir la semaine prochaine encore, à son retour de Londres. Mais il est présent au quotidien et s'il y a des choses à dire, il est là ».

« Son énorme envie ne l'a-t-elle pas aveuglé ? »

En revanche, les opposants aux Londoniens n'ont pas changé de religion. Dominique Pignatelli, administrateur, actionnaire minoritaire, fait plutôt la fin bouche devant les premiers gestes du dirigeant. « Il s'est accaparé les mérites de la victoire, alors qu'il faut d'abord tirer son chapeau à Janin, explique-t-il, des questions plein la tête à l'adresse du 5e n°1 de la saison. Sa présence dépend surtout de son énorme envie de revenir dans le foot. Mais ne l'a-t-elle pas aveuglé ? » Dans la même veine, la double prime accordée dans le sillage du Racing - Brest n'a pas manqué de faire grincer des dents. « Cela n'augure pas d'une gestion raisonnable de l'argent du club », souligne encore Dominique Pignatelli. L'initiative, prise avec l'accord de Jafar Hilali selon certaines sources, correspond à une dépense de 15 000 euros pour le club. Dans le camp des Londoniens, on assure qu'il ne leur en coûterait pas tant d'en accorder d'autres à l'avenir. Il reste la dernière impression d'un attelage assez piquant entre des financiers désireux de s'inspirer de la réussite lyonnaise, forgée par Jean-Michel Aulas pour envisager une grandeur future du Racing, et un bon vivant, ayant fait toute sa carrière chez Peugeot. « Hilali et Fontenla peuvent difficilement être comparables à une famille d'industriels qui a eu la réussite que l'on connaît », observe Henri Ancel. La 3e mi-temps de la nomination de Plessis, à la tête du Racing, devrait être célébrée jeudi, à Londres, dans le nouveau restaurant inaugurée par le président de l'OL. De quoi trouver une belle source d'inspiration commune. Mais avant d'envisager se frotter à la jet set du foot européen, il s'agira déjà de convaincre un peu les Alsaciens.
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argueti
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Re: Jean-Claude Plessis

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Jean-Claude Plessis officiellement à la tête du club

L'ancien président de Sochaux (L1) Jean-Claude Plessis a été officiellement nommé président du RC Strasbourg (L2) lors d'une assemblée générale qui s'est tenue ce mercredi, a-t-on appris lors d'une conférence de presse au Stade de la Meinau.

L'ancien cadre de Peugeot, à la tête du club sochalien de 1999 à 2008 et ex-responsable de la commission marketing de la Ligue nationale de football (LNF), est sorti de sa retraite à 66 ans pour devenir le cinquième président de la SASP du Racing cette saison après Philippe Ginestet, Léonard Specht, Julien Fournier et Luc Dayan.

«Je suis heureux de revenir dans le football. Les joueurs, le terrain me manquaient. J'ai +une pêche d'enfer+. Le plus urgent est de prendre les six ou sept points qui nous manquent pour le maintien. Ensuite, on construira l'avenir pour remonter le plus tôt possible en Ligue 1», a déclaré M. Plessis.

L'arrivée de Plessis survient dans un contexte très tendu au stade de la Meinau depuis que l'actionnaire majoritaire Alain Fontenla, un homme d'affaires français basé à Londres, a racheté le club le 4 décembre.

L'opacité de la transaction, son mode de gestion et ses déclarations contradictoires ont valu au repreneur l'hostilité de la de la municipalité et de nombreux supporteurs du club alsacien, qui pointe actuellement à la 14e place du classement.

«Problèmes d'actionnaires»

A plusieurs reprises, l'homme d'affaires français basé à Londres a failli revendre ses parts à un groupe d'actionnaires alsaciens. Mais, même si ces entrepreneurs locaux bénéficiaient du soutien de la municipalité, la transaction a échoué.

Le maire de Strasbourg, Roland Ries (PS), a pour le moment décidé de bloquer la subvention de 900.000 euros allouée au club. Il a déclaré le 11 mars «ne plus avoir confiance» en l'actuel actionnaire majoritaire.

«Je ne veux pas parler de ce qui s'est passé», a repris M. Plessis. «Ce sont des problèmes d'actionnaires et je ne veux pas prendre position. Le maire et les politiques prendront progressivement le train en marche. Je ferai tout pour que cela s'arrange. Il y a peut-être eu des maladresses mais il faudra passer outre. Moi, j'ai rencontré les actionnaires et je me dis que j'ai bien fait». Vendredi les Strasbourgeois se déplacent à Tours (11e), ville d'origine de l'actionnaire majoritaire, pour la 30e journée de L2.

L'objectif : "remonter le plus tôt possible"

Le nouveau président du RC Strasbourg est conscient qu'il a accepté une mission difficile mais compte bien faire «remonter le plus tôt possible» le club alsacien parmi l'élite du football français.

Jean-Claude Plessis, êtes-vous heureux d'être revenu dans le monde du football ?

«J'ai "une pêche d'enfer". Les joueurs, même vous les journalistes, me manquaient. J'avais plusieurs contacts et j'avais envie d'être sur le terrain, dans le vestiaire. D'après mon épouse je tournais un peu en rond. Je suis flatté qu'on ait fait appel à moi. Je voulais retrouver une seconde jeunesse et là je l'ai retrouvée. J'ai plaisir à venir ici à Strasbourg.»

Strasbourg est 14e de L2 et vit une crise de gouvernance sans précédent. Pourquoi avoir choisi de venir au Racing ?

«J'ai rencontré Alain Fontenla et Jafar Hilali (les propriétaires) et je me dis que j'ai bien fait. L'actionnaire majoritaire Alain Fontenla est un peu novice dans le football mais quoi qu'on en dise, il a mis l'argent. C'est un type ambitieux qui a réussi et qui veut s'investir dans le football. Je suis très confiant, il y aura des moments difficiles mais le foot c'est toujours dur. Soyez confiant en ma bonne étoile: j'ai gagné trois coupes, à chaque fois aux tirs au but. Je suis persuadé qu'il y a un séraphin qui veille sur moi. Je suis un chef de bande et j'ai toujours eu comme principe de m'entourer des meilleurs.»

Quelles sont vos ambitions pour le RC Strasbourg ?

«La première chose, la plus urgente, est de prendre les six ou sept points qui nous manquent pour assurer le maintien. Ensuite, je crois qu'il y a un groupe serein et de jeunes espoirs qu'il faut garder pour les aguerrir. Je pense solidifier l'équipe avec quelques joueurs expérimentés. On n'a pas fixé d'objectifs précis. Il n'y a pas de date fixée pour la remontée en L1 mais il faudra jouer les premiers rôles pour remonter le plus tôt possible.»
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