[04/05] 21ème J: RCS / Saint-Etienne - 1/1
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matt57
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L'Alsace a écrit :L'an neuf à revers
Le Racing a attaqué 2005 par deux échecs à Sedan, vendredi en Coupe de France, et à Toulouse avant-hier pour la reprise en Ligue 1. Le voilà de nouveau au pied du mur avant de recevoir Saint-Etienne samedi.
Six buts à un pour le Téfécé (1-4 à la Meinau, 0-2 au Stadium), 3 expulsés pour Strasbourg (Fahmi à l'aller, Deroff et Pagis au retour) : ainsi résumée, la double confrontation 2004-2005 entre le Racing et Toulouse prend des allures de fessée pour le club alsacien. Même si le revers d'avant-hier en Haute-Garonne n'a rien de commun avec la déroute de la mi-août en Alsace, le résultat est invariable : une opération comptable déficitaire sur toute la ligne.
La défense en question
Le même raisonnement s'applique si l'on compare la piteuse élimination de vendredi dernier à Sedan en 32e s de Coupe de France et la défaite « rassurante » - aux yeux des Strasbourgeois - encaissée mercredi dans le fief d'un réaliste TFC. Ces deux échecs d'affilée, qui marquent le début de l'an 2005, n'ont effectivement pas grand-chose en commun. Excepté - et c'est toute la nuance - leur épilogue. 1-3 dans les Ardennes, 0-2 dans le Sud-Ouest. La belle solidité défensive de la fin 2004 (4 buts concédés en 6 rencontres, Coupe de la Ligue comprise) a volé en éclats en quatre jours. Certes, comme à Ajaccio (2-2), Marseille (0-2) ou Metz (0-1), le RCS est sorti du Stadium avec les félicitations du jury. Les louanges de l'adversaire aussi, à l'instar du coach toulousain Erick Mombaerts. « Je n'ai pas eu l'impression d'affronter une équipe mal classée. Je suis d'ailleurs désolé qu'elle ait fini à neuf, car il n'y avait pas un mauvais état d'esprit sur le terrain. Strasbourg a mis beaucoup de dynamisme dans son jeu et nous a beaucoup gênés. Mais nous avons su marquer au bon moment et gérer le résultat, ce qui n'avait rien d'évident. »
Les Verts reprennent des couleurs
Dans les écoles primaires au siècle dernier, les bons points accumulés étaient toujours récompensés par une image. Mais en football, une belle image ne rapporte pas toujours de bons points. En début de saison, Saint-Etienne (rejoint à Ajaccio et à Marseille, mais aussi battu par Lyon, le tout dans les arrêts de jeu) en avait fait l'amère expérience. À l'époque, Jacky Duguépéroux, nommé à la tête du RCS le 4 octobre, avait fixé son premier objectif : « Remporter le mini-championnat à quatre qui nous oppose à Istres, Ajaccio et Saint-Etienne. » Depuis, son équipe a effectivement laissé trois adversaires derrière elle. Mais les Foréziens ont quitté ce trio maudit il y a belle lurette. Car si le RCS version « Dugué » a opéré un spectaculaire redressement, que dire alors des Stéphanois, même s'ils ont commis le week-end passé une grosse faute de goût en disparaissant à Nîmes (National) en 32es de Coupe de France (2-3), après avoir mené 2-0 aux Costières ? Encore auteurs d'un bon nul contre Lens avant-hier (0-0), les Verts, bien pâles jusqu'à l'automne (sur un plan comptable surtout, car leur jeu, lui, avait souvent séduit), ont repris des couleurs. Jusqu'à se hisser au 8e rang avant de venir ce samedi (20h) à la Meinau. Pendant que le Racing raflait 15 points en 11 journées, l'ASSE, également en course en quarts de Coupe de la Ligue (à Lens mardi), en récoltait 20, devenant ainsi le dauphin de Lyon sur la période (23). Elle vient même d'en grappiller 18 sur 24 lors de sa série d'invincibilité - en cours - de huit matches (5 victoires, 3 nuls). Jacky Duguépéroux et ses hommes ont beau répéter n'être pas inquiets après leurs deux revers de rang, tous reconnaissent qu'ils seront « dos au mur » demain. Mais avant de jeter le bébé Racing avec l'eau du bain après la superbe remontée de l'automne, on leur concédera qu'ils en ont l'habitude. Et qu'ils ont souvent su répondre présent. Entre la réception de Saint-Etienne et le voyage à Istres le samedi 22 janvier, on en saura de toute façon plus sur leur aptitude à passer l'hiver.
DNA a écrit :Passer du rouge aux Verts
Revenu la tête dans le sac de son déplacement à Toulouse (2-0), le Racing n'a plus qu'un jour pour panser ses plaies. Demain (20h), c'est l'AS Saint-Etienne qui se présentera à la Meinau. Et là , le faux pas est interdit.
Décidément, Toulouse aime l'Alsace. La réciproque, elle, ne tient pas. Mais alors pas du tout. Cette saison, le Racing a « mangé chaud ». Une dérouillée à l'aller (1-4), en août dernier, et une soirée noire au retour (2-0), mercredi soir, ajoutées à la qualification samedi dernier contre Gambsheim en coupe de France (0-3), voilà qui vous transforme la pimpante cité des violettes en ville rosse...
Bilan terrifiant
Le bilan sur les deux matches de championnat est terrifiant : six buts encaissés, un seul rendu, trois expulsés - Fahmi à la Meinau, Deroff et Pagis au Stadium - ainsi qu'un blessé, en la personne de Devaux, dont les deux points de suture au coup de pied droit nécessitent un ou deux jours de repos. Il est des soirs où il vaudrait mieux ne pas mettre un Strasbourgeois dehors.
Si les Toulousains peuvent tranquillement rire sous cape, l'essentiel n'est pas là . Une fois de plus, cette équipe-là a montré ses limites. Comme à Marseille (2-0) ou à Metz (1-0), le Racing a dominé. Les occasions les plus franches étaient pour lui. Las, le réalisme, seule chose qui vaille dans le football, a fui.
Obligation de résultat
Au final, ce sont les points qui font défaut. A la veille d'accueillir Saint-Etienne, qui reste sur une série de huit matches sans défaite, les Bleus - dix-septièmes, avec une petite longueur d'avance sur Bastia, premier relégable - sont à nouveau attirés vers le bas du tableau.
Le phénomène est mécanique tant que la fameuse victoire à l'extérieur ne sera pas acquise. Du coup, la marge de manoeuvre est des plus minces. Et l'obligation de résultat urgente. Dès samedi, donc.
Sans Deroff, Pagis ni peut-être Devaux - sans parler de Le Pen, dont la lésion à la cuisse est toutefois moins grave que redouté (huit à quinze jours de repos) -, les Strasbourgeois devront trouver les ressources nécessaires pour bousculer une ASSE plutôt inspirée à l'extérieur.
« Revenir sur terre »
« Le côté rassurant, c'est que l'équipe a retrouvé un état d'esprit conquérant, comme à la fin de l'année 2004, justifie Jacky Duguépéroux. Le point négatif, ce sont les expulsions. Nous nous sommes mis seuls dans la difficulté. Il faut revenir sur terre et arrêter de nous prendre pour d'autres. »
D'autres, comme Toulouse, qui peuvent se permettre de mal jouer et de gagner. Le Racing, lui, ne peut compter là -dessus pour se tirer d'affaire. Reste à former une équipe suffisamment compétitive, en dépit des avatars précités. Une fois encore, Duguépéroux préfère dédramatiser.
« Pas un casse-tête »
« Ce n'est pas un casse-tête, assure l'entraîneur alsacien. Dans le groupe, j'ai suffisamment de garçons de qualité pour pallier les forfaits. » Cette théorie volontairement optimiste reste encore à être éprouvée.
Si le revenant Hagui, solide mercredi soir, semble en mesure de venir au relais de Devaux en défense centrale, alors que Lacour a déjà fait ses preuves en latéral droit en lieu et place de Deroff, l'absence de Pagis s'avère elle bien plus préjudiciable. D'autant que Farnerud, aux performances erratiques, tarde à s'imposer et que les solutions de rechange sont quasi-inexistantes.
En cas de victoire, samedi soir, les doutes et réticences légitimes seront balayées d'un revers de la main. Après avoir vu rouge à Toulouse, le Racing est cette fois obligé de passer au vert...
L'histoire est en marche ...
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Toute facon ils n'ont pas le choix Samedi soir ! Il faut gagner face aux Verts !
Car bon avoir des louanges d'autre entraineur n'apporte pas grand chose niveau point ! La véritée est sur le terrain pas dans les coulisses
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C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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Il n'est pas obligé ... quand un joueur est TRES mauvais, il ne joue pas. Niang, Carlier voire Gameiro peuvent très bien jouer. On peut aussi jouer avec 1 attaquant et 3 milieux offensifs.
Et puis Bassila nous a montré qu'il peut jouer attaquant centre comme il l'a fait à la fin du dernier match
S'il joue c'est que ceux qui ne jouent pas sont moins bons ou pas aptes.
Et il jouera
... n'en déplaise à certainS
Et puis Bassila nous a montré qu'il peut jouer attaquant centre comme il l'a fait à la fin du dernier match
S'il joue c'est que ceux qui ne jouent pas sont moins bons ou pas aptes.
Et il jouera
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)

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