Bon, pour moi le championnat commence ce samedi...j essaye de me rassurer comme je peux...Que les choses soient claires, il faut gagner à Metz..
Quid de la blessure de Keita ?
Je pense aussi que Diane devrait debuter et faire reculer Le pen d un cran...
[05/06] 4ème J: Metz / RCS - 0/0
- fan_racing
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Voilà pour moi la composition idéale :
----------------CASSARD----------------
--LACOUR--DEVAUX--HAGUI--BOKA--
-------P.FARNERUD------KEITA---------
---DIANE--------HOSNI-------LE PEN---
-------------------PAGIS------------------
Remplaçants : Puydebois, Deroff, Johansen, Arrache, A. Farnerud
Allez Racing
J'espère qu'on rapportera les trois points
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J'espère qu'on rapportera les trois points
- Thomator
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Mais c'est vraiment des clowns ceux la!Alsacien2 a écrit :Pour montrer que je suis quelqu'un de tolérant![]()
je relance le lien que j'avais déjà mis sur ce forum et qui traine sur celui du stub en ce moment...
http://perso.wanadoo.fr/danish/chansons ... t_metz.mp3
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matt57
Joël Muller: "Nous ne sommes pas au niveau"
Tenaillé entre la nécessité de se construire et l'obligation de résultat qui accompagnera déjà , samedi, la réception de Strasbourg, le FC Metz vit dans l'incertitude. Inquiétant? Joël Muller, son entraîneur, n'élude aucune question.
Joël Muller, quel discours tenez-vous après la défaite ramenée de Saint-Etienne, et alors que votre équipe n'a pris qu'un point en trois journées ? "Ce que l'on voit sur le terrain et ce qu'indique le classement sont des élément indiscutables. J'ai revu les images de notre match à Saint-Etienne, et je constate que nous étions moins souvent hors de position que face au Mans. Seulement, nous perdons le bénéfice de notre prestation à cause de ces buts encaissés de façon ahurissante. Par exemple, mépriser la notion de marquage me semble invraisemblable.>
* Par conséquent? "Comme nous n'avons pas gagné à domicile, nous devons prendre trois points face à Strasbourg pour ne pas décrocher. C'est, hélas, le langage imposé par la réalité du classement. Ensuite, nous constatons un certain nombre de lacunes, souvent inadmissibles. Il ne faudra pas mettre quatre mois à les éliminer. Globalement, pour l'instant, nous ne sommes pas au niveau.>
* Vous parliez, samedi soir, d'une équipe ayant "besoin de se découvrir>. Ce match l'a en effet rappelé? "Nous avons vu, à Saint-Etienne, toute la différence entre une équipe au point depuis plus de six mois, et une autre qui doit rebâtir chacune de ses lignes. Il arrive que les complicités se créent très rapidement. Derrière, ce n'est pas notre cas; devant, se retrouver avec un joueur sur le flanc (Zewlakow) après seulement dix minutes ne nous a pas aidés.>
* Cette phase de découverte prend-elle plus de temps que vous ne l'imaginiez? "Un entraîneur ne maîtrise pas les capacités des joueurs à se trouver et à se comprendre, sur le terrain. Il accueille un joueur dont il connaît le profil, mais il ignore sa propension à s'adapter à la Première division française, qui n'est pas la Première division écossaise ou la Première division hongroise. Au-delà , le comportement de notre charnière centrale symbolise nos difficultés actuelles.>
"Le courage ne suffit pas>
* Vous-même découvrez cet effectif. Qu'avez-vous appris en trois semaines de compétition? "J'ai l'impression, par moments, de me retrouver à faire de la formation, à devoir mettre l'accent sur des choses simples, primaires, fondamentales. Il s'agit d'un travail analytique. L'action qui conduit au deuxième but, à l'entraînement, je l'arrête. En match, c'est impossible. Ce qui nous manque, c'est l'anticipation.>
* Le problème est donc collectif puisque, individuellement, la valeur de chacun n'est pas remise en cause... "Il est trop tôt pour le dire. Lorsque neuf joueurs reviennent dans la surface, il n'y a rien à reprocher au niveau de l'état d'esprit. Mais le courage ne suffit pas. Nous devons, à tous les niveaux, faire preuve de réflexion, d'intelligence tactique. C'est un travail qui s'impose à la fois sur l'individu et sur le collectif. Mais il est plus difficile à mener une fois la compétition entamée...>
* A titre personnel, voilà au moins une mission exaltante! "Cette situation est plus facile à vivre avec quinze ans d'expérience. Jeune entraîneur, ce travail de recherche m'aurait effrayé. Là , avec mes adjoints, nous constatons que la tâche est immense, mais elle consiste à amener à un meilleur niveau une équipe jusqu'ici ballottée. Nous pouvons donc apporter un plus à des garçons qui ont besoin d'être corrigés et qui, incontestablement, en manifestent l'envie.>
"Etre meilleurs en tout>
* Pour en revenir au match de samedi à Saint-Etienne, n'avez-vous pas le sentiment que le fait d'être rapidement mené ajouté à la lourde défaite de la première journée à Paris ont conduit votre équipe à jouer contre nature? "Il est évident qu'une équipe qui, depuis deux ans, flirte avec la relégation a tendance à se recroqueviller. Il aurait fallu percuter plus vite, plutôt que d'évoluer avec le frein à main, mais il ne faut pas oublier non plus que Saint-Etienne n'a plus encaissé le moindre but à domicile depuis quinze matches.>
* Toute l'ambiguïté de votre situation ne consiste-t-elle pas, finalement, à devoir trouver le compromis entre la nécessité de se reconstruire et l'obligation de prendre des points? "Vous ne prenez des points que si vous êtes capables de les prendre. Ça peut paraître simpliste, mais c'est la réalité. Or, seul le jeu permet de prendre des points. Notre véritable problème consiste donc à trouver l'équilibre parmi des joueurs qui apportent une plus-value technique et d'autres qui sont avant tout des bagarreurs. Si nous n'y parvenons pas rapidement, il faudra faire un choix. Et arrêtons de nous réfugier derrière telle ou telle absence: les aléas d'une saison veulent qu'un effectif n'est jamais au complet.>
* Quand vous parlez d'un choix à faire, et selon ce que vous enseigne le début de saison, n'envisagez-vous pas d'en venir à un système à cinq défenseurs? "Bien sûr, nous étudions la question. Mais n'importe quelle organisation n'évitera pas nos erreurs de marquage lorsque, à six contre trois, nous réussissons à nous faire jongler.>
* Quoi qu'il en soit, une victoire paraît donc déjà indispensable samedi face à Strasbourg? "Nous n'avons pas attendu de perdre à Saint-Etienne pour le savoir. J'ajoute qu'une victoire nous aiderait à trouver la réponse à pas mal de questions. Mais pour gagner, nous devrons être meilleurs que jusqu'ici. Meilleurs en tout. Car tout reste à bâtir."
Extrait du RL de ce jour
Tenaillé entre la nécessité de se construire et l'obligation de résultat qui accompagnera déjà , samedi, la réception de Strasbourg, le FC Metz vit dans l'incertitude. Inquiétant? Joël Muller, son entraîneur, n'élude aucune question.
Joël Muller, quel discours tenez-vous après la défaite ramenée de Saint-Etienne, et alors que votre équipe n'a pris qu'un point en trois journées ? "Ce que l'on voit sur le terrain et ce qu'indique le classement sont des élément indiscutables. J'ai revu les images de notre match à Saint-Etienne, et je constate que nous étions moins souvent hors de position que face au Mans. Seulement, nous perdons le bénéfice de notre prestation à cause de ces buts encaissés de façon ahurissante. Par exemple, mépriser la notion de marquage me semble invraisemblable.>
* Par conséquent? "Comme nous n'avons pas gagné à domicile, nous devons prendre trois points face à Strasbourg pour ne pas décrocher. C'est, hélas, le langage imposé par la réalité du classement. Ensuite, nous constatons un certain nombre de lacunes, souvent inadmissibles. Il ne faudra pas mettre quatre mois à les éliminer. Globalement, pour l'instant, nous ne sommes pas au niveau.>
* Vous parliez, samedi soir, d'une équipe ayant "besoin de se découvrir>. Ce match l'a en effet rappelé? "Nous avons vu, à Saint-Etienne, toute la différence entre une équipe au point depuis plus de six mois, et une autre qui doit rebâtir chacune de ses lignes. Il arrive que les complicités se créent très rapidement. Derrière, ce n'est pas notre cas; devant, se retrouver avec un joueur sur le flanc (Zewlakow) après seulement dix minutes ne nous a pas aidés.>
* Cette phase de découverte prend-elle plus de temps que vous ne l'imaginiez? "Un entraîneur ne maîtrise pas les capacités des joueurs à se trouver et à se comprendre, sur le terrain. Il accueille un joueur dont il connaît le profil, mais il ignore sa propension à s'adapter à la Première division française, qui n'est pas la Première division écossaise ou la Première division hongroise. Au-delà , le comportement de notre charnière centrale symbolise nos difficultés actuelles.>
"Le courage ne suffit pas>
* Vous-même découvrez cet effectif. Qu'avez-vous appris en trois semaines de compétition? "J'ai l'impression, par moments, de me retrouver à faire de la formation, à devoir mettre l'accent sur des choses simples, primaires, fondamentales. Il s'agit d'un travail analytique. L'action qui conduit au deuxième but, à l'entraînement, je l'arrête. En match, c'est impossible. Ce qui nous manque, c'est l'anticipation.>
* Le problème est donc collectif puisque, individuellement, la valeur de chacun n'est pas remise en cause... "Il est trop tôt pour le dire. Lorsque neuf joueurs reviennent dans la surface, il n'y a rien à reprocher au niveau de l'état d'esprit. Mais le courage ne suffit pas. Nous devons, à tous les niveaux, faire preuve de réflexion, d'intelligence tactique. C'est un travail qui s'impose à la fois sur l'individu et sur le collectif. Mais il est plus difficile à mener une fois la compétition entamée...>
* A titre personnel, voilà au moins une mission exaltante! "Cette situation est plus facile à vivre avec quinze ans d'expérience. Jeune entraîneur, ce travail de recherche m'aurait effrayé. Là , avec mes adjoints, nous constatons que la tâche est immense, mais elle consiste à amener à un meilleur niveau une équipe jusqu'ici ballottée. Nous pouvons donc apporter un plus à des garçons qui ont besoin d'être corrigés et qui, incontestablement, en manifestent l'envie.>
"Etre meilleurs en tout>
* Pour en revenir au match de samedi à Saint-Etienne, n'avez-vous pas le sentiment que le fait d'être rapidement mené ajouté à la lourde défaite de la première journée à Paris ont conduit votre équipe à jouer contre nature? "Il est évident qu'une équipe qui, depuis deux ans, flirte avec la relégation a tendance à se recroqueviller. Il aurait fallu percuter plus vite, plutôt que d'évoluer avec le frein à main, mais il ne faut pas oublier non plus que Saint-Etienne n'a plus encaissé le moindre but à domicile depuis quinze matches.>
* Toute l'ambiguïté de votre situation ne consiste-t-elle pas, finalement, à devoir trouver le compromis entre la nécessité de se reconstruire et l'obligation de prendre des points? "Vous ne prenez des points que si vous êtes capables de les prendre. Ça peut paraître simpliste, mais c'est la réalité. Or, seul le jeu permet de prendre des points. Notre véritable problème consiste donc à trouver l'équilibre parmi des joueurs qui apportent une plus-value technique et d'autres qui sont avant tout des bagarreurs. Si nous n'y parvenons pas rapidement, il faudra faire un choix. Et arrêtons de nous réfugier derrière telle ou telle absence: les aléas d'une saison veulent qu'un effectif n'est jamais au complet.>
* Quand vous parlez d'un choix à faire, et selon ce que vous enseigne le début de saison, n'envisagez-vous pas d'en venir à un système à cinq défenseurs? "Bien sûr, nous étudions la question. Mais n'importe quelle organisation n'évitera pas nos erreurs de marquage lorsque, à six contre trois, nous réussissons à nous faire jongler.>
* Quoi qu'il en soit, une victoire paraît donc déjà indispensable samedi face à Strasbourg? "Nous n'avons pas attendu de perdre à Saint-Etienne pour le savoir. J'ajoute qu'une victoire nous aiderait à trouver la réponse à pas mal de questions. Mais pour gagner, nous devrons être meilleurs que jusqu'ici. Meilleurs en tout. Car tout reste à bâtir."
Extrait du RL de ce jour
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Pour moi, il faudrait que cassard soit remplacé par Puydebois . . . . . . . deux bourdes, cela en fait une de tropVoilà pour moi la composition idéale :
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---DIANE--------HOSNI-------LE PEN---
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Remplaçants : Puydebois, Deroff, Johansen, Arrache, A. Farnerud
Et pour hosni rien n'est joué . . . . . . . . .
Parti comme c'est parti , on va sans doute rester !
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matt57

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