[05/06] 33ème J: Nice / RCS : 3-1
- Scuderiadu68
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en ce qui concerne les blessés,il y en a pratiquement plus!!! une premiere cette année!!!!! il y a juste gameiro qui est indisponible encore jusqua septembre sinon devaux a repris tout doucement l'entrainement et devrait etre disponible pour la reception de nantes la semaine prochaine et gmandia devrait etre du deplacement a sochaux,il reste plus que arrache dont la je ne sais pas vraiment ce que sa donne...... quelqu'un serait au courant ?
			
			
									
									
						- argueti
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L'Alsace a écrit :Loue en CFA.
Sur les cinq joueurs susceptibles de renouer avec la compétition cet après-midi (15 h, stade Muller) en CFA avec la réserve contre Feignies, un seul, en définitive, participera à cette rencontre en retard : l'Ivoirien Gnoleba-Edgard Loue (rétabli de son pépin musculaire à une cuisse). Le Malien Sidi Yaya Keita (opéré fin septembre des ligaments croisés), qui devait être aligné tout à l'heure, en a été dispensé au dernier moment après avoir ressenti hier après-midi une douleur à la hanche. « Ce n'est pas grave », rassure Jacky Duguépéroux, « juste la conséquence du travail de reprise. Avec deux ou trois jours allégés, ça va passer. » Karim Haggui (genou) a, lui, retrouvé le groupe hier après-midi. « Le staff médical a préféré que je ne recommence pas par un match où l'engagement est toujours plus grand », précise le défenseur tunisien qui avait pourtant manifesté le souhait de disputer ce match de CFA. Quant à Ulrich Le Pen, qui se remet d'une lésion à la cuisse, il a stoppé la séance d'hier après-midi à 10 minutes de la fin à cause d'une tension au mollet droit. « Ça n'a pas l'air trop grave, mais par acquis de conscience, nous lui ferons passer une échographie ce mercredi matin », indique le kiné du RCS Eric Moerckel, « la tension est venue progressivement, c'est ce qui est encourageant. » L'autre convalescent, Jean-Christophe Devaux (ischiojambier droit), est lui aussi passé par les soins hier. « Rien d'inquiétant », assure-t-il, « j'ai juste ressenti une crampe au mollet, car on reprend avec de bonnes séances physiques. L'IRM que j'ai passée lundi a montré que ma blessure à la cuisse était résorbée à 90 %. A l'origine, je devais jouer en CFA, mais par précaution, on va attendre un peu. Je devrais rejoindre le groupe ce jeudi. » Idem pour Cédric Kanté, ménagé hier et, sans doute, aujourd'hui pour une légère contracture. Enfin, Salim Arrache, écarté des terrains depuis le 3 décembre pour un claquage à répétition à la cuisse gauche, ne reprendra pas avec le groupe avant la semaine prochaine.
Nice : Abardonado et Vahirua reviennent
Absents dimanche à Bordeaux, respectivement pour une suspension et un coup sur la cuisse reçu une semaine plus tôt contre Nancy, le défenseur central Jacques Abardonado et l'attaquant Marama Vahirua ont réintégré le groupe niçois hier. Le Gym est en revanche toujours privé de son défenseur Rod Fanni, qui souffre d'une déchirure musculaire et ne jouera pas samedi (20 h) au Ray contre Strasbourg.
Hosni s'adapte
Les deux récupérateurs habituels, Loue et Keita, étant toujours en phase de reprise, le milieu relayeur égyptien évolue depuis trois matches à un poste plus reculé qui ne lui sied guère. « Je préfère jouer plus haut, avec Edgard ou Sidi derrière moi. J'en ai fait part au coach, mais il m'a dit qu'en l'absence des deux, il me voulait dans ce registre. Je m'adapte, mais j'avoue que je n'aime pas trop ce poste. Je n'y ai pas mes repères.»
L'histoire est en marche ...
						- urotsukidogi
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C'est vrai que pour Hosni on le sent un peu à  l'étroit dans ce rôle, il aime bien amener un peu au milieu d'ou ses courses ses provocations balle au pied que j'aime bien, dommage qu'il ait pas intégré une équipe performante dès le départ!!
			
			
									
									30/10/09 Ca y est le racing est en national
06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
						06/01/10 Euh c'est peut être la CFA
Mais heureusement sur FM 2010, on peut jouer de la CFA (même CFA 2, les gars on peut faire mieux!!)
Bon ça y est les conneries sont finies on est en L1!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- argueti
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DNA a écrit :Abardonado, fils du vent
Défenseur de l'OGC Nice, né à Marseille il y a près de 28 années, Jacques Abardonado est ce qu'on appelle un joueur précieux. L'homme ne l'est pas moins.
Il se prénomme Jacques, on l'appelle Pancho. Mon premier, c'est pour la Sécurité sociale et autres babioles administratives. Mon deuxième, Pancho donc, c'est son sang, ses racines. Le frère de son grand-père, qui se prénommait ainsi, jouait à l'OM et lui-même fait partie de ce monde des gens du voyage.
« Dans la famille, j'ai toujours vécu en appartement. On a eu cette chance-là de ne pas étouffer en s'enfermant, sourit-il. Certains ne peuvent pas vivre autrement que dans des caravanes. »
Pur Marseillais, du quartier de la Castellane comme « Zizou », il dit ne pas être né « dans une rose ».
Sa vie à lui, ce sont alors des parents au chômage forcé - « Quand on nous dit voleurs de poules, ça me blesse. En plus, le poulet, en ce moment, n'a plus la cote » - deux frères et une soeur.
« Il y a eu des jours difficiles, à avoir faim presque, mais mon père m'a dit quand j'étais tout gamin : toi, tu n'iras jamais à l'usine. Tu seras musicien ou footballeur. »
« Quand je gagnais 100 ou 150 francs par soirée, j'étais heureux. »
Et lui, Jacques ou Pancho Abardonado, vivra d'abord de la musique. « Je préférais ça au foot », reprend le Niçois avec amusement. « J'adorais aller aux répétitions avec mes frères aînés, j'aimais animer des bals ou des mariages. C'était ça ma vie et elle me plaisait. Je devais avoir onze ou douze ans. Quand je gagnais 100 ou 150 francs par soirée, j'étais heureux. C'était beaucoup d'argent pour nous. On jouait du flamenco. C'était la mode des Gipsy Kings. On les imitait sans avoir leur talent. Mais on se débrouillait. »
C'était juste avant l'époque où il ne fallait pas fumer devant ses parents, ne pas embrasser une fille devant eux ou amener une copine à la maison.
S'il n'est pas né dans une rose, le Niçois d'adoption a été élevé dans le respect de certaines valeurs. « Celle de la famille, pas du clan. Notre porte est ouverte à celui qui veut la franchir, ponctue Abardonado. Chez nous, on est très croyants. Je prie tous les jours, mais sans excès. Sans gri-gri. Je prie juste pour demander de l'aide. »
« J'avais touché une grosse prime. J'ai offert une Lancia diesel à mon père »
Bien sûr, il y aura le foot. A Endoume, un club de quartier de Marseille, vers l'âge de douze ans également. Juste pour le plaisir.
« Mes parents n'avaient pas d'argent. Les dirigeants du club se sont attachés à moi. Ils me payaient ma licence, mes chaussettes, mes chaussures et mon short. Quand l'OM, grâce à Jean Castaneda, est venu me chercher, j'ai pleuré et les gens d'Endoume aussi. Tout le monde était triste. Je me suis dit que le meilleur moyen de les remercier était de réussir. J'avais seize ans. »
Son père lui demande de choisir : salle de concert ou morceau de pré vert. « Il ne voulait pas que je cours deux lièvres à la fois. J'ai pris le foot. C'est comme ça, semble sourire le défenseur de l'OGC Nice. Il m'a aussi dit qu'à partir du moment où j'étais à l'OM, je n'avais plus droit aux bêtises. »
Il passera professionnel, débutera en L 1 par une victoire sur Nancy en novembre 98. « En plus de mon salaire de base, j'avais touché ma première prime. Elle était énorme, c'était l'époque Courbis. Comme je ne savais pas quoi en faire, j'ai acheté une Lancia diesel à mon père, se souvient-il avant d'ajouter avec bonne humeur. C'était sa première voiture, il la lave encore tous les jours. »
Ses parents avaient raté le premier match du fiston, ils rateront son premier but un peu plus loin. « Ils ne viennent jamais au stade de peur de s'engueuler avec leurs voisins de tribune dans le cas où ils me critiqueraient, explique avec saveur Abardonado. Mon but, c'était face au PSG en plus. »
Au lendemain de sa réussite parisienne, la famille se recomposera pour aller brûler un cierge à l'église Sainte-Marie d'Arles. On ne se refait pas chez les Abardonado, on communie toujours ensemble.
« Mon père a pris 20 kilos, ma mère 10. Ils n'ont plus de soucis »
Prêté par l'OM, il remportera comme capitaine du Lorient d'Yvon Pouliquen la Coupe de France en 2002 - « Un gitan qui soulève en premier cette coupe, c'est quelque chose » -, après avoir connu une finale de Coupe d'Europe avec le club marseillais.
« On avait affronté des mecs comme Inzaghi que j'admirais à la télé. Sur le terrain, j'avais presque envie de lui faire des passes tant j'étais heureux d'être là , de partager la même pelouse. Puis, quand j'ai été transféré de Marseille à Nice, j'ai eu droit à une super prime à la signature », reprend Pancho Abardonado.
Après la voiture, c'est une maison qui est offerte aux parents. « Ils m'ont tellement donné. J'en ai profité pour les abonner à Canal Satellite. Comme ça, ils peuvent acheter mes matches et les analyser tranquillement depuis leur canapé. Ils s'occupent de leur jardin, font la sieste. Ils n'ont plus besoin de travailler. Aujourd'hui, mon père a pris 20 kilos, ma mère en a pris 10. Ça veut simplement dire qu'ils n'ont plus de soucis. Et moi, ça me fait plaisir. »
Voilà , Jacques Abardonado est un homme heureux, un footballeur comblé. « Je sais d'où je viens. C'est dommage que certains d'entre-nous l'oublient. On gagne beaucoup d'argent, on a de belles voitures en pratiquant un loisir. Quand je suis en train de disputer un match, je ne me rends pas toujours compte de ma chance. Mais quand je prends ma voiture et que je m'arrête à un feu rouge, je vois la vraie vie. L'ouvrier qui creuse un trou ou le gamin qui te demande un euro pour nettoyer ton pare-brise, ça pourrait être moi. »
Sensible au sort des autres, il rebondit sur les grèves et manifestations sociales. « Je n'aime pas parler de politique, mais je comprends les jeunes d'aujourd'hui et leur colère. Le lundi, on te dit bonjour et le mardi, on te dit adieu. La vie, ce n'est pas ça. »
« Quand je m'arrête à un feu rouge, je vois la vraie vie »
Ainsi va Jacques ou Pancho Abardonado, footballeur aujourd'hui. « Après ? Les copains de foot, les crampons, la compétition et les moments partagés me manqueront. Alors, j'en profite à fond. J'espère le faire encore pendant encore sept ou huit ans. »
On lui dit qu'il retrouvera ensuite le groupe de ses frères aînés, « intermittents du spectacle » comme il aime le souligner.
« On en a déjà parlé, mais il paraît que je suis devenu nul en musique », éclate de rire Jacques Abardonado, gitan aux yeux bleus et aux cheveux blonds. Loin des clichés donc, mais épris du vent qui le ramène à ses origines. Jacques s'est effacé derrière Pancho. Définitivement...
Keita n'a pas rejoué
Contrairement au plan de reprise annoncé, Sidi Yaya Keita n'a pas rejoué hier après-midi avec la réserve du Racing. Ce n'est pas son genou opéré en septembre dernier (ligaments croisés) qui cause souci, mais une hanche douloureuse. Rien de grave donc. Simplement le contrecoup logique, au sortir d'une si longue convalescence, d'un travail de reprise un peu rude.
Karim Haggui, également de retour, n'a pas été convié non plus à jouer en CFA hier. Le Tunisien est en revanche candidat à un retour au sein du groupe qui se déplacera à Nice ce week-end. De même que l'Ivoirien Edgard Gnoléba Loué, qui a lui foulé hier après-midi la pelouse du stade Muller.
Jean-Christophe Devaux (ischio-jambiers) et Ulrich Le Pen (cuisse) semblent en revanche encore un peu justes pour prétendre à une apparition au stade du Ray.
RETOURS. - L'OGC Nice, qui reste sur une courte défaite à Bordeaux (1-0), récupérera deux éléments ce samedi pour la venue du Racing : le défenseur Jacques Abardonado (retour de suspension) et l'attaquant Marama Vahirua (remis d'une blessure à une cuisse).
DISTRAITS. - Les Niçois se sont distingués en encaissant un but après seulement 11 secondes de jeu dimanche dernier à Bordeaux (1-0). Mal inspiré au moment d'intervenir sur une longue ouverture de Jemmali, Sammy Traoré a permis à Denilson de marquer le 2e but le plus rapide de toute l'histoire de la Ligue 1. Le Caennais Michel Rio (1992) détient toujours le record avec un but inscrit après 8 secondes de jeu. Traoré n'oubliera pas de sitôt son passage à Bordeaux, d'où il est reparti avec 6 points de suture à l'arcade pour couronner le tout.
L'histoire est en marche ...
						- Pinon
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C'est toujours mieux que rien, ca va permettre à  Hosni de monter d'un cran ...
			
			
									
									C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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