[07/08] Les Attaquants

[enzy]

Pas plus que de dire que n'importe quel entraineur serait monté avec notre effectif de stars (d'ailleurs elles sont ou les offres pour nos supers joeurs ), ou de dire que JPP est seul responsable de la situation actuelle du club.

Et ma remarque sur Ginestet ne concerne pas uniquement la gestion de l'affaire JPP.

Alors que le club semblait avoir trouvé un semblant de sérénité avec le duo Keller-Gindorf, c'est quand même sa brouille avec Keller qui a mis le feu aux poudre.

Ensuite, il se présente comme en sauveur en reprenant le club le veille de l'intronisation officielle d'Afflelou en tant que Président, prétextant que le club devait rester aux alsaciens.

Quelques jours après avoir confirmé que Dugué serait l'entraineur du raçing en L2, sans même en informer ce dernier, il recrute JPP pour le remplacer. Vive la communication.

Derrière, il cherche ce Khirat, qui va couter un salaire au club et qui ne sert à  rien, si ce n'est à  foutre la merde.

Enfin, il dit vouloir péréniser le club en L1 alors qu'il n'en a pas les moyens, même si ce n'est pas condanable, c'est une réalité.

Je suis persuadé que Ginestet aime profédement le club et qu'il pense agir à  chaque fois dans l'intérèt du raçing, mais force est de constater qu'il traine quelques casserolles.

En conclusion, peut importe le président, l'entraineur et les joueurs, on veut tous ici un raçing qui fasse bonne figure en L1 dans les saisons à  venir.

[télésupporteur]

et elles sont où les offres pour notre brillant entraîneur

[enzy]

a l'ANPE

[Stan]

Pour répondre à  Enzy, je pense que plusieurs membres et moi y compris ont sans doute tapé trop sur JPP avant d'avoir lu sa version des faits où il s'en prend à  Khirat.

Le point sur lequel tout le monde semble être d'accord c'est l'inutilité du rôle de Khirat et même carrément du rôle néfaste qu'il a joué dans le club.

La seule erreur de Ginestet aura donc été de le mettre à  ce poste, bon ça arrive de se planter.. Aux dernières news JPP s'en prend à  Khirat et dit même qu'il n'a rien à  reprocher au président.

Je suis aussi d'avis que le président ne cherche que le bien du racing et je pense qu'il subit plus ce qui arrive au club qu'autre chose.

Je pense que ni Papin ni le président n'ont été irréprochables, mais à  l'heure d'aujourd'hui on sait encore trop peu de choses pour affirmer qu'untel est + responsable qu'un autre.

Je garde confiance en Ginestet qui m'a semblé bien tenir son rôle de président tout au long de la saison et qui ne m'avait jamais déçu.

[télésupporteur]

si on enlève les critiques aigries de papin envers khirat, que reste -t'il comme autre argument contre le rôler de khirat
si papin a su que khirat avait contacté furlan dès noêl, pourquoi n'a-t'il rien dit à  ce moment, et mis de l'ordre dans le vestiaire pro
pourquoi n'en a-t'il pas parlé au président

[Seb T.]

Je ne pense pas que Furlan était sur les tablettes depuis noël, par contre, l'idée de se séparer de JPP était déjà  d'actualité...

[télésupporteur]

chez qui

[Seb T.]

C'était déjà  dans l'idée du club de trouver une solution, pas mal de tensions en interne...

[Pinon]

Une attaque trop tendre ?

Alors que le RCS espère encore recruter deux défenseurs, son très jeune secteur offensif, muet avant-hier à  Nice (0-1) comme le samedi précédent contre Marseille (0-0), inquiète.

Un Racing qui fait un bon match, contre lequel « le sort se retourne » (dixit Yacine Abdessadki) et qui finit par perdre sur un coup de pied arrêté en toute fin de match, ça ne vous rappelle rien ? Avant-hier à  Nice, la troupe de Jean-Marc Furlan a vécu cette douloureuse expérience à  laquelle celle de Jacky Duguépéroux a si souvent été confrontée en 2005-2006. Son court échec a ravivé de bien douloureux souvenirs, même si chacun espère que la scoumoune qui s’était acharnée lors de la précédente saison de L 1 ne va pas revenir hanter la Meinau en 2007-2008.
Il n’empêche. Entre l’expulsion - logique - de Manuel Dos Santos sitôt le repos et un but venu de nulle part, concédé sur un coup franc inexistant, à  la 86e, Guillaume Lacour et ses coéquipiers n’ont pas été vernis sur la Côte d’Azur. « Pour être honnête, Strasbourg aurait mérité d’ouvrir le score », admet d’ailleurs volontiers leur bourreau, Vincent Hognon.
Malgré un malheureux point sur six après deux journées, le tableau n’est donc pas complètement noir. Abdessadki veut notamment croire que tout n’est qu’une question de temps. « Il va falloir s’armer de patience et garder nos valeurs mentales. Même à  10 contre 11, nous avons été costauds. Les Niçois ne nous ont pas beaucoup mis en danger. Ils n’ont trouvé l’ouverture que sur coup de pied arrêté. Nous n’avons eu qu’un tort : ne pas concrétiser notre première mi-temps. Le carton rouge de Manu nous a ensuite fait très mal. Mais nous ne sommes pas inquiets, car nous nous créons les occasions. Il ne nous manque que la réussite. »
L’aridité d’un chiffre n’en suscite pas moins quelque interrogation : après deux journées, le Racing attend son premier but en championnat, au sortir d’une campagne de matches amicaux guère prolifique non plus. « Nous aurions dû tuer le match en première période », stigmatise le gardien Stéphane Cassard. « Nous devons être plus "méchants" devant le but. »
« Jamais dans le rouge »

S’il nourrit des regrets sur le résultat brut, Jean-Marc Furlan s’efforce de retenir « tout ce qui est positif pour un promu. Les supporters ont pu constater que les garçons ont montré pas mal de sérénité. Ils ne se sont jamais mis dans le rouge dans la gestion du match. La méthode est construite, la maturité de l’effectif assez intéressante. L’équipe a un côté spontané qui séduit. »
À moins de trois semaines de la fin du mercato (le 31 août), le nouveau manager général appelle toujours de ses vœux l’arrivée d’un latéral droit et d’un défenseur central. En deux matches, le RCS n’a pourtant concédé qu’un but sur coup de pied arrêté. A l’autre bout du terrain, il est resté stérile. Ce dernier constat, s’il perdure ces prochains matches, est-il de nature à  faire évoluer la réflexion du staff et de la direction sur les besoins de l’été ? À voir, sachant que le compartiment offensif n’est composé que de « gamins » prometteurs, mais sans grande expérience de la L 1, à  l’exception d’un James Fanchone qui évolue du reste comme milieu offensif droit : Eric Mouloungui (23 ans, 41 matches de L 1), Ali Mathlouthi (20 ans, 2 matches), Kevin Gameiro (20 ans, 10 matches) et Wason Renteria (22 ans, 2 matches). Le président Philippe Ginestet ne cache pas que son club reste « à  l’affût d’une bonne opportunité pour un attaquant. »
Jusqu’à  preuve du contraire, marquer des buts est l’essence même du foot. Ce n’est pas Furlan, apôtre d’un jeu offensif et séduisant, qui dira le contraire.

55

55, comme le nombre de matches en Ligue 1 disputés par les quatre attaquants strasbourgeois, Wason Renteria, Ali Mathlouthi, Kevin Gameiro et Eric Mouloungui.
Et encore ce dernier en cumule-t-il 41 à  lui seul, étalés sur près de cinq ans, puisque ses débuts au sein de l’élite remontent au 29 janvier 2003 à  Sedan (Ndlr : entre son prêt de six mois à  Gueugnon et la saison de L 2 l’an passé, le Gabonais n’a, c’est vrai, pu évoluer que trois ans et demi au plus haut niveau).
Le quatuor n’a inscrit que quatre buts en première division française : 3 pour Mouloungui, 1 pour Gameiro.

[fab]

Marrant qu'on se rende compte maintenant, après 2 journées de championnat, et à  15 jours de la fin du mercato que notre attaque est jeune, inexpérimentée et qu'il manque un joueur offensif d'experience!

Alors , qu'ici ça fait quand meme depuis la fin de la saison derniere qu'une bonne partie des membres estimaient (et estiment toujours) qu'une arrivée en attaque est indispensable...