C'est pas possible de déjouer à ce point sur un match aussi important, en plus contre Nantes qui n'avait plus gagné depuis 8 matchs de championnat
Donc le top/flop:
Top:
aussi le seul à avoir mis ses coéquipiers dans le sens du but !
Flop:
Les inscriptions au forum sont rouvertes


SO a écrit :Les réactions
Philippe Ginestet (Président RC Strasbourg): « C'est une soirée difficile. L'apathie de la première période est anormale. Les joueurs ne se sont pas rebellés. A la mi-temps, je leur ai demandé à quoi servaient la victoire à Saint-Etienne et le bon match contre Lille si c'était pour gâcher tout ça ensuite. Mentalement, ça devient très compliqué. Il y a peut-être un blocage au sein du groupe. En tout cas, il faut avoir un autre état d'esprit pour se sauver. Notre calendrier est compliqué et sans un meilleur état d'esprit, nous ne ferons rien. Mentalement, il manque quelque chose, c'est certain. Aujourd'hui, nous sommes plus près de la L2 que de la L1. Mais nous n'y sommes pas encore, donc il faudra lutter. J'ai les deux scénarios en tête pour préparer l'avenir. Mais tout va tellement vite dans le foot. »
Jacky Duguépéroux (Entraîneur RC Strasbourg): « Depuis le temps que cela nous pendait au nez. C'est une grosse déception. Nous nous écroulons à l'entame de la dernière ligne droite alors que nous avions fait le plus dur en revenant à deux points de Troyes. Cette défaite et la victoire des Troyens à Metz fait mal, psychologiquement. Pourtant, je pensais que nous aurions les ressources pour revenir sur eux. Je ne m'explique pas cette entame de match et cette première mi-temps. Nous avons eu ce que nous méritions. Nous n'avons pas donné l'impression de sauver notre peau. La première période a été dans la lignée du match à Nice, malheureusement. En ne gagnant que deux matches sur dix-huit à domicile, nous ne pouvions pas espérer grand-chose. Je pense que les joueurs sont vidés, mentalement. Nous avons montré nos limites, nos lacunes et nos faiblesses durant ce match. Nous n'avons pas été conquérants dans les duels et nous avons couru après le ballon. C'est dommage de ne pas avoir pris conscience de l'enjeu. Nous n'avons pas fait les efforts nécessaires. Avec cinq points à rattraper en quatre matches, ça me paraît difficile. Mais nous n'avons pas le droit de lâcher. Quitter à échouer, autant échouer le plus près possible de la dix-septième place. En tout cas, je ne veux pas finir en roue libre. »

Ben qu'on descende, comme ca on pourra tout reprendre à zéroKeating a écrit :C'est quoi qui te rend si heureux ? Qu'on descende ou d'avoir raison ?

L'Alsace a écrit :Déjà une soirée d'adieu
Défait par Nantes (0-1) pour son avant-dernier match à la Meinau de sa saison en Ligue 1, Strasbourg est désormais à cinq points de Troyes, premier non relégable. Le maintien semble hors de portée.
Plaisant et déterminé contre Lille, fébrile et amorphe contre Nice, le Racing a bien du mal à arborer le masque conquérant d'une équipe qui cherche à arracher à tout prix le maintien en L1, hier soir à la Meinau. Il est vrai que son adversaire nantais a d'abord en tête de ne pas perdre, de ne pas se blesser, bref de ne pas trop s'exposer. Ce qui donne un début de rencontre aux confins de l'ennui, le spectateur n'étant arraché à ses bâillements que par de timides coups de tête alsaciens. Le premier, signé Alex Farnerud sur un centre d'Abou, permet à Mickaël Landreau de se chauffer les gants, au cas où (2e)… Le second est l'oeuvre de Karim Haggui sur un coup-franc d'Alex Farnerud, mais manque le cadre nantais (9e). Le troisième est le plus dangereux : Alex Farnerud se trouve à la réception d'un centre d'Abou, mais sa tentative est sortie d'une jolie claquette par le futur portier du Paris Saint-Germain (24e). Pas plus inquiétés que ça, les Canaris nantais se décident alors à sortir de leur coquille, histoire de ne pas attraper une crampe de fatigue avant leur quart de finale de Coupe de France contre Calais, mercredi. A peine ont-ils déployé leurs petites ailes qu'ils décollent : Oliech ratisse un ballon anodin devant la défense strasbourgeoise, donne en retrait pour Capoue qui ajuste une frappe pure, à ras de terre, dans le coin droit de Cassard (0-1, 29e). Punis sur la première occasion nantaise, les Strasbourgeois sont d'autant plus au fond du trou qu'un peu plus à l'Ouest de la Meinau, au stade Saint-Symphorien, le Mulhousien Gharib Amzine vient d'ouvrir le score pour Troyes, vouant à la fois Metz et le Racing à une relégation certaine.
Le sang neuf de Keita
Bien sûr, le match n'est pas terminé, la saison non plus, et la révolte alsacienne est encore possible. Mais plutôt que de sortir du bois, les Alsaciens optent pour du petit bois : ils multiplient les brutalités et leurs excès de mauvaise humeur leur vaut, outre les huées du public, de trembler sur un coup-franc de Quint qui passe de peu au-dessus de la barre transversale (40e). La Meinau ne peut que conspuer le renoncement des siens, et ajouter un cri de désarroi à l'annonce du score des Troyens en Lorraine à la mi-temps. Yves Deroff, capitaine abandonné, fait les frais du naufrage du Racing dans ces 45 premières minutes au profit de Sidi Keita, que Jacky Duguépéroux avait pourtant peur de relancer prématurément après de longs mois d'absence sur blessure. Le Malien apporte incontestablement du sang neuf à ses troupes. Le Racing retrouve des couleurs, le public ses encouragements, même si la frappe de Johansen, après une mésentente entre Diané et Alex Farnerud, est bien captée par Landreau (49e). Le Racing s'engage enfin. Une nouvelle mésentente, entre Landreau et Guillon cette fois, ne fait pourtant pas son bonheur, Alex Farnerud ne parvenant ni à récupérer le ballon, ni à abuser l'arbitre après une bousculade avec Cetto dans la surface (58e). Et pourtant, le temps presse, Troyes creusant l'écart à Metz.... et Ajaccio ouvrant le score contre Toulouse !
Pénalty oublié
Strasbourg pousse, mais les occasions restent rares. Nemeth, décidément considéré comme la solution de la toute dernière chance par Duguépéroux, entre dans la dernière demi-heure et envoie sa reprise de volée de peu au-dessus (74e). Landreau justifie son statut de 3e gardien de l'équipe de France en parant deux frappes d'Alex Farnerud (76e, 77e), avant de se trouer superbement sur un corner qui ne profite pas à Diané, dont la tête passe à côté (78e). Nantes, reclus en défense, tient d'autant mieux que Bruno Derrien omet de siffler un pénalty pour une charge de Cetto dans le dos de Diané (83e). Mais, honnêtement, le sort du Racing ne se joue pas sur cette seule occasion, la dernière des Alsaciens. A cinq points de Troyes, les Strasbourgeois ruminent depuis longtemps leur relégation en L2. Il n'y a plus que les mathématiques pour croire que la L1 est encore d'actualité, à quatre matches du terme de la saison. Car hier soir à la Meinau, tout le monde a vu un match d'adieu à l'élite.
« On s'écroule sur la fin »
Absents des débats pendant 90 minutes, les joueurs du Racing ont également brillé par leur absence en salle d'interviews hier soir. Seuls les deux entraîneurs, Jacky Duguépéroux et Serge Le Dizet, se sont présentés devant la presse. Preuve que, cette fois, au Racing, tout le monde a pris conscience que la relégation en L 2 était consommée. Voici donc la réaction des deux techniciens, en attendant celle des hommes de terrain, ce matin au décrassage. Jacky Duguépéroux : « Depuis le temps que ça nous pendait au nez, voilà . On s'écroule dans la dernière ligne droite, alors que nous avions fait le plus difficile en revenant à deux points de Troyes qui a fait ce qu'il fallait en s'imposant à Metz, qui plus est en marquant quatre buts. Je ne m'explique pas notre première mi-temps. Je n'ai pas eu le sentiment que nous voulions sauver notre peau. En fait, on a entamé cette partie comme nous avions joué la précédente à Nice. En jouant ainsi, forcément, on s'expose. L'équipe est, en plus, certainement au bout du rouleau. A force de presser les citrons, ils finissent par ne plus avoir de jus. Je ne vois pourtant aucune mauvaise volonté chez les joueurs. Aujourd'hui, nous sommes cinq points derrière Troyes. A quatre matches de la fin, ça me paraît difficile. Sans compter que grâce à sa victoire, Ajaccio est revenu. Mais quitte à échouer, autant finir la saison le plus près possible du premier non-relégable. Nous ne méritons pas de terminer à une place plus catastrophique, le public non plus d'ailleurs qui s'est encore déplacé en nombre. Mais quand on gagne deux matches sur dix-huit à domicile, je ne vois pas comment on peut se maintenir. Certains joueurs, qui entendent certaines sirènes siffler à leurs oreilles et ont sans doute du mal à leur résister, sont peut-être un peu démobilisés. Mais j'ai été joueur et je sais que pour se faire remarquer, il est toujours préférable d'aligner les bonnes prestations. Or, si j'étais recruteur et si j'avais pris place dans les tribunes ce soir, je n'aurais sans doute pas noté grand-chose. » Serge Le Dizet (entraîneur de Nantes) : « C'est un soulagement, pour l'équipe et le club, de remporter enfin un succès après une série de huit matches sans victoire. Nous avions besoin de points pour assurer définitivement le maintien. Nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions, mais nous avons su être réalistes, contrairement à notre dernier match contre Marseille. Et nous nous sommes arrachés. Nous savions que si nous ne laissions pas Strasbourg à 11 points, nous allions au devant d'un mois difficile. Résultat : nous avons fait mieux. Aujourd'hui que le maintien est acquis, nous allons pouvoir nous consacrer entièrement à la Coupe de France. C'est la flamme de notre fin de saison. »
Les Echos
TROIS ANS POUR BELLAàD Comme déjà indiqué à plusieurs reprises dans ces colonnes, le jeune défenseur du Racing Habib Bellaïd (20 ans) a paraphé hier après la rencontre son premier contrat pro. Un bail de 3 ans sur lequel joueur et club s'étaient entendus voici quelques semaines et qui récompense l'ascension de celui qui, avant la rencontre d'hier qu'il a intégralement vécue sur le banc, avait déjà disputé quatorze matches de L 1 cette saison. L'autre défenseur, Yann Schneider (20 ans), devrait l'imiter très rapidement. Les négociations avec le RCS sont en bonne voie et lui aussi devrait parapher un contrat pro jusqu'en 2009. Les pourparlers semblent également sur le point d'aboutir avec le portier de l'équipe réserve, Régis Gurtner (19 ans), doublure pendant un mois et demi de Nicolas Puydebois après la blessure de Stéphane Cassard. L'habituel portier du groupe CFA, qui jouera cet après-midi (15 h) contre Lens au stade Jean-Nicolas Muller, passera professionnel pour une saison. Diané doublement récompensé. L'attaquant strasbourgeois Amara Diané a reçu deux récompenses hier avant le coup d'envoi : le trophée du meilleur buteur de L1 en mars, décerné par la Ligue de Football Professionnel et notre confrère « Le Parisien/Aujourd'hui en France », et celui du meilleur joueur du mois de mars attribué par les internautes du site officiel du Racing.
DNA a écrit :Qui croit encore au miracle ?
Battu par Nantes, relégué à 5 points de Troyes avec un goal-average négatif (-3) sur les Aubois, le Racing a sans doute dit au revoir à la L1. Un beau gâchis.
450 minutes pour un sauvetage ou un naufrage. Le compte à rebours était désespérément limpide pour le Racing et ses trois compagnons de la voiture balai à l'entame de cette 34e journée. Et Serge Le Dizet redoutait une entrée en matière plutôt agitée.
« On s'attend à une forte mobilisation autour de ce match, sûrement même de la tension »
« Strasbourg est une équipe qui a de la qualité. Elle a bousculé Lille comme peu ont réussi à le faire depuis le début de la saison. Mais elle a aussi des lacunes dans les zones de vérité, que ce soit offensivement ou défensivement, rappelait l'entraîneur nantais avant le coup d'envoi. Les Alsaciens n'ont plus la fatigue de la Coupe d'Europe, où ils ont fait de bonnes choses. Mais c'était peut-être trop pour le Racing qui affiche quand même de la qualité mentale. On s'attend à une forte mobilisation autour de ce match, sûrement même de la tension »
Un sentiment partagé par le défenseur Loïc Guillon : « On se prépare au même match qu'à Metz (1-4) face à une équipe qui joue son va-tout et qui va nous rentrer dedans. » Et c'est Franck Signorino, qui enfonçait le clou : « Ils vont se jeter à l'abordage, car ils n'ont plus de joker. A nous d'être solides pour faire valoir notre jeu. »
Pas de rythme, pas de liant et aucun sentiment de révolte
Heureusement que les Nantais étaient là pour resituer l'enjeu de ce match « à la vie, à la mort », car franchement le spectacle fourni en première mi-temps par le Racing laissait à penser qu'il s'agissait davantage d'un jubilé... Celui sans doute organisé en guise d'au-revoir à la L1. Et sur ce qu'elle a montré ou plutôt oublié de montrer dans une Meinau pourtant prompte à s'enflammer (quelle chance d'avoir un tel kop !) cette équipe strasbourgeoise n'a évidemment plus rien à y faire...
Pas de rythme, pas de liant, et aucun sentiment de révolte après l'ouverture du score signée Capoue, sur une frappe fuyante. Hier soir, c'était un Racing bas de gamme endormi par le football chloroformé d'un FC Nantes-Atlantique qui n'a pas eu à trop transpirer, ni à forcer son talent pour envoyer son adversaire dans les cordes.
« Depuis le temps qu'on est à la limite, ça nous pendait au nez »
Certes, l'entrée en jeu de Sidi Keita, de retour sur les terrains après six mois d'absence, redonna un peu de muscle et de peps au milieu de terrain, mais les Strasbourgeois ne trouvèrent jamais la faille et ne mirent jamais réellement les « Canaris » nantais en danger.
« Depuis le temps qu'on est à la limite, ça nous pendait au nez. C'est une grosse déception, déplorait Jacky Duguépéroux. On s'écroule dans la dernière ligne droite alors qu'on était revenu à deux points de Troyes. On a ce qu'on mérite au vu du jeu fourni, notamment cette première mi-temps où on a déjoué comme à Nice. De toute façon, ce n'est pas en gagnant 2 matches sur 17 à domicile qu'on peut se maintenir. »
A une heure à vol d'oiseau de la Meinau, le stade St-Symphorien pouvait lui aussi écraser une larme de dépit après la défaite messine face à Troyes (2-4). Une sale soirée qui condamne vraisemblablement Lorrains et Alsaciens à la relégation.
Avec cinq points de retard sur les Aubois et un goal-average négatif (-3) le Racing semble condamné. Avec le piètre visage qu'il a montré hier soir, ça ne nous ne fait même pas mal au coeur...
En trop petit caractère...
Parce qu'il a manqué de caractère, le Racing n'a jamais été en mesure d'inquiéter le FC Nantes-Atlantique. Dites, les garçons, vous saviez qu'en cas de victoire, tout espoir de maintien était encore possible ?
CASSARD (). - Le gardien strasbourgeoise n'a rien eu à faire au cours des 45 premières minutes s'inclinant sur cette frappe fuyante et déviée de Capoue. Même scénario après la pause. Une soirée frustrante.
DEROFF (). - Fébrile, perdant trop vite le ballon et commettant des fautes inhabituelles, il a été hors sujet face à son ancien club. Remplacé par Keita à la 46e qui a apporté du tonus dans l'entrejeu, mais qui n'a pu inverser réellement la tendance.
HAGGUI (). - Forte tête, on le sait depuis longtemps, le défenseur tunisien aurait pu ouvrir le score à la 7e sur une « feuille morte » de Farnerud, combinaison travaillée vendredi à huis clos après l'entraînement. Mais il s'est laissé berner par Oliech, passeur décisif pour Capoue.
KANTE (). - Souvent le geste juste comme ce contre sur cette frappe du 0-2 délivrée par Oliech. Il s'est évertué à colmater les brèches. Il a lui aussi manqué de répondant sur le but nantais, alors que la défense strasbourgeoise était en surnombre à la retombée de la balle.
ABOU (). - S'est un peu repris après sa sortie manquée à Nice, mais sans donner l'impression d'être vraiment à son affaire. Remplacé par Nemeth à la 67e qui a décoché, cinq minutes après son entrée en jeu, une reprise d'instinct. Mais il n'a pas réédité son exploit du Stade de France.
BOKA (). - A essayé de profiter d'une certaine liberté d'action dans le couloir gauche. Quelques centres bien sentis et des incursions dangereuses dans le camp nantais. Même s'il a eu tendance à ne pas assez desserrer le frein à main.
HOSNI (). - L'Egyptien n'affectionne pas particulièrement son nouveau poste. Il a paru tantôt emprunté, tantôt plus conquérant, sans toujours faire les bons choix dans le dernier geste. Remplacé par Pontus Farnerud à la 74e qui a tenté, mais sans plus de réussite.
ABDESSADKI (). - A bien essayé de remettre de l'ordre dans la maison bleue comme son tempérament l'y conduit souvent lorsque le feu couve. Mais lui non plus n'a pas eu son rendement habituel.
JOHANSEN (). - Lui aussi a joué un ton en dessous de ses dernières sorties ne pesant pas suffisamment sur les débats. Comme ce manque d'inspiration à la 80e sur un ballon pourtant bien exploitable...
DIANE (). - Double contact et gri-gri d'entrée pour faire apprécier sa finesse technique. Mais hier soir, c'est surtout de caractère dont il aurait fallu faire preuve...
A. FARNERUD (). - Sans une magnifique envolée de Landreau, son coup de tête de la 24e aurait fait mouche. A su distiller quelques bons ballons qui n'ont pas toujours trouvé preneurs. Une fois n'est pas coutume, il a été l'un des moins décevants en tout cas.

Strasbourg 0-1 Nantes : Le butKCB a écrit :Sans commentaires
Il n'y aura pas de compte rendu du match de ce soir sur notre site. En effet, les joueurs ont, comme à Nice, triché et offert une piètre prestation à un public qui avait pourtant répondu présent et qui a été trahi. Incapables de se créer la moindre occasion et de faire preuve du moindre esprit de fierté et de combativité, ils ont condamné toute une région à une descente pour plusieurs années au purgatoire (la remontée immédiate serait miraculeuse compte tenu des mouvements qui vont marquer l'effectif cet été). Eux de leur côté, doivent déjà consulter les différentes propositions de contrats d'autres clubs pour la saison prochaine. L'esprit serein, sans doute, en se disant qu'ils méritent mieux que Strasbourg........"Les recruteurs présents ont du se rendre compte en première mi temps qu'il n'y avait pas grand chose à recruter" disait Jacky Duguépéroux après le mach.....Une phrase saignante, mais qui ne nous rassure pas. Ce soir il ne nous reste plus que nos yeux pour pleurer et notre imagination pour préparer notre réponse (qui sera aussi saignante) à ce camouflet sportif.....

désolé de te contredire, mais après une descente, on recommence deux fois à zéroPinon a écrit :Ben qu'on descende, comme ca on pourra tout reprendre à zéroKeating a écrit :C'est quoi qui te rend si heureux ? Qu'on descende ou d'avoir raison ?