
qui va signer

avec quelles délégations

et si c'était annulé

urotsukidogi a écrit :Rembourser quoi? Il a vendu 15% de ses parts, il n'a rien à rembourser, ils sont actionaires, c'est une vente.Phapha a écrit :Tu penses qu'il ne devra pas rembourser Carousel ? voire que les nouveaux actionnaires majoritaires n'auront pas à rembourser directement le million et demi à Carousel ?
Il a fait venir Dayan et le recruteur quand ça sentait déjà mauvais avec la DNCG. Je te rappelle qu'il voulait virer Fournier. Et que penser des Isenegger, Cornélie, Seck et autres ? Des gens compétents, présents, qui ont fait leurs preuves dans le monde du foot ?silex57 a écrit :Ben justement je trouve que les personnes qu'il a nommé avait l'avantage assez rare dans la récente histoire du Racing de connaître quelque chose au monde du foot.Phapha a écrit :Mais pas pour assurer derrière.
Quant à mettre des gens aux postes importants, d'accord bien sûr, mais des gens compétents, qui vont s'impliquer, que tu nommes à ton arrivée avec des missions claires et en leur fixant une direction à plus ou moins long terme. Tout ce qu'on n'a pas eu avec ce gus.
Maintenant la mission claire c'est pas forcèment en 15 jours que tu peux la définir. Bref comme déjà dit on lui a pas laissé sa chance et il a tout fait pour se tirer une balle dans le pied. Reste que la solution locale doit être mise sur le même niveau de critiques et là je suis pas convaincu que ça soit mirobolant ...
DNA a écrit :Déjà à contretemps
On a espéré l'accalmie, mais le Racing reste soumis aux luttes d'influence en coulisses. Dès le début des négociations, les deux parties rassemblées autour de la table se heurtent déjà à des sujets de discorde...
Ils ont eu tendance à se claquer la bise, à se tomber dans les bras les uns les autres, à toper dans les mains une fois que le succès strasbourgeois s'est dessiné, vendredi contre Ajaccio.
Néanmoins, au-delà des apparences, Alain Fontenla et ses copains d'un côté, Henri Ancel et les potentiels investisseurs et actionnaires de l'autre, ne sont pas (encore ?) sur la même longueur d'onde.
Une solution s'est pourtant esquissée à travers un tour de table entamé mercredi à Paris. D'ici au 17 février, date retenue pour la tenue de l'assemblée générale du Racing, les locaux doivent prendre la majorité du club, à hauteur de 51%. Les actuels propriétaires, organisés autour d'Alain Fontenla, ont même transmis une première ébauche de document officiel, « un projet de protocole » pour reprendre l'intitulé retenu.
« Un peu moins d'une dizaine de points qui ne sont pas acceptables »
Le document a été envoyé en pièce jointe à Henri Ancel vendredi après-midi. Il ne se révèle pas satisfaisant, aux yeux du spécialiste en levée de fonds mandaté par la Mairie pour donner une tournure un peu moins nébuleuse et plus locale à la gestion du Racing.
« Il y a encore plein de points à revoir, a expliqué Ancel, hier. On peut même considérer qu'il y en a un peu moins d'une dizaine qui ne sont pas acceptables. Il y a des clauses qui, à nos yeux, ne sont même pas négociables. »
La question du timing révèle également les divergences de vues. En guise de préalable, les locaux exigent un audit qu'Alain Fontenla, Jafar Hilali, a priori le rédacteur du projet, et consorts, écarteraient au regard du programme envisagé.
« Cela me semble normal de se renseigner sur une affaire dans laquelle on peut être amené à investir plus de quatre millions d'euros, remarque Ancel. Je prendrai le temps qu'il faudra, car il faut faire preuve de sérieux. »
En filigrane, l'envie de l'équipe aujourd'hui aux affaires de procéder selon un rythme soutenu pourrait être l'expression d'un penchant tout relatif à vouloir partager le pouvoir. En gros, les actuels propriétaires, qui ont acheté le Racing pour 1,6 millions d'euros avant d'immobiliser 3 millions pour en assurer le fonctionnement jusqu'en juin, ne seraient plus si convaincus de lâcher la majorité.
Un membre du staff technique a eu cette boutade, hier : « Finalement, cela ne contribue pas à éclaircir la situation, puisqu'on commence à se relancer (ndlr : avec la victoire face à Ajaccio), et que cela offre des possibilités pour la fin de saison ». Voir le podium à neuf points et des rêves de remontée resurgir fait visiblement hésiter.
«Comme s'ils restaient aux affaires... seuls »
« Si on exprime des réticences et des volontés d'y voir plus clair, ils vont nous faire incomber l'échec d'un rapprochement », indique l'un des investisseurs locaux.
« A priori, ils se comportent comme s'ils restaient aux affaires... seuls », témoigne une source interne au club. Dans le camp de Fontenla, la possibilité de promouvoir Ralph Isenegger, homme qui cristallise toute la défaillance des Alsaciens, au poste de président aurait même été évoquée.
L'idée d'une union sacrée n'aurait donc été qu'un leurre, à moins qu'elle ne soit finalement concrétisée à la faveur d'une paix des braves. La vérité du jour n'a jamais semblé aussi éloignée que celle de la veille, au Racing.
L'Alsace a écrit :Ça discute tous azimuts
Entre le mercato d’hiver qui s’achève demain à minuit et la cession du club aux repreneurs alsaciens (partielle, mais majoritaire), le RCS, qui respire mieux en Ligue 2 après sa 5 e victoire d’affilée à domicile contre Ajaccio vendredi (2-0), se prépare à quelques journées animées. Encore…
Henri Ancel a décidé de s’accorder un week-end de repos avant de reprendre les négociations sur la vente du Racing avec le tandem Alain Fontenla – Jafar Hilali (président de Carousel Finance, nouvel actionnaire minoritaire de Racing Investissements, la holding de tutelle du RCS). Mais le médiateur nommé par la Ville de Strasbourg, qui espère formaliser l’accord de principe intervenu mercredi soir entre les deux parties (1), n’en a pas moins empoigné son téléphone tôt hier matin. Il souhaitait donner quelques précisions à une information que Hervé Seck, nouveau directeur de la communication du RCS, avait fait passer la veille aux médias lors de Strasbourg – Ajaccio.
« Contrairement à ce qui a été dit, je n’ai pas reçu de protocole d’accord signé d’Alain Fontenla pour la vente, mais un mail expédié vendredi après-midi par Jafar Hilali contenant – je cite – un document non contractuel pour les besoins de la discussion. Une feuille de route en fait », indique le spécialiste en levée de fonds. « C’est une procédure normale. Mais le document que je suis chargé d’étudier contient certaines clauses inacceptables pour les repreneurs alsaciens. Je ne les détaillerai pas, parce qu’elles sont placées sous le sceau de la confidentialité. Mais aujourd’hui, nous sommes toujours loin d’un accord, ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en aura pas. »
A ce titre, la présence de Roland Ries, le maire de Strasbourg, avant-hier dans les tribunes de la Meinau est significative. Mais sûrement pas d’un soutien sans faille à Alain Fontenla aux côtés duquel il a assisté à la rencontre.
Le premier magistrat de Strasbourg réapparaît au stade le jour où les repreneurs alsaciens, qu’il a publiquement soutenus ces dernières semaines, sont susceptibles de reprendre la main. Ce ne saurait être anodin et on peut légitimement penser que si les discussions venaient à achopper dans les prochains jours, la mairie saurait remettre un coup de pression. Pression que – dit-on dans le milieu du foot – elle n’a jamais relâchée avec le soutien de la Ligue de Football Professionnel et de la FFF, candidature strasbourgeoise à l’accueil de l’Euro 2016 oblige.
Sans entrer dans ces considérations, Henri Ancel reste néanmoins ferme sur sa position. « Pas question de se précipiter et de signer la première esquisse de protocole, surtout si elle s’accompagne de clauses inacceptables en l’état. Nous devons prendre le temps de la réflexion pour caler parfaitement tous les détails du dossier de cession. » Le tout est de savoir si les deux parties trouveront un terrain d’entente avant la nouvelle AG de la SASP (2) le 17 février. Personne ne peut jurer de rien. A contrario, tout le monde se souvient que l’accord de principe intervenu mercredi semblait relever de l’utopie seulement cinq jours plus tôt. La partie de poker un brin menteur, qui a succédé au bras de fer des semaines précédentes, n’est pas finie. Qui, des protagonistes, aura les nerfs les plus solides ?
Stéphane Godin
Ce lapsus est exceptionnel !!!DNA a écrit :Dans le camp de Fontenla, la possibilité de promouvoir Ralph Isenegger, homme qui cristallise toute la défaillance des Alsaciens, au poste de président aurait même été évoquée.