[08/09] Le Fil Rouge

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Its_me
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par Its_me »

argueti a écrit :Et le public de Marseille qui a signé la moitié des bleus
Tu veux dire "qui a sifflé" ?
"Il n'est pas concevable que Strasbourg, capitale européenne, n'accueille pas l'Euro-2016" (Roland Ries, Jacques Bigot, juillet 2009)
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argueti
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par argueti »

Oui :oops:
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :En camp retranché

Le report du match Strasbourg - Ajaccio à  ce dimanche (17 h) n'est pas la seule conséquence du sommet de l'OTAN. La Meinau restera close vendredi et samedi. Sauf aux joueurs et au staff.

Les premières forces de l'ordre ont débarqué hier matin à  la Meinau. Quatre motards venus faire une tournée d'inspection, avant le branle-bas de combat décrété à  Strasbourg vendredi et samedi pour le sommet de l'OTAN ? Pas du tout. « Ce sont des CRS, certes réquisitionnés pour l'OTAN, mais qui étaient juste venus faire une photo avec moi et me faire signer des autographes », sourit l'entraîneur du Racing, Jean-Marc Furlan, qui, en fin de matinée, s'est prêté de bonne grâce à  l'exercice. « Deux viennent du Sud-Ouest, un autre du Midi Pyrénées et le dernier du Sud-Est (1) . Ils sont passionnés de foot et voulaient faire une surprise à  un de leurs potes de Toulouse. » L'anecdote pourrait prêter à  sourire. Mais elle ne masque pas les conséquences - les nuisances ? - auxquelles devront faire face les professionnels du Racing en fin de semaine. La première d'entre elles est sportive. La venue d'Ajaccio, initialement prévue vendredi, a été repoussée à  ce dimanche (17 h) à  la Meinau « On joue encore un match décalé. C'est la 12e fois cette saison, la première un dimanche. Ça perturbe toute notre semaine de travail, mais nous nous adaptons. Heureusement que nous sommes dans une bonne spirale sur le plan sportif, parce qu'honnêtement, ça gonfle. Mais nous sommes de petites gens au regard des enjeux d'un tel sommet », râle quelque peu un Furlan qui s'efforce de faire contre mauvaise fortune bon cÅ“ur.

RTT pour le personnel

Vendredi et samedi, les portes de la Meinau resteront closes. Deux agents de sécurité, dont un accompagné d'un chien, en réguleront l'accès. Les forces de police devraient elles aussi patrouiller dans le secteur. Histoire d'éviter que l'enceinte ne soit investie par les militants altermondialistes, regroupés dans le quartier voisin de la Ganzau. Le personnel administratif du club a été prié de poser une RTT et restera à  la maison vendredi. Le traditionnel point-presse de veille de match se déroulera dès jeudi midi, à … trois jours de la rencontre. Les joueurs, eux, viendront s'entraîner normalement. Ou presque. Le staff a abandonné l'idée, évoquée voici une quinzaine, de quitter Strasbourg. « Tous les hôtels à  60 km à  la ronde étaient complets », indique le coach, « Nous aurions pu partir carrément plus loin, mais ça m'embêtait de priver les joueurs de leurs familles pendant deux jours alors que nous avions déjà  passé deux jours en stage d'oxygénation au Grau-du-Roi après notre match à  Nîmes (les 17 et 18 mars). Nous y avons renoncé, même si au départ, je souhaitais éviter aux gars des soucis de circulation. Car je crains que sur ces deux jours, deux ou trois manquent à  l'appel à  l'entraînement. Ce qui n'est pas le meilleur moyen de se préparer. » Programmées sur les terrains annexes, exclus du périmètre fermé de la Meinau, les séances de vendredi et samedi pourraient être transférées sur le terrain d'honneur en cas de troubles. « On entend ne pas changer grand-chose à  nos habitudes », justifie le coordinateur sportif Ferhat Khirat, « sauf si ça devient trop chaud. » Les Bleus en sont juste à  espérer que l'état de siège se prolongera dimanche devant le but d'un AC Ajaccio invaincu en L 2 depuis sept journées.

Covoiturage pour certains joueurs ?

Les Racingmen ont d'ores et déjà  anticipé la fermeture des autoroutes vendredi et samedi autour de Strasbourg. Loïc Damour, le seul à  habiter en pleine zone rouge, au cÅ“ur de la capitale européenne, a dû se faire délivrer un laissez-passer. Zoltan Szelesi et Boubacar Kébé, qui résident à  la Robertsau, devraient pouvoir contourner la ville par l'Est. Pour Franck Dja Djedje et Harlington Shereni, qui vivent au Nord de l'agglomération, la question est plus délicate. Ferhat Khirat, établi à  Hoerdt, envisage une solution : le covoiturage. « Je vais proposer à  Harli et Franck de ne prendre qu'une voiture. Nous ferons le détour nécessaire pour arriver sans encombre. Nous partirons juste un peu plus tôt, par précaution. Heureusement, sept ou huit joueurs vivent à  Illkirch. Ils ne devraient donc pas être ennuyés pour rejoindre la Meinau. »

(1) Le coach du RCS est natif de Sainte-Foy-la-Grande et est un pur Girondin.

Stéphane Godin
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silex57
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par silex57 »

ça paraît normal que les autorités voient d'un mauvais oeil l'arrivée de plein de corses en plein milieu d'un sommet de l'OTAN :lol:
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argueti
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par argueti »

Echos

Sorti dimanche contre Ajaccio sur une blessure à  la cheville droite, Yassine Bezzaz n'en sait guère plus ce matin. Hier, l'international algérien est allé à  Haguenau passer un scanner qui laisse perplexe le médecin du Racing François Piétra. La cheville touchée est celle dont le milieu gauche a été opéré le 18 novembre. « La vis qui lui a été posée à  l'époque n'a pas bougé », assure le toubib du club, « mais il y a quelque chose de pas net au niveau du trait de fracture. Pour l'instant, impossible d'en dire plus. Nous avons besoin d'informations complémentaires. Yassine passera une IRM mercredi matin et je consulterai ensuite le professeur Jean-Henri Jaeger pour lui demander son avis. Nous avons encore besoin de deux à  trois jours pour clarifier les choses. » Grégory Paisley (genou douloureux) devrait reprendre l'entraînement demain. Emil Gargorov, écarté des terrains depuis sa blessure au quadriceps le 6 mars, il pourrait être opérationnel pour le déplacement à  Tours le 17 avril.
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :La force est avec eux

A quatre journées de la fin, le RCS a repris la main et la 2 e place en s'imposant vendredi à  Guingamp (2-1) et en profitant ainsi à  fond des faux pas de Boulogne et Metz. Un succès qui change tout, taillé à  la force du mental.

Le poncif est plus qu'éculé, resservi à  toutes les sauces, au gré des intérêts des uns et des autres : en football, tout peut aller très vite. Lundi dernier, au sortir du nul à  la Meinau dans le derby contre Metz (0-0), les doutes assaillaient l'environnement d'un Racing qui n'avait que partiellement rompu la spirale négative née de deux échecs à  Lens (4-1) et Tours (2-0). Le vendredi précédent, Boulogne, qu'on disait moribond un mois et demi plus tôt, avait enchaîné un 6 e succès consécutif – série record cette saison - et s'était installé dans le fauteuil de dauphin. Leader à  l'aube de la 32 e journée, le club strasbourgeois venait, lui, de descendre du podium et de céder huit points en trois rencontres à  son homonyme lensois que tout le monde annonçait cuit avant le choc des deux Racing le 13 avril à  Bollaert. Comme quoi, en football… On connaît la suite. Mais en un tour de cartes vendredi à  Guingamp, le RCS a ramassé un pli peut-être décisif. Lui dont le calendrier de fin de saison s'annonçait indigeste (Ndlr : il l'est, avec 4 points pris lors des 4 dernières journées) a récupéré quelques atouts maîtres. Le principal : ses deux points d'avance sur des Boulonnais à  leur tour éjectés du podium (4 es) et dont le programme apparaît désormais comme le plus ardu des prétendants à  l'accession (déplacements à  Tours et Lens entrecoupés de la réception de Strasbourg lors des trois prochaines journées). Alors que le RC Lens file tout droit vers la L 1 (1), le RCS a l'occasion de s'en rapprocher en dominant Amiens ce vendredi à  la Meinau. Surtout si Boulogne, en déplacement à  Tours où personne ou presque ne s'amuse (8 victoires et 3 nuls sur les 11 dernières journées), et Montpellier, qui se rendra le mardi 12 chez un En Avant Guingamp encore fatigué par sa finale de Coupe de France contre Rennes (ce samedi au Stade de France), venaient à  lâcher du lest.

Shereni : « On vit comme une famille »

Toujours est-il qu'en deux résultats (victoire à  l'extérieur du Racing à  Guingamp 2-1 et défaite à  domicile de Boulogne contre Ajaccio 0-1), le vent a tourné. Mais ce zef est si capricieux que même tout près du port, personne ne peut se croire à  l'abri d'autres traîtresses rafales. Dans ce sprint final échevelé où Tours, leader sur les 11 derniers matches (27 points, devant Boulogne – 21 – et Strasbourg – 20), a l'avantage de recevoir deux concurrents directs (Boulogne et Montpellier) quand Strasbourg et Boulogne doivent se rendre chez deux « gros » (voir tableau), les Bleus d'Alsace disposent, selon eux, de deux arguments précieux : une conviction inébranlable et une solidarité non feinte. « Même au plus fort de notre mauvaise passe de l'hiver, nous n'avons jamais pensé que nous serions loin du trio de tête en fin de saison », rappelle Harlington Shereni. « Car notre effectif est solide physiquement et moralement. Son mental fait sa force. En plus, nous avons vraiment un bon groupe. Pour avoir pas mal bourlingué en L 2, je sais de quoi je parle. Sur le terrain, chacun se bat pour l'autre. Et en dehors, nous vivons comme une famille. J'espère que cet état d'esprit va nous emmener loin. » Au bout, de préférence…

Stéphane Godin
DNA a écrit :Un joli mois de mai ?

Revenu à  la deuxième place de Ligue 2 après sa victoire acquise vendredi à  Guingamp (1-2), le Racing aborde le dernier mois de compétition en position de force. En mai, fais ce qu'il te plaît, dit le dicton. Les hommes de Furlan peuvent s'en inspirer, tout en évitant de retomber dans de fâcheux travers.

Tout va décidément très vite dans le petit monde du ballon rond. Placé dos au mur au soir du match nul contre le voisin messin (0-0) lundi dernier, le Racing a enjambé l'obstacle guingampais avec légèreté et souplesse. Soit tout le contraire de Boulogne, Metz et Tours, qui sont tombés dans le gros panneau, respectivement contre Ajaccio (0-1), Nîmes (0-0) et à  Amiens (0-0). Seul Montpellier, victorieux dans les arrêts de jeu aux dépens d'Angers (1-0), n'a pas cédé de terrain aux Strasbourgeois.

« Ce groupe a une vraie force intérieure »

« Il faudra être capable de gagner des matches, voilà  tout », expliquait Jean-Marc Furlan à  quelques heures du voyage en Bretagne, quand il s'était agi de dire ce qui allait faire la différence entre les concurrents directs à  la montée. Frappée du sceau du bon sens, la sentence n'en prend que plus de relief à  la lecture du classement. Quatrième lundi dernier, le Racing a gagné en ce 1er mai deux places qui changent tout. Lacour et les siens ont désormais quatre journées devant eux pour consolider leur position sur le podium et décourager les autres prétendants. Il faudra aussi se poser les bonnes questions d'ici à  la fin du mois pour que le printemps en Alsace soit définitivement radieux.

QUELLES CERTITUDES ? - Jean-Marc Furlan en est intimement persuadé « depuis le premier jour d'entraînement », comme il le répète régulièrement. Son équipe est taillée pour remonter en Ligue 1. « Le président, le staff et moi-même, nous ne sommes que des leviers, explique le technicien alsacien. Ce groupe a une vraie force intérieure. Il a décidé qu'il allait terminer la saison dans les trois premiers. Il le fera. »

« Seuls les gars ont décidé qu'il en sera autrement »

Selon le coach, les ressources mentales développées par ses hommes combleraient bien des lacunes. « Ce n'est pas forcément bon à  dire, mais sur le papier, mon équipe pourrait fort bien terminer cinquième ou sixième sans qu'elle n'ait à  nourrir un sentiment de honte, ajoute-t-il. Nous n'avons pas autant de qualités individuelles que des équipes comme Lens ou même Guingamp. Seuls les gars ont décidé qu'il en sera autrement. Il y a une vraie unité collective ». Jusque-là , les Strasbourgeois n'ont, il est vrai, jamais abdiqué. Ils se sont toujours relevés des mauvaises passes, que ce soit en février ou encore après le double échec récent, à  Lens et à  Tours. En outre, Furlan assure depuis des mois qu'il a préparé les siens à  être très performants dans la dernière ligne droite. « Pour réaliser un bon championnat, il faut être bon au début et à  la fin », ne cesse-t-il de répéter. Le retour de blessure de Gargorov, les rentrées de Cohade et de Shereni, mais aussi la révélation des minots, que ce soit Bah sur le côté gauche ou Ledy en pointe, étoffent la palette des possibilités dans l'emballage final.

« Pas d'écueils particuliers »

QUELS ECUEILS EVITER ? - Au coeur de l'hiver, il aura beaucoup été question d'un « environnement défavorable », aux dires du coach. Les sifflets de la Meinau, la pression présidentielle et des médias auraient ainsi « coûté trois ou quatre points » à  son équipe, alors en proie au doute. Aujourd'hui, le climat est nettement plus serein, même si une inévitable bordée de sifflets est venue sanctionner le match nul contre Metz. « Il n'y a pas d'écueils particuliers à  craindre, si ce ne sont les éléments que l'on ne peut pas maîtriser, à  savoir les blessures des cadres, comme on l'a vécu avec Othon, Pelé, Marcos, Bezzaz ou Gargorov, un arbitrage défavorable ou une soirée "sans" », avance Furlan. Les derniers exemples, venus de Metz ou de Boulogne, doivent ainsi inciter à  la prudence. Car il ne s'agirait pas de reproduire, vendredi prochain (20h30) à  la Meinau, le même scénario contre Amiens. « C'est un match à  gagner, conclut l'entraîneur. Si on y parvient, on sera bien ».

« C'est un chantier énorme qui attend le club »

QUEL AVENIR ? - En partant du principe que le Racing validera avant la fin du mois son billet pour l'élite, reste à  savoir quel sera son visage la saison prochaine. « C'est un chantier énorme qui attend le club », reconnaît Furlan. Force est de constater que sur l'effectif actuel - fort de 31 pros -, rares sont ceux qui ont le profil Ligue 1. « En forçant le trait, je dirai même que nous avons une équipe de jeunes merveilleuse pour la Ligue 2, poursuit le coach. En remontant, le Racing prend un risque colossal. Mais la question n'est pas là . Mon challenge est unique, c'est celui de la remontée. » A l'heure actuelle, la cellule recrutement est en quête de cinq à  six titulaires en puissance capables d'épauler les Cohade, Gargorov, Bah, Lacour ou Jean-Alain Fanchone, censés être les piliers à  l'étage supérieur. On notera aussi que parmi les joueurs appelés par Furlan, seuls deux sont en fin de contrat : James Fanchone et Régis Gurtner.

« On parlera d'avenir le jour où le sort sera scellé »

QUEL ENTRAINEUR ? - Contractuellement, Jean-Marc Furlan - ainsi que son adjoint Noureddine Bouachera - sont encore liés au Racing jusqu'en juin 2010. En février, Philippe Ginestet a fait savoir que le staff serait uniquement maintenu en cas de montée.
D'aucuns pensent que le Girondin quittera Strasbourg quoi qu'il arrive le 29 mai prochain. « On parlera d'avenir le jour où le sort de l'équipe sera définitivement scellé, précise Furlan. Je ne me projette pas au-delà  de la fin de saison. Vous savez, cela fait vingt-quatre mois que j'entends dire : "Furlan, il doit partir"... »

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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par Stan »

JMF a écrit :"Vous savez, cela fait vingt-quatre mois que j'entends dire : "Furlan, il doit partir"
En fait t'as raison FM, il te lit bien tout les soirs. :lol:
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par baskath »

Si jamais nous montons alors que Sochaux descend, ce serait pas mal de s'intéresser à  leurs attaquants : Erding, Sverkos ou Boudabouz, ça nous ferait pas de mal, non ?
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argueti
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par argueti »

Erding c'est soit disant ... 8M d'€ ...
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Re: [08/09] Le Fil Rouge

Message par silex57 »

Je prends Sverkos sans problème, presque plus qu'Erding d'ailleurs !
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