
Jean-Marc Furlan
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Re: Jean-Marc Furlan
tu oublies le nombre de blessés 

- FM17
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Re: Jean-Marc Furlan
C'est toujours plus simple d'aller prendre la place des trois premiers que de se batte pour la conserver, effet psychologique.Hans a écrit :Jean Marc Furlan sur France Bleu Alsace dans l'Hebdo Sport au sujet de la 5e place du Racing : "On est en embuscade"
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Re: Jean-Marc Furlan
Alors pourquoi donc nous a-t-il dit en début de saison que son équipe était loin de son maximum, et qu'il lui restait une énorme marge de progression ?? Hélas pour lui, quand bien même il avait permis à Rodrigo de s'épanouir sur le terrain, quelques bons choix ne suffisent pas à rattraper un an de discours incohérent !télésupporteur a écrit :une des caractéristiques de JMF est de faire jouer une équipe d'emblée à 120 % de sa valeur, mais après, lorsqu'elle revient à son niveau![]()
Beaucoup de choses lui auraient été pardonnées, s'il avait fait preuve temps en temps d'un peu d'humilité

- Hans
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Re: Jean-Marc Furlan
Sauf que pour le moment ça ressemble plus à une chute libre qu'à une embuscade.raphou96 a écrit :C'est toujours plus simple d'aller prendre la place des trois premiers que de se batte pour la conserver, effet psychologique.Hans a écrit :Jean Marc Furlan sur France Bleu Alsace dans l'Hebdo Sport au sujet de la 5e place du Racing : "On est en embuscade"
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- argueti
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Re: Jean-Marc Furlan
Il aime les records, on l'a vu l'an dernier... 

Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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Re: Jean-Marc Furlan
Il aura le mérite d'avoir écrit une page de l'histoire du club 

L'histoire est en marche ...
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Re: Jean-Marc Furlan
quel est le record de longévité d'un entraîneur au racing 

- Keating
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Re: Jean-Marc Furlan
Quel main sur le coeur ce Furlan ...L'Alsace a écrit :Jean-Marc Furlan a apprécié que son président Philippe Ginestet lève l'incertitude sur son avenir jusqu'en fin de saison, moins pour lui que pour son staff, ses joueurs et les salariés du club.
La scène se déroule vendredi soir dans le couloir des vestiaires de la Meinau. Jean-Marc Furlan évoque devant son président « le manque de sérénité » qui perturbe le Racing et, par ricochet, le vestiaire depuis une grosse quinzaine de jours. Depuis qu'au lendemain d'une débâcle à Reims (4-1), Philippe Ginestet a évoqué un délai de « deux ou trois matches », en forme d'ultimatum - même si le patron du RCS réfute cette formulation -, pour rétablir la situation.
L'entraîneur et l'investisseur immobilier vont alors s'enfermer un long moment dans le bureau du premier. Le lendemain matin, ils poursuivront la discussion autour d'un café. Le discours du technicien bas-rhinois à son employeur tient à peu près en ces mots. « Pour un club, il n'y a rien de pire que l'incertitude. Cette pression-là n'aide pas l'équipe et le staff à travailler dans la sérénité. »
Hier à l'entraînement, cette sérénité est plus palpable. Jean-Marc Furlan raconte dans quelles conditions il a provoqué l'échange avec son président : « Je lui ai dit qu'il n'y avait que deux solutions : ou me virer, ou me confirmer dans mes prérogatives pour que tout le monde arrête de se poser des questions. Philippe Ginestet m'a dit qu'il voulait faire équipe avec moi. Je lui ai répondu que si c'était le cas, il fallait qu'il le dise publiquement. » Sous-entendu : pour que l'attelage RCS ne donne plus l'impression d'être dirigé de manière bancale.
Devant un café, les deux hommes ont donc, comme le dévoilait le patron du club samedi en début d'après-midi, conclu un accord amiable et verbal. « C'est une parole que nous nous sommes donnée entre hommes. Je la respecterai », disait le patron du RCS dimanche dans ces colonnes. Sur la teneur de l'accord en question, ni l'un ni l'autre ne souhaite s'épancher. « Nous avons passé un pacte. Le chapitre est clos. Je ne souhaite pas entrer dans les détails », botte en touche Philippe Ginestet, imité par son entraîneur, lapidaire sur le sujet : « Cette parole, nous la respecterons tous les deux. »
On sait juste que l'entraîneur partira en fin de saison s'il échoue dans la course à la remontée (avec ou sans indemnités, alors qu'il est sous contrat jusqu'en 2010 ?) et qu'il pourra - s'il le souhaite - poursuivre l'aventure en cas d'accession. Mais Jean-Marc Furlan ne se projette pas si loin. Il apprécie simplement à leur juste valeur les quatre mois de – relative – tranquillité que lui a offerts son président, jusqu'à la clôture de la saison le 29 mai, pour remplir la mission qui lui est assignée. « Ce n'est pas à moi que je pense », assure-t-il, « mais à tous ceux qui se demandaient dans quelles conditions et avec qui ils allaient travailler la semaine suivante. C'est la vie d'un entraîneur que d'être mis sous pression, chahuté par le public et, éventuellement, limogé. Il est payé pour ça. Mais pour le staff, les joueurs, les salariés du club, pour 50 à 60 personnes donc, il était important de savoir où nous allions. Jusqu'en fin de saison, on sait où on va. Avec l'annonce du président, ma légitimité a forcément été renforcée. Je le sens chez le staff et les joueurs qui n'ont plus dans l'Å“il cette lueur d'interrogation que je percevais ces dernières semaines. D'ailleurs, j'ai reçu dimanche des coups de fil des uns et des autres pour me dire qu'ils étaient contents que l'ambiguïté soit levée. »
Depuis samedi midi et l'annonce présidentielle, le doute n'est ainsi plus permis en coulisses. Mais il n'est encore que trop présent sur le terrain où le Racing n'a remporté que deux de ses treize derniers matches. Conforté, Jean-Marc Furlan doit désormais faire en sorte que l'unité affichée en dehors du terrain se propage dessus.