
Pour Auxerre, deux impressions :
- Une machine à pressing et à discipline du début à la fin. Une fois menés 2-1, ils ont refait passé quelques belles sueurs froides dans le dos des olympiens, qui avaient du mal à sortir proprement de leur camp. Vraiment une mue impressionnante, en partant d'un effectif vraiment limité et longtemps dans l'ombre. Il aura fallu pas mal de matchs à Pélissier avant que la machine démarre, mais elle devient difficile à arrêter.
- Un réalisme surprenant, avec plus de facilité à scorer sans maîtriser le match et à l'inverse du déchet offensif lorsque le jeu s'ouvre (ce fut particulièrement le cas à Strasbourg). Le même style que celui que Pélissier pratiquait à Amiens et Lorient.
Ça va être une sacrée fin de saison, en espérant que tout le monde jouera le jeu jusqu'au bout.

 
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