Jean-Pierre Papin

[Titounetz]

J'ai pas posté a ce sujet car je vous laissé echanger sur ce faux débat . J'y crois pas au divorce Ginestet/Papin, c'est pur spéculation issue médias.Je ne dis pas qu'ils sont foncierement d'accord sur tous les sujets, mais l'un a besoin de l'autre.Ginestet pour se faire un nom dans le foot francais et Papin pour se faire remarquer comme un bon entaineur et une reconvertion reussie.
Maintenant, je sens bien un petit coup de bluff de leurs parts, je pense qu'il nous prépare une bonne équipe de L1 car JPP n'a pas le caractère a vouloir jouer le classement de seconde zone!!
De toute manière, il n'y a qu'eux qui ont la réponse , moi je lui fait confiance a JPP, il a reussi son premier objectic, c'est la L1 pour cette année, ne le descendons pas avant de voir non?
De toute manière , JPP nous apportera toujours quelque chose, c'est un nom dans le foot et même un grand nom .
Moi il a été mon idole footbalistique dans les années 90 et aujourd'hui très fier qu'il entraine mon club de toujours.

[enzy]

La positive attitude, j'espère que tu as raison

[silex57]

Absolument, JPP a sans doute réussi à  convaincre Ginestet de débloquer plus d'argent pour les transferts, celà  ne veut pas dire que le staff va recruter du lourd mais si on arrive à  convaincre le stoppeur de Bâle + Feret + Radet + la paire Traoré-Lesage, c'est un beau mercato pour nous...

Si c'est ça c'est génial !!

[FM17]

bah alors tout va bien sauf que....et bien oui je ne le sens pas le Traoré...il a beaucoup planté dans une équipe où on ne jouait que pour 2 joueurs...je l ai vu plusieurs fois et je ne l ai jamais trouvé tres bon...ce n est que mon avis evidemment...

[argueti]

Un feuilleton sans fin

En apparence, tout semble clair. Lundi, après une nouvelle entrevue avec le président Ginestet, Jean-Pierre Papin a martelé qu'il serait toujours à  la tête de l'équipe pour la reprise le 25 juin. Son interlocuteur est, lui, moins catégorique, repoussant à  vendredi la décision définitive. En fait, rien n'est clair...

Une telenovela, ni plus ni moins. A l'image de ces lénifiants romans-télé sud-américains sans queue ni tête, le feuilleton du maintien ou non en poste de Jean-Pierre Papin au Racing n'en finit plus de s'étirer. Trop, assurément, pour que l'affaire soit aussi limpide que les protagonistes veulent bien la présenter. Lundi soir, Jean-Pierre Papin a ainsi quitté les bureaux d'Eurinvest, société foncière du président Ginestet basée à  Schiltigheim, en assénant avec force cette certitude : « Je serai à  la reprise de l'entraînement le 25 juin. Il n'y a jamais eu de doute là  dessus. » Dont acte. Sauf que la partition présidentielle diffère quelque peu de celle de l'entraîneur. C'est que Philippe Ginestet se montre moins prompt et enthousiaste quand il s'agit de claironner la grande nouvelle. « On se revoit tranquillement vendredi, en tête-à -tête, autour d'une bière, dit-il. La décision sera alors officialisée. On n'est plus à  trois jours près. »

« Le maximum de chances de notre côté »

Depuis le temps que ce dossier brûlant est en suspens - au soir de la victoire contre Metz, le 18 mai, en fait -, ce nouveau moratoire ne peut que renforcer les soupçons. Les deux hommes se sont ainsi assis une première fois autour d'une table, samedi dernier, avant de se donner à  nouveau rendez-vous 48 heures plus tard. A chaque fois, Alexandre Wacker, le conseiller de Papin, et Jean-Luc Herzog, le directeur général du Racing, ont pris part aux débats. Autant dire qu'il n'a pas été question de la pluie et du beau temps. Les deux principaux intéressés l'assurent pourtant de conserve, « il n'y a jamais eu le moindre problème » entre eux. Alors, pourquoi diable repousser indéfiniment une décision qui, dans un club sorti indemne du purgatoire de la L 2, semble couler de source ? « Parce qu'on veut mettre le maximum de chances de notre côté pour bien figurer en L 1 », répond de manière évasive Philippe Ginestet. Une explication qui veut tout dire, et surtout pas grand-chose. Pourtant, le président assure que « seuls quelques petits détails sont encore à  régler » et tâche de se montrer convaincant quand il dit que « ce tintamarre (autour de Papin) est disproportionné par rapport à  la réalité et amplifié par le spectre médiatique. » Avant de conclure : « Tout ceci aurait dû rester une discussion interne qui ne méritait pas pareille publicité. » Quant à  Jean-Pierre Papin, très bavard et plutôt remonté contre son « prési » depuis le match de l'accession, il est soudainement devenu muet. « Injoignable », comme il l'avait promis. Peut-être le Ballon d'Or a-t-il fait sien l'avertissement à  l'américaine, « tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous », au cas où un bras de fer judiciaire venait à  être engagé. En fait, tout cela fleure assez fort un arrangement à  l'amiable. Car aujourd'hui, il semble que les deux parties soient plus au bord de la rupture que proche de la réconciliation. Les séquelles des parties de manivelles engagées depuis décembre dernier (lire nos éditions précédentes) ont laissé des traces indélébiles. En cette période trouble de tractations, une promesse n'engage de toute façon que celui qui la donne. Ginestet en sait quelque chose. En avril dernier, alors que le Racing était quasiment condamné à  la relégation, l'entrepreneur tenait, dans ces mêmes colonnes, les propos suivants : « La certitude, c'est que Jacky Duguépéroux sera toujours l'entraîneur l'an prochain. »

L'expérience Duguépéroux peut servir d'exemple

Cette sortie malheureuse, renforcée par l'effet d'annonce de l'arrivée de Papin, alors que « Dugué » n'était pas encore au courant, avait coûté cher. Ce n'est qu'au terme d'une négociation serrée et d'un versement d'une indemnité rondelette que le champion de France 1979 avait accepté de renoncer à  sa dernière année de contrat... Si pareil dénouement devait intervenir à  nouveau, on comprend mieux pourquoi le discours présidentiel est si précautionneux. Car pour payer plein pot l'année de contrat de Papin et de son adjoint, l'ardoise serait encore salée. Près d'un million d'euros, selon des sources autorisées. Mieux vaut négocier par le bas.

Furlan, entre Sochaux, Le Mans et le Racing

Reste à  savoir pourquoi Ginestet joue ainsi la montre, alors que tous les dossiers du recrutement sont gelés (lire ci- dessous). Là , on pénètre sur le terrain mouvant des suppositions. L'une d'entre elles laisse à  penser que le « prési » serait en attente d'une réponse de Jean-Marc Furlan, a priori contacté à  plusieurs reprises. Ginestet apprécie l'homme, qui est parvenu à  faire des miracles avec des bouts de chandelle du côté de Troyes deux saisons durant. La troisième s'est achevée par une relégation. Mais le travail du Girondin est apprécié à  sa juste valeur, Sochaux et Le Mans étant officiellement sur les rangs. Furlan aurait écouté d'une oreille attentive le discours de Ginestet, mais ne serait pas disposé à  « piquer » la place de Papin. Tant que la situation avec JPP n'est pas clarifiée, point de mouvement. A ce stade de la réflexion, le jeu des chaises musicales des entraîneurs de L 1 - Hantz à  Sochaux, Furlan au Mans ? -constitue néanmoins un paramètre que personne ne peut contrôler. Bref, aucune hypothèse n'est à  écarter. Pas même celle d'une ultime volte-face et d'un maintien en poste de Jean-Pierre Papin. Pour combien de temps ? Il lui restera alors un an de contrat, que Ginestet ne devrait pas être enclin à  renégocier avant longtemps. C'est une telenovela, ni plus ni moins...

Sébastien Keller

L'heure des ajustements

Alors que le maintien en poste de Jean-Pierre Papin ne fait plus de doute, la réflexion est lancée sur le mode de fonctionnement du club. Un deuxième entraîneur-adjoint pourrait arriver. Le coordinateur sportif Ferhat Khirat devrait être éloigné du vestiaire des pros.

La troisième et, cette fois, dernière entrevue entre Philippe Ginestet et Jean-Pierre Papin, annoncée par le premier pour vendredi et par le second pour jeudi, aura peut-être lieu un peu plus tôt. « Il est possible que nous nous voyions avant », admettait en effet le président hier après-midi. Depuis lundi, les grandes lignes de la politique future semblent tracées et un certain nombre d'incompréhensions, levées. « De la part de Jean-Pierre, tout est clair », affirme son agent Alexandre Wacker. « Il n'a jamais été question qu'il parte. Sa famille se sent bien à  Strasbourg, lui aussi. Et quand je lis qu'il y a des problèmes entre Jean-Pierre et Philippe, ça me fait sourire. Il n'y en a jamais eu de réels. Maintenant, que le président, qui, ne l'oublions pas, est le patron, demande à  son entraîneur des explications en fin de saison, c'est tout à  fait logique. Il en a à  la fois le droit et le devoir. » Première certitude : le staff actuel, composé de Jean-Pierre Papin, son adjoint Sébastien Migné et son entraîneur des gardiens Alexander Vencel, poursuivra sa mission au complet en 2007-2008. Mais le trio pourrait se muer en quatuor à  court ou moyen terme. Le président en a soumis l'idée. Le coach y réfléchit et dispose a priori d'une entière liberté de choix : accepter ou non la proposition et si oui, choisir lui-même celui qui deviendrait son second adjoint. « Ça fait partie de la réflexion. C'est une suggestion faite à  Jean-Pierre. La décision lui appartient. » Cette arrivée entraînerait forcément une redistribution des rôles et des cartes. Sans rapport aucun cependant avec la probable mise à  l'écart – appelons un chat un chat – du coordinateur sportif Ferhat Khirat. Perçu comme « l'Å“il de Moscou » à  la solde de Philippe Ginestet, Khirat, qui se définit lui-même comme « l'homme de Philippe », est jugé coupable, aux yeux du staff technique, d'avoir fait sortir du vestiaire des informations qui n'auraient jamais dû en franchir les portes. Notamment lors d'entretiens individuels entre JPP et certains joueurs. La vitesse à  laquelle le président a été informé de ces entrevues a provoqué l'ire du staff.

Quel rôle pour Khirat ?

Plutôt que de parler d'éviction, Philippe Ginestet, qui a lui-même fait venir Khirat au printemps 2006 (avant que Papin ne soit nommé) et lui a offert un contrat à  durée indéterminée, préfère parler d'évolution. En termes choisis pour ne froisser personne. « Quand tout était encore en rodage, nous avions besoin de quelqu'un pour huiler les rouages. Maintenant que la machine est lancée, ce besoin se fait un peu moins sentir. » Encore peut-on s'interroger, à  la lumière des soubresauts qui ont agité le RCS ces derniers jours, sur ce que le président entend par « machine lancée ». « Le futur rôle de Ferhat reste à  définir, mais il y a du travail au club », précise le « boss » qui, en termes de recrutement, espère « aboutir dans le dossier du Rémois Julien Féret avant la fin de semaine. » Le joueur, lui, confirme avoir fait son choix, mais reconnaît « n'avoir pas encore rencontré » son président. Reste – on l'a dit – à  s'entendre sur le montant d'un transfert jugé trop onéreux par le RCS (2,5 millions pour l'instant).

Stéphane Godin

[Merwan]

Khirat.. le type qui sert certainement pas à  grand chose..

[télésupporteur]

un deuxième adjoint pour vérifier la température de l'eau chaude des douches

[ak67]

Ginestet veut faire un peu comme Aulas à  fait à  Lyon, y veux imposer ses joueurs et l'entraineur doit se débrouiller pour que sa fonctionne ( bon Lyon y arrive mais leur budget transferts est légèrement supérieur ) donc Papin n'a peut etre pas envie de faire figure de " pantin" au niveau du recrutement ! le truc c que la politique que fait Aulas ne me semble pas approprié pour le Racing, surtout pour un club qui monte en L1


PS: le pti nouvo qui essaye de sfaire une place

[raphou96]

Bienvenu Ak67


Je pense qu'ils ont tous les deux un tempérament, ce qui peux faire du bien au racing, mais que les journaleux eux intensifient en grande saga pour faire parler.

Attendons ce vendredi voir ce qui se passe. Car le coup de Papin pas joignable en période de mercato ca reste un peu gros quand même.

[ak67]

dire que si Afflelou avait été le président on aurait peut etre eu une enveloppe un peu plus importante et des objectifs revus à  la hausse, mais bon en meme temps on c pas si Papin aurait été l'entraineur !! donc c'est peut etre mieux ainsi