[05/06] 8ème J: Ajaccio / RCS - 0/0

[Stan]

Qu'il savait marquer en CFA..

[Maneo]

On a pas les moyens de battre l'un des plus faibles budgets de L1 ! Quand on ne sait pas gérer un club de L1 on en arrive là  ...

[fan_racing]

Je verrais un système de jeu un peu comme celui face à  Lens, avec Keita et Johansen au centre, Lacour et Le Pen en latéraux.

----------------CASSARD----------------
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--DEROFF---HAGUI---KANTE---BOKA--
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---------JOHANSEN----KEITA-----------
--LACOUR----------------------LE PEN--
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--------A.FARNERUD----PAGIS---------

Remplaçants : Puydebois, Bellaid, P. Farnerud, Arrache, Carlier, Guemandia

Allez Racing !!!

[Pinon]

Euh tu as un peu trop de remplacants

[Manu]

----------------CASSARD----------------
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--DEROFF---HAGUI---KANTE---BOKA--
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---------JOHANSEN----KEITA-----------
--LACOUR----------------------LE PEN--
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--------A.FARNERUD----PAGIS---------

- Pas d'accord concernant la titularisation de Deroff. Lacour est un formidable arriére droit.
- Le pen oui pourquoi pas, mais à  voir quand même l'entrée plus vive d'Arrache malgré les critiques, ça va finir par payer.
- A.Farnerud oui mais si pas à  100 % et combattif durant les 15 premieres minutes, dehors et faire entrée Guemandia. Ou pourquoi pas une surprise en attaque ?

[argueti]

Bon, on y retourne...

Toujours sec en championnat, le Racing reprend son bâton de pèlerin et s'en va en Corse chercher fortune. Le pas un peu moins lourd depuis la venue de Lens. L'esprit pas forcément en paix.

Cette affaire-là  ne peut pas durer. Tant qu'elle n'aura pas été réglée, tant que trois points ne seront pas tombés d'un coup d'un seul dans l'escarcelle, il ne saurait être question d'avenir ou d'ambition. Il n'y aura pour perspective que cette ligne d'horizon qui tournoie et se dérobe. Rien de très réjouissant donc.
Pas la peine de faire six caisses et trois petits fûts là -dessus. Le Racing n'a toujours pas gagné en sept journées de championnat et cela résume tout son malheur du moment.

Sortis du coma

Jeudi dernier à  Graz et dimanche face à  Lens, les coéquipiers de Pagis ont, enfin, redressé la tête et laissé entendre que cela pourrait avoir bientôt une fin. Avec des fortunes diverses, peut-être, mais au moins ils sont sortis de ce coma dans lequel ils ont été plongés trois semaines durant, c'est déjà  ça.
Dimanche, avec un soupçon de réussite et un peu moins de maladresse(s), ils auraient pu l'emporter. Ils ne l'ont pas fait. Du coup, les voilà  à  nouveau au pied d'un mur qui ne cesse de s'élever journée après journée, même si, paradoxalement, la période la plus périlleuse (Auxerre, Lyon, Monaco, Bordeaux, Paris et Lens) semble passée.

Victime idéale

C'est qu'aujourd'hui il va falloir se coltiner des équipes gonflées à  bloc par un début de saison inespéré (Ajaccio, Troyes au hasard) ou au contraire laminées dans les grandes largeurs et qui comptent se payer sur le dos du Racing (Toulouse, Sochaux pas au hasard). Pas forcément plus simple.
Ces derniers jours, Rolland Courbis a ainsi fixé un objectif chiffré « réaliste » à  ses joueurs pour la rencontre face au Racing : six points.
« La venue de Strasbourg sera un match à  six points qu'il faudra impérativement gagner », expliquait-il lundi après une défaite à  Auxerre qui mettait fin à  six journées d'invincibilité. Ce qui montre dans quelle catégorie est passé le Racing : celle des victimes idéales, toutes désignées. C'est triste, c'est la vie du foot.

Une éclaircie, vite !

Redescendue de son nuage, l'équipe strasbourgeoise vaut franchement mieux que ça. On s'en doutait en début de saison, on en doutait ensuite. Heureusement, la semaine dernière a été une petite embellie qu'il faut transformer rapidement en éclaircie.
Dimanche surtout, face à  une équipe de Lens très solide, les coéquipiers d'un Pagis retrouvé ont montré qu'ils avaient le coffre pour tenir la distance face aux grosses cylindrées. On n'en espérait pas tant.
Seulement, maintenant il faut passer la vitesse supérieure. Ce n'est plus une question de performance, mais de survie sportive. Si les Strasbourgeois ne l'emportaient pas en Corse, ce qui est largement du domaine du possible, l'écart deviendrait abyssal.
Oui, ce soir le Racing est face à  son destin. Comme il l'était dimanche dernier. Comme il le sera samedi prochain. Cette affaire-là  ne peut pas durer, non elle ne peut pas. Quelqu'un doit faire quelque chose.

Ziani revient

A Auxerre, (défaite 2-0), Rolland Courbis avait laissé Stéphane Ziani au repos. Ce soir, il sera frais pour affronter le Racing.



Nantes, Bastia, Rennes, Bordeaux, Lens, La Corogne, Bordeaux, Nantes, Genève, Bastia et Ajaccio. Quatorze ans que Stéphane Ziani balade son mètre soixante-huit sur les terrains de France, de Navarre et d'ailleurs avec cet art inné de la passe décisive, ce sens du contre-pied absolu.
A 33 ans, il n'a rien perdu de ce talent-là , Rolland Courbis le sait bien pour l'avoir fait venir de l'autre bout de la Corse à  l'intersaison. Il sait aussi qu'à  bientôt 34 ans, il doit être ménagé mais qu'on ne saurait durablement s'en passer.
Alors ce soir c'est sûr, le petit Nantais sera lancé d'entrée. Pour faire profiter l'équipe de son expérience (plus de 380 matches de L1, 38 buts). Pour ajouter aussi une note technique supplémentaire à  un ensemble qui n'en manque pas.
JOHANSEN D'ENTREE ? - Avec la rentrée de Ziani et la présence dans l'entrejeu ajaccien d'une véritable force de frappe au milieu de terrain où on trouve de tout - de la vitesse, de la technique, de la puissance, de l'ambition -, le Racing va devoir aussi consolider ce secteur-là . Pas forcément plus que contre Lens c'est vrai, mais de façon suffisamment conséquente pour ne pas voir revenir trop vite ces fameux « deuxièmes » ballons qui finissent toujours par faire mal à  un moment où à  un autre.
D'où la titularisation probable de Pascal Johansen, absent pour cause de douleurs aux adducteurs à  Paris et à  Graz et qui a fait une apparition contre les Nordistes. Pontus Farnerud toujours en déca de son niveau attendu et de toute façon moins physique que Johansen, Duguépéroux devrait relancer le Colmarien. Histoire d'épauler un Sidi Keita de plus en plus énorme et désormais indéboulonnable.
KABA DIAWARA OUT. - Encore un joueur qui s'était perdu en route après une carrière étonnante qui l'avait vu passer à  Bordeaux (2 fois), à  Rennes, Marseille, Arsenal, West-Ham, le PSG (2 fois) ou Nice. Le Franco-Guinéen était porté disparu depuis son départ dans le Golfe arabique. Il est réapparu dans celui d'Ajaccio où Courbis l'a relancé.
Reparti sur de bonnes bases cette saison, il s'est blessé à  la cuisse à  l'Abbé-Deschamps ce dimanche et sera dans les tribunes ce soir. Logiquement, c'est le Brésilien Lucas qui prendra le relais. Pas sûr que les Strasbourgeois y gagnent au change, l'ancien goleador de Portuguesa ayant inscrit 11 buts l'an passé. Et déjà  deux cette saison. Un client.

Stop ou encore en Corse ?

Après deux résultats encourageants (victoire 2-0 à  Graz en Coupe UEFA, puis nul 1-1 contre Lens), le Racing cherchera à  prolonger sa série d'invincibilité ce soir (20 h 30) à  Ajaccio où il n'a pas perdu ces trois dernières années.

« Ça fait quelques années que nous n'avons plus perdu à  Ajaccio, non ? » Histoire de se rassurer sans doute, le directeur général du Racing Marc Keller cherchait hier matin au fond de sa mémoire une trace du dernier échec du RCS au stade François-Coty. Celui-ci remonte à  l'année de purgatoire (2001-2002) en L 2 quand les deux clubs étaient au coude à  coude pour l'accession (2-1). Mais depuis trois ans, depuis, en fait, leur retour commun au sein de l'élite hexagonale, Ajacciens et Strasbourgeois ne se sont plus jamais départagés dans cette enceinte un rien désuète – un euphémisme – qui surplombe le golfe d'Ajaccio. 0-0 en 2003 (le regretté Fabrice Viau y avait fêté sa première et – malheureusement - dernière titularisation, trois jours après ses débuts en L 1 contre Auxerre), 0-0 en 2003-2004 et 2-2 en 2004-2005. Le 16 octobre dernier, l'équipe de Jacky Duguépéroux, qui venait de prendre la succession d'Antoine Kombouaré, avait même failli s'imposer. Mickaël Pagis et Mamadou Niang avaient inscrit un but chacun et s'étaient offert l'autre. Le Sénégalais avait marqué en Corse du Sud le premier de ses 12 buts de la saison. À peine un an plus tard (deux journées plus tôt aussi), le RCS n'est guère mieux embarqué. Certes, sa défense (5 buts encaissés en 7 matches) est autrement plus solide que l'an passé (13 buts lors des 7 premières journées). Mais comme en convient Jacky Duguépéroux, il est « en difficulté sur le plan comptable. » Et Ajaccio, compagnon d'infortune à  l'automne 2004, a cette fois engrangé 10 points pour émarger au 9e rang, malgré une première défaite concédée à  Auxerre dimanche (2-0). « Les Ajacciens ont six points de plus que nous », constate l'entraîneur strasbourgeois, « d'où la nécessité de réussir un bon résultat là -bas pour les garder à  distance. Car l'ACA fait partie des équipes du même calibre que le nôtre. Tout comme nous, les Corses avaient réalisé une très belle deuxième moitié de saison dernière. Eux ont confirmé en ce début 2005-2006, ce que nous n'avons pas su faire. » « C'est vrai que le scénario est pratiquement le même que l'an dernier », acquiesce Yves Deroff, « et que ce déplacement peut être un match charnière. Mais il faut oublier le passé. De toute façon, nous n'avons pas à  "calculer" l'adversaire. C'est de notre prestation que découlera le résultat.. »

« Quatre points en deux matches »

« Dans ce championnat, on ne peut pas dire qu'il y ait des adversaires faciles », enchaîne Salim Arrache, « Regardez Le Mans. Personne n'aurait misé sur sa 2e place après 7 journées. Mais les Manceaux accumulent les victoires et emmagasinent de la confiance. C'est exactement ce qui nous manque. Si j'avais marqué dimanche contre Lens – je n'ai pas cessé de repenser à  cette occasion ratée – nous aurions gagné, posséderions deux points de plus et serions plus sereins. Une victoire à  Ajaccio nous amènerait à  7 points. Ce ne serait plus du tout la même chanson. L'idéal serait de prendre 4 points sur nos deux prochains matches (avec la réception de Toulouse samedi). »

Même solidité qu'à  Graz

Reste à  savoir si, comme le certifie Jacky Duguépéroux, la machine strasbourgeoise est véritablement lancée. « Elle l'est depuis notre match en Autriche », assure le coach, « À Ajaccio, nous devrons montrer la même solidité, mais faire preuve de plus de rigueur défensive sur les coups de pied arrêtés que contre Lens. » Si la série de nuls en Corse pouvait s'interrompre par un succès ce soir, personne, de ce côté-ci des Vosges, ne s'en plaindrait.

La rentrée de Johansen ?

Ils se sont envolés à  17 hier après-midi pour Ajaccio. Un groupe qui n'a subi qu'une seule retouche : comme il l'avait annoncé lundi, Jacky Duguépéroux a réintégré l'attaquant international tunisien Haikel Gmamdia, même si sa prestation de dimanche en CFA contre Calais n'a pas franchement rassuré sur son potentiel, ni sa capacité à  s'adapter au football français. Par le jeu des vases communicants, l'attaquant ivoirien Amara Diané, qui peine à  confirmer l'excellente impression qu'il avait laissée à  Lyon le 13 août, a été prié de rester à  Strasbourg. Son entrée avant l'heure de jeu dimanche, à  la place d'Alexander Farnerud, n'a pas séduit son coach. Alexander Farnerud justement ? Lui non plus n'a pas réitéré face aux Lensois le match plein qu'il avait accompli trois jours plus tôt à  Graz. A Ajaccio, le Racing, désireux, selon « Dugué », « d'aller de l'avant, car c'est le meilleur moyen de réussir un résultat », aura aussi besoin d'un solide travail de récupération. Pascal Johansen, absent deux matches pour une douleur à  l'adducteur et entré en cours de jeu contre Lens, pourrait ainsi retrouver sa place dans le onze de départ. Pontus Farnerud remonterait alors d'un cran en soutien de Mickaël Pagis, avec Ulrich Le Pen et Guillaume Lacour sur les côtés, dans un schéma proche de celui expérimenté au début du mois à  Munster en amical contre Nancy. A Ajaccio, Rolland Courbis n'a pas digéré l'indigence de son attaque dimanche à  Auxerre. Kaba Diawara (certes blessé) et le Brésilien Edson s'effacent au profit de la paire Lucas (l'autre Brésilien double buteur l'an passé à  François-Coty face au Racing) – Saïfi (l'international algérien rentré à  la mi-temps en Bourgogne à  la place de Diawara). Derrière, le Brésilien Antonio Carlos repousse Danjou sur le banc, alors que dans l'entrejeu, Ziani ou Chafni devrait succéder à  Robin dans un schéma plus offensif. Suspendu : Hosni (Strasbourg). Absents : à  Ajaccio, Diawara (cuisse), Dzodic (convalescence), Bastien, Becas, Merlin, Joinville, Abdoun (choix de l'entraîneur) ; à  Strasbourg, Devaux (talon d'Achille), Mouloungui, Diané, Gameiro, Krebs (choix de l'entraîneur).

[seb]

Ma composition

------------------Cassard-----------------
Lacour-----Haggui----Kanté-------Boka
------------Pagalou----Keita-------------
------Pontus-----------------Le Pen------
--------------Alex-----Pagis--------------

Rempl : Puydebois, Deroff, Bellaid, Arrache, Gmandia

Si Pontus n'assure pas, il sort à  la mi temps, Lacour monte d'un cran et Deroff prend le poste d'arrière droit.
Arrache à  l'heure de jeu entre pour Le Pen.
Gmandia pour Alex si il ne réitère pas son match de Graz.

Avec notre assise défensive rassurante, on peut envisager la victoire (enfin) à  Ajaccio... aujourd'hui, j'y crois ...

[Stan]

Pareil que Seb avec un Arrache titulaire et fortement motivé par JD à  la place de Lulu..

[Kriskool]

--------------------Cassard--------------------

Lacour---------Haggui----Bellaid-----Kanté

------------------Keita---Johansen----------

Diané----------------------------------Boka

---------------Pagis------Carlier-----------

[Stan]

Mis à  part que Diané n'est pas dans le groupe.. Enfin je crois..