Othon dans les 18, ça fait plaisir ! 
Lacour reprend lundi, il pourra surement bientôt reprendre une place sur le banc, j'espère que cela sera au détriment d'un attaquant plutôt que d'Othon !
			
			
									
									
						[07/08] 13ème J: Strasbourg / Paris : 1-2
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				Psychogene
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Un stade plein à nouveauCe vendredi soir, près de 23 500 billets pour la rencontre RCS-PSG de ce samedi soir (20h) à la Meinau avaient trouvé preneur.
Ce samedi matin, il reste encore 2 500 places en vente pour assister à ce match de gala: 1 500 places debout (Populaires) et 1 000 places assises (Nord et Sud Hautes).
 
   
   
  
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Ah non, pas 0-0L'équipe a écrit :Le PSG est leader... des défenses à l'extérieur
Le club parisien a réussi trois 0-0 en cinq déplacements
Il y a de l'ironie dans la remarque du Parisien, samedi, avant Paris-SG -Strasbourg (20h00) : avec un seul but encaissé à l'extérieur, le club de la capitale, 15e au classement, possède la meilleure défense hors de ses bases, enfin un classement favorable au PSG ! C'est nettement moins bon en attaque (4 buts inscrits, 14e place), ces deux données expliquant les trois nuls sans but rapportés par les Parisiens de leurs cinq déplacements. Et comme Strasbourg marque peu à la Meinau, tout semble réuni pour parier sur un nouveau 0-0,
 
   
   
  
L'équipe probable à Strasbourg - 00:26
Landreau - Cearà , Yepes, Z. Camara, Sakho (ou Armand) - Diané (ou Arnaud), Clément, Ngoyi (ou Sankharé), Rothen - Ngog (ou Diané), Pauleta
 
   
   Ils ont du mal à  trouver la compo avec tous les changements de Le Guen
 Ils ont du mal à  trouver la compo avec tous les changements de Le Guen   
   
  
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				baskath
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DNA a écrit :Un Paris à tenir
Après son exploit lillois, le Racing veut confirmer devant un public sevré de victoires depuis le mois d'août. Mais pour cela, il va falloir mater une équipe parisienne qui n'a déjà plus de temps, ni de points à perdre.
Marseille et Lens en position de relégable, Toulouse scotché dans le ventre mou en compagnie de Monaco et ses stars... Quelque chose ne tourne visiblement pas rond sur les terrains de football de Ligue 1. De hiérarchie, plus personne n'ose parler. Et dans ce grand melting-pot des valeurs où les outsiders volent la vedette aux favoris, le Paris-Saint-Germain ne détonne pas. Annoncé comme prétendant au titre, il erre à une piètre 15e place avant sa venue à la Meinau.
Un but encaissé en cinq matchs
Un PSG qui reste même sur une énième humiliation sur sa pelouse maudite du Parc des Princes, laminé par l'ogre lyonnais, comme il l'avait été auparavant par Lorient, Bordeaux ou Rennes. Bref, entre un Racing euphorique qui vient d'infliger une claque aux Lillois et un PSG atone, il ne devrait pas y avoir photo ce soir. Sauf que l'affaire est beaucoup moins limpide qu'il n'y parait de prime abord. Car le Paris-SG de Landreau n'a encaissé qu'un petit but, en cinq matchs à l'extérieur. Et si les Parisiens n'ont pas encore complètement coulé au classement général, ils le doivent essentiellement - pour ne pas dire uniquement - à leurs performances en déplacement. « Paris est une des trois équipes invaincues à l'extérieur, souligne Jean-Marc Furlan, ce qu'on redoute le plus, ce sont les contres, même si on attend aussi d'une équipe comme le PSG, à dimension internationale, qu'elle montre de la qualité de jeu ». Avec un Pauleta en regain de forme - 4 buts en deux matchs - les Parisiens peuvent rêver d'un hold-up dans une Meinau qui s'est révélée jusqu'ici plutôt accueillante pour les équipes adverses. « C'est le foot français qui est comme ça, c'est de plus en plus dur de gagner à domicile, de contourner les défenses », rétorque Jean-Marc Furlan. Et le coach strasbourgeois d'ajouter, comme pour enlever la pression des épaules de ses joueurs, que « gagner ce match face à Paris serait génial », même si le challenge « va être très compliqué ». Pour essayer d'infliger à Paris son premier revers à l'extérieur, Jean-Marc Furlan va redonner à son équipe un visage plus classique que celui entrevu à Lille, avec une organisation en 4-2-3-1.
« Six attaquants qui méritent tous de jouer »
Reste à déterminer qui aura la lourde tâche d'évoluer seul en pointe. « J'ai six attaquants en forme qui méritent tous de jouer et qui sont tous susceptibles d'apporter un plus », estime le coach strasbourgeois, qui se décidera « à la dernière minute ». Pour Rodrigo, qui portera une nouvelle fois le brassard de capitaine, la solution ne peut être que « collective ». « Pour l'instant on est dans une bonne série et il faut continuer, sans oublier que notre objectif reste le maintien. Et après seulement on pourra espérer mieux ». Et continuer, si possible, de rêver et de malmener encore cette satanée hiérarchie du football. Match à suivre en direct et en intégralité sur http://www.dna.fr
Incertitudes
Jean-Marc Furlan a l'embarras du choix et va devoir trancher. Fanchone ou Gameiro à droite ? Alvaro Santos, Renteria ou encore Mulenga en pointe ? Le coach assure n'avoir aucune certitude, même si Alvaro Santos tient la corde pour ses capacités à « faire jouer les autres ». Au milieu, Abdessadki, encore un peu court physiquement, jouera le rôle de « joker de luxe ». A l'arrière, Szelesi, revenu de blessure, retrouve une place de titulaire au poste de latéral droit.
L'atout Pauleta
Même si elle a été fortement rajeunie, l'équipe de Paul Le Guen peut compter sur l'expérience de ses anciens. Comme celle de Pauleta ou encore Rothen, tous deux revenus à leur meilleur niveau. Le Portugaispourrait être associé en pointe à Diané ou Luyindula.
Il reste 2 500 places qui seront mises en vente ce matin à partir de 10h, aux caisses de la Meinau.
Barbara Schuster
L'Alsace a écrit :Un pari sur l'avenir
Une victoire à 20 h à la Meinau contre le PSG permettrait au RCS, qui reste sur trois matches sans défaite, de prendre encore un peu plus de hauteur. Mais gare à des Parisiens toujours invaincus hors du Parc des Princes.
C'est l'un des points communs – l'un des seuls – entre le Racing et le PSG : ils ont engrangé plus de points à l'extérieur qu'à domicile. Dix contre neuf pour le club alsacien, neuf contre trois pour son homologue parisien. Ainsi résumé, le duel de ce soir (20 h) à la Meinau entre un RCS en pleine bourre (sept points sur neuf lors des trois dernières journées) et un PSG en plein doute en championnat, mais qui a repris des couleurs au Parc mercredi en 8e de Coupe de la Ligue contre Montpellier (2-0) semble moins déséquilibré qu'il n'y paraît. Certes, le RCS brille au 6e rang et peut espérer grimper encore en cas de succès. Ce que, rappelons-le, il n'avait pas su faire lors de ses deux derniers rendez-vous à la maison : défaite 0-1 face au Mans et nul 1-1 contre Bordeaux. Si l'on y ajoute le nul précédent devant Lorient (0-0), la troupe de Jean-Marc Furlan n'a récolté que deux points sur neuf lors de ses trois dernières sorties devant son public. De là à croire le RCS victime d'un syndrome Meinau comme le PSG l'est au Parc des Princes, il y a un pas que Rodrigo, qui retrouvera ce soir son brassard de capitaine, se refuse à franchir: « En déplacement, nous sommes tout simplement plus efficaces qu'à la Meinau où nous avons souvent bien joué, mais où nous avons éprouvé plus de difficultés à concrétiser nos occasions. On ne ressent pas de pression particulière à l'idée de jouer chez nous. » Lui et ses partenaires peut-être pas. Leur entraîneur Jean-Marc Furlan, si. « J'ai beaucoup de craintes pour ce match. Nous aimons plaire à notre public et nous ressentons moins de stress et d'anxiété à l'extérieur qu'à domicile où l'attente est plus forte. Notre bilan comptable à la Meinau (9 points sur 18) n'est pas bon, mais le divertissement qu'offrent les joueurs et le plaisir que prend le public sont positifs. C'est le contenu qu'il faut juger. » Bref, Furlan se méfie. D'autant plus d'ailleurs que Paris, 15e avec 12 points, est, avec Bordeaux et Rennes, l'un des trois derniers invaincus à l'extérieur. Avec deux victoires au Mans (2-0) et à Monaco (2-1) et trois nuls 0-0 rapportés de Lens, Metz et Valenciennes, sans parler de la qualification 3-0 à Lorient en 16e de Coupe de la Ligue, le PSG est redoutable hors du Parc.
« Tout le monde dit : ça va être le bordel »
« J'ai vu le match des Parisiens à Valenciennes », poursuit le coach du RCS, « ils ont été impressionnants et méritaient de gagner. En rajeunissant son équipe, Paul Le Guen a été très courageux. J'adhère totalement à ce qu'il a fait. Quand ça ne se passe pas bien, il faut faire jouer la concurrence à fond. Ce match va être très compliqué et le gagner serait une référence », insiste Furlan, « En l'emportant, nous serions tranquilles pour un moment. Dix points sur douze en quatre journées (Ndlr : les Bleus restent sur deux victoires et un nul), ce serait un bon package. Ce qui est pris n'est plus à prendre. Et pour l'instant, nous sommes largement dans les clous. Mais en France, beaucoup prédisent que nous ne resterons pas à cette 6e place. Tout le monde me dit : "On connaît le Racing. A un moment, ça va être le bordel et vous allez rétrograder." C'est pour ça que je demande à mes joueurs d'être respectueux du club et du collectif, afin de faire taire les sceptiques. Si nous pouvions rester dans l'ombre jusqu'en mars et n'apparaître dans la lumière qu'à ce moment-là , en toute fin de saison, ce serait parfait. »
Sans doute. Sauf que s'il l'emporte en soirée, le Racing aura bien du mal à faire encore sien ce vieux dicton : « Pour vivre heureux, vivons cachés. »
Le retour de Renteria
Jean-Marc Furlan n'a apporté qu'une retouche au groupe victorieux à Lille (3-0): Zoltan Szelesi, absent lors des deux dernières rencontres pour une béquille, retrouve son poste de latéral droit et pousse Ahmed Kantari hors des dix-huit. Pierre Ducrocq, qui a assuré l'intérim à la place du Hongrois, glisse lui vers la touche. « Ahmed ne m'avait rien dit, mais je sais combien il avait à cÅ“ur d'être retenu contre le PSG, son club formateur », confie l'entraîneur strasbourgeois, « Je le sors à mon grand regret. Mais j'ai préféré garder Pierre Ducrocq qui peut jouer dans le couloir, dans l'axe ou comme milieu récupérateur. Ahmed est moins polyvalent. » Le technicien a par ailleurs décidé de laisser son vice-capitaine, Yacine Abdessadki, sur le banc. « Après sa blessure, il est encore en convalescence et a besoin de temps. À Lille, il a souffert. » Pascal Johansen animera ainsi le jeu offensif dans un classique schéma en 4-2-3-1, après le 4-4-2 testé dans le Nord. Le dernier entraînement d'hier a également permis au coach d'affiner sa réflexion sur le poste de pointe unique : Wason Renteria, pas rentré de sélection contre Bordeaux et remplaçant à Lille, sera préféré à Alvaro Santos. « Je n'oublie pas qu'il restait auparavant sur une bonne prestation à Metz (Ndlr : le Colombien y a inscrit son 4e but). Quand il joue, Alvaro permet aux autres de se mettre en évidence. Il est moins dans la lumière que Renteria, mais beaucoup moins individualiste aussi. "Rente" a pour lui d'être plus décisif. » Sa dernière hésitation concerne le côté droit de l'entrejeu. Kévin Gameiro et James Fanchone (aligné en pointe à Lille) sont en balance.
À Paris, Pierre-Alain Frau, sorti sous les sifflets contre Montpellier mercredi, et Marcelo Gallardo ont été écartés. A priori, l'attaque ne sera pas 100 % « strasbourgeoise ». L'ex-Racingman Amara Diané ne devrait en effet pas être associé à l'autre ancien du RCS, Peguy Luyindula, mais plutôt à Pedro Pauleta, auteur des buts parisiens contre Lyon dimanche en L 1 (défaite 2-3), puis face à Montpellier mercredi (2-0).
Absents : à Strasbourg, Lacour (convalescence), Schneiderlin, Kantari, Camadini, Gasmi, Abou, Gargorov, Gmamdia, Loue, Schneider, Gurtner, Bah, Zenke, Weber (choix de l'entraîneur) ; à Paris, Bourillon, Gallardo, Chantome, Frau (choix de l'entraîneur).
Stéphane Godin
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