Wenger au racing, je crois que je vais tourner de l'Å“il… lol
Si Proisy est noté c'est tout bonnement pour ne pas froisser not' prézident aktuel mais Img se retirera! Mais en plusieurs phases sans doute, voilà mon explication.
La Rachat du Club
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Comme le dit hansi, ce serait au titre d'un investissement personnel pour Proisy comme pour les autres ! Dans cette première reprise minoritaire, vous noterez qu'il n'y a encore aucune entreprise. Ce n'est donc pas dans l'immédiat qu'IMG va quitter le racing. Surtout que de nombreuses incertitudes sportives et financières laissent bcp de monde perplexe concernant cette reprise ...
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le Racing j'achete, si javais des sous je le ferai sans hesiter .....
mais j'ai pas 200 000 000 de francs (50% pour eponger les dettes du club et le reste pour mettre tout a plat et faire un marché qui ressemble a un marché)
mais bon je reve c'est pas avec mon salire que je pourrai faire ca j'ai deja du mal a emprunter pour une maison lol
enfin bref
Je l'aime mon Racing et je ne veux pas que n'importe qui se l'approprie
mais j'ai pas 200 000 000 de francs (50% pour eponger les dettes du club et le reste pour mettre tout a plat et faire un marché qui ressemble a un marché)
mais bon je reve c'est pas avec mon salire que je pourrai faire ca j'ai deja du mal a emprunter pour une maison lol
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Le RC Strasbourg dans mon coeur
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article des DN :Les choses s'accélèrent donc et évoluent très vite. La situation a, en effet, sensiblement changé ces derniers mois, voire ces dernières semaines. Ainsi ce groupe alsacien (qui serait composé de Keller, Adler, Gindorf, Lohr, Wenger et d'une ou deux autres personnalités dont le nom n'a pas été révélé) n'envisagerait plus, comme cela semble pourtant bien avoir été le cas un moment, de nommer Patrick Proisy à sa tête après le rachat. c'est tres tres bien

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De tous les bruits qui entourent la reprise du Racing, c'était le plus incroyable, le plus invraisemblable aussi : en difficulté au sein du groupe IMG, Patrick Proisy négocierait actuellement d'arrache-pied avec Hans Egon Gindorf, tête de pont de l'un des deux projets de reprise, pour rester à la présidence du RCS. L'actuel patron d'IMG/France souhaiterait même devenir président salarié d'un club qu'il dirige depuis mai 1997, trois mois après le choix de Mc Cormack par la Ville de Strasbourg. Mais Gindorf, ex-propriétaire de la société de routage Eurodirect installée à Geispolsheim (Ndlr : il a passé la main à son fils, mais, à 62 ans, continue à suivre de près les affaires de son entreprise), dément formellement, depuis son lieu de retraite monégasque, avoir l'intention d'accéder à la requête de celui qui ne devrait plus être président du Racing Strasbourg dans quelques semaines. Il y a six ans, Gindorf, partie prenante dans le dossier de reprise Saatchi & Saatchi (le 3e en lice, vite écarté), et Proisy avaient été adversaires. Mc Cormack avait enlevé le morceau. « Mais les vieux démons reviennent toujours », plaisante l'industriel bien disposé à revenir sur le devant de la scène.
« Des Alsaciens|qui travaillent|pour des Alsaciens »
Pour sa deuxième tentative de rachat, l'ancien chef d'entreprise, qui fut aussi vice-président du conseil de surveillance du RCS au début des années 1990, sous les présidences de Jacky Kientz et Jean Wendling, s'est entouré d'Alsaciens. « Patrick Proisy nous a effectivement sollicité pour briguer un poste de président salarié dans notre dossier. Mais c'était exclu. Il ne figurera pas dans notre groupe. Notre objectif est de réunir des Alsaciens qui travaillent pour des Alsaciens. Ça le met d'emblée en marge. Raisonnablement, un candidat peut-il envisager de faire une offre de rachat avec, dans ses bagages, un président qui a échoué dans sa mission depuis 1997 ? » Voilà qui a le mérite de la clarté. Mais Gindorf a choisi de ne pas rompre totalement avec l'équipe actuelle. Même s'il se refuse à le confirmer officiellement, il ne dément pas que Patrick Adler (membre du conseil d'administration du RCS et sponsor maillot) et le manager Marc Keller sont prêts à rejoindre son équipe. « Leur présence me semble évidente. Marc Keller, Alsacien de souche, est l'homme idéal pour poursuivre sa mission, même si nous savons pertinemment qu'il ne sera pas aisé d'obtenir des résultats dès la saison prochaine. » L'industriel Robert Lohr, dont la société est implantée à Hangenbieten, ferait partie de l'attelage. Quant à l'idée, chère à Marc Keller, d'impliquer Arsène Wenger, le manager d'Arsenal, « elle reste floue », selon Gindorf lui-même.
À Monaco|avec Drossard
La génèse de son projet remonte à un an. « J'ai rencontré Eric Drossard au Grand Prix de Monaco et de fil en aiguille, l'idée d'un rachat a germé. Nous avions à l'origine proposé de racheter le RCS pour l'euro symbolique. Mc Cormack a refusé. Aujourd'hui, nous sommes à un stade des discussions — qui se déroulent dans un bon esprit — où il vaut mieux être discret. IMG est plutôt gourmand. Mais le coma de Mark Mc Cormack a changé sa stratégie. La direction mondiale et l'antenne européenne sont disposés à vendre. En s'implantant dans le foot via le Racing, Mc Cormack a joué à un jeu qu'il a perdu et veut en sortir, mais avec les honneurs. Seul Proisy, avec qui j'ai par ailleurs de bons rapports, fait encore de la résistance. Mais les choses avancent et sont en bonne voie, quand bien même certains problèmes juridiques doivent encore être solutionnés. » Elles avancent notamment sous la pression des candidats. « Nous avons demandé une réponse pour le 15 avril », précise Gindorf, « Ça nous laissera un mois pour préparer notre dossier devant la DNCG et d'attaquer le recrutement. Fin avril, tout doit être signé. » Si, contrairement à son concurrent, Gindorf avance à visage découvert, il se garde en revanche de dévoiler le niveau d'implication de ses colistiers. La rumeur indique que Gindorf et les autres pourraient injecter quatre millions d'euros dans le Racing. « J'ai bien peur que ça ne suffise pas », ironise-t-il. « Nous négocions directement avec Londres. Proisy est tenu informé. Mais IMG ne connaît pas les montants que nous investirons dans le club. Nous lui avons fait une offre. S'il accepte de signer le contrat de cession avec nous, nous nous occuperons de la suite. C'est notre affaire. »
Voilà pour toi cSp.
« Des Alsaciens|qui travaillent|pour des Alsaciens »
Pour sa deuxième tentative de rachat, l'ancien chef d'entreprise, qui fut aussi vice-président du conseil de surveillance du RCS au début des années 1990, sous les présidences de Jacky Kientz et Jean Wendling, s'est entouré d'Alsaciens. « Patrick Proisy nous a effectivement sollicité pour briguer un poste de président salarié dans notre dossier. Mais c'était exclu. Il ne figurera pas dans notre groupe. Notre objectif est de réunir des Alsaciens qui travaillent pour des Alsaciens. Ça le met d'emblée en marge. Raisonnablement, un candidat peut-il envisager de faire une offre de rachat avec, dans ses bagages, un président qui a échoué dans sa mission depuis 1997 ? » Voilà qui a le mérite de la clarté. Mais Gindorf a choisi de ne pas rompre totalement avec l'équipe actuelle. Même s'il se refuse à le confirmer officiellement, il ne dément pas que Patrick Adler (membre du conseil d'administration du RCS et sponsor maillot) et le manager Marc Keller sont prêts à rejoindre son équipe. « Leur présence me semble évidente. Marc Keller, Alsacien de souche, est l'homme idéal pour poursuivre sa mission, même si nous savons pertinemment qu'il ne sera pas aisé d'obtenir des résultats dès la saison prochaine. » L'industriel Robert Lohr, dont la société est implantée à Hangenbieten, ferait partie de l'attelage. Quant à l'idée, chère à Marc Keller, d'impliquer Arsène Wenger, le manager d'Arsenal, « elle reste floue », selon Gindorf lui-même.
À Monaco|avec Drossard
La génèse de son projet remonte à un an. « J'ai rencontré Eric Drossard au Grand Prix de Monaco et de fil en aiguille, l'idée d'un rachat a germé. Nous avions à l'origine proposé de racheter le RCS pour l'euro symbolique. Mc Cormack a refusé. Aujourd'hui, nous sommes à un stade des discussions — qui se déroulent dans un bon esprit — où il vaut mieux être discret. IMG est plutôt gourmand. Mais le coma de Mark Mc Cormack a changé sa stratégie. La direction mondiale et l'antenne européenne sont disposés à vendre. En s'implantant dans le foot via le Racing, Mc Cormack a joué à un jeu qu'il a perdu et veut en sortir, mais avec les honneurs. Seul Proisy, avec qui j'ai par ailleurs de bons rapports, fait encore de la résistance. Mais les choses avancent et sont en bonne voie, quand bien même certains problèmes juridiques doivent encore être solutionnés. » Elles avancent notamment sous la pression des candidats. « Nous avons demandé une réponse pour le 15 avril », précise Gindorf, « Ça nous laissera un mois pour préparer notre dossier devant la DNCG et d'attaquer le recrutement. Fin avril, tout doit être signé. » Si, contrairement à son concurrent, Gindorf avance à visage découvert, il se garde en revanche de dévoiler le niveau d'implication de ses colistiers. La rumeur indique que Gindorf et les autres pourraient injecter quatre millions d'euros dans le Racing. « J'ai bien peur que ça ne suffise pas », ironise-t-il. « Nous négocions directement avec Londres. Proisy est tenu informé. Mais IMG ne connaît pas les montants que nous investirons dans le club. Nous lui avons fait une offre. S'il accepte de signer le contrat de cession avec nous, nous nous occuperons de la suite. C'est notre affaire. »
Voilà pour toi cSp.

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