L'Equipe a écrit :Trois joueurs écartés
El-Hadji Djilobodji, Ibrahima Camara et Filip Djordjevic font les frais de la lourde défaite encaissée face à Brest (1-4), la semaine passée. Ce trio, titularisé lors de la venue du club breton, n'a pas été convoqué par Jean-Marc Furlan pour le déplacement de Nantes à Strasbourg, lundi (20h30). Concernant Camara, le latéral gauche venu du Mans, sa mise à l'écart intervient dans un programme de remise en forme. Selon L'Equipe, le Guinéen a révélé à son entraîneur qu'il ne s'était plus entraîné depuis un mois avec le ballon, après sa prestation catastrophique face au Stade Brestois.
[09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 1/0
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
DNA a écrit :Des Canaris jaune pâle
Bastion incontesté du foot français jusqu'au début des années 2000, le FC Nantes, actuel 14e au classement de Ligue 2, n'est plus que l'ombre de lui-même. Et une nouvelle défaite, demain, pourrait bien coûter son poste à Jean-Marc Furlan, l'ancien entraîneur du Racing.
Le rendez-vous fixé demain soir, entre le Racing et le FC Nantes, aurait dû être l'un des grands moments de la saison 2009/2010. Un « gros match » entre deux clubs d'un certain standing, tous deux à la bagarre pour la remontée en Ligue 1...
Loin des ambitions affichées en début de saison
Mais rien de tel ne se profile à l'horizon. Demain soir, à la Meinau, ce « sommet » de la 24e journée opposera simplement le 14e au 15e de Ligue 2. Loin, très loin, des ambitions affichées par les deux clubs en début de saison. Car si le RCS a beaucoup fait parler de lui question « crise » depuis juin dernier, le FC Nantes le talonne de très près dans le n'importe quoi. Pourtant, le FCN, relégué de Ligue 1, a bien débuté l'exercice 2009/2010, bien calé sur le podium de la 5e à la 13e journée de championnat. Mais l'équipe de Gernot Rohr, à l'effectif pléthorique (41 joueurs sous contrat), s'est peu à peu délitée. Le coach allemand a alors été remercié par le président Waldemar Kita et remplacé par l'ancien Strasbourgeois Jean-Marc Furlan début décembre. Sans succès, puisque ce dernier n'a pu enrayer la chute de son équipe - 4 points pris sur 21 possibles -, désormais 14e au classement général de L 2. A tel point que l'ex-entraîneur du Racing, qui entretient des relations plus que conflictuelles avec son président, est désormais assis sur un siège éjectable.
Le club de Loire-Atlantique a perdu de son lustre
« Compte tenu des résultats, je suis en situation de précarité », a reconnu Furlan devant ses joueurs après la défaite à domicile face à Brest (1-4). Avant de lancer, un brin provocateur : « Si le diagnostic est que Furlan est le problème, il ne faut surtout pas prendre de gants pour me dégager ». Bref, rien ne tourne plus rond au sein de la maison nantaise et le mal ne date pas d'hier. Car depuis le titre de champion de France acquis en 2001 et la belle saison 2003/2004 (avec une 6e place finale), le club de Loire-Atlantique a peu à peu perdu de son lustre. Au grand dam du président Kita - arrivé en 2007 - qui n'est jamais parvenu à lui faire remonter la pente. Et à la grande colère des supporters nantais, qui ont fini par déserter la Beaujoire. Les derniers résultats du club ne sont pas de nature à rendre optimistes les fans des Canaris. Avec un petit point pris lors des six derniers matches, l'équipe de Furlan s'enfonce dans la crise sur le terrain, comme dans les vestiaires, où règne une ambiance détestable.
« Une spirale plus positive »
« En foot, cela arrive que les clubs soient en crise, on est bien placés pour le savoir et c'est aussi le cas actuellement à Nantes, indique pour sa part Pascal Janin. Mais à moyen terme, je suis sûr qu'ils retrouveront leur niveau ». A moyen terme, peut-être. Mais à court terme, la situation semble tout de même bien mal emmanchée pour le FCNA, qui peut d'ores et déjà faire une croix sur la remontée en L 1. Reste au Racing, pas au mieux au classement général mais toutefois engagé dans « une spirale plus positive que Nantes » (dixit Janin) d'en tirer profit demain soir.
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
On sent le professionnalisme des joueurs en ce momentSelon L'Equipe, le Guinéen a révélé à son entraîneur qu'il ne s'était plus entraîné depuis un mois avec le ballon, après sa prestation catastrophique face au Stade Brestois.
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
Du coté joueurs comme du coté staff ...
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
L'Alsace a écrit :Cinq jours pour y voir clair
Avec deux matches de rang à la Meinau, à 20 h 30 contre Nantes, puis vendredi face à Clermont, le Racing peut effectuer un bond significatif au classement de la L2 et éloigner le spectre de la relégation. Mercredi, il jouera aussi son avenir en coulisses lors de son assemblée générale.
« Faire le plein contre Nantes et Clermont constituerait un tournant. Ça nous ferait passer du statut d’équipe à la lutte pour le maintien à celui d’outsider. Ces deux rencontres peuvent changer la vie de l’équipe et du club qui pourrait alors préparer plus vite la saison suivante. »
Pascal Janin n’ignore évidemment pas tout le bénéfice que pourrait retirer le Racing en signant ses 6 e et 7 e victoires consécutives à la Meinau contre Nantes à 20 h 30, puis Clermont vendredi. Dès ce soir, un succès devant des Canaris qui volent à l’envers depuis des semaines l’amènerait à la 10 e place ex aequo et lui offrirait un matelas de cinq points sur le premier relégable, Guingamp. « Pour l’instant, il n’est que de deux », préfère considérer le PDG Julien Fournier, « la menace d’une relégation n’est pas écartée. C’est ce qu’il faut avoir à l’esprit avant de songer à autre chose. »
Son entraîneur acquiesce. « Bien sûr qu’il y a une bonne opération à faire. Mais il ne faut surtout pas calculer que ces deux matches à domicile vont déboucher sur six points. Ce qui m’intéresse surtout, c’est qu’un succès contre Nantes nous amènerait à 30 points. Il en resterait alors 12 ou 13 à prendre sur les 14 dernières journées. Ce serait jouable. »
Furlan : « Mon départ a été une blessure »
Ces dernières semaines, Bleus alsaciens et Jaunes nantais empruntent des trajectoires opposées. Guillaume Lacour et les autres sont invaincus depuis quatre journées (8 points sur 12). Les joueurs d’un Jean-Marc Furlan menacé restent sur cinq échecs et un nul (1 pt sur 18).
À l’aller, les Canaris, alors dirigés par Gernot Rohr, avaient pourtant dégagé une formidable impression de puissance (2-1). « Après avoir très vite ouvert le score, nous nous étions fait bousculer », se souvient Janin, « Il y avait eu une trop grosse différence entre eux et nous. Aujourd’hui, Nantes traverse une très mauvaise série. Mais cette série va bien s’arrêter un jour. Peut-être ce lundi si nous abordons ce match les mains en haut du guidon. »
Pour Jean-Marc Furlan, appelé début décembre au chevet d’un FCN déjà fébrile, il y a urgence. Le sort de l’ex-coach du Racing pourrait être scellé ce soir. « Je ne prends pas les choses comme ça, mais j’en suis conscient », a-t-il avoué samedi devant la presse locale. « Je n’ai aucun signe avant-coureur. Donc, je travaille. À Strasbourg, j’ai connu un climat beaucoup plus tendu. Mon départ a été une blessure. Il a entraîné trois mois de souffrance, mais la blessure est refermée. Pendant deux ans, j’ai été très exposé par le président (Ndlr : Philippe Ginestet), remis en question presque chaque mois et ça nous a coûté des points. Le point commun entre les deux clubs, c’est une grande instabilité dans le fonctionnement. Plus encore à Strasbourg qu’à Nantes où l’attente du résultat est telle qu’elle ne prend pas en compte le fond. Les Strasbourgeois ont l’habitude de lutter à la Meinau dans une ambiance très hostile. Même s’ils ne sont pas toujours très brillants, ils sont courageux. Ce sont des pitbulls. »
Plutôt une meute qui sait rester soudée alors que les loups s’entre-déchirent au sommet du club. À forcer un destin qui a longtemps semblé funeste, elle force aussi le respect. Une victoire en soirée ne serait qu’un nouveau juste retour des choses.
Stéphane Godin
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
DNA a écrit :Au rendez-vous des déçus
Ils faisaient partie des favoris sur la ligne de départ. Ils luttent pour leur maintien aux deux tiers du championnat. Strasbourgeois et Nantais, aux prises, ce soir, à la Meinau, ont énormément à se faire pardonner. Le vaincu sera un peu plus déçu.
Entre une cigogne moins quelques plumes et des canaris archi-cuits, le choc de la 24e journée de L 2 pourrait servir de campagne à la Société Protectrice des Animaux. Le Racing et le FC Nantes constituent finalement de sacrés rivaux dans la catégorie chef d'oeuvre en péril. Fiers comme des paons à l'été, du fait de leur passé, de leurs moyens et de leur réputation, ils font peine à voir six mois plus tard, plongés dans la deuxième moitié du championnat, hantés par des angoisses de descente.
En Loire-Atlantique, le pire est peut-être à venir alors que l'hallucinant est déjà intervenu
Le supporteur alsacien a plusieurs fois eu l'occasion de s'arracher les cheveux, de se taper la tête contre les murs, de désespérer complètement de la situation de son club préféré. Comparée à son homologue nantais, sa passion a néanmoins des allures de benoîte marotte. En Loire-Atlantique, le pire est peut-être à venir alors que l'hallucinant est déjà intervenu quand, par ici, on guette avec quelques légitimités un prochain coin de ciel bleu. Comme un signe, le match du jour pourrait inverser la hiérarchie au sein de la Ligue 2. A deux points seulement de Guingamp, 18e et premier relégable, la bande à Janin va mieux, merci pour elle, depuis la reprise. Huit points récoltés en quatre matches la placent dans un rythme de leader. Une série de cinq victoires d'affilée sur ses terres lui permet même d'aborder le rendez-vous du jour avec une forme de sérénité dont le style de son entraîneur n'est sans doute pas la moindre des sources. « J'ai bon espoir de voir mon équipe dans la lignée des dernières semaines, s'est contenté d'espérer Pascal Janin, égal à lui-même hier. L'important, c'est de s'exprimer, de tenter notre chance et de donner le plus de soucis possible à l'adversaire ». L'important, en quelque sorte, c'est de s'affranchir d'un contexte franchement sulfureux vu de l'autre côté du miroir. Nantes, ses 41 joueurs professionnels sous contrat, sa direction aussi difficile à suivre que la strasbourgeoise, a un entraîneur en sursis. Une défaite ce soir pourrait ramener Furlan à l'ANPE, huit mois après son départ de Strasbourg, un mois après son arrivée du côté de la Beaujoire. Sous sa houlette, le club aux huit titres de champion de France n'en finit pas de s'enfoncer. Il n'a pas gagné depuis deux mois et six matches, pour cinq défaites dont une déculottée lundi dernier à domicile, face à Brest (1-4).
Avec six points supplémentaires dans cinq jours, le Racing changerait de catégorie
Janin ne se réjouit pas le moins du monde du bazar dans la boutique nantaise : « La mauvaise série des Nantais va s'arrêter. Je peux m'aider de certains éléments du contexte si ça aide les garçons. Ça n'aidera pas en l'occurrence. On a eu aussi notre part de souci. Chacun mène sa vie. A nous, simplement, de montrer que l'on est meilleur que Nantes pour décrocher les trois points ». A eux de présenter un joli visage pour continuer d'affranchir le comportement sportif de coulisses sans réelle visibilité. Pas loin d'être au complet, en dehors des blessés longue durée et de Zenke, le Racing s'avance donc vers un drôle de choc avec quelques possibilités de lendemains souriants à l'esprit. Après Nantes, il y aura Clermont en fin de semaine. Avec six points supplémentaires dans cinq jours, le Racing changerait de catégorie. « Cela peut constituer un tournant, admet Janin. On peut redevenir un outsider de ce championnat. Ça peut changer la vie de l'équipe, ça peut changer la vie du club ». Ça peut assurément changer le cours d'une saison. Ça peut contribuer à donner cinq points d'avance sur la zone rouge. Et ça ne lui est jamais arrivé cette saison.
François Namur
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
Pour l'instant, leur passé récent les apparente à Metz ou Le Havre, autres spécialistes du yoyo entre l'élite et la L2 ensablés dans l'antichambre. Nantes, 45 ans de suite en L1 (un record), en est à deux descentes en trois ans, tandis que Strasbourg connaît sa quatrième saison en L2 en neuf ans. Mais ces ex-Rois de France (8 titres pour le FCN, 1 pour le Racing), confrontés aux pires résultats de leur histoire, risquent bien pire. Leur avance sur le National n'est que de trois (pour Nantes) et deux points (pour Strasbourg) avant leur duel de lundi (20h30). Impensable vu les objectifs claironnés en début de saison. Pourtant, un désastre est possible, et ils ne seraient pas les premiers cadors à entrer dans un long tunnel.
Disparus en National, CFA, CFA2
Ils faisaient partie du paysage de l'élite, vingt saisons minimum en L1, les RC Paris, les Red Star, les Cannes, les Reims ou les Rouen. Disparus, comme dans une chanson de Jane Birkin, en National, en CFA ou CFA2. Le Racing a perdu la trace de l'élite en 1990, Cannes en 1998, Rouen en 1985. Nîmes, trente-trois saisons en D1, aujourd'hui revenu dans la lumière (4e de L2), est descendu en L2 en 1993, en National dix ans plus tard et n'est sorti du purgatoire qu'en 2008. Autre exemple de monument en péril : dans les Seventies, Guillou et Berdoll symbolisaient un Angers en pleine bourre (deux fois 4e en 1972 et 1974) avant la chute, alternance de National et de L2, éclairée par un retour sans lendemain en L1 (1993).
Un atout : la patience
Quoi qu'il arrive ce lundi, Strasbourg et Nantes n'évolueront pas en L1 en août prochain comme ils l'ambitionnaient il y a encore six mois. Ils y reviendront sans doute, à condition de s'armer de ce qui leur manque manifestement le plus : la patience. Car pour les clubs mis sous terre qui prennent le temps de redémarrer et de construire, le ballon tourne aussi dans le bon sens. Voyez Toulouse, relégué en D2 en 1994 et 1999, en National en 2001, et de retour dans l'élite dès 2003 grâce à son centre de formation. Nancy (très peu de L1 entre 1987 et 2004), Montpellier (2004-2009), Valenciennes (1993-2006) ou encore Sochaux (1994-2001) ont connu des éclipses plus ou moins longues, frôlé ou atteint le National, avant de rebondir de façon quasi irrésistible une fois trouvé le groupe commando prêt à vendre cher les couleurs du club.
Saint-Etienne est revenu, mais Reims...
Lille, l'équipe phare de l'immédiat après-guerre, a sombré dans les années soixante avant de gravir à nouveau les échelons, de retomber en D2 en 1996, de friser la banqueroute et de renaître en 2000 au point de se trouver ensuite un avenir européen. Qui se souvient que Lyon végétait en L2 dans les années 80 (six saisons entre 1983 et 1989) ? Sûrement un certain Jean-Michel Aulas, repreneur en 1987 et de retour en L1 deux ans plus tard. Strasbourg et Nantes peuvent se dire que les monuments ne meurent jamais vraiment. Que Saint-Etienne s'est remis de chacune de ses descentes post-Glasgow (1984, 1996, 2001). Que Marseille a connu deux retours décisifs en 1984 et 1996. Oui, mais la L1 attend un coucou de Reims (deux finales de C1, comme l'OM) depuis 1979. L'année du seul titre de champion de Strasbourg. Le Racing avait terminé avec deux points d'avance sur Nantes.
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
DNA a écrit :De Carvalho première ?
Pichot est de retour, Pelé écarté, Zenke suspendu : en dépit de l'intéressante série en cours, il y a de la nouveauté dans les rangs alsaciens.
Le groupe strasbourgeois récupère un latéral droit de métier pour le rendez-vous face à Nantes. Stéphane Pichot en a fini avec ses soucis à la cuisse. Il réintègre la défense, qui, pour le reste, devrait rester inchangée par rapport à celle alignée d'entrée à Sedan.
En effet, Steven Pelé est écarté du groupe et l'idée d'un milieu à quatre, à plat ou quasiment, a les faveurs du pronostic. Dans la réflexion de Pascal Janin, le doute dans l'entrejeu tient dans la fragilité de Mamadou Bah, ménagé une bonne partie de la semaine. Accessoirement, Albert Baning a été l'auteur d'une entrée qui a convaincu dans les Ardennes. Le Guinéen et le transfuge du PSG sont a priori en balance.
« On récupère Pichot et Bah, se réjouit Janin, et ce sont deux garçons sur qui on compte ». En attaque, le doublé de passes décisives réussi par Basile De Carvalho lui donne une longueur d'avance sur Gargorov. Suspendu, Zenke s'efface.
Le FC Nantes continue de nourrir l'inquiétude
Du côté nantais, Jean-Marc Furlan a dévoilé ses batteries. Il a décidé de trancher, écartant notamment un trio titularisé face à Brest, Djilobodji, Camara et Djordjevic. En dépit de la tendance actuelle, le FC Nantes continue de nourrir l'inquiétude en raison des profils dans son effectif.
« Sur la papier, il y a des joueurs de talent, de la qualité, considère ainsi l'entraîneur strasbourgeois. Si le collectif ne semble pas très bien fonctionner, un geste de quelques joueurs nantais peut retourner un match ». On se souvient qu'au match aller, Zerka et Darcheville notamment ont fait pencher la balance alors que le Racing avait ouvert le score.
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
Kita hospitalisé
Waldemar Kita, le président du FC Nantes, a été hospitalisé d'urgence samedi soir à Meaux, en Seine-et-Marne. L'homme d'affaires franco-polonais souffre d'une pancréatite aiguë, une inflammation qui nécessite une opération chirurgicale. Il devrait passer 15 jours à l'hôpital et se reposer de longues semaines ensuite. Son fils Franck, actuellement directeur général du club, va suppléer son père provisoirement.
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Re: [09/10] 24ème J: Strasbourg / Nantes - 15/02/10 à 20h30
Bon rétablissement à lui, ils auront tout eu à Nantes ...

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